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RÉSUMÉ DE LA THÈSE Les teneurs des amphiboles en éléments majeurs et en isotopes stables ont été analysées dans plusieurs complexes ignés alcalins et hyperalcalins, dans le but de déterminer l'importance des variations de composition des minéraux pour le fractionnement isotopique de l'hydrogène dans un système naturel minéral-magma-fluide. Cette étude se concentre principalement sur les syénites néphéliniques de complexes intrusifs alcalins bien connus mais à chimie variable, dont les amphiboles, ainsi que d'autres silicates hydratés tels que micas et eudialytes, lorsque cela était possible, ont été séparés. L'intérêt principal s'est porté sur le complexe alcalin d'Ilímaussaq de la Province du Gardar, au Sud du Groenland. Dans une optique de comparaison, nous avons collecté et analysé d'autres échantillons provenant du complexe de Tugtutôq (Sud Groenland), des complexes de Khibina et Lovozero (Péninsule de Kola, Russie), du Mont St-Hilaire et du Mont Royal (Canada) et de 6 autres du nord-ouest de la Namibie (Cape Cross, Okenyenya, Messum, Etaneno, Kalkfeld,et Okorusu). Les compositions isotopiques de l'hydrogène des amphiboles des ces différentes zones présentent de grandes variations (-227 à -700/00), ce qui est atypique pour des magmas d'origine mantellique. Les valeurs comprises entre -80 et -400/00 indiquent une provenance du manteau. Ces larges variations de compositions ainsi que l'extrême appauvrissement en isotope lourd de l'hydrogène (D), en comparaison avec d'autres roches ignées, semblent être propres.aux roches alcalines et hyperalcalines de ce type, ce qui indiquerait un processus commun. Les différents complexes alcalins choisis présentent un large intervalle de composition chimique des amphiboles. La caractérisation des amphiboles par microscopie électronique et par spectroscopie Mössbauer contribuent à observer le contrôle du Fe sur le fractionnement des isotopes de l'hydrogène. En effet, cela a mis en évidence un contrôle du Fe sur le fractionnement et même, dans le cas du complexe hyperalcalin d'Ilímaussaq, une relation entre le rapport Fei3+/FeT et les variations du rapport D/H. Les complexes étudiés diffèrent de par leur index agpaïtique (Na+K/Al) et également de par leur contenu en fer. Les plus hautes valeurs en Fe (27-35 wt%) et en éléments alcalins dans les amphiboles, ainsi que les teneurs de D/H les plus basses et leur grande variation, sont celles du complexe d'Ilímaussaq. Les amphiboles de la Péninsule de Kola et du Canada sont similaires, mais toutefois moins appauvries en D. En ce qui concerne les amphiboles des complexes du NO de la Namibie, elles présentent des compositions isotopiques de l'hydrogène magmatiques normales (-73 à -100 0/00), contiennent moins de Fe (15-17 wt%) et sont fortement enrichies en Ca et moins en Na. Dans ce cas, l'alcalinité est moins importante en comparaison des autres complexes étudiés. En dehors des teneurs en éléments alcalins des amphiboles, l'alcalinité des fluides s'avère également un facteur important, ce qui est cohérent avec certaines suggestions à partir de systèmes expérimentaux. Afin de mieux contraindre ce facteur, des expériences d'échanges hydrothermaux entre les amphiboles et les fluides de salinité différente ont été effectuées en simulant des conditions naturelles. L'approximation d'amphiboles naturelles de complexes ignés alcalins, couplée aux expériences d'échange, aide à préciser les facteurs contrôlant le fractionnement des isotopes de l'hydrogène dans les roches alcalines. Les valeurs extrêmement basses de 3D des amphiboles de ces complexes alcalins peuvent être dues à une combinaison de différents facteurs, telles qu'une haute alcalinité, une haute teneur en Fe et une faible profondeur d'intrusion. Les grandes variations ainsi que les faibles valeurs de SD des amphiboles étudiées peuvent résulter d'un processus magmatique interne et il est peu probable que de l'eau météorique soit impliquée et/ou que le dégazage magmatique ait joué un rôle. THESIS ABSTRACT Major element and stable isotope compositions of amphiboles were analyzed from a number of alkaline and peralkaline igneous complexes in order to determine the importance of compositional variations in minerals to hydrogen isotope fractionations in natural mineral-melt-fluid systems. The thesis mainly focuses on nepheline syenites of well-studied, but chemically variable alkaline intrusive rocks, from which amphiboles and, if possible, other hydrous silicates such as micas and eudialytes were separated. The system of primary interest was the alkaline Ilímaussaq Complex of the Gardar Province of South Greenland. For the purpose of comparison additional samples were collected and examined from the Tugtutôq Complex (South Greenland), the Khibina and Lovozero Complexes (Kola Peninsular, Russia), Mount St-Hilaire and Mount Royal (Canada) and six further complexes from NW Namibia (Cape Cross, Okenyenya, Messum, Etaneno, Kalkfeld, and Okorusu). The hydrogen isotope compositions of amphiboles from the localities studied differ greatly, which is atypical for amphiboles from mantle, range between - 227 and - 700/00 (latter compatible with a simple mantle origin). As this wide range in compositions and the extreme depletion in the heavy hydrogen isotope (D) content relative to other igneous rocks appear to be unique to alkaline to peralkaline rocks of this type, a common process is indicated. The different alkaline complexes chosen cover a wide range of amphibole chemical compositions. Detailed chemical characterization of amphiboles by electron microprobe and Mössbauer spectroscopy analyses helped to constrain the control of Fe on the H-isotope fractionations. Complete characterization of the chemical compositions of the amphiboles support Fe-control on fractionations and at least for the peralkaline Ilímaussaq complex a relationship between Fe3+/FeT ratios and variations in