550 resultados para HYPERACTIVITY
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Estudo de caso (metodologia qualitativa) realizado em 2013sobre inteligência emocional em alunos portugueses, frequentando 1.º ciclo educação básica, com idades de 6-7 anos de 2 escolas urbanas:2 crianças (M=microcefalia, A=autismo atípico); 2 crianças (N= criança normal, H= perturbação de hiperatividade com défice de atenção). Os objetivos pretenderam: Demonstrar a importância das emoções na aprendizagem; identificar e lidar com as emoções em situações; propor estratégias para cada criança, aquando dos resultados obtidos com aplicação do teste projetivo e utilização material didático. Metodologia: atividades com ―Uma caixa cheia de emoções‟; prova projetiva ―Era uma vez…‖ Teresa Fagulha; ficha de anamnese aos pais; análise documental aos processos; observação participante; notas de campo e triangulação. Os resultados permitiram estabelecer estratégias para diminuir os fatores de distratibilidade, facilitar a atenção com material visualmente atrativo e manuseável e fornecer instruções acompanhadas de observação. Houve dificuldades nos sujeitos em identificar a ‘ira’ e ‘raiva‘.
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Trabalho de Projeto apresentado ao Instituto Politécnico de Castelo Branco para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do Grau de de Mestre em Educação Especial – Domínio Cognitivo e Motor.
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Na qualidade de profissionais da área da psicologia educacional, temos identificado, ao longo da última década, uma progressiva insegurança e, por vezes, preocupante angústia na vivência e na assunção da função parental. Essa situação reflete-se na preocupação crescente manifestada por parte dos educadores de infância que lidam com crianças que revelam um comprometimento no desenvolvimento social e emocional. De acordo com este cenário, alguns profissionais da educação começaram a utilizar o conceito de indisciplina para traduzir os comportamentos desadequados de crianças entre os 3 e 5 anos, associando muitas vezes esse “rótulo” à utilização indiscriminada do diagnóstico de hiperatividade. No âmbito da intervenção do Centro de Aprendizagem e Desenvolvimento da Infância (CeADIn) da Escola Superior de Educação de Castelo Branco, propomo-nos implementar um programa de inspiração sistémica e ecológica junto de pais de crianças ditas normais e de crianças com necessidades educativas especiais, intitulado Assumir o Desafio de uma Parentalidade Positiva. De acordo com o enunciado, o estudo de caso que pretendemos realizar é norteado pelas seguintes questões de investigação: - A implementação de um programa de Educação Parental de natureza sistémica/ecológica promoverá competências parentais eficazes para o desenvolvimento socio-emocional dos filhos? - Haverá diferenças entre os resultados obtidos junto dos pais de crianças “normais” e os resultados obtidos junto de pais de crianças com NEE antes e após a implementação do programa?
