875 resultados para dieu
[Illustrations de Faust] / J.P. Laurens, dess. ; Champollion, grav. ; J.W. von Goethe, aut. du texte
Resumo:
Comprend : [Portrait en frontispice : portrait de l'auteur, Goethe.] Goethe, d'après le tableau de May (1779). [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [Vignette à la page de titre : marque d'imprimeur avec devise et initiales.] Pictoribus atque Poetis. Occupa Portum. D.J. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. du Prologue p.11 : dans le ciel, l'archange Gabriel et Méphistophélès.] Prologue. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. p.52. : Faust dans son cabinet d'étude avec son chien Barbet qui grandit et gonfle, habité par Méphistophélès.] Le barbet. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. p.102 : Faust dans la cuisine de la sorcière, devant un chaudron, ayant la vision d'une femme nue.] La vision. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. p.141 : Marguerite et Faust se promènent dans un jardin. Au loin, Marthe et Méphistophélès.] Le jardin. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. p.214 : Faust rejoint Marguerite dans son cachot.] La prison. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282] ; [pl. en reg. p.222 : Marguerite, ayant sauvé son âme, est présentée par l'archange Gabriel à Dieu. Elle tient dans ses bras son fils mort, noyé.] Epilogue. Faust. [Cote : 4 ° Yh 6/Microfilm R 122282]
Resumo:
Comprend : [Fig. à la Page de Titre : cartouche avec devise, ange et soldat.] In Hoc Signo Vinces. [Cote : Ye 669/Microfilm R 122335] ; [Fronstispice après la Page de Titre : Le Parnasse, Apolllon et les Muses.] [Cote : Ye 669/Microfilm R 122335] ; [Bandeau et lettre historiée folio Aiij : putti dessinant, travaillant la peinture, le modelage, la géométrie et la perspective. La reine Marie de Médicis offrant à Dieu la construction du Val-de-Grâce.] [Cote : Ye 669/Microfilm R 122335] ; [Fig. p.26 : allégories du Temps, de la Mort et de la Peinture (ou Postérité?), putti.] [Cote : Ye 669/Microfilm R 122335]
Resumo:
Comprend : [Portrait en frontispice : portrait de l'auteur, Goethe.] Goethe. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Vignette à la Page de Titre : Marguerite et Faust.] [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Vignette p.103. Partie I. : Faust rencontre Méphistophélès. Au loin, Marguerite.] [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.120. Partie I. :] Faust et Méphistophélès. Salut au savant dicteur! Vous m'avez rudement fait suer. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.138. Partie I. :] Méphistophélès et Siebel. Sorcellerie! tombez sur lui, le drôle est condamné. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.152. Partie I. :] Marguerite. Ah regardez-là! admirez-là! [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.159. Partie I. :] Faust et Marguerite. Qu'est cela? un bouquet! Non, un simple jeu. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.167. Partie I. :] Lieschen. Oui-dà! Sybille me l'a dit aujourd'hui, elle a finie, elle aussi, par se laisser séduire. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.170. Partie I. :] Faust. Voici mon lourdeau apprivoisé! Maintenat, au large! et tâchons de nous éclipser lestement; car j'entends déjà crier au meutre. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.192. Partie I. :] Marguerite et Faust. Henri, tu me fais horreur! [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.225. Partie II. :] Faust. O prodige! elle grandit entre mes mains, elle s'enflamme, des éclairs en jaillissent! [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779] ; [Pl. en reg. p.338. Partie II. :] Les anges et Marguerite. Alors la pécgeresse se répand en actions de gra^ces aux pieds de la mère de Dieu. [Cote : m Yh 26/Microfilm R 132779]
Resumo:
Suite à une question initiale du théologien catholique Adrian Holderegger, l'auteur s'interroge sur la question du rôle de la raison en théologie et en éthique théologique. Il présente et discute la critique de la raison sourde proposée par Maurice Bellet. Les relations entre la rationalité athétique, athématique et amodale conduisent à se demander si une conception négative et critique de la rationalité ne serait pas la condition d'un redéploiement positif de la raison de l'être humain singulier comme capacité d'écoute attentive de l'autre, du monde et de Dieu.