D/H. The studied complexes differ in their agpaitic index (Na+K/Al) and also in their Fe-content. The most iron (27-35 wt. %) and alkaline element rich amphiboles, with the lowermost D/H ratio, as well with very wide range, are the ones from Ilímaussaq complex. Similar, but less D depleted amphiboles are from the Kola Peninsula and the Canadian localities. The complexes described from NW Namibia have amphiboles with normal magmatic hydrogen isotope composition (-730/00 to -1000/00), and have less Fe-content (15-17 wt. %), and are more Ca-and less Na-rich. In this case alkalinity is not that important in comparison to the other studied complexes. Beside the alkaline element contents in the amphiboles, the alkalinity of the fluids has been found to be an important factor, in conjunction with earlier suggestions from experimental systems. To further constrain this factor, hydrothermal exchange experiments between amphiboles and fluids of different salinity simulating natural conditions were performed. The approach of examining natural amphiboles from alkaline igneous complexes in parallel to performing exchange experiments - helped to further constrain the factors controlling the H-isotope fractionations in alkaline rocks. The observed changes between the hydrogen and oxygen isotope compositions of amphiboles and fluids before and after the experiments suggest that another phase was produced during the experiments, which influenced the final hydrogen isotope composition of the system. This presumably hydrous phase has also influenced the Fe3 +/Fe2+ ratio of the amphiboles, which became more oxidized. The extremely low SD values of amphiboles in these alkaline complexes may be due to a combination of different factors such as high alkalinity, high Fe-content, and shallow intrusion depths. This wide range and the low SD values of the amphiboles studied might be a result of internal, magmatic processes and it is unlikely that meteoric water was involved and/or magmatic degassing played an important role. RÉSUMÉ DE LA THÈSE (pour le grand public) Fractionnement isotopique de l'hydrogène entre amphiboles, micas et fluides dans des intrusions alcalines Zsófia Wáczek Directeur de thèse, Prof. Torsten W. Vennemann Institut de Minéralogie et Géochimie, Université de Lausanne Les roches alcalines et celles qui leurs sont associées sont des sources importantes de nombreux minéraux et minerais, tels l'apatite, le niobium, le diamant et autres pierres précieuses. Cette étude se concentre sur des complexes alcalins localisés dans le sud du Groenland, au Canada, dans la péninsule de Kola en Russie et au nord-ouest de la Namibie. Ces complexes sont composés de roches ayant cristallisé à partir de magmas et de fluides très enrichis en alcalins. Cet enrichissement permet la précipitation de minéraux inhabituels riches en potassium et/ou sodium, telles les amphiboles sodiques, également enrichies en fer. Les amphiboles étudiées ont des compositions calciques, sodi-calciques et sodiques, qui reflètent leurs différents environnements de formation. Des études précédentes ont révélé une large gamme de rapports isotopiques de l'hydrogène dans les amphiboles de roches hyperalcalines, dont certains extrêmement bas. Cette variation importante est très intrigante, sachant que des valeurs entre -40 et -800/00 correspondent à des silicates ignés hydratés et non altérés, alors que des valeurs descendant jusqu'a -1500/00 nécessiteraient une altération par de l'eau météorique et/ou une contamination par les roches environnantes ou des sédiments riches en matière organique. Dans lé cas précis du complexe d'Ilímaussaq (sud du Groenland), aucune de ces explications n'a pu être démontrée et des valeurs encore plus faibles ont été trouvées. Le complexe d'Ilímaussaq présente des valeurs de rapport isotopique de l'hydrogène entre -227 et -500/00 dans les amphiboles. Une origine mantellique permet d'expliquer les valeurs élevées, mais d'autres processus doivent entrer en jeu pour engendrer les valeurs les plus négatives. C'est à l'identification de ces processus que nous nous sommes attachés dans ce travail. Les grandes variations observées dans les teneurs en fer et dans le rapport Fe3+/FeT des roches et des minéraux de ces complexes sont corrélées avec d'autres paramètres chimiques, tels que la composition isotopique de l'hydrogène dans les amphiboles. Nous avons dès lors abordé les questions suivantes: quelle est la relation entre la teneur en fer des amphiboles et leur composition isotopique? Que nous apprennent les changements de la teneur en fer et les changements dans le rapport Fe3+/FeT sur les processus pétrologiques dans ces roches? Pour répondre à ces questions, nous avons analysé les compositions isotopiques de l'oxygène et de l'hydrogène dans les amphiboles et d'autres silicates hydratés. La composition chimique et le rapport Fe3+/FeT des amphiboles ont également été déterminés. Des expériences hydrothermales simulant des conditions naturelles ont été entreprises afin de mieux comprendre les processus de fractionnement isotopiques dans ces systèmes très alcalins. Nos conclusions sont les suivantes: (1) Les valeurs extrêmement faibles ainsi que les larges variations des rapports isotopiques de l'hydrogène des amphiboles de ces complexes alcalins sont dues à une combinaison de facteurs tels que la forte alcalinité, la haute teneur en fer et la profondeur très faible de l'intrusion. (2) Ces valeurs sont probablement le résultat de processus magmatiques internes. (3) Il est peu probable que les eaux météoriques et/ou le dégazage magmatique aient joué un rôle lors de la formation de ces amphiboles. (4) Certaines corrélations, en accord avec les études précédentes, ont pu être trouvées au niveau des concentrations en fer. (5) Dans le cas du complexe d'Ilímaussaq exclusivement, une relation a été trouvée entre le rapport Fe3+/FeT et la composition isotopique de l'hydrogène des amphiboles.

