948 resultados para anti human immunodeficiency virus agent


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La transmission mère-enfant (TME) du virus de l’hépatite C (VHC) est la première cause d’acquisition de l’infection chez les enfants des pays développés. Celle-ci prend place dans <10% des cas. Toutefois, dans le cas d’une coinfection maternelle avec le virus de l’immunodéficience de type 1 (VIH-1), ce taux est accru alors qu’il n’existe aucune intervention préventive de la TME du VHC. Le VHC arbore une diversité importante qui est le résultat d’une réplication exempte de mécanisme de correction. Il est donc retrouvé chez son hôte sous la forme d’un spectre de virions génétiquement apparentés mais différents qu’on appelle quasiespèce. Lorsque le VHC est transmis entre adultes, seulement un nombre limité de variantes sont responsables de l’infection, c’est ce qu’on appelle un goulot d’étranglement génétique. L’existence d’un tel profil de transmission lors de la TME du VHC restait, jusqu’à maintenant, à confirmer. En se basant sur la détection par RT-PCR de la virémie à la naissance, la TME du VHC est réputée prendre place in utero et peripartum, une dynamique de transmission qui reste à démontrer. Ici, nous rapportons une analyse longitudinale de la TME du VHC par séquençage de nouvelle génération chez 5 paires mère-enfant dont 3 mères sont également coinfectées avec le VIH-1. L’analyse de l’identité des variantes virales basée sur la séquence nucléotidique des régions hypervariables 1-2 de la glycoprotéine E2 (positions 1491-1787 de l’isolat H77) révèle qu’un nombre limité de variantes virales sont transmises de la mère à l’enfant lorsque la mère est seulement infectée par le VHC (n = 1-4 variantes transmises). Dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1, ce nombre est toutefois drastiquement plus important (n = 111-118). La détection de variantes retrouvées chez la mère au deuxième trimestre et l’enfant mais non détectées subséquemment chez la mère témoigne que la TME du VHC peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse. Finalement, nous montrons que la dynamique d’infection chez l’enfant implique une augmentation transitoire de la virémie concomitante avec une perte de diversité de la quasiespèce. Dans l’ensemble ces résultats sont les premiers à démontrer directement l’existence d’un goulot d’étranglement lors de la TME du VHC. Celui-ci serait moins restringent dans le cas de la coinfection maternelle avec le VIH-1. Cette transmission peut prendre place aussi tôt que lors du deuxième trimestre de grossesse et il semblerait qu’un spectre limité de variantes soit responsable pour l’établissement de l’essentiel de la production virale chez le jeune enfant.

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Introduction. Le VIH-1 évolue en fonction de la réponse immunitaire spécifique de l’hôte. La pression sélective exercée par la réponse immunitaire VIH-spécifique de l’hôte entraine l’évolution des gènes viraux et à terme détermine l’évolution de la maladie. Cette évolution du virus à l’échelle d’un individu façonne également l’évolution du virus à l’échelle de la population et détermine le devenir de l’épidémie. Le VIH utilise les corécepteurs d’entrée CCR5 (virus R5) et CXCR4 (virus X4) afin d’infecter la cellule cible, et l’évolution du tropisme du virus de R5 vers X4, appelé switch du tropisme, est associé à la progression de la maladie. Les virus R5 sont rencontrés en début d’infection tandis que les virus X4 apparaissent en fin de maladie chez un certain de nombre de patients et sont considérés comme plus virulents. La pression sélective immunitaire exercée sur le gène de l’enveloppe (env) peut donc entrainer l’évolution du tropisme du VIH. La grossesse est un état immunitaire particulier considéré comme étant principalement caractérisé par un biais Th2 nécessaire à l’établissement de la tolérance materno-fétale. Le switch de tropisme de R5 vers X4 en grossesse n’a jamais été documenté, de même que l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Hypothèses. Les changements immunitaires associés à l’initiation et la progression de la grossesse engendrent des changements dans la pression immunitaire exercée sur l’enveloppe et peuvent favoriser le switch du tropisme. L’évolution du tropisme du VIH-1 peut être observé à l’échelle de la population au même titre que l’évolution de l’enveloppe virale. Objectifs. Analyser l’évolution du tropisme et