939 resultados para dengue incidence


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In most areas of the world, thyroid cancer incidence has been appreciably increasing over the last few decades, whereas mortality has steadily declined. We updated global trends in thyroid cancer mortality and incidence using official mortality data from the World Health Organization (1970-2012) and incidence data from the Cancer Incidence in Five Continents (1960-2007). Male mortality declined in all the major countries considered, with annual percent changes around -2/-3% over the last decades. Only in the United States mortality declined up to the mid 1980s and increased thereafter. Similarly, in women mortality declined in most countries considered, with APCs around -2/-5% over the last decades, with the exception of the UK, the United States and Australia, where mortality has been declining up to the late 1980s/late 1990s to level off (or increase) thereafter. In 2008-2012, most countries had mortality rates (age-standardized, world population) between 0.20 and 0.40/100,000 men and 0.20 and 0.60/100,000 women, the highest rates being in Latvia, Hungary, the Republic of Moldova and Israel (over 0.40/100,000) for men and in Ecuador, Colombia and Israel (over 0.60/100,000) for women. In most countries, a steady increase in the incidence of thyroid cancer (mainly papillary carcinomas) was observed in both sexes. The declines in thyroid cancer mortality reflect both variations in risk factor exposure and changes in the diagnosis and treatment of the disease, while the increases in the incidence are likely due to the increase in the detection of this neoplasm over the last few decades.

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Résumé L'ostéoporose est une maladie systémique du squelette caractérisée par une fragilité osseuse augmentée avec pour conséquence une augmentation de la susceptibilité aux fractures. C'est actuellement un important problème de santé publique avec des conséquences majeures pour les systèmes de soins tant d'un point de vue médical que financier. Les projections mondiales prévoient une augmentation significative du nombre de fractures de la hanche d'ici 2050. Cette étude vise à analyser l'influence des apports nutritionnels par rapport à celle de la condition physique sur le risque de fracture ostéoporotique en reprenant les données évaluant la consommation de produits laitiers au sein du collectif de l'étude SEMOF («Evaluation suisse de méthodes de mesure du risque de fracture ostéoporotique»). Nous avons d'abord montré que les apports moyens en calcium des 7788 femmes âgées de 70 ans et plus ayant participé à l'étude sont inférieurs aux recommandations suisses et internationales. Des trois régions étudiées, la Suisse romande est celle où les apports quotidiens moyens en calcium et en protéines provenant des produits laitiers sont les plus faibles et où l'incidence des fractures de la hanche secondaires à l'ostéoporose est la plus élevée. Les apports en calcium et en protéines sont également plus élevés à la campagne par rapport à la ville alors que l'incidence des fractures de la hanche n'est pas significativement différente entre ville et campagne. De plus, nous avons montré que les apports quotidiens moyens en calcium et en protéines provenant des produits laitiers ne diffèrent pas significativement entre les femmes avec ou sans fracture de la hanche pendant le suivi. En revanche, la condition physique des femmes qui ont présenté une fracture de la hanche est significativement moins bonne. Sur la base de données anamnestiques concernant les facteurs de risque de chute et la mobilité, nous avons développé un score permettant d'identifier les femmes les plus à risque de chute. La condition physique de ces femmes, attestée par le test de la chaise et la mesure de la force de préhension est la moins bonne. Toutefois, leurs apports quotidiens moyens en calcium et en protéines provenant des produits laitiers ne diffèrent pas significativement par rapport aux femmes à faible risque de chute. En conclusion, le risque de fracture de la hanche liée à l'ostéoporose est plus élevé chez les femmes de plus de 70 ans vivant en Suisse romande que dans les deux autres régions linguistiques. Il est déterminé avant tout par le risque de chute et par la condition physique. Les apports en calcium et en protéines provenant des produits laitiers, tels que nous les avons évalués ne semblent pas déterminants.

