1000 resultados para Intervention de minimisation de risque
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This is a six page document of Qusetions and Answer for Early Hearing Detecting and Inventation.
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Après la compression du nerf médian au niveau du tunnel carpien, la compression du nerf ulnaire au niveau du coude est le deuxième syndrome compressif le plus fréquent des nerfs périphériques. La chirurgie des nerfs périphériques consiste dans une décompression nerveuse et est caractérisée par un suivi post¬opératoire parfois très douloureux avec des douleurs qui peuvent chroniciser si insuffisamment traitées. Le traitement chirurgical de décompression nerveuse se fait traditionnellement sous anesthésie générale ou régionale. Une analgésie post-opératoire plus efficace et durable avec moindre risque de chronicisation avait justifié ce choix jusqu'à ce jour. Grâce au développement de la chirurgie ambulatoire ces dernières années, un grand nombre d'interventions chirurgicales au niveau de la main sont effectués sous anesthésie locale. Au vu d'une meilleure connaissance de cette technique d'anesthésie, son rôle dans la chirurgie des nerfs périphériques a été remis en question. Alors que plusieurs études ont démontré que l'anesthésie locale est aussi efficace que l'anesthésie générale et régionale au sujet de la chirurgie du tunnel carpien, son utilisation pour la chirurgie du nerf ulnaire reste peu connue. La raison de l'hésitation à l'utilisation de l'anesthésie locale pour le traitement du tunnel ulnaire est due au fait que dans plus de la moitié des cas, une simple décompression n'est pas suffisante et qu'il est souvent nécessaire de transposer le nerf ulnaire devant l'épicondyle ulnaire. La seule publication disponible au sujet de l'utilisation de l'anesthésie locale dans le traitement du tunnel ulnaire considère comme irréalisable d'utiliser cette méthode dans le cas d'une transposition. Malgré cette mise en garde, nous avons, depuis plusieurs années, des excellents résultats avec la transposition du nerf ulnaire sous anesthésie locale. Avec le but d'objectiver notre expérience dans ce domaine nous avons souhaité analyser nos résultats de façon rétrospective avec particulière attention aux douleurs post-opératoires et à la satisfaction des patients. Les dossiers de cinquante patients Consécutifs (26F, 24M) opérés par le même chirurgien dans notre service de 2002 à 2012 ont été analysés rétrospectivement. Les critères suivants ont été récoltés: l'âge du patient, la profession, la main dominante, les détails des techniques opératoires utilisées, le type d'anesthésie, l'intensité du suivi ainsi que les complications, le niveau de douleur dans l'immédiat post-opératorie ainsi que à une année de l'intervention. Les patients ont été divisés en 4 groupes: les opérés sous anesthésie générale avec transposition du nerf (n=17) ou sans transposition (n=10) et les opérés sous anesthésie locale avec transposition (n=12) ou sans transposition (n=11). Au premier jour la douleur était comparable dans tous les groupes. A une semaine, elle était deux fois plus importante lorsque la transposition avait été réalisée sous anesthésie générale par rapport à si une anesthésie locale avait été effectuée (p=0.03). La satisfaction s'est révélée plus élevée mais non significative chez les patients opérés sous anesthésie locale. Ces derniers étaient significativement plus enclins à répéter la chirurgie comparé a ceux opérés sous anesthésie générale (p=0.04). En conclusion, les résultats de cette étude suggèrent que l'anesthésie locale est au moins autant efficace que l'anesthésie générale en termes de complications et de douleurs post-opératoires indépendamment du fait qu'une transposition nerveuse soit effectuée ou pas. Un meilleur contrôle des douleurs à une semaine post-opératoire a contribué à une haute satisfaction des patients de notre étude.
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The Jbel Saghro alkaline complex was emplaced close to the eastern edge of the Moroccan Anti-Atlas. Within the northern part, two types of nephelinite were recognized [Ibhi and Nachit, 1999 and lbhi, 2000]. The first type (olivine-rich nephelinite) constitutes the main volcanic mass south of the Bou Gafer granit (fig. 1), where the volcanism had been active at least during 2 Ma, between 9.6 and 7.5 +/- 0.1 Ma [Berrahma et al., 1993]. The second group outcrops in the north (Foum El Kouss). It consists of pyroxene nephelinites which are younger (2.9 +/- 0.1 Ma) [Berrahma et al., 1993], and bears carbonatitic xenoliths, melteigitic pyroxenites and metasomatised peridotite xenoliths. Geochemically, the pyroxene nephelinite is highly enriched in LILE compared with the first one. The mineralogical and geochemical characteristics may be explained by the incorporation of carbonatitic and melteigitic pyroxenite segregates of carbonatitic affinity.
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This project examines the effects of age, experience, and video-based feedback on the rate and type of safety-relevant events captured on video event recorders in the vehicles of three groups of newly licensed young drivers: 1. 14.5- to 15.5-year-old drivers who hold a minor school license (see Appendix A for the provisions of the Iowa code governing minor school licenses); 2. 16-year-old drivers with an intermediate license who are driving unsupervised for the first time; 3. 16-year-old drivers with an intermediate license who previously drove unsupervised for at least four months with a school license. METHODS: The young drivers’ vehicles were equipped with an event-triggered video recording device for 24 weeks. Half of the participants received feedback regarding their driving, and the other half received no feedback at all and served as a control group. The number of safety-relevant events per 1,000 miles (i.e., “event rate”) was analyzed for 90 participants who completed the study. RESULTS: On average, the young drivers who received the video-based intervention had significantly lower event rates than those in the control group. This finding was true for all three groups. An effect of experience was seen for drivers in the control group; the 16-year-olds with driving experience had significantly lower event rates than the 16-year-olds without experience. When the intervention concluded, an increase in event rate was seen for the school license holders, but not for either group of 16-year-old drivers. There is strong evidence that giving young drivers video-based feedback, regardless of their age or level of driving experience, is effective in reducing the rate of safety-relevant events relative to a control group who do not receive feedback. Specific comparisons with regard to age and experience indicated that the age of the driver did not have an effect on the rate of safety-events, while experience did. Young drivers with six months or more of additional experience behind the wheel had nearly half as many safety-relevant events as those without that experience.