décrire la pression sélective sur l’enveloppe des femmes enceintes infectées par le VIH-1. Analyser l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Méthodes. Nous avons dans un premier temps analysé l’évolution des déterminants du tropisme et déterminé le génotype et phénotype du VIH-1 chez 19 femmes enceintes issues de la cohorte du centre maternel et infantile sur le SIDA de l’hôpital Sainte-Justine (CMIS). Nous avons ensuite caractérisé et comparé la pression sélective exercée sur env, par une méthode bayésienne, chez 31 femmes enceinte et 29 femmes non-enceintes. Enfin, nous avons analysé et comparé des déterminants du tropisme entre des séquences d’enveloppe contemporaines et anciennes, issues des bases de données du NCBI. Résultats. Nos résultats montrent la présence de virus X4 chez la moitié de notre cohorte, et un switch de tropisme de R5 vers X4 chez 5/19 sujets. Les séquences des femmes enceintes présentaient des taux de substitutions plus élevées que celles des femmes non-enceintes. La pression sélective dans la région C2 était plus faible chez les femmes enceintes que chez les femmes non-enceintes, et différait dans 4 positions entre ces 2 groupes. Cette sélection diminuait au cours de la grossesse chez les patientes traitées. Enfin, une accumulation de mutations X4 a été observée dans les séquences R5 contemporaines par rapport aux séquences R5 anciennes. Conclusion. Les changements immunitaires associés à la grossesse semblent induire des modifications subtiles dans la pression sélective exercée sur env, suffisant à influencer l’évolution du tropisme de R5 vers X4. Un switch du tropisme à l’échelle de la population impliquerait une épidémie évoluant vers une plus grande virulence du virus. Nos résultats sont d’importance en ce qui concerne la prophylaxie antirétrovirale pour la santé de la mère et la prévention de la transmission mère-enfant du VIH-1. Ils sont aussi importants concernant l’avenir de la thérapie antirétrovirale dans le contexte d’une épidémie évoluant vers une plus grande virulence

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La dérégulation du compartiment de cellules B est une conséquence importante de l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1). On observe notamment une diminution des nombres de lymphocytes B sanguins ainsi qu’une variation des fréquences relatives des différentes populations de lymphocytes B chez les individus infectés par rapport aux contrôles sains. Notre laboratoire a précédemment démontré l’implication des cellules dendritiques dans la dérégulation des lymphocytes B via la roduction excessive de BLyS/BAFF, un stimulateur des cellules B. De plus, lors l’études menées chez la souris transgénique présentant une maladie semblable au SIDA, et chez la souris BLyS/BAFF transgénique, l’infection au VIH-1 fut associée à une expansion de la zone marginale (MZ) de la rate. De façon intéressante, nous observons chez les contrôleurs élites une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ. Il s’agit du seul changement important chez les contrôleurs élites et reflète possiblement un recrutement de ces cellules vers la périphérie ainsi qu’une implication dans des mécanismes de contrôle de l’infection. Pour tenter d’expliquer et de mieux comprendre ces variations dans les fréquences des populations B, nous avons analysé les axes chimiotactiques CXCL13-CXCR5, CXCL12-CXCR4/CXCR7, CCL20-CCR6 et CCL25-CCR9. L’étude longitudinale de cohortes de patients avec différents types de progression clinique ou de contrôle de l’infection démontre une modulation des niveaux plasmatiques de la majorité des chimiokines analysées chez les progresseurs rapides et classiques. Au contraire, les contrôleurs élites conservent des niveaux normaux de chimiokines, démontrant leur capacité à maintenir l’homéostasie. La migration des populations de cellules B semble être modulée selon la progression ou le contrôle de l’infection. Les contrôleurs élites présentent une diminution de la population B ‘mature’ de la MZ et une augmentation de la fréquence d’expression du récepteur CXCR7 associé à la MZ chez la souris, suggérant un rôle important des cellules de la MZ dans le contrôle de l’infection au VIH-1. De façon générale, les résultats dans cette étude viennent enrichir nos connaissances du compartiment de cellules B dans le contexte de l’infection au VIH-1 et pourront contribuer à élaborer des stratégies préventives et thérapeutiques contre ce virus.

