597 resultados para Peuple andin


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Contient : 1 Traité de versification française ; 2 Premier livre du Recueil sommaire de la chronique française de GUILLAUME CRETIN, allant de l'enlèvement d'Hélène à Clotaire Ier ; 3 Recueil de pièces de vers, sans noms d'auteurs ; 1 « Verbum caro factum est ». Premier vers : « Le premier mot de nostre tesme » ; 2 Pater noster. Premier vers : « Pater noster, vray amateur » ; 3 Ave Maria. Premier vers : « Ave, angelicque salut » ; 4 Poésie sur la Passion. Premier vers : « Croix arrousée du sainct et precieulx » ; 5 Autre. Premier vers : « Soubz pain et vin est Jesus contenu » ; 6 Autre. Premier vers : « Pere eternel et juge raisonnable » ; 7 Poème à la Vierge. Premier vers : « Foy d'Abrahan, vision monsayque » ; 8 Épître. Premier vers : « Aymé de Dieu, si n'as en souvenir » ; 9 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour et mort, la terre et ciel ont pris » ; 10 Paraphrase des neuf leçons de Job, en vers français, par PIERRE DE NESSON. Premier vers : « Pardonnez-moy, beau sire Dieux » ; 11 « Dizains ». Premier vers : « Pour le pechié d'Adam la mort j'attens » ; 4 Recueil de pièces de vers, la plupart avec noms d'auteurs ; 1 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « Si tu sçavoys ma volunté entière » ; 2 « Dizain » par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Tres bien parler et d'aucun ne mocquer » ; 3 « Dizain » par le même. Premier vers : « Oncques Venuz ne receut tel plaisir » ; 4 « Dizain » par « FRANÇOYS ROUSSIN ». Premier vers : « L'excelant bruit de ton haultain sçavoir » ; 5 « Dizain en adieu ». Premier vers : « Adieu le cueur que j'estimoys si bon » ; 6 « Dizain ». Premier vers : « Au temps passé, si le pouvoir des dieux » ; 7 « Quatrain ». Premier vers : « Sans force fort » ; 8 « Quatrain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « On dict qu'Amour n'a plus les yeulx bandez » ; 9 « Quatrain » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Si le dieu Mars, tres puissant belliqueur » ; 10 « Quatrain ». Premier vers : « Il me a prommys, j'ay ma liberté quise » ; 11 « De l'empereur et du Turc ». Premier vers : « Pour plus vouloir hault monster que dessendre » ; 12 « Epistre ». Premier vers : « Declairez-moi, je vous supplie, madame » ; 13 « Epistre » par « GERMAIN COLIN ». Premier vers : « Tenez, voilà ce que m'avez requis » ; 14 « Epistre » par « N. DE REILLAC ». Premier vers : « Voulant t'escripre, doubte à moy se presente » ; 15 « Epistre respondante » par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Puys que ay receu la lettre de celluy » ; 16 « Epistre à ung medecin » par « GERMAIN COLLIN ». Premier vers : « Quant vers Mercure j'auroys si bon accès » ; 17 « Epistre à madamoyselle de Lordon », par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « Le dueil que j'é contre une damoyselle » ; 18 « A messrs les portenotaires (sic) de Raillac frères ». Premier vers : « Tout au contraire ay d'amour les doulceurs » ; 19 « Chant royal ». Premier vers : « Amour conjoinct à vertu paternelle » ; 20 « Balade ». Premier vers : « On peult de nature la grace » ; 21 « Dizain » par « FRANÇ. SAGON ». Premier vers : « L'affection ou peine corpourelle » ; 22 « Dizain » du même « au roy et la royne de Navarre ». Premier vers : « Le frere ayant maladye ennuyeuse » ; 23 « Dizain » du même. Premier vers : « Mort parson droict de nature enhardie » ; 24 « Dizain » par le même. Premier vers : « Comme le feu, s'il n'est mort qu'à demy » ; 25 « Dizain » par le même. Premier vers : « Qui n'a amour, ne peult bien dire do » ; 26 « Dizain » par le même. Premier vers : « Si j'eusse peu en dizain exprimer » ; 27 « Dizain contre Clement Marot » par le même. Premier vers : « Maro sant (sic) T est excellent poete » ; 28 « Rondeau d'un oisellet que autrement on appelle ung noble ». Premier vers : « D'un noble ung cueur tousjours sera nobly » ; 29 « Huictain ». Premier vers : « Je ne veulx pas blasmer les amoureulx » ; 30 « Epistre ». Premier vers : « Aucuns facteurs sçavans et bien apris » ; 31 « Balade ; responce des dames aux estourdis folz ». Premier vers : « Quel fruict vous sourt de voz dictz compouser » ; 32 « Balade ». Premier vers : « Amour me rend par mon voloir subjecte » ; 33 « Epitaphe de mons. le dauphin ». Premier vers : « En l'an que l'aigle en ses fremyssans aelles » ; 34 « Epistre à une medisante ». Premier vers : « En escripvant d'une dame l'audace » ; 35 Pièce