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 595
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 591
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 594
Resumo:
Résumé Avant même son premier écrit, le philologue Nietzsche parle de sa philosophie en termes de « platonisme inversé ». Il se présente par là aux antipodes de Platon et de la pensée initiée par ce dernier. Platon lui-même, Nietzsche le lit comme accomplissement d'une longue tradition inspirée par les Muses - en ce sens "musicale", artistique - à dire la phetsis ou vie tragique (qui sont chez lui le même). Selon elle, la vie réside dans le double mouvement d'éclosion productrice à partir des profondeurs cachées et de retour destructeur dans les ressources de celles-ci. Nietzsche y voit l'oeuvre de Dionysos : l'abyssal et surabondant dieu artiste du jeu de la vie et de la mort. Or ne pouvant souffrir cette vie dionysiaque, Platon en serait venu à en imaginer une autre, dénuée d'ombre et de destruction, où tout apparaît en son éclosion suprême : le monde métaphysique, intelligible, des idées morales qui, depuis, guide tout homme occidental qui se respecte. Dionysos est banni de la pensée, contraint de se réfugier dans les profondeurs de la mer. Quelques deux millénaires plus tard, la figure divine ré-émerge chez certains prédécesseurs de Nietzsche, puis se montre au grand jour dans La naissance de la tragédie (1871), le premier livre du philologue-philosophe. Dionysos y apparaît dans une double opposition : ambiguë face à Apollon, le représentant de la belle apparence venant voiler le sombre fond dionysiaque ; et radicale face à Socrate (le maître de Platon) qui, en Apollon outré, initie le tournant philosophico-scientifique et moral hostile à la vie tragique. Puis Dionysos redisparaît durant plus de douze ans de la surface de l'oeuvre de Nietzsche. Or s'il se retire, c'est pour se nettoyer de ses ambiguïtés initiales (liées au dualisme métaphysique) et poursuivre sa lutte contre Socrate à partir des profondeurs, le visage masqué. Lorsque, dès 1883, il fait retour pour devenir la figure centrale des derniers écrits, il se trouve alors confronté à un nouvel adversaire, plus coriace et plus dangereux encore que Socrate : le Crucifié, représentation populaire et absolutisée des idées socratiques. Inspiré, poussé, porté et tourmenté par son dieu, Nietzsche fait dès lors littéralement équipe avec Dionysos pour promouvoir la libération de la vie phusico-tragique en train d'étouffer dans les filets socratico-chrétiens. Cette libération se joue notamment dans la figure d'Ariane : dans les Dithyrambes de Dionysos (1890) - le dernier texte (poétique) de Nietzsche -, elle incarne si bien la phetsis dionysiaque qu'elle provoque in fine l'épiphanie du dieu tragique, amoureux et jubilant de s'y reconnaître comme dans un miroir.
Resumo:
[La cité de Dieu (italien). [1483]]
Resumo:
[La cité de Dieu (latin). 1467]
Resumo:
Collection : French books before 1601 ; 326.4
Resumo:
[La cité de Dieu (latin). 1475]
Resumo:
Référence bibliographique : Weigert, 555
Resumo:
Cette thèse présente les résultats d'une démarche comparatiste en histoire des religions. Elle poursuit un double but, à la fois thématique et méthodologique, en explorant une variété de représentations des transactions entre des figures féminines et des dieux. Elle en fait ressortir la diversité à partir d'un certain nombre de dossiers tirés de corpus de sources sélectionnés et constitués dans ce but. L'un de ces corpus est formé du Padavali (traduit sur la base de l'édition de P. Caturvedï), une collection de chants-poèmes dévotionnels krishnaïtes attribués à Mïràbàï (composés principalement entre le 16e et le 18e siècle en Inde du nord). L'autre corpus consiste en une sélection d'extraits de la littérature grecque d'auteurs et de styles différents. Au sein de cette sélection, la tragédie attique (5ème siècle avant l'ère commune), en particulier celle d'Euripide, et plusieurs traités de Plutarque (1er siècle de l'ère commune) figurent parmi les sources les plus importantes. La catégorie de « figure féminine » permet de prendre en considération des figures de statuts différents (mythologique, hagiographique ou historique) et de se focaliser sur les représentations des transactions avec des dieux, sans se restreindre à l'étude des pratiques historiquement attestées ou à leur reconstitution. Mirabai, en tant que figure hagiographique et emblématique du mouvement dévotionnel de la bhakti, les gopis et d'autres figures de la mythologie ou de l'hagiographie hindoue comptent parmi les figures féminines considérées sur la base du corpus indien de cette recherche ; les dossiers grecs incluent des sources variées mettant en scène les bacchantes, Ariane, la pythie, Cassandre, Créouse et d'autres figures féminines dans leur rapports avec des dieux, principalement Dionysos, Apollon et Hadès. Pensée comme une traversée des différences plutôt que comme une construction d'universaux, l'exploration thématique met en relief la grande variété des modalités des transactions de figures féminines avec des dieux et la mise en jeu du corps avant, pendant ou après celles-ci. Cinq axes thématiques transversaux, compris comme des faisceaux de questions, forment les comparables de cette recherche. Ils portent principalement sur (1) l'ajout au corps (ou le corps marqué, paré et équipé), (2) le retrait au corps (ou le corps dépouillé et dénudé), (3) la mise à disposition du corps féminin pour le dieu et ses conséquences, notamment en termes d'emprise attribuée au dieu, (4) la violence contre la figure féminine dans le cadre de sa relation au dieu et (5) les dissolutions, transformations, disparitions et dispersions du corps féminin. En plus du travail préalable de traduction et de contextualisation des sources, la mise en regard comparatiste de certains éléments des dossiers permet de dégager des axes de questionnement qui se veulent valables à plus large échelle pour une histoire des religions s'intéressant à la question des représentations du corps en intégrant une perspective de genre. La démonstration méthodologique consiste en une évaluation sur la base d'un exercice concret des limites et des apports d'une démarche de comparaison différentielle. Celle-ci comporte certes quelques défis dans sa mise en oeuvre et sa restitution, mais elle rend possible un processus de recherche souple et créatif qui permet d'envisager des dossiers connus sous de nouveaux angles ainsi qu'une redéfinition ou une création de catégories de recherche dynamiques et flexibles en histoire des religions.