996 resultados para RE-WETTING AGENT
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We address the question of whether growth and welfare can be higher in crisis prone economies. First, we show that there is a robust empirical link between per-capita GDP growth and negative skewness of credit growth across countries with active financial markets. That is, countries that have experienced occasional crises have grown on average faster than countries with smooth credit conditions. We then present a two-sector endogenous growth model in which financial crises can occur, and analyze the relationship between financial fragility and growth. The underlying credit market imperfections generateborrowing constraints, bottlenecks and low growth. We show that under certain conditions endogenous real exchange rate risk arises and firms find it optimal to take on credit risk in the form of currency mismatch. Along such a risky path average growth is higher, but self-fulfilling crises occur occasionally. Furthermore, we establish conditions under which the adoption of credit risk is welfare improving and brings the allocation nearer to the Pareto optimal level. The design of the model is motivated by several features of recent crises: credit risk in the form of foreign currency denominated debt; costly crises that generate firesales and widespread bankruptcies; and asymmetric sectorial responses, wherethe nontradables sector falls more than the tradables sector in the wake of crises.
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The Attorney General’s Consumer Protection Division receives hundreds of calls and consumer complaints every year. Follow these tips to avoid unexpected expense and disappointments. This record is about: International Lottery Schemes: You're the Loser!
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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.
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I study the optimal project choice when the principal relies on the agent in charge of production for project evaluation. The principal has to choose between a safe project generating a fixed revenue and a risky project generating an uncertain revenue. The agent has private information about the production cost under each project but also about the signal regarding the profitability of the risky project. If the signal favoring the adoption of the risky project is goods news to the agent, integrating production and project evaluation tasks does not generate any loss compared to the benchmark in which the principal herself receives the signal. By contrast, if it is bad news, task integration creates an endogenous reservation utility which is type-dependent and thereby generates countervailing incentives, which can make a bias toward either project optimal. Our results can offer an explanation for why good firms can go bad and a rationale for the separation of day-to-day operating decisions from long-term strategic decisions stressed by Williamson.
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Rituximab is an effective treatment of rheumatoid arthritis (RA), which has been approved for the treatment of moderate to severe disease in patients with an inadequate response to anti-TNF therapies. Rituximab differs from other available biological agents for RA by way of its unique mode of action and unrivalled long dosing interval. The efficacy of rituximab subsides progressively over time and re-therapy is generally required to maintain long term disease control. The timing of re-treatment is currently not well established and varies widely in clinical practice. The present document is a concise recommendation regarding re-treatment with rituximab, based on validated outcomes such as the DAS28 and the EULAR response criteria. The recommendation was established through consensus between practitioners familiar with rituximab therapy in RA. Optimisation of the rituximab re-treatment schedule may improve patient outcomes and balance risks and benefits for the individual patient.
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Does additional government spending improve the electoral chances of incumbent politicalparties? This paper provides the first quasi-experimental evidence on this question. Our researchdesign exploits discontinuities in federal funding to local governments in Brazil around severalpopulation cutoffs over the period 1982-1985. We show that extra fiscal transfers resulted in a20% increase in local government spending per capita, and an increase of about 10 percentagepoints in the re-election probability of local incumbent parties. In the context of an agency modelof electoral accountability, as well as existing results indicating that the revenue jumps studiedhere had positive impacts on education outcomes and earnings, these results suggest that expectedelectoral rewards encouraged incumbents to spend additional funds in ways that were valued byvoters.
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Agent-based computational economics is becoming widely used in practice. This paperexplores the consistency of some of its standard techniques. We focus in particular on prevailingwholesale electricity trading simulation methods. We include different supply and demandrepresentations and propose the Experience-Weighted Attractions method to include severalbehavioural algorithms. We compare the results across assumptions and to economic theorypredictions. The match is good under best-response and reinforcement learning but not underfictitious play. The simulations perform well under flat and upward-slopping supply bidding,and also for plausible demand elasticity assumptions. Learning is influenced by the number ofbids per plant and the initial conditions. The overall conclusion is that agent-based simulationassumptions are far from innocuous. We link their performance to underlying features, andidentify those that are better suited to model wholesale electricity markets.
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O currículo é, indubitavelmente, o mentor da aprendizagem. Produzido pelos educadores de infância, é importante que, ao contextualizá-lo, reflitam, de forma crítica e construtiva, sobre que conhecimentos, importantes ou válidos, merecem fazer parte do currículo, e se é importante dar tempo às crianças para interiorizarem as aprendizagens. Assim, o trabalho começa por apresentar uma revisão literária sobre a essência dos conceitos aludidos, passando, de seguida, para uma reflexão sobre a (re)construção do currículo ancorado na proposta de um currículo-sem-tempo, por forma a dar tempo às crianças para construírem a sua identidade, subjetividade, interesses e aprendizagens.