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Background Breast cancer in younger women has received increased attention in recent years. Although breast cancer is uncommon in young women, it is the most frequent cancer and the leading cause of cancer death for younger women in developed countries. For Switzerland, the United States and several European countries, declines in breast cancer incidence have been reported since around the year 2000, after decades of increase, among women aged 50 and older. On the other hand an increase in the incidence of breast cancer in younger women has been reported in recent years. Therefore, this study aims to evaluate time trends in breast cancer incidence in younger women in Switzerland. Methods Data on invasive breast cancer cases were obtained from the Swiss Cancer Registries of Basel, Fribourg, Geneva, Graubunden/Glarus, Jura, Neuchatel, St. Gallen-Appenzell, Ticino, Valais, Vaud and Zurich, covering the time period 1996 to 2009. Mid-year population estimates for the respective time period were supplied by the Swiss Federal Statistical Office. For females aged 20-49 years, annual age-standardized incidence rates (ASIRs) (European standard) per 100,000 person-years and corresponding 95%-confidence intervals (95% CI) were calculated. For females aged 20-39 and 40-49 years, ASIRs and incidence rate ratios (IRRs) were calculated by grouped time periods, consisting of 3-5 incidence years. IRRs and corresponding 95% CI were calculated using Poisson regression adjusting for age (reference period 1996-2000). Results ASIRs in females aged 20-49 increased gradually since 1996, being 57.36 per 100,000 person-years in 1996 (95% CI 52.54-62.51) and rising to 68.34 (95% CI 63.40-73.57) per 100,000 person-years in 2009. Comparing the time-period 2007-2009 and the reference period 1996-2000, IRRs show values of 1.17 (95% CI 1.04-1.31) for the age-group 20-39 years and 1.04 (95% CI 0.97-1.10) for the age-group 40-49 years. Conclusions Our findings confirm a slight increase in the incidence of invasive breast cancer in younger women in Switzerland during the period 1996-2009. An increase in breast cancer incidence in younger patients is an important public health problem. It warrants further investigations to identify specific risk factors of this population and to better understand the biology of this particular breast cancer.

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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.

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Studies conducted in different areas of North America and Europe showed a 5-10% decline in the incidence of breast cancer following reductions up to 70% in menopause hormone therapy (HT) use after 2002. The observation that the decline was larger in (or limited to) women aged > or =50 years weighs in favour of an effect of reduced HT use on breast cancer incidence. However, changes in screening are also likely to play a role in the decreasing incidence of breast cancer observed in several countries. In particular, the technical improvements and the increased effectiveness of breast cancer screening and detection during the 1990s led to a decreased number of pre-clinical cases found by screening in subsequent years. Further, disentangling the effects of HT use and screening is difficult, as women who stop using HT may also undergo mammography screening less frequently. Thus, the reasons of the falls in incidence remain open to discussion.

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Colorectal cancer is the second most frequent cancer at death and third most common neoplasm in Switzerland, with about 1600 deaths and 4000 new cases per year, respectively. This study describes the recent trends in colorectal polyps and cancers in the canton of Vaud where a rare population-based series on polyps has been available since 1983. The most salient results are the exponential increase in the detection rates of polyps since the late 19805, associated with a doubling in the proportion of right-sided polyps, whereas colorectal cancer incidence remained constant over the last 25 years. The apparent paradox between the strong increase in detection and resection of polyps, largely due to screening activity, and the absence of reduction in colorectal cancer incidence in the Vaud population is discussed.

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The aim of our survey was to assess the effect of irrigation water of the microbiological quality on the production chain of lettuce in the Dakar area. Microbiological analysis showed that 35% of irrigation water was contaminated by Salmonella spp. between the two water-types used for irrigation (groundwater and wastewater), no significant difference (p>0.05) in their degree of contamination was found. The incidence of different types of irrigation water on the contamination rate of lettuces from the farm (Pikine and Patte d'Oie) was not different either (p>0.05). However, the contamination rate of lettuce from markets of Dalifort and Grand-Yoff that were supplied by the area of Patte d'Oie was greater than those of Sham and Zinc supplied by Pikine (p<0.05). Comparison of serotypes of Salmonella isolated from irrigation water and lettuce showed that irrigation water may affect the microbiological quality of lettuce. Manures, frequently used as organic amendment in cultivating lettuce are another potential source of contamination. These results showed that lettuce may constitute effective vectors for the transmission of pathogens to consumers. Extensive treatment of the used wastewater and/or composting of manure could considerably reduce these risks.