sans titre. Premier vers : « Ne doibs je pas en forme de complaincte » ; 36 « Blason, faict en motz resoluz, d'une fille, qui par son sens a receu des escuz troys cens et n'y a presté qu'un Carolus ». Premier vers : « Une fille de ceste ville » ; 37 « Epistre ». Premier vers : « Qui veult aymer sans exceder raison » ; 38 « Dizain » par « FRANÇOYS SAGON ». Premier vers : « Vous faictes bien ung dizain promptement » ; 39 « A une nonnain, du latin ». Premier vers : « Pourquoy cela, seur Jehanne, reffuzez » ; 40 « Epitaphe du president Le Viste ». Premier vers : « C'est ung arrest que le depositaire » ; 41 « Traduction de l'epigramme d'Hermaphrodite, faict et composé en latin par AUSONE ». Premier vers : « Ma mere enceincte alla vers Mars le fort » ; 42 « Dispute, lequel est meilleur que j'aye le monde en moy ou que le monde me ayt en soy ». Premier vers : « Puisque j'ay corps de femme terrienne » ; 43 « Elegie et deploration lachrimable, faicte par dame Université sur le tenebre de Hieremye, qui se nomme Quo modo sedet sola civitas, en se complaignant du meurtre de ses suppoux, adressant à la court supresme de la cité de Tholose, implorant justice ». Premier vers : « O court tres illustre et supresme » ; 44 Pièce sans titre. Premier vers : « Je ne voudroys poinct estre d'or » ; 45 « Quatrin en lexandrins (sic) ». Premier vers : « Quant Palas veit Venuz d'un arnoys accoustrée » ; 46 « Dizain » par « PHILIPPE LE BEAU ». Premier vers : « Si à Paris la pomme on rapportoit » ; 47 « Huitain contre maistre François de Sagon, du coup d'essay contre Clement Marot, par NICOLE COMPAIN ». Premier vers : « Sagon volant à la quille jouer » ; 48 « Epitaphe d'un qui tant ayma la saveur du piot qu'il mourut tout yvre », par « NICOLAS COMPAIN ». Premier vers : « Celluy qui gist icy tout estendu » ; 49 « Epistre » d' « HIEROSME DU VERGIER ». Premier vers : « Quiconques soys qui soubz une faintise » ; 50 « Responce à l'epistre du coq à l'asne de Clement Marot ». Premier vers : « Les doulx salutz, ami Marot » ; 51 Pièce sans titre, datée de « 1536 ». Premier vers : « De mon coq à l'asne dernier » ; 52 « Dizain d'un prescheur qui comparoit la vierge Marie à Venus et Jesus Christ à Cupido, et preschoit d'amour en son sermon », par « FRANÇ. ROUSSIN ». Premier vers : « Où yront plus jeunes dames et filles » ; 53 « Dizain du cordellier, qui prescha aux (sic) Mans que sainct Françoys tous les ans visitoit Purgatoire et d'illec retiroit les ames de ses bons amys ». Premier vers : « Le cordelier qui nagueres prescha » ; 54 « Aultre dizain à ce mesme propos ». Premier vers : « Puisque l'on peult icy bas meriter » ; 55 Pièce sans titre. Premier vers : « Puisque scez la rebellion » ; 56 Pièce sans titre. Premier vers : « Pour l'esguillon d'un vray bouvier » ; 57 Pièce sans titre, par « NICOLAS DE REILLAC ». Premier vers : « Si de l'ayment le pensser convenable » ; 58 « Huictain d'un qui doubtoit tousjours de ce que on luy eut sceu dire ». Premier vers : « Les dieux ont esté en ce doubte » ; 59 « Epitaphe d'ung nommé Livre, qui eut à jamays discord avec sa femme ; en dialogue ». Premier vers : « O passant, c'est grand chose icy » ; 60 Pièce sans titre. Premier vers : « Le temps qui court requiert que l'on se taise » ; 61 Autre. Premier vers : « O dur deppart, ô pitoyble adieu » ; 62 « A la duchesse de Ferrare », par « CL. MAROT ». Premier vers : « Me souvenant de tes bontez divines » ; 63 « Epitaphe de madame la regente, par SAINCT GELAIZ ». Premier vers : « Quant Madame eut la paix semée en terre » ; 64 « Aultre epitaphe de madicte dame par LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « L'intention est parverce en nature » ; 65 « Blason des couleurs ». Premier vers : « Pour fermeté doibt estre le noir pris » ; 66 « Dizain ». Premier vers : « Pres d'un russeau revestu de verdure » ; 67 « Quatrain ». Premier vers : « Si pour aymer l'on ne quiert que beaulté » ; 68 « Dicton ». Premier vers : « En esperant, je desespere » ; 69 « Le Pied ». Premier vers : « Pied de façon à la main comparable » ; 70 Pièce sans titre. Premier vers : « Si vous aymez ne soyez poinct fascheulx » ; 71 Pièce sans titre. Premier vers : « Venus, beaulté, eloquance, la gorge » ; 72 « Le nom du roy Françoys etthymologisé ». Premier vers : « Françoys fera fermement florir France » ; 73 « Rondeau ». Premier vers : « Laissez cela, vous m'affollez » ; 74 Pièce sans titre. Premier vers : « Madame, ung jour qu'elle eut son picotin » ; 75 « Sine Cerere et