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O presente trabalho teve como objetivo analisar alguns subprodutos agroindustriais utilizados na alimentação animal e identificar os principais minerais presentes. Amostras de farelos de algodão, arroz, canola, soja e trigo; farinhas de peixe, carne e penas + vísceras; cascas de algodão, arroz, laranja; bagaços de tomate e de laranja foram coletadas em diferentes locais de produção. O método analítico empregado foi a análise por ativação com nêutrons seguida de espectrometria gama. Os níveis de minerais encontrados em todas as amostras, inclusive aqueles considerados tóxicos, tais como As, Cd e Hg, não excederam os limites máximos permitidos em dietas para animais domésticos. Os valores obtidos foram comparados com os comumente encontrados em forragens.

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Esta pesquisa objetivou estudar a influência da calagem e de adubações minerais e orgânicas na produção de tangerineiras (Citrus deliciosa Tenore) cv. Montenegrina, enxertadas em Poncirus trifoliata Raf. O plantio foi realizado em julho de 1988, num solo Podzólico Vermelho-Escuro, de textura franco-argilosa. O delineamento experimental constou de blocos ao acaso, com nove tratamentos e quatro repetições, usando três plantas úteis por parcela. Os tratamentos utilizados foram: testemunha (sem adubação e sem calagem); solo corrigido a pH 6,5 antes do plantio; adubações com esterco de aviário + calagem anualmente; adubações com esterco bovino + calagem anualmente; adubações com N e K + calagem anualmente; adubações com N e K + calagem anualmente + correção com P antes do plantio; adubações com N, P na dose simples e K + calagem anualmente; adubações com N, P na dose dupla e K + calagem anualmente; adubações anuais com N, P na dose simples e K, sem calagem. A adubação corretiva com P, na instalação do pomar, foi suficiente para assegurar uma produção de frutos similar à obtida pelas adubações de reposição anual deste nutriente, até oito anos após o plantio. A elevação dos teores foliares de N foi positivamente relacionada com o aumento da produção de frutos e com a diminuição do peso médio dos mesmos. O uso de sulfato de amônio acidifica o solo e requer maior quantidade de calagem de manutenção.