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The epidemiology of skin cancer shows interplay between host susceptibility, (ultraviolet) environment, socioeconomical conditions and behavioural patterns. Its etiology is not yet fully elucidated and reveals intriguing questions. Fair-skinned populations have experienced over the last 60 years a rapid increase in the incidence of melanoma which is unparalleled by any other cancer, although signs of levelling off and stabilization in incidence have recently been observed in some countries. Despite many primary prevention and early detection campaigns over the last decades in Europe, decreases in melanoma mortality are modest and limited to a few countries. Further, reduction in the incidence of thick melanomas has not yet been evidenced. In this presentation, drivers for the incidence and mortality trends of skin cancer, with a strong focus on melanoma, its most lethal form, will be discussed.

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The very diverse social systems of sweat bees make them interesting models to study social evolution. Here we focus on the dispersal behaviour and social organization of Halictus scabiosae, a common yet poorly known species of Europe. By combining field observations and genetic data, we show that females have multiple reproductive strategies, which generates a large diversity in the social structure of nests. A detailed microsatellite analysis of 60 nests revealed that 55% of the nests contained the offspring of a single female, whereas the rest had more complex social structures, with three clear cases of multiple females reproducing in the same nest and frequent occurrence of unrelated individuals. Drifting among nests was surprisingly common, as 16% of the 122 nests in the overall sample and 44% of the nests with complex social structure contained females that had genotypes consistent with being full-sisters of females sampled in other nests of the population. Drifters originated from nests with an above-average productivity and were unrelated to their nestmates, suggesting that drifting might be a strategy to avoid competition among related females. The sex-specific comparison of genetic differentiation indicated that dispersal was male-biased, which would reinforce local resource competition among females. The pattern of genetic differentiation among populations was consistent with a dynamic process of patch colonization and extinction, as expected from the unstable, anthropogenic habitat of this species. Overall, our data show that H. scabiosae varies greatly in dispersal behaviour and social organization. The surprisingly high frequency of drifters echoes recent findings in wasps and bees, calling for further investigation of the adaptive basis of drifting in the social insects.

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This paper explores the nature and incidence of creative accounting practiceswithin the context of ethical considerations.It explores several definitionsof creative accounting and the potential and the range of reasons for acompany's directors to engage in creative accounting. Later the paperconsiders the various ways in which creative accounting can be undertaken andsummarizes some empirical research on the nature and incidence of creativeaccounting. The ethical dimension of creative accounting is discussed, drawingevidence from several empirical studies. The paper concludes with the analysisof possible solutions for the creative accounting problem.

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The objective of this study was to estimate the incidence of hip fracture in the canton of Vaud, Switzerland (total population 584 000), for the period 1986-1991 using routine hospital discharge data collected by the Cantonal Service of Statistical Research and Information (SCRIS). For the survey period, the estimated average annual crude incidence rate of hip fractures was 167 per 100 000 persons aged 20 or older (241 for women and 84 for men). For the population aged 50 years or older, the crude incidence rate was 388 per 100 000 persons (546 for women and 185 for men). The average annual age-specific rates rose exponentially by successive 5-year age groups. The median age of patients at the time of the fracture was 82 years in women and 74 years in men. There was no significant difference between the total number of cervical and trochanteric fractures. Between the ages of 20 and 84 years, the cumulative risk for a woman to be admitted to hospital with a hip fracture was twice that of a man (15.8% vs 7.8%). From 1986 to 1991, the age- and sex-adjusted incidence, like the ratio of cervical to trochanteric fractures, did not show any significant trend, although it was consistent with an increase in men (p=0.09). However, the annual number of fractures rose from 644 to 776, particularly among very aged men. The mean length of stay in the acute care hospital fell from 38 days in 1986 to 25 days in 1991. Finally, the comparison of these results with those obtained in 1986 for the same population from more exhaustive sources has confirmed the provision of a consistent, although overestimated, assessment of hip fracture incidence by means of these routine hospital statistics in the canton of Vaud, Switzerland.