Baccho ». Premier vers : « Il est escript que si n'avez Cerès » ; 76 « CHARLES DE MERE EGLISE respond à Clement Marot ». Premier vers : « Charles est riche et sçavant tout ensemble » ; 77 « Luy-mesmes parlant en pape guay au marmot et au sagouyn ». Premier vers : « D'où vient cela, ô bestes insensées » ; 78 « Balade de la royne des canettes ». Premier vers : « Qui sont ceulx là qui ont si grand envye » ; 79 « Dizain à ce propoz ». Premier vers : « Royne des canes à bon droict bien nommée » ; 80 « Rondeau ». Premier vers : « Comme la cane en ordure barboulle » ; 81 A Rageau. Premier vers : « Lettres, allez legierement en court » ; 82 « Epitaphe d'une belette » par « S. GELAIS ». Premiervers : « Soubz ceste menue herbelete » ; 83 « CAP. Les grans jours à Paris. Salut ». Premier vers : « Sang bieu ! Paris, aymez vous les grands jours » ; 84 « CH. à Cap ». Premier vers : « J'ay veu l'escript bruyant comme tonnerre » ; 85 Pièce sans titre. Premier vers : « Amour me rend par mon vouloir subjecte » ; 86 « Epistre. » Premier vers : « Ne plus, ne moins que l'arbitre Paris » ; 87 « Rondeau ». Premier vers : « Sur toutes gens, comme dict l'Escripture » ; 88 « Epistre ». Premier vers : « Amour me brusle, amour m'enflamme et art » ; 89 « Epistre ». Premier vers : « Je ne sçauroys faire enarration » ; 90 « Epistre ». Premier vers : « Si les amours et haynes des bestes » ; 91 Pièce sans titre. Premier vers : « Serchant plaisir, je meurs du mal d'aymer » ; 92 « Responce ». Premier vers : « Cherchant plaisir, ma mort vous pourchassez » ; 93 « Requeste du seigneur GAUDELU au roy ». Premier vers : « Sire, vostre humble Gaudelu » ; 94 « Response à ladicte Requeste ». Premier vers : « Tres puissant roy, j'ay esté advertie » ; 95 « A mon bon et loyal compaignon ». Premier vers : « Pour m'acquitter de ce que te promys » ; 96 « Responce à l'epitaphe de Alix ». Premier vers : « Dedans Paris bien fort l'on te menasse » ; 97 « Epitaphe de Centy Maisons ». Premier vers : « Il n'est aux infernaulx palus » ; 98 « Tohibac Onasson, roy d'une des contrées de Brezil au successeur du grand Hercules lybien, monarque des Gaules ». Premier vers : « Roy tres puissant, ton renom et vaillance » ; 99 « Epistre ». Premier vers : « Avant vouloir cest escript commencer » ; 100 « Balade ». Premier vers : « Forgez avans, tant que le fer est chault » ; 101 « Dizain ». Premier vers : « Qui congé prent, monstre qu'il veult partir » ; 102 « Autre ». Premier vers : « Ad vostre advis, qui est plus douloureux » ; 103 « Epitaphe de la contrerolleuse Caqueton ». Premier vers : « Cy-gist morte, ce dict-on » ; 104 « Balade ». Premier vers : « Plaisant assez et des biens de fortune » ; 105 « Fragment ». Premier vers : « Amour, te faict cy jecter au passaige » ; 106 « Hommaige d'amour ». Premier vers : « Amour vouloit par ire son arc tendre » ; 107 « Ejusdem authoris, ut appar[et], propositio ». Premier vers : « Amour me tient depuis seize ans en laisse » ; 108 « Probatio ». Premier vers : « L'honnesteté, la prudence et sçavoir » ; 109 « Invective ». Premier vers : « Beste, bavard, je devoys dire maistre » ; 110 « Le second coq à l'asne de C. MAROT, tousjours revenant à ses moutons ». Premier vers : « Puis que respondre tu ne veulx » ; 111 « Epistre aux poètes françoys qui ont blasonné tous les membres », par « C. MAROT ». Premier vers : « Nobles espritz de France poeticques » ; 112 « Le contre tetin de MAROT ». Premier vers : « Tetin, qui n'a riens que la peau » ; 113 « Dizain envoyé par le chappellain de frippelippes aux facteurs disciples de Clement Marot ». Premier vers : « Gentilz facteurs, escolliers de Clement » ; 114 Pièce sans titre. Premier vers : « Qui de Marot et de Sagon les vers » ; 115 Pièce composée par « LA MAISON NEUFVE ». Premier vers : « Honneur de vous se voyant dechassé » ; 116 Pièce sans titre. Premier vers : « Considerant de celle qui me tue » ; 117 Pièce sans titre. Premier vers : « On tient d'Amour ung propos fort estrange » ; 118 Pièce sans titre : « Entre ung million d'amoureux ennemys » ; 119 Pièce sans titre. Premier vers : « Nous entreaymons, c'est un poinct arresté » ; 120 Autre. Premier vers : « Je sçay pour moy qu'elle est bien malaisée » ; 121 Autre. Premier vers : « Qui ayme bien d'autant que tousjours pense » ; 122 Autre. Premier vers : « Se je reçoy de vous une faveur » ; 123 Autre. Premier vers : « Otous les sens d'elle et de moy confus » ; 124 « Rondeau ». Premier vers : « Tant de longs jours et tant de dures nuitz » ; 125 Autre. Premier vers : « Par mort et toy puis avoir allegeance » ; 126 « Devis, à ce propos ». Premier vers : « Mort et Amour ont semblables aspectz » ; 127 « Rondeau ». Premier vers : « Entre vivans est une question » ; 128 « Autre rondeau ». Premier vers : « Tant seullement ton amour te demande » ; 129 Autre. Premier vers : « Contre le coup de ta sajecte ou lance » ; 130 « Commencement d'une elegie ». Premier vers : « Petit cusin, qui en picquant m'esveilles » ; 131 « Autre commencement d'elegie, sur une couppe ». Premier vers : « Couppe, tu as plus que nulz tes desirs » ; 132 Pièce sans titre, audessus de laquelle on lit : « Aucto. LAZ. BA. ». Premier vers : « Ha ! petit chien, tant tu as de bonheur » ; 133 Autre, au-dessus de laquelle on lit : « Aucto. PORT. ». Premier vers : « Passant chemin deux dames regarderent » ; 134 Autre. Premier vers : « D'avoir loué cest ouvraige imparfait » ; 135 « Elegie d'Ovide translatée, auctore SANGESILAO ». Premier vers : « O dur mary, bien que ayes imposée » ; 136 « Huictain » par « CL. MAROT ». Premier vers : « Amour et Mort la terre et ciel ont pris » ; 137 « Epistre presentée à la royne de Navarre par madame Ysabeau et deux autres damoyselles habillées en Amazones en une mommerie. Penthazillée, royne des Amazones, à Marguerite, royne de Navarre ». Premier vers : « J'ay entendu, tres illustre compaigne » ; 138 Pièce sans titre. Premier vers : « Or ça, Marot, que diras-tu » ; 139 « Dizain ». Premier vers : « Bouche de coural precieux » ; 140 « Contre Claude Lescorché, moyne ». Premier vers : « Dessoubz se (sic) mot de moyne sont comprins » ; 141 « Dizain », précédé d'une sorte d'envoi en prose. Premier vers : « Mes yeulx sont bons et ne voy rien du tout » ; 142 « Epistre envoyée de Venize à madame la duchesse de Ferrare par CLEMENT MAROT ». Premier vers : « Apres avoir par mes jours visité » ; 143 « Epistre d'un serviteur à sa maistresse ». Premier vers : « Madame, un fol pour faire bon messaige » ; 144 « Epistre ». Premier vers : « Puis qu'il me fault à Paris faire ung tour » ; 145 « Autre epistre ». Premier vers : « Ma seur, je suis arrivé à Paris » ; 146 « Aultre ». Premier vers : « Va, se tu peuz, peine toute remyse » ; 147 Pièce sans titre. Premier vers : « Quiconque veult lectre missive escripre » ; 148 Pièce sans titre. Premier vers : « Mille mercys et graces je t'admeine » ; 149 « Rondeau à ce propos ». Premier vers : « En paradis Jesu Christ preigne l'ame » ; 150 Pièce sans titre. Premier vers. « Jeune seigneur, gentil prevost de Ouée » ; 151 Autre. Premier vers : « Peuple indiscret, obfusqué d'ignorance » ; 152 « Quatrain ». Premier vers : « Quant le penser sert ou lieu de propos » ; 153 « Autre ». Premier vers : « Mort, si tu peulx toutes choses casser » ; 154 « A Dieu seul louange ! » Premier vers : « Voudroict-on myeulx de Dieu monstrer la gloire » ; 155 « Huictain ». Premier vers : « Mes beaulx peres religieux » ; 156 Pièce sans titre. Premier vers : « Ains (lisez : amis) j'ay veu Cupido se tirant » ; 157 Autre. Premier vers : « Grand est le mal pour la personne esprise » ; 158 Autre. Premier vers : « Votre bon sens pour moy seul perverty »

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Contient : 1 Mémoire pour le roi contre l'excommunication de Jeanne d'Albret, reine de Navarre ; 2 Actes du colloque de Poissy, 14 octobre 1561. « Acta Pissiaci, quod est Carnutum oppidum ad Sequane amnis ripam, anno humane salutis 1561, pridie idus octobris » ; 3 « Memoires et instructions des syndicz, deputez par les clergez de France, pour servir et proposer en l'assemblée que l'on dict debvoir estre faicte touchant l'approbation ou reject du concile tenu à Trente, aux fins de requerir par l'eglise gallicane la reception et auctorisation d'icelluy... et ce non obstans telles quelles pretendues nullitez et abus mentionnez en certain advis ou conseil deliberé à Paris, à la requeste d'aulcuns que l'on maintient estre du conseil privé du roy, selon qu'il est contenu en la dessusdicte consultation ou advis de Me Charles Dumoulin » ; 4 « Moiantz à deduire par les deputez et syndictz de l'eglise gallicane, pour faire recepvoir les articles du concile tenu à Trente, avecques les modifications requises en aucungs d'iceulx. Pour l'occurance de ceste matière... » ; 5 Mémoire des syndics du clergé de France contre les huguenots protestants, 1564. « Les sindicz des clergez de France ayans veu certain discours imprimé à Paris cest an mil VC.LXIIII, par lequel