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L'épuisement des énergies fossiles est un thème d'actualité dont les prémices datent, selon l'opinion courante, des années 1970 et du premier choc pétrolier. En réalité, c'est une préoccupation plus ancienne, intimement liée à l'ère industrielle. Dans la deuxième partie du XIXème siècle, les économistes se sont penchés sur la question de l'épuisement des minerais, 'objet non identifié' jusqu'alors et nécessitant la mise sur pied de nouveaux outils d'analyse (effet-rebond chez Jevons, rente minière chez Marshall-Einaudi notamment). Avec le progrès des techniques et l'apparition de nouvelles énergies (pétrole, hydro-électricité), leurs craintes de déclin industriel se sont progressivement dissipées dans les années 1910 et 1920. Mais ces évolutions tenant à l'histoire des faits ne sont pas les seules à considérer. Des facteurs internes à la discipline économique, comme l'émergence du marginalisme dans les années 1870 et de la théorie de l'épargne et du capital dans les années 1890, ont aussi changé le regard des économistes sur la question de l'épuisement des ressources. Pourquoi ? Comment ? Quels enseignements peut-on en tirer pour les défis environnementaux d'aujourd'hui ? Voilà les questions qui sont traitées dans ce travail de thèse.

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Com o objetivo de estudar um mingau pronto para consumo com boas características sensoriais e estabilidade coloidal aparente, foi preparada uma mistura de arroz e soja em diferentes proporções, considerando as seguintes etapas de processamento: decorticagem dos grãos de soja, branqueamento, desintegração e homogeneização do arroz e soja. Os mingaus formulados foram avaliados sensorialmente e analisados quanto à composição centesimal, mineral e índice de separação. Os mingaus formulados com 80:20, 70:30 e 60:40% de arroz:soja foram os de melhor aparência, sabor e textura. Entretanto, quando os mesmos foram aromatizados com baunilha, os mingaus com 30 e 40% de soja foram os preferidos, e quando com coco, apenas o mingau com 40% de soja foi o preferido pela equipe massal de provadores. Esses mingaus formulados apresentam excelente estabilidade coloidal aparente e boa composição em minerais.

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Foram avaliados os efeitos de três processos de vinificação sobre a composição química e a qualidade do vinho Cabernet Franc, nas safras de 1987 a 1990. As vinificações foram realizadas em escala industrial, pelos processos clássico, de termovinificação e de maceração carbônica. Avaliaram- se teor alcoólico, acidez total, açúcares redutores, cinzas, extrato seco, compostos fenólicos e voláteis e elementos minerais. Procedeu-se, também, à análise sensorial dos vinhos. Os resultados foram submetidos à análise de componentes principais (ACP) e à análise de variância, sendo que os três primeiros eixos explicaram 68,2% da variação total. Através da ACP, foi possível separar os vinhos de maceração carbônica dos outros dois processos de vinificação. As variáveis que apresentaram maior efeito na variação foram os álcoois superiores, os cátions e os compostos fenólicos. A avaliação sensorial mostrou que a maceração carbônica originou vinhos leves e com menor intensidade de cor, e a termovinificação e a vinificação clássica originaram vinhos com mais corpo, melhor qualidade e equilíbrio gustativo e maior tipicidade varietal.