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The paper proposes a numerical solution method for general equilibrium models with a continuum of heterogeneous agents, which combines elements of projection and of perturbation methods. The basic idea is to solve first for the stationary solutionof the model, without aggregate shocks but with fully specified idiosyncratic shocks. Afterwards one computes a first-order perturbation of the solution in the aggregate shocks. This approach allows to include a high-dimensional representation of the cross-sectional distribution in the state vector. The method is applied to a model of household saving with uninsurable income risk and liquidity constraints. The model includes not only productivity shocks, but also shocks to redistributive taxation, which cause substantial short-run variation in the cross-sectional distribution of wealth. If those shocks are operative, it is shown that a solution method based on very few statistics of the distribution is not suitable, while the proposed method can solve the model with high accuracy, at least for the case of small aggregate shocks. Techniques are discussed to reduce the dimension of the state space such that higher order perturbations are feasible.Matlab programs to solve the model can be downloaded.
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Background a nd A ims: I nfliximab (IFX), adalimumab (ADA)and certolizumab pegol (CZP) have similar efficacy for inductionand maintenance of clinical response and remission in Crohn'sdisease (CD). Given the comparable nature of t hese drugs,patients' p references m ay i nfluence the choice o f the product.Goal: to identify factors contributing to CD patients' decision inselecting one anti-TNF agent over the others.Methods: A p rospectdive s urvey was performed a mong a nti-TNF-naïve CD patients. Prior to completion of a questionnaire,patients were provided with a description of the three anti-TNFagents f ocusing on indications, route of administration, s ideeffects, and scientific evidence of efficacy and safety.Results: One hundred patients (47f/53m, mean age 45±16yrs)completed the questionnaire. Disease location was ileal, colonicand ileocolonic in 33%, 40% and 27% of patients, respectively.Thirty-six percent preferred ADA as medication of choice, while28% and 2 5% p referred CZP and IFX; 11% were u ndecided.Patients' decision in selecting an anti-TNF drug was influencedby t he following f actors: side effects ( 76%), p hysician'srecommendation (66%), route of administration (54%), efficacydata (52%), time required for therapy administration (27%),recommendations by other CD patients (21%) and interactionswith other medications (12%).Conclusions: T he majority of p atients p referred anti-TNFmedications t hat were a dministered by s ubcutaneous i njectionrather t han b y intravenous i nfusion. Side effect profile andphysicians' r ecommendation are t wo m ajor factors influencingthe patients' s election of a specific anti-TNF d rug. Patients'concerns about safety and lifestyle habits should be taken intoaccount when prescribing anti-TNF drugs.
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Introduction: Mantle cell lymphoma (MCL) accounts for 6% of all B-cell lymphomas and is in most cases an incurable disease. It is characterized by the translocation t(11;14) leading to Cyclin D1 over-expression. Cyclin D1 is downstream of the mammalian target of rapamycin (mTOR) threonine kinase and can be effectively blocked by mTOR inhibitors. We set out to define the single agent activity of the orally available mTOR inhibitor everolimus in a prospective, multicentre trial in patients with relapsed or refractory MCL (NCT00516412).Methods: Eligible patients with confirmed relapsed or refractory MCL received everolimus 10 mg for 28 days (one cycle) for a total of 6 cycles or until disease progression. The primary endpoint was the best objective response (OR) with adverse reactions, time to progression (TTP), time to treatment failure, response duration and molecular response as secondary endpoints.Results: A total of 36 patients with 35 evaluable patients at a median age of 69 years (range 40 to 85 years) from 19 centers were enrolled between August 2007 and January 2010. Treatment was generally well tolerated with anemia (11%), thrombocytopenia (11%), neutropenia (8%), diarrhea (3%) and fatigue (3%) being the most frequent complications of CTC grade 3 or higher. The OR rate was 20% (95% CI: 8-37%) with 2 complete remissions (CR) and 5 partial response (PR), stable disease (SD) 48% and progression disease (PD) 28%. At a median follow-up of 6 months, TTP was 5.45 months (95% CI: 2.8-8.2 months) for the entire population and 10.6 months for the 18 patients receiving 6 or more cycles of treatment. Three patients achieved a lasting complete molecular response when assessed in the peripheral blood.Conclusion: This study demonstrates that single agent everolimus is well tolerated and has anti-lymphoma activity including lasting molecular responses. Further studies of everolimus either in combination with chemotherapy or as single agent for maintenance treatment are warranted in MCL.