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La déficience intellectuelle est la cause d’handicap la plus fréquente chez l’enfant. De nombreuses évidences convergent vers l’idée selon laquelle des altérations dans les gènes synaptiques puissent expliquer une fraction significative des affections neurodéveloppementales telles que la déficience intellectuelle ou encore l’autisme. Jusqu’à récemment, la majorité des mutations associées à la déficience intellectuelle a été liée au chromosome X ou à la transmission autosomique récessive. D’un autre côté, plusieurs études récentes suggèrent que des mutations de novo dans des gènes à transmission autosomique dominante, requis dans les processus de la plasticité synaptique peuvent être à la source d’une importante fraction des cas de déficience intellectuelle non syndromique. Par des techniques permettant la capture de l’exome et le séquençage de l’ADN génomique, notre laboratoire a précédemment reporté les premières mutations pathogéniques dans le gène à transmission autosomique dominante SYNGAP1. Ces dernières ont été associées à des troubles comportementaux tels que la déficience intellectuelle, l’inattention, des problèmes d’humeur, d’impulsivité et d’agressions physiques. D’autres patients sont diagnostiqués avec des troubles autistiques et/ou des formes particulières d’épilepsie généralisée. Chez la souris, le knock-out constitutif de Syngap1 (souris Syngap1+/-) résulte en des déficits comme l’hyperactivité locomotrice, une réduction du comportement associée à l’anxiété, une augmentation du réflexe de sursaut, une propension à l’isolation, des problèmes dans le conditionnement à la peur, des troubles dans les mémoires de travail, de référence et social. Ainsi, la souris Syngap1+/- représente un modèle approprié pour l’étude des effets délétères causés par l’haploinsuffisance de SYNGAP1 sur le développement de circuits neuronaux. D’autre part, il est de première importance de statuer si les mutations humaines aboutissent à l’haploinsuffisance de la protéine. SYNGAP1 encode pour une protéine à activité GTPase pour Ras. Son haploinsuffisance entraîne l’augmentation des niveaux d’activité de Ras, de phosphorylation de ERK, cause une morphogenèse anormale des épines dendritiques et un excès dans la concentration des récepteurs AMPA à la membrane postsynaptique des neurones excitateurs. Plusieurs études suggèrent que l’augmentation précoce de l’insertion des récepteurs AMPA au sein des synapses glutamatergiques contribue à certains phénotypes observés chez la souris Syngap1+/-. En revanche, les conséquences de l’haploinsuffisance de SYNGAP1 sur les circuits neuronaux GABAergiques restent inconnues. Les enjeux de mon projet de PhD sont: 1) d’identifier l’impact de mutations humaines dans la fonction de SYNGAP1; 2) de déterminer si SYNGAP1 contribue au développement et à la fonction des circuits GABAergiques; 3) de révéler comment l’haploinsuffisance de Syngap1 restreinte aux circuits GABAergiques affecte le comportement et la cognition. Nous avons publié les premières mutations humaines de type faux-sens dans le gène SYNGAP1 (c.1084T>C [p.W362R]; c.1685C>T [p.P562L]) ainsi que deux nouvelles mutations tronquantes (c.2212_2213del [p.S738X]; c.283dupC [p.H95PfsX5]). Ces dernières sont toutes de novo à l’exception de c.283dupC, héritée d’un père mosaïque pour la même mutation. Dans cette étude, nous avons confirmé que les patients pourvus de mutations dans SYNGAP1 présentent, entre autre, des phénotypes associés à des troubles comportementaux relatifs à la déficience intellectuelle. En culture organotypique, la transfection biolistique de l’ADNc de Syngap1 wild-type dans des cellules pyramidales corticales réduit significativement les niveaux de pERK, en fonction de l’activité neuronale. Au contraire les constructions plasmidiques exprimant les mutations W362R, P562L, ou celle précédemment répertoriée R579X, n’engendre aucun effet significatif sur les niveaux de pERK. Ces résultats suggèrent que ces mutations faux-sens et tronquante résultent en la perte de la fonction de SYNGAP1 ayant fort probablement pour conséquences d’affecter la régulation du développement cérébral. Plusieurs études publiées suggèrent que les déficits cognitifs associés à l’haploinsuffisance de SYNGAP1 peuvent émerger d’altérations dans le développement des neurones excitateurs glutamatergiques. Toutefois, si, et auquel cas, de quelle manière ces mutations affectent le développement des interneurones GABAergiques résultant en un déséquilibre entre l’excitation et l’inhibition et aux déficits cognitifs restent sujet de controverses. Par conséquent, nous avons examiné la contribution de Syngap1 dans le développement