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O objetivo deste experimento foi observar e quantificar o efeito de duas misturas minerais (ad libitum), uma sem (M) e outra com fósforo suplementar (MP), sobre o desempenho produtivo e reprodutivo de vacas de cria neloradas em pastejo de Brachiaria humidicola. O trabalho foi realizado na Fazenda Modelo (Embrapa-Centro Nacional de Pesquisa de Gado de Corte), localizada em Terenos, MS, em duas fases, a primeira, em 1988/92, e a segunda, em 1992/94. Na segunda fase, reduziu-se a carga animal durante a seca e os dias de amamentação (de 1,0 para 0,5 vacas/ha e de 210 para 90 dias, respectivamente). Foram realizadas medidas de consumo da mistura mineral (M = 76 e MP = 112 g/cab./dia); teor médio de fósforo na forrageira (época das chuvas = 0,16%, época seca = 0,11%); peso vivo (primeira fase: M = 363±3,3 e MP = 371±3,8 kg; segunda fase: M = 407± 5,7 e MP = 417± 6,5 kg); taxa de natalidade (primeira fase: M = 67±3,3 e MP = 66± 3,5%; segunda fase: M = 74± 6,3 e MP = 80± 5,7%) e bezerros desmamados (primeira fase: M = 86± 5,0 e MP = 91± 5,3; segunda fase: M = 55± 6,4 e MP = 67± 5,7). As vacas de cria não responderam ao fósforo suplementar.

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O presente trabalho teve por objetivo caracterizar quimicamente os extratos hidrossolúveis desidratados de arroz (Oryza sativa L.) e de soja (Glycine max (L.) Merrill). Os processos utilizados para a obtenção dos extratos hidrossolúveis foram: maceração do arroz e da soja, desintegração, centrifugação, adição de ácido cítrico, fervura e secagem por atomização. A caracterização química foi realizada através das seguintes determinações: composição centesimal aproximada, composição de minerais e atividade do inibidor de tripsina. Com o aumento das proporções de soja (0 a 50%), os extratos hidrossolúveis desidratados tiveram aumento nos teores de proteína, extrato etéreo, cinzas e fibra crua, porém diminuição no teor de carboidratos. Os teores de P, K, Mg, Cu e Co foram altos em alguns extratos hidrossolúveis desidratados estudados, os quais foram semelhantes à indicação diária na "Recommended Dietary Allowances", enquanto os demais minerais se mostraram em pequenas quantidades ou apenas traços. Não foi detectada atividade do inibidor de tripsina.

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Objetivou-se neste estudo, determinar a disponibilidade biológica do P de diferentes fontes, para eqüinos em fase de crescimento. Utilizaram-se dezesseis eqüinos machos em fase de crescimento, submetidos à aplicação de quatro fontes fosfatadas -- fosfato de rocha de Tapira (TAP), fosfato de rocha de Patos de Minas (PAT), fosfato bicálcico (BIC) e farinha de osso (FOS) --, adicionadas à dieta basal em quantidades suficientes para fornecer 22 g de P/animal/dia. No 16º dia, foram-lhes injetados 30 MBq de 32P/animal, e coletaram-se amostras de sangue, fezes e urina, durante sete dias. Foram determinadas as atividades específicas no plasma, fezes e urina e calculou-se a perda endógena fecal e a absorção real de P. Os valores obtidos quanto ao P consumido, P excretado, P no plasma e P retido não apresentaram diferenças estatísticas (P>0,05). Os valores de absorção real do P do TAP, PAT, BIC e da FOS foram, respectivamente, 25,23%, 33,97%, 31,71% e 29,36%. Não houve diferenças estatísticas (P>0,05) entre as fontes estudadas. Em relação ao BIC, as rochas fosfáticas apresentaram altos valores de disponibilidade biológica.