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Rapport de synthèse : Bien que les complications sévères de l'anesthésie soient actuellement rares, des informations contradictoires existent à propos du rôle et de l'importance de l'hypertension artérielle chronique sur la survenue de complications en cours d'anesthésie. En raison de la prévalence élevée de l'hypertension artérielle dans la population et du grand nombre d'anesthésies effectuées, il est important de clarifier cette relation. Le but de l'étude était d'évaluer si les personnes hypertendues étaient à risque accru de présenter des complications lors d'anesthésies à partir de données collectées de routine lors d'anesthésies usuelles réalisées en Suisse. Nous avons utilisé les données figurant dans le registre ADS (Anesthésie Données Suisse) correspondant à des anesthésies, générales ou locorégionales, réalisées pour chirurgie élective chez des adultes, entre 2000 et 2004 dans 24 hôpitaux suisses. L'attention était portée principalement sur les incidents cardio-vasculaires, mais les autres incidents relevés de routine ont aussi été évalués. La présence d'une hypertension artérielle chronique était définie par la présence d'un traitement antihypertenseur ou par l'anamnèse d'une hypertension artérielle, combinée à la mesure d'une pression artérielle élevée (systolique >160 mm Hg ou diastolique >100 mm Hg) lors de l'examen préopératoire de l'anesthésiste. Les incidents relevés en cours d'anesthésie ont été définis a priori et sont enregistrés de routine sur la feuille d'anesthésie et reportés dans une base de données centralisée. En raison de la structure des données, des analyses hiérarchiques ont été effectuées incluant des variables individuelles (niveau 1), liées aux groupes d'interventions chirurgicales (niveau 2) et à l'hôpital (niveau 3). Parmi les 124 939 interventions, 27 881 (22%) concernaient des patients connus pour une hypertension artérielle chronique. Au moins un incident est survenu dans 16,8% des interventions (95% Cl 16,6 -17,0%). Chez 7 549 patients, au moins un incident cardio- vasculaire est survenu, soit dans 6% des anesthésies (95% Cl 5.9-6.2%). Le rapport des cotes (odds ratio) moyen ajusté pour les incidents cardio-vasculaires chez les patients hypertendus était de 1.38 (95% Cl 1.27-1.49), indiquant une augmentation du risque chez les patients hypertendus. Cependant, l'hypertension n'était pas liée à un risque augmenté de survenue d'un autre incident. Les rapports de cotes ajustés de la survenue d'une complication cardiovasculaire en présence d'une hypertension artérielle variaient selon les hôpitaux entre 0.41 et 2.25. Ainsi, cette étude confirme la présence d'un risque accru de survenue d'une complication cardiovasculaire chez un patient hypertendu lors d'une anesthésie pour chirurgie élective. Il s'agissait le plus souvent d'une arythmie ou d'une perturbation hémodynamique. Cette augmentation du risque proche de 40% a aussi été trouvée dans une revue systématique avec méta-analyse. L'hétérogénéité des institutions -qui persiste même en tenant compte des ajustements pour le type d'intervention chirurgicale et des variables individuelles (case-mix) - suggère des différences de pratique de l'anesthésie selon l'hôpital.
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Background: Cannabis use has a negative impact on psychosis. Studies are needed to explore the efficacy of psychological interventions to reduce cannabis use in psychosis. Our aim is to study the efficacy of a specific motivational intervention on young cannabis users suffering from psychosis. Methods: Participants (aged less than 35 years) were randomly assigned to treatment as usual (TAU) alone, or treatment as usual plus motivational intervention (MI + TAU). TAU was comprehensive and included case management, early intervention and mobile team when needed. Assessments were completed at baseline and at 3, 6 and12 months follow-up. Results: Sixty-two participants (32 TAU and 30 MI + TAU) were included in the study. Cannabis use decreased in both groups at follow-up. Participants who received MI in addition to TAU displayed both a greater reduction in number of joints smoked per week and greater confidence to change cannabis use at 3 and 6 months follow-up, but differences between groups were nonsignificant at 12 months. Conclusions: MI is well accepted by patients suffering from psychosis and has a short-term impact on cannabis use when added to standard care. However, the differential effect was not maintained at 1-year follow-up. MI appears to be a useful active component to reduce cannabis use which should be integrated in routine clinical practice.
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Cette étude rétrospective a eu pour but de comparer la prise en charge des patients coronariens de 65 ans et plus, au sortir d'un séjour à la Clinique de réhabilitation cardiaque de Genolier, et ce conformément aux recommandations publiées successivement par les sociétés européennes et américaines de cardiologie entre 1994 et 1999. La comparaison entre les deux périodes d'observation (1994-1995 et 1999-2000) chez les 342 patients étudiés, a montré une amélioration de la prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire. L'augmentation de la prescription de statines en est l'exemple le plus démonstratif. Cependant, les données recueillies indiquent qu'il existe une sous-utilisation des médicaments cardioprotecteurs chez ces patients à haut risque et qui bénéficieraient, par conséquent, le plus d'une prise en charge optimale des facteurs de risque cardiovasculaire. L'élaboration d'un protocole commun de prise en charge de la maladie coronarienne à disposition du réseau des centres spécialisés devrait permettre d'améliorer la qualité des soins par une comparaison de leur pratique respective.