des circuits GABAergiques. A cette fin, nous avons généré une souris mutante knockout conditionnelle dans laquelle un allèle de Syngap1 est spécifiquement excisé dans les interneurones GABAergiques issus de l’éminence ganglionnaire médiale (souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+). En culture organotypique, nous avons démontré que la réduction de Syngap1 restreinte aux interneurones inhibiteurs résulte en des altérations au niveau de leur arborisation axonale et dans leur densité synaptique. De plus, réalisés sur des coupes de cerveau de souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+, les enregistrements des courants inhibiteurs postsynaptiques miniatures (mIPSC) ou encore de ceux évoqués au moyen de l’optogénétique (oIPSC) dévoilent une réduction significative de la neurotransmission inhibitrice corticale. Enfin, nous avons comparé les performances de souris jeunes adultes Syngap1+/-, Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+ à celles de leurs congénères contrôles dans une batterie de tests comportementaux. À l’inverse des souris Syngap1+/-, les souris Tg(Nkx2.1-Cre);Syngap1flox/+ ne présentent pas d’hyperactivité locomotrice, ni de comportement associé à l’anxiété. Cependant, elles démontrent des déficits similaires dans la mémoire de travail et de reconnaissance sociale, suggérant que l’haploinsuffisance de Syngap1 restreinte aux interneurones GABAergiques dérivés de l’éminence ganglionnaire médiale récapitule en partie certains des phénotypes cognitifs observés chez la souris Syngap1+/-. Mes travaux de PhD établissent pour la première fois que les mutations humaines dans le gène SYNGAP1 associés à la déficience intellectuelle causent la perte de fonction de la protéine. Mes études dévoilent, également pour la première fois, l’influence significative de ce gène dans la régulation du développement et de la fonction des interneurones. D’admettre l’atteinte des cellules GABAergiques illustre plus réalistement la complexité de la déficience intellectuelle non syndromique causée par l’haploinsuffisance de SYNGAP1. Ainsi, seule une compréhension raffinée de cette condition neurodéveloppementale pourra mener à une approche thérapeutique adéquate.
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Ce mémoire présente les résultats d’une synthèse systématique (SS) des écrits traitant des instruments d’évaluation multidimensionnelle des troubles concomitants qui peuvent être présentés par les adolescent(e)s. La SS a permis d’identifier 11 instruments en mesure d’évaluer les troubles comorbides de l’Axe I du DSM-IV, incluant chaque fois les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS). Une fois les instruments répertoriés, une seconde recherche fut effectuée afin identifier les études les ayant mis à l’épreuve du point de vue de leur validité et de leur fidélité diagnostique : 57 études furent identifiées. La robustesse méthodologique de ces études fut analysée à l’aide de la grille du QUADAS-2 et 47 études furent retenues pour l’échantillon final. Les résultats sont présentés par diagnostics (troubles liés à l’utilisation des substances (TUS) (obligatoire), trouble d’anxiété généralisée (TAG), épisode dépressif majeur (ÉDM), troubles des conduites (TC), trouble du déficit de l’attention /hyperactivité (TDA/H), état de stress post-traumatique (ÉSPT) et par instrument retenu. Suite à l’analyse des données recueillies, il s’avère difficile de comparer les instruments les uns aux autres, étant donnée la très grande diversité des échelles qu’ils contiennent, ainsi que les devis fort différents des études qui les ont mis à l’épreuve. Par contre, deux instruments se distinguent par la robustesse méthodologique des études à leur sujet, ainsi que leur excellente performance globale. Il s’agit du ChIPS et du K-SADS.
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Ce mémoire présente les résultats d’une synthèse systématique (SS) des écrits traitant des instruments d’évaluation multidimensionnelle des troubles concomitants qui peuvent être présentés par les adolescent(e)s. La SS a permis d’identifier 11 instruments en mesure d’évaluer les troubles comorbides de l’Axe I du DSM-IV, incluant chaque fois les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS). Une fois les instruments répertoriés, une seconde recherche fut effectuée afin identifier les études les ayant mis à l’épreuve du point de vue de leur validité et de leur fidélité diagnostique : 57 études furent identifiées. La robustesse méthodologique de ces études fut analysée à l’aide de la grille du QUADAS-2 et 47 études furent retenues pour l’échantillon final. Les résultats sont présentés par diagnostics (troubles liés à l’utilisation