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A avaliação do cálcio e do fósforo nutricional é difícil quando se usam concentrações séricas desses elementos, pois estas permanecem dentro de valores normais apesar de variações do conteúdo desses minerais na dieta, pela alta eficiência do processo de homeostasia corporal. Alterações significativas serão observadas em processos carenciais crônicos, quando então as perdas econômicas já terão significado relevante. A técnica da excreção fracionada permite avaliação quantitativa sem a necessidade de determinação do volume urinário produzido. Com o objetivo de analisar a excreção fracionada de Ca e P, foram utilizadas 22 novilhas criadas extensivamente. As amostras de soro e urina foram colhidas a cada 45 dias, antes (duas coletas) e durante a gestação (seis coletas). A excreção fracionada do Ca e do P apresentou medianas variando entre 1,06% e 3,72% e 1,09% e 2,70%, respectivamente. Houve tendência na diminuição dos valores da mediana da excreção fracionada do Ca, comparando-se os momentos em que os animais ainda não estavam gestantes com os valores obtidos durante a gestação. Este experimento demonstrou que existem amplas variações na excreção fracionada de Ca e P em diferentes animais em um mesmo momento, dificultando a utilização deste método na avaliação do estado nutricional desses elementos em bovinos criados extensivamente.

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O trabalho teve por objetivo avaliar os efeitos de diferentes níveis de P na dieta de eqüinos em crescimento sobre sua perda endógena fecal, e verificar qual seja a exigência mínima diária desse elemento na sua alimentação. Foram utilizados 16 eqüinos machos em crescimento, recebendo dieta basal sem suplementação de P, e dieta basal suplementada com fosfato bicálcico, para fornecer 15, 20 e 25 g P/animal/dia. No 16º dia experimental, foram injetados 30 MBq de 32P/animal e coletaram-se amostras de sangue, fezes e urina, durante sete dias. Foram determinadas as atividades específicas do P no plasma, nas fezes e na urina, e calculou-se a perda endógena fecal e a absorção real de P. A perda endógena fecal e a absorção real de P não foram afetadas (P>0,05) pelos tratamentos, e foram estimados, em média, 10,34 mg P/kg PV/dia e 47,07%, respectivamente, o que indica que, nas condições experimentais, animais com idade média de 19 meses necessitam de 21,96 mg de P/kg PV/dia para manter o balanço da perda metabólica fecal, e a quantidade diária de P de 14,75 g.

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Conduziu-se um experimento em Campos dos Goytacazes, RJ, no período de dezembro de 1995 a junho de 1997, para avaliar o efeito da adubação nitrogenada, sob diferentes lâminas de irrigação, na produtividade e na qualidade dos frutos do maracujazeiro-amarelo. Testaram-se quatro doses de nitrogênio (50, 250, 450 e 650 g planta-1 ano-1 de N), utilizando a uréia como fonte de N, sob seis lâminas de irrigação (0, 25, 50, 75, 100 e 125% da ET0 - evapotranspiração de referência), num esquema fatorial 4 x 6, com três repetições. Utilizou-se um sistema de irrigação por gotejamento. Não houve variação na produtividade quando o N foi aplicado sob lâminas de irrigação de 0, 25, 100 e 125% da ET0. A produtividade máxima de frutos, 41,3 t ha-1, foi obtida quando se aplicaram 290 g planta-1 ano-1 de N, sob uma lâmina de irrigação de 75% da ET0, o que correspondeu a uma lâmina total de água (irrigação + precipitação efetiva) de 1.293 mm. A adubação nitrogenada influenciou o número de frutos e não apresentou influência sobre o peso médio e outras características qualitativas dos frutos. A irrigação influenciou a produtividade, o peso médio, o comprimento e o diâmetro dos frutos.