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ABSTRACT After a dengue outbreak, the knowledge on the extent, distribution and mechanisms of insecticide resistance is essential for successful insecticide-based dengue control interventions. Therefore, we evaluated the potential changes to insecticide resistance in natural Aedes aegypti populations to Organophosphates (OP) and Pyrethroids (PY) after chemical vector control interventions. After a Dengue outbreak in 2010, A. aegypti mosquitoes from the urban area of Jacarezinho (Paraná, Brazil) were collected in 2011 and 2012. Insecticide resistance to OP Temephos was assessed in 2011 and 2012 by dose–response bioassays adopting WHO-based protocols. Additionally, in both sampling, PY resistance was also investigated by the Val1016Ile mutation genotyping. In 2011, a random collection of mosquitoes was carried out; while in 2012, the urban area was divided into four regions where mosquitoes were sampled randomly. Bioassays conducted with larvae in 2011 (82 ± 10%; RR95 = 3.6) and 2012 (95 ± 3%; RR95 = 2.5) indicated an incipient altered susceptibility to Temephos. On the other hand, the Val1016IIe mutation analysis in 2011, presented frequencies of the 1016Ilekdr allele equal to 80%. Nevertheless, in 2012, when the urban area of Jacarezinho was analyzed as a single unit, the frequency of the mutant allele was 70%. Additionally, the distribution analysis of the Val1016Ile mutation in 2012 showed the mutant allele frequencies ≥60% in all regions. These outcomes indicated the necessity of developing alternative strategies such as insecticide rotations for delaying the evolution of resistance.

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RESUME De plus en plus de familles se rendent vers des destinations tropicales, s'exposant à des agents infectieux et des maladies tropicales qu'ils ne rencontrent pas chez eux. Nous avons étudié 157 enfants (0-16 ans) et leurs parents partant pour les tropiques, qui ont tous consulté une clinique pré-voyage et qui étaient généralement compliants aux conseils prodigués. Les taux d'incidence de maladies communes chez les enfants et les adultes étaient respectivement de 16.9 (14.3-19.7) et 15.1 (12.7-17.8) épisodes/ 100 personnes-semaines. La diarrhée, les douleurs abdominales et la fièvre représentaient les plaintes les plus fréquentes. Il n'y avait pas de différence significative d'incidence des épisodes morbides entre les enfants et les adultes sauf pour la fièvre (plus fréquente chez les enfants). La plupart des épisodes avaient lieu dans les dix premiers jours du voyage. L'incidence de morbidité similaire chez les enfants et les adultes ainsi que l'aspect bénin des épisodes remet en question l'opinion selon laquelle il n'est pas sage de voyager avec des jeunes enfants.