est persuadé au roy et à son peuple de laisser dedens les fins et limites de ce royaulme, en certaine asseurance, l'evenement des deux religions, selon le contenu en l'edict de pacification et interpretation faicte d'icelluy, leue, publiée et enregistrée au parlement de Paris du vingtiesme jour de decembre l'an mil. VC.LXIII... » ; 6 Mémoire contre les chantres de la chapelle du roi. On lit en marge : « Playdoyé faict par moy au conseil privé du roy, pour empescher que ses chantres n'eussent les distributions manuelles aux eglises desquelles ils sont chanoynes ; et est icy le faict particulier de l'eglise d'Amyans, qui a baillé loy aux aultres ». Premiers mots : « Le doyen, chanoynes et chapitre de l'eglise d'Amyens, pour les moyens de l'opposition qu'ils entendent former aux lettres patentes données à Fonteynebleau au mois d'apvril mil VC.LIII... » ; 7 « Articles du clergé de France sur la revocation de l'edict d'aliénation du revenu temporel de l'Eglise jusques à cent mil escuz de rente. Il plaire au roy decerner ses lettres patentes... ». Ces articles sont précédés du compte rendu de l'assemblée du clergé, réunie à Paris le 15 septembre 1563, qui les avait votées et avait maintenu dans leurs fonctions de syndics généraux Antoine Du Vivier et Nicolas Griveau ; 8 Déclaration du chapitre de Thérouanne, faisant savoir qu'il ne peut accorder la subvention demandée par le roi, et qu'au surplus il se conformera à la décision prise par l'évêque et le clergé d'Amiens ; 9 « Opposition formée par nous » ANTOINE DU VIVIER, chancelier de l'église et de l'Université de Paris, et NICOLAS GRIVEAU, doyen de l'église d'Amiens], « syndictz, contre l'edict » du 17 « janvier, donné à Sainct-Germain-en-Laye, l'an mil VC.LXI » ; 10 « Moyens et conditions pour faire revocquer l'edict d'alienation de cent mil escus de rente du temporel de l'Eglise » ; 11 « Remonstrance à messieurs de la court de parlement contre l'alienation du bien temporel de l'eglise gallicane ». 1561 ; 12 Mémoire « pour evidemment monstrer que l'eglise gallicane n'est subjecte aulx charges portées par l'edict du roy dernierement publié touchant les franczfiefz et nouveaulx acquestz » ; 13 Mandement imprimé de CHARLES, cardinal DE LORRAINE, archevêque de Reims, adressé aux fidèles de la province, à l'occasion des quatre-temps de la Noel. Sans date ; 14 Concile de Reims, en 1564 ; « Moyantz proposez par les deputez au concile tenu à Reims, pro cultu ecclesiarum ». 1564 ; « Articles mys en opinion au concile de Reins » ; « Icy sont declarez les moyantz pour l'interpretation des articles que j'ay portez au concile provintial de Reins pour le diocese d'Amyans » ; « Response à certains articles baillez par mons. le cardinal de Lorraynne » ; Compte rendu de l'assemblée tenue par le clergé du diocèse d'Amiens pour la nomination des députés à envoyer, le 26 novembre 1564, au concile de Reims, et pour la rédaction des instructions à leur donner ; Copie du mandement indiqué sous l'article 13 ; « Canons du concile provintial de Reins ». 1564 ; « Statuta ab illustrissimo principe et reverendissimo cardinali CAROLO LOTHARINGO, archiepiscopo duce Remensi... condita et promulgata in diocesana sua synodo, que Remis habita est, octavo die novembris anno 1564 ». Ces statuts reproduisent presque tous les canons du concile de Reims. On lit au-dessous du titre : « Ces statuz furent presentez en la congregation, pour les visiter et sçavoyr si aucungtz d'iceulx debvoyent estre changez ou refformez » ; « S'ensuyt ce que a esté fait au concile provintial assigné en la ville de Reins, au XXVIe novembre mil VCLXIIII... » ; 15 « Briefve relation du sieur de Tantalle, ministre de France, adressante aux ministres d'Allemagne, touchant ce qui s'est passé à Saumur le vingt neufiesme juin mil six cens unze ». C'est une « satire contre M. de Sully et les huguenots »