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White Spot Syndrome Virus (WSSV) is the most devastating disease affecting shrimp culture around the world. Though, considerable progress has been made in the detection and molecular characterization of WSSV in recent years, information pertaining to immune gene expression in shrimps with respect to WSSV infection remains limited. In this context, the present study was undertaken to understand the differential expression of antimicrobial peptide (AMP) genes in the haemocytes of Penaeus monodon in response to WSSV infection on a time-course basis employing semi-quantitative RT-PCR. The present work analyzes the expression profile of six AMP genes (ALF, crustin-1, crustin-2, crustin-3, penaeidin-3 and penaeidin-5), eight WSSV genes (DNA polymerase, endonuclease, immediate early gene, latency related gene, protein kinase, ribonucleotide reductase, thymidine kinase and VP28) and three control genes (18S rRNA, β-actin and ELF) in P. monodon in response to WSSV challenge. Penaeidins were found to be up-regulated during early hours of infection and crustin-3 during late period of infection. However, ALF was found to be up-regulated early to late period of WSSV infection. The present study suggests that AMPs viz. ALF and crustin-3 play an important role in antiviral defense in shrimps. WSSV gene transcripts were detected post-challenge day 1 itself and increased considerably day 5 onwards. Evaluation of the control genes confirmed ELF as the most reliable control gene followed by 18S rRNA and β-actin for gene expression studies in shrimps. This study indicated the role of AMPs in the protection of shrimps against viral infection and their possible control through the up-regulation of AMPs

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Los datos existentes sobre el progresivo incremento de la infección con el virus de inmunodeficiencia humana (VIH) entre los adictos a las drogas por via parenteral (ADVP) y sus parejas e hijos, plantean la necesidad urgente de elaborar programas preventivos con el mayor grado de eficacia posible. En el presente trabajo nos proponemos tres objetivos: 1) Poner de manifiesto algunas insuficiencias observadas en los modelos deprevención que se aplican al caso del SIDA. 2) Conferir un énfasis especial a la influencia sobre los comportamientos preventivos frente al SIDA, de ciertos factores que, en general, no se tienen 10 bastante en cuenta en los modelos actuales como son: la magnitud del reforzamiento contingente a un determinado comportamiento y la demora con la que éste se recibe. 3) Exponer los resultados de una investigación realizada con drogadictos por via parenteral (Planes, 1991), cuyos objetivos eran conocer las relaciones existentes entre la magnitud y la demora del reforzamiento contingente a los comportamientos sexuales preventivos y la frecuencia de dichos comportamientos

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Conformational changes within the human immunodeficiency virus-1 (HIV-1) surface glycoprotein gp120 result from binding to the lymphocyte surface receptors and trigger gp41-mediated virus/cell membrane fusion. The triggering of fusion requires cleavage of two of the nine disulfide bonds of gp120 by a cell-surface protein disulfide-isomerase (PDI). Soluble glycosaminoglycans such as heparin and heparan sulfate bind gp120 via V3 and, possibly, a CD4-induced domain. They exert anti-HIV activity by interfering with the HIV envelope glycoprotein ( Env)/cell-surface interaction. Env also binds cell-surface glycosaminoglycans. Here, using surface plasmon resonance, we observed an inverse relationship between heparin binding by gp120 and its thiol content. In vitro, and in conditions in which gp120 could bind CD4, heparin and heparan sulfate reduced PDI-mediated gp120 reduction by approximately 80%. Interaction of Env with the surface of lymphocytes treated using sodium chlorate, an inhibitor of glycosaminoglycan synthesis, led to gp120 reduction. We conclude that besides their capacity to block Env/cell interaction, soluble glycosaminoglycans can effect anti-HIV activity via interference with PDI- mediated gp120 reduction. In contrast, their presence at the cell surface is dispensable for Env reduction during the course of interaction with the lymphocyte surface. This work suggests that the reduction of exofacial proteins in various diseases can be inhibited by compounds targeting the substrates ( not by targeting PDI, as is usually done), and that glycosaminoglycans that primarily protect proteins by preserving them from proteolysis also have a role in preventing reduction.