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Introduction : Bien que rares chez l'adulte, les sarcomes des tissus mous restent une maladie au pronostic très sombre. En effet, leur survie globale à 5 ans est de 50 % chez la femme et de 41 % chez l'homme. De plus, ils sont particulièrement difficiles à traiter, en raison de leur agressivité, de leur résistance face aux chimiothérapies et à la radiothérapie et d'autre part leur localisation conduit souvent à des opérations mutilantes. Pour les sarcomes des membres, il existe une opération appelée perfusion isolée du membre (ILP). Cela consiste à réaliser une chimiothérapie par voie intra-artérielle, en isolant le membre qui est perfusé par une solution Melphalan et de Tumor Necrosis Factor α à l'aide d'une circulation extra-corporelle pour son oxygénation. Ce type de traitement est à visée palliative, évitant une amputation du membre atteint. Pour accéder aux vaisseaux permettant la canulation de la pompe, un curage ganglionnaire est généralement effectué. Patients et méthode : Pour cette étude rétrospective, nous avons analysé la base de données des 278 ILP réalisées au Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) à Lausanne depuis mai 1988. Nous avons extrait et analysé de cette étude rétrospective 57 ILP réalisées pour des sarcomes. L'étude porte sur 52 patients traités entre le 19 février 1992 et le 14 décembre 2011, après avoir exclu les patients n'ayant pas bénéficié d'un curage ganglionnaire et la seconde ILP pour 4 patients qui en ont eu 2. Pour chacun de ces patients, les protocoles opératoires, les rapports d'examens radiologiques ainsi que les rapports de pathologies ont été revus et analysés. Nous avons également effectué une revue de la littérature sur PubMed. Résultats : Il y avait 28 hommes (53.8%) et 24 femmes (46.2 %). L'âge moyen au moment de l'ILP était de 56,7 ans (écart-type 16,8). Seul 3 patients sur les 52 avaient des métastases à distance au moment du diagnostic. Le curage ganglionnaire radical a montré que 13 patients (25 %) avaient une atteinte des ganglions lymphatiques (N+). Parmi les types histologiques qui ont présenté au moins une métastase ganglionnaire, on retrouve 2 léomyosarcomes, 2 sarcomes indifférenciés (anciennement MFH), 3 sarcomes épithélioïdes, 4 angiosarcomes et 2 synoviosarcomes. Pour les patients N0, la survie globale moyenne estimée par la méthode de Kaplan et Meier a été de 95,98 mois (CI 95% 66,72-125,23 mois). Pour les patients N1 la survie globale moyenne a chuté à 28,72 mois (CI 95% 6,48-50,97). Le test du Log Rank donne un Chi2 de 9,659 (P=0,002). La moyenne de survie sans maladie a été de 38,03 mois pour le groupe (N0) et de 10,87 mois pour le groupe N1, (CI 95 % 25,75-50,3 et 1,87-19,88 respectivement) et une valeur de P= 0.006. Nous n'avons pas mis en évidence de différence de survie statistiquement significative (P=0.946) entre les types ou les grades histologiques, en raison de la taille du collectif. Conclusion : Bien que rares, les métastases ganglionnaires des sarcomes des membres ont un impact négatif sur la survie à long terme du patient. Les résultats obtenus montrent qu'un curage peut participer au traitement régional et confirme la nécessité de pratiquer systématiquement une lymphadénectomie radicale en vue d'offrir les meilleures chances de survie au patient. Il faudrait donc se poser la question si la présence de métastases ganglionnaires ne devrait pas modifier la prise en charge pour tendre vers un traitement plus agressif chez de tels patients. Ce qui n'est pas le cas à l'heure actuelle.

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De Gottardi A, Hilleret M-N, Gelez P, La Mura V, Guillaud O, Majno P, Hadengue A, Morel P, Zarski J-P, Fontana M, Moradpour D, Mentha G, Boillot O, Leroy V, Giostra E, Dumortier J. Injection drug use before and after liver transplantation: a retrospective multicenter analysis on incidence and outcome. Clin Transplant 2009 DOI: 10.1111/j.1399-0012.2009.01121.x.Background and aims: Injecting drug use (IDU) before and after liver transplantation (LT) is poorly described. The aim of this study was to quantify relapse and survival in this population and to describe the causes of mortality after LT. Methods: Past injection drug users were identified from the LT listing protocols from four centers in Switzerland and France. Data on survival and relapse were collected and used for uni- and multivariate analysis. Results: Between 1988 and 2006, we identified 59 patients with a past history of IDU. The mean age at transplantation was 42.4 yr and the majority of patients were men (84.7%). The indication for LT was for the vast majority viral cirrhosis accounting for 91.5% of cases, while alcoholic cirrhosis was 5.1%. There were 16.9% of patients who had a substitution therapy before and 6.8% who continued after LT. Two patients (3.4%) relapsed into IDU after LT and died at 18 and 41 months. The mean follow-up was 51 months. Overall survival was 84%, 66%, and 61% at 1, 5, and 10 yr after transplantation. Conclusions: Documented IDU was rare in liver transplanted patients. Past IDU was not associated with poorer survival after LT, and relapse after LT occurred in 3.4%.