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Em três experimentos de campo, avaliaram-se os efeitos da calagem, da adubação de plantio e de N em cobertura, para o feijoeiro comum. No primeiro experimento, testaram-se doses de calcário (0, 3, 6, 9, 12, e 15 t ha-1); no segundo, a resposta de cinco cultivares/linhagens de feijoeiro (Aporé, Carioca, Novo Jalo, MA534657 e MA5346662) à aplicação no sulco de plantio de 200, 400 e 600 kg ha-1 do fertilizante 4-30-16 mais 30 kg ha-1 de N em cobertura aos 25 dias após germinação, e no terceiro, as doses de N (0, 30, 60, 90 e 120 kg ha-1) aplicadas em cobertura a intervalos de dez dias, a partir dos 20 até aos 70 dias após a emergência das plântulas. A dose de 30 kg ha-1 foi parcelada em uma e duas vezes, e as demais doses, em duas, três e seis vezes. A calagem aumentou a absorção de N, P, K, Ca, Mg e Cu e a produtividade do feijoeiro em até 37%. A cultivar Aporé foi a mais produtiva e a que mais respondeu à adubação. Com exceção da Carioca, as produtividades máximas das demais cultivares/linhagens foram alcançadas com a dose de 400 kg ha-1 de fertilizante mais 30 kg ha-1 de N em cobertura. Houve resposta até a dose máxima testada de 120 kg ha-1 de N, atingindo produtividade máxima de 3.170 kg ha-1. O parcelamento de N em cobertura não afetou a produtividade do feijoeiro.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar o pó de forno elétrico (PFE), resíduo da indústria siderúrgica, como fonte de micronutrientes e contaminantes para o milho, em condições de casa-de-vegetação. Utilizou-se como substrato um Cambissolo álico, onde foram aplicados três níveis de calcário (0, 2 e 4 t ha-1) e cinco tratamentos: sem fornecimento de micronutrientes (testemunha), com fornecimento de micronutrientes via fontes de reagentes p.a., e com 250, 500 e 1.000 kg ha-1 do pó de forno elétrico. A produção de matéria seca só variou significativamente na presença de calagem. Os tratamentos com PFE proporcionaram aumentos na produção de biomassa em relação à testemunha, porém apresentaram resultados inferiores aos proporcionados pela aplicação de micronutrientes via fontes p.a. Não ocorreram diferenças entre os tratamentos na produção de matéria seca do milho com a adição de doses crescentes de PFE. O PFE atuou como fonte de micronutrientes, principalmente de Zn e de Fe. A solubilidade do PFE é sensivelmente maior em condições de maior acidez do solo. A presença de Cd e Pb foi detectada na matéria seca da parte aérea. O risco de contaminação do solo e dos alimentos por metais pesados presentes no PFE pode limitar seu uso agrícola como fonte de micronutrientes.

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O experimento foi conduzido em casa de vegetação, com o objetivo de estimar os níveis críticos inferiores (equivalentes a 90% da produção máxima de grãos) e superiores (equivalentes à redução de 10% na produção máxima de grãos) de B nos solos e nas plantas de feijoeiro (Phaseolus vulgaris L.) cultivado em amostras de solos de várzea. O delineamento foi inteiramente casualizado, com quatro repetições, arranjado num esquema fatorial 4 x 7, sendo quatro solos (Glei Pouco Húmico, Aluvial, Glei Húmico e Orgânico) e sete doses de B (0,0, 0,25, 0,5, 1,5, 3,0, 6,0 e 10,0 mg dm-3). As amostras dos solos, incubadas por 24 dias com calcário dolomítico, macro e micronutrientes e B, foram analisadas no tocante a B pelos extratores BaCl2 0,125%, Mehlich I, água quente e CaCl2 0,01 mol L-1. Três plantas foram cultivadas por vaso de 3 dm³: uma, colhida no florescimento, avaliando-se os teores foliares de B, e duas, na maturação de grãos, avaliando-se a matéria seca de grãos. Os resultados mostraram que nos solos, os níveis críticos inferiores de B variaram de 0,57 a 1,87 mg dm-3, e os superiores, de 1,89 a 4,65 mg dm-3, independentemente do extrator utilizado. Nas folhas do feijoeiro, os níveis críticos inferiores estiveram entre 44,2 e 68,1 mg kg-1, e os superiores, entre 143,6 e 199,1 mg kg-1.