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Comprend : (N ° 1.) Le comité de salut public aux représentants du peuple en mission ; (N ° 3.) Le comité de salut public aux départements ; (N ° 4.) Le comité de salut public aux citoyens composant les tribunaux militaires ; (N ° 5.) Le comité de salut public aux tribunaux révolutionnaires, aux tribunaux criminels, aux commissions militaires et aux accusateurs publics ; (N ° 6.) Le comité de salut public aux agents nationaux près les districts ; (N ° 7.) Le comité de salut public aux districts, sur le décret du 14 frimaire ; (N ° 8.) Le comité de salut public aux agents nationaux près des communes ; (N ° 9.) Le comité de salut public aux communes ; (N ° 11.) Le comité de salut public aux sociétés populaires. Du 16 pluviôse, l'an II de la république ; (N ° 12.) Convention nationale. La convention nationale à l'armée de la république sous les murs de Toulon. Imprimé par ordre de la convention nationale. Du 28 frimaire, l'an II de la république une et indivisible ; (N ° 13.) ... La convention nationale aux armées de la république française. (4 nivôse an II.) ; (N ° 15.) ... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, au citoyen représentant du peuple à [ ]. (Nivôse, l'an II de la république française.) ; ... Les membres composant le comité de salut public au secrétaire général et chefs des différents comités de la convention. (24 nivôse an II.) ; (N ° 16.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (26 nivôse an II.) ; (N ° 18.) ... Comité de salut public. Bureau des poudres et salpêtres. Le comité de salut public de la convention nationale à la société populaire d[ ]. (Pluviôse an II.) ; (N ° 19.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (3 pluviôse an II.) ; (N ° 20.) ... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, aux citoyens représentants du peuple dans les départements. (4 pluviôse an II.) ; (N ° 21.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées. (7 pluviôse an II.) ; - Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées ; (N ° 22.) ... Le comité de salut public de la convention nationale aux agents nationaux près l'administration de district. (15 pluviôse an II.) ; Le comité de salut public aux sociétés populaires. Du 16 pluviôse, l'an deuxième de la république ; (N ° 23.) ... Les représentants du peuple composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission dans les départements. (20 pluviôse an II.) ; (N ° 25.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux administrations du district. (22 pluviôse an II.) ; (N ° 26.) Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les districts dont les ennemis ou les rebelles ont occupé le territoire. (23 pluviôse an II.) ; (N ° 27.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux directoires et agents nationaux des districts. (Pluviôse an II.) ; (N ° 28.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux commissaires généraux ordonnateurs et commissaires des guerres près les armées de la république. (24 pluviôse an II.) ; (N ° 29.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission dans les départements. (25 pluviôse an II.) ; (N ° 30.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les administrations de district. (25 pluviôse an II.) ; (N ° 31.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux représentants du peuple en mission, relativement à la guerre de la Vendée. (26 pluviôse an II.) ; (N ° 32.) ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux agents nationaux près les districts. (27 pluviôse an II.) ; (N ° 33.) ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux citoyens représentants du peuple chargés d'organiser le gouvernement révolutionnaire. (28 pluviôse an II.) ; N ° 34. ... Les représentants du peuple français, membres du comité de salut public, aux autorités constituées. (28 nivôse an II.) ; N ° 35. ... Le comité de salut public aux comités de surveillance ou révolutionnaires. (16 pluviôse an II.) ; N ° 36. ... Les représentants du peuple français composant le comité de salut public, aux agents nationaux près les districts, pour communiquer aux gardes généraux, gardes à cheval et à pied des forêts nationales. (2 ventôse an II.) ; N ° 38. (Formule de reçu de pièces, commençant par ces mots :) Convention nationale. Comité d[ ]. Reçu du citoyen... ; N ° 39. Comité de salut public. Bureau de la surveillance de l'exécution des lois... Les représentants du peuple composant le comité de salut public, aux municipalités. (14 ventôse an II.) ; N ° 40. Comité de salut public. Bureau de l'action... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, à l'agent national du district d[ ] (17 ventôse an II.) - N ° 41. Comité de salut public... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, aux administrations de district. (21 ventôse an II.) ; N ° 43..... Les représentants du peuple, membres du comité de salut public, à l'accusateur public près le tribunal criminel ou révolution

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"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (LL.D.)"