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Human D-2Long (D-2L) and D-2Short (D-2S) dopamine receptor isoforms were modified at their N-terminus by the addition of a human immunodeficiency virus (HIV) or a FLAG epitope tag. The receptors were then expressed in Spodoptera frugiperda 9 (Sf9) cells using the baculovirus system, and their oligomerization was investigated by means of co-immunoprecipitation and time-resolved fluorescence resonance energy transfer (FRET). [H-3] Spiperone labelled D-2 receptors in membranes prepared from Sf9 cells expressing epitope-tagged D-2L or D-2S receptors, with a pK(d) value of approximate to 10. Co-immunoprecipitation using antibodies specific for the tags showed constitutive homo-oligomerization of D-2L and D-2S receptors in Sf9 cells. When the FLAG-tagged D-2S and HIV-tagged D-2L receptors were co-expressed, co-immunoprecipitation showed that the two isoforms can also form hetero-oligomers in Sf9 cells. Time-resolved FRET with europium and XL665-labelled antibodies was applied to whole Sf9 cells and to membranes from Sf9 cells expressing epitope-tagged D-2 receptors. In both cases, constitutive homo-oligomers were revealed for D-2L and D-2S isoforms. Time-resolved FRET also revealed constitutive homo-oligomers in HEK293 cells expressing FLAG-tagged D-2S receptors. The D-2 receptor ligands dopamine, R-(-) propylnorapomorphine, and raclopride did not affect oligomerization of D-2L and D-2S in Sf9 and HEK293 cells. Human D-2 dopamine receptors can therefore form constitutive oligomers in Sf9 cells and in HEK293 cells that can be detected by different approaches, and D-2 oligomerization in these cells is not regulated by ligands.

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Little is known about clinical differences associated with cytomegalovirus (CMV) infection by distinct strains in renal transplant patients. Different clinical pictures may be associated with specific viral genotypes. viral load, as well as host factors. The objective of this study was to identify CMV strains to determine viral load (antigenemia), and their correlation with clinical data in renal transplant recipients. Seventy-one patients were enrolled, comprising 91 samples. After selection, polymorphonuclear cells were used to amplify and sequence the gB region of CMV DNA. The sequences were analyzed to ascertain the frequency of different genotypes. Additionally, the results of this Study showed that the gB coding gene presents a great variability, revealing a variety of patterns: classical gB (1.4%), gB1V (46.4%), classical gB2 (35.2%), gB2V (2.8%), gB3 (1.4%), classical gB4 (4.9%) and gB4V (4.9%). The mean viral load in kidney transplant patient was 75.1 positive cells (1-1000). A higher viral load was observed in patients with genotype 4 infection. Statistically significant differences were detected between gB1 and gB4 (p=0.010), and between gB2 and gB4 (p=0.021). The average numbers of positive cells in relation to clinical presentation were: 34.5 in asymptomatic, 49.5 in CMV associated syndrome and 120.7 in patients with invasive disease (p=0.048). As a group, gB1 was the most frequent strain and revealed a potential risk for developing invasive disease. Viral load also seemed to be important as a marker associated with clinical presentation of the disease. (C) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Objectives: Human papillomavirus (HPV) infection is a major risk factor for cervical disease. Using baseline data from the HIV-infected cohort of Evandro Chagas Clinical Research Institute at Fiocruz, Rio de Janeiro, Brazil, factors associated with an increased prevalence of HPV were assessed. Methods: Samples from 634 HIV-infected women were tested for the presence of HPV infection using hybrid capture 11 and polymerase chain reaction. Prevalence ratios (PR) were estimated using Poisson regression analysis with robust variance. Results: The overall prevalence of HPV infection was 48%, of which 94% were infected with a high-risk HPV. In multivariate analysis, factors independently associated with infection with high-risk HPV type were: younger age (<30 years of age; PR 1.5, 95% confidence interval (CI) 1.1-2.1), current or prior drug use (PR 1.3, 95% CI 1.0-1.6), self-reported history of HPV infection (PR 1.2, 95% CI 0.96-1.6), condom use in the last sexual intercourse (PR 1.3, 95% CI 1.1-1.7), and nadir CD4+ T-cell count <100 cells/mm(3) (PR 1.6, 95% CI 1.2-2.1). Conclusions: The estimated prevalence of high-risk HPV-infection among HIV-infected women from Rio de Janeiro, Brazil, was high. Close monitoring of HPV-related effects is warranted in all HIV-infected women, in particular those of younger age and advanced immunosuppression. (C) 2008 International Society for Infectious Diseases. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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The aim of the present study was to determine the coinfection of Leishmania sp. with Toxoplasma gondii, Feline Immunodeficiency Virus (FIV) and Feline Leukemia Virus (FeLV) in a population of cats from an endemic area for zoonotic visceral leishmaniasis. An overall 66/302 (21.85%) cats were found positive for Leishmania sp., with infection determined by direct parasitological examination in 30/302(9.93%), by serology in 46/302(15.23%) and by both in 10/302 (3.31%) cats. Real time PCR followed by amplicon sequencing successfully confirmed Leishmania infantum (syn Leishmania chagasi) infection. Out of the Leishmania infected cats, coinfection with FIV was observed in 12/66(18.18%), with T. gondii in 17/66 (25.75%) and with both agents in 5/66(7.58%) cats. FeLV was found only in a single adult cat with no Leishmania infection. A positive association was observed in coinfection of Leishmania and FIV (p < 0.0001), but not with T. gondii (p > 0.05). In conclusion, cats living in endemic areas of visceral leishmaniasis are significantly more likely to be coinfected with Fly, which may present confounding clinical signs and therefore cats in such areas should be always carefully screened for coinfections. (C) 2012 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Background: Non-Hodgkin's lymphomas (NHLs) are a heterogeneous group of lymphoproliferative malignancies that may be associated with acquired immunodeficiency syndrome (AIDS). NHL can disseminate to extranodal sites; however, its dissemination to the jaws and mouth is not common. This report presents and discusses two unusual cases of gingival primary extranodal non-Hodgkin's lymphoma (PE-NHL) as the first manifestation of AIDS.Methods: Two mates presented with asymptomatic gingival swelling. They were examined clinically. Biopsies of the gingival tissue were evaluated using routine histologic techniques and immunohistochemistry. The patients were tested for human immunodeficiency virus (HIV) infection.Results: The clinicopathological evaluation and the serological HIV examination of the patients led us to the final diagnosis of gingival PE-NHL as the first manifestation of AIDS. Both patients were referred to an oncologist and to an infectious disease specialist and were given antineoplastic chemotherapy and highly active antiretroviral therapy. Only one patient presented a favorable clinical evolution.Conclusion: The present case reports have important clinical implications; the two unusual presentations of gingival PE-NHL contribute to information about the differential diagnosis of rapidly progressing gingival swelling.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)