980 resultados para justice post-conflit


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Human malignant malaria is caused by Plasmodium falciparum and accounts for almost 900,000 deaths per year, the majority of which are children and pregnant women in developing countries. There has been significant effort to understand the biology of P. falciparum and its interactions with the host. However, these studies are hindered because several aspects of parasite biology remain controversial, such as N- and O-glycosylation. This review describes work that has been done to elucidate protein glycosylation in P. falciparum and it focuses on describing biochemical evidence for N- and O-glycosylation. Although there has been significant work in this field, these aspects of parasite biochemistry need to be explored further.

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Trypanosoma cruzi, a protozoan parasite that causes Chagas disease, exhibits unique mechanisms for gene expression such as constitutive polycistronic transcription of protein-coding genes, RNA editing and trans-splicing. In the absence of mechanism controlling transcription initiation, organized subsets of T. cruzi genes must be post-transcriptionally co-regulated in response to extracellular signals. The mechanisms that regulate stage-specific gene expression in this parasite have become much clearer through sequencing its whole genome as well as performing various proteomic and microarray analyses, which have demonstrated that at least half of the T. cruzi genes are differentially regulated during its life cycle. In this review, we attempt to highlight the recent advances in characterising cis and trans-acting elements in the T. cruzi genome that are involved in its post-transcriptional regulatory machinery.

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Rapport de synthèse : Cette étude réalisée conjointement par les services de pédopsychiatrie et de néonatologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse, s'inscrit dans un groupe de publications issues d'un projet portant sur les représentations parentales et le devenir de 1a prématurité, financée par le Fonds National de la Recherche Scientifique entre 1998 et 2002 (FNRS 32-49712.96), soutenue par la Fondation de la Psychiatrie pour la Petite Enfance. Elle à pour objectifs d'évaluer et de compazer la présence de symptômes de stress post-traumatique; en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Population et Méthode : en fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel < 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire rempli par les parents, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe contrôle de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats : les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme, de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mèrés et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Le vécu particulier des parents, ainsi que les enjeux différents pour les mères et les pères lors d'une naissance prématurée, sont ainsi mis en évidence. La prise en compte de ces différences devrait influencer les interventions des pédopsychiatres et des équipes de néonatologie qui interviennent auprès des parents et guident la construction des liens avec le bébé né prématurément. Publiée par la revue «Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence », aux éditions Elsevier Masson sous le titre : « Etat de stress post-traumatique chez les mères et chez les pères d'enfants prématurés : similitudes et différences» ; numéró 57 (2009) 385-391.

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BACKGROUND AND OBJECTIVES The elective treatment of patients with post-transplant lymphoproliferative disorders is controversial. The purpose of this trial was to evaluate the efficacy of treatment with extended doses of rituximab adapted to the response in patients with post-transplant lymphoproliferative disorders after solid organ transplantation. DESIGN AND METHODS This was a prospective, multicenter, phase II trial. Patients were treated with reduction of immunosuppression and four weekly infusions of rituximab. Those patients who did not achieve complete remission (CR) received a second course of four rituximab infusions. The primary end-point of the study was the CR rate. RESULTS Thirty-eight patients were assesable. One episode of grade 4 neutropenia was the only severe adverse event observed. After the first course of rituximab, 13 (34.2%) patients achieved CR, 8 patients did not respond, and 17 patients achieved partial remission. Among those 17 patients, 12 could be treated with a second course of rituximab, and 10 (83.3%) achieved CR, yielding an intention-to-treat CR rate of 60.5%. Eight patients excluded from the trial because of absence of CR were treated with rituximab combined with chemotherapy, and six (75%) achieved CR. Event-free survival was 42% and overall survival was 47% at 27.5 months. Fourteen patients died, ten of progression of their post-transplant lymphoproliferative disorder. INTERPRETATION AND CONCLUSIONS These results confirm that extended treatment with rituximab can obtain a high rate of CR in patients with post-transplant lymphoproliferative disorders after solid organ transplantation without increasing toxicity, and should be recommended as initial therapy for these patients.