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L’effervescence religieuse et politique au Cameroun engendre progressivement la fragmentation ethnique du peuple chrétien camerounais. Face à la manipulation politique, l’autre nom de l’injustice ethnique, la plupart des Camerounais et Camerounaises y compris les chrétiens réagissent désormais par le tribalisme, l’autre nom de la résignation ou mieux du déchirement social. Les Camerounais et Camerounaises donnent l’impression d’avoir perdu l’esprit de résistance/dissidence qui leur a valu la liberté ou mieux l’indépendance. Comment ignorer que de s’accoutumer au drame de la dérive ethnique, en s’installant, pour des raisons de survie, dans l’éclatement le plus abject, c’est opter pour l’asservissement volontaire d’un peuple qui mène inexorablement au génocide collectif ? Notre recherche repose sur l’hypothèse que les conflits ethniques ont pénétré la sphère du christianisme et font désormais partie des dysfonctionnements de l’Église du Cameroun. Ces dysfonctionnements internes nuisent à la crédibilité de l’Église. Il y a un lien entre les défaillances observées dans l’Église et les défaillances de la société Camerounaise. De plus, le rapport de convergence entre les rivalités ethniques et la religion, provoque un questionnement théologique inévitable : comment amener les différentes ethnies qui forment la plupart des États africains à un harmonieux vivre - ensemble inspiré par le mode de vie et de fonctionnement des Églises chrétiennes, au Cameroun en l'occurrence ? Faut-il se limiter à l’adoption d’une nouvelle image de l’Église par exemple l’Église-famille-de-Dieu, ou bien faut-il prendre le taureau par les cornes et éduquer les peuples africains à une culture de la paix ? La démarche de cette thèse s’inspire de la méthode adoptée par la théologie pratique, c’est-à-dire la praxéologie1, en relation avec la théologie contextuelle2, au niveau du lien avec les méthodes d’analyses des sciences sociales et sciences humaines, et au niveau de sa dimension prophétique créatrice. Elle est construite autour de quatre coordonnées: observation (médiation sociale), interprétation (médiation herméneutique), intervention pastorale (médiation pratique) et prospective. 1 Cf. G. ROUTHIER, et M.VIAU, (dir.), Précis de théologie pratique, Montréal/Bruxelles, Novalis/Lumen Vitae, 2004, 819 p. 2 Cf. C. BOFF, Théorie et pratique . La méthode des théologies de la libération, Paris, Cerf, 1990, 400 p. ii La thèse comporte quatre parties. La première partie (chapitres 1, 2 et 3) consacrée à l’observation cerne la problématique du vivre ensemble multiethnique, pour permettre de mieux percevoir la manifestation du phénomène du tribalisme dans l’Église (les Églises) et la société camerounaise. Elle montre que des situations dramatiques, de malheurs, de pauvreté, de famine, de conflits et de guerres sont causées en partie par le tribalisme exclusif. La deuxième partie (chapitres 4 et 5) porte sur la question du sens. Elle analyse et met à l’épreuve la compréhension du phénomène du tribalisme et des conflits ethniques dans la société et dans les Églises du Cameroun. Sont ainsi abordés, successivement, les principales articulations du tribalisme, la stratégie mise sur pied (diviser pour mieux régner) pour la transformation des structures sociales au Cameroun pendant la colonisation, puis récupérée par les politiciens comme idéologie politique depuis les indépendances. Nous en sommes arrivés à constater que cette idéologie a conduit à une profonde déstructuration de la société camerounaise jusque dans l’Église (les Églises). La troisième partie (chapitres 6 et 7) est consacrée à la pratique ecclésiale du dialogue de la diversité ethnique africaine pour la paix ; nous y montrons comment les solidarités ethniques purifiées au feu de l’Évangile peuvent avoir une influence sur la pratique chrétienne. Nous cherchons ensuite à démontrer que le dialogue interethnique bien articulé est le chemin de la réconciliation. La quatrième partie (chapitre 8) est un effort pour passer de l’utopie mise en pratique à une pratique en forme d’utopie. Nous cherchons à montrer que le dialogue pastoral enrichi par la diversité ethnique et religieuse entraînera la transformation de l’Église locale dans son interaction avec les différentes ethnies du Cameroun et d’Afrique.

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Thesis written in co-mentorship with Richard Chase Smith Ph.D, of El Instituto del Bien Comun (IBC) in Peru. The attached file is a pdf created in Word. The pdf file serves to preserve the accuracy of the many linguistic symbols found in the text.

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Tantôt nié dans son principe même, tantôt proclamé comme un droit sacré et inaliénable de l'homme, le droit de résistance à l'oppression a, depuis sa proclamation pour la première fois dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789, continuellement suscité des débats quant à sa nature et la légitimité de son exercice. De façon générale, ce mémoire vise à exposer les origines du droit de résistance à l'oppression, et sa consécration normative au niveau international. Il s'agit de trouver des fondements justifiant et légalisant le recours à la résistance dans toutes ses formes, lorsque confronté à une oppression d'origine étatique. Ces fondements pourront être retracés chez les philosophes du Moyen-âge et de la renaissance qui ont consacré un droit naturel de résistance à l'homme, supérieur au droit positif. En faisant appel aux notions de justice et d'humanité, cette notion de droit naturel a contribué à la légitimation du concept de résistance dans la relation du peuple avec son souverain. Nous retrouvons d'ailleurs cette idée dans le cadre du droit international contemporain à travers la protection accordée à certains droits tels les droit des minorités et le droit des peuples à l'autodétermination. Malgré cela, on constate toutefois l'absence d'une consécration expresse d' «un droit de résistance à l'oppression» au niveau international. Le droit de résistance à l'oppression demeure un droit difficile à positiver dans le cadre d'un droit international qui se présente avant tout comme un droit de consolidation de la souveraineté des États, et dans un système où la mise en œuvre des droits repose sur la bonne volonté de ces derniers.

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Le but de ce mémoire est de poser un regard comparatiste sur les conséquences éventuelles de la politique eugénique totalitaire du Troisième Reich, et ce, dans l’optique où ce régime aurait eu la chance de poursuivre ses ambitions à ce niveau. En portant respectivement notre attention sur la structure organisationnelle du NSDAP, de l’État et de l’autorité, sur les étapes spécifiques de l’établissement du totalitarisme hitlérien, sur les diverses techniques de propagande et d’endoctrinement utilisées par les nazis pour accomplir l’unification du peuple allemand, ainsi que sur l’application pratique et le discours relatif à la politique eugénique dans le Reich et sur les territoires occupés, nous comprendrons que le mouvement propre au totalitarisme hitlérien, en changeant constamment sa définition respective de l’« élite » et de l’être « dépravé », n’aurait jamais mis fin à la purge raciale de la population sous son joug. Par conséquent, la place de l’« allemand moyen » aurait été quasi inexistante. Le Troisième Reich, par élimination et élevage social constant, aurait donc créé un « homme nouveau », basé sur l’idéologie arbitraire et instable du régime et pigé dans les peuples occupés à divers degré. Au bout de plusieurs générations, cet être nouveau aurait constitué le « noyau racial » de la population d’une nouvelle Europe aryanisée, construite sur le cadavre de la plus grande partie des anciens peuples du continent, incluant le peuple allemand.

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Le sous-continent latino-américain vit dans une pauvreté endémique où la lutte pour la survie est au quotidien. Les peuples deviennent de plus en plus pauvres et la vie de la personne humaine est méprisée. Est-il question d’une carence de biens matériels ou d’une mauvaise répartition de la richesse? Nous affirmons qu’il s’agit d’une situation de domination, d’oppression et d’injustice institutionnalisée. Ce mémoire tend à faire une lecture de l’éthique théologique de la libération d’Enrique Dussel dans une perspective émancipatoire. Nous partons du principe que cette éthique matérielle de la vie peut donner une réponse à la morale dominatrice établie et peut contribuer à la transformation de la situation injuste. L’éthique théologique de la libération dusselienne analyse l’être latino-américain considéré comme autre par le système en vigueur et cherche à changer qualitativement les conditions réelles de vie de chaque personne en communauté. Pour ce faire, elle repense de façon critique la totalité des principes de la morale dominatrice à partir de la négation de la vie des victimes et propose une alternative qui doit se réaliser ici maintenant dans l’histoire : la libération des victimes dans n’importe quel système de domination. Ce projet tient compte de la dimension spirituelle du peuple latino-américain. Un sous-continent dit majoritairement chrétien se questionne sur la présence de Dieu et de son agir dans la lutte quotidienne pour la libération. Il se demande comment vivre la foi en Dieu dans une situation d’oppression et de lutte pour la libération. C’est à ce parcours que ce mémoire nous convie en nous rappelant constamment qu’un monde meilleur est possible et que le Dieu de la vie n’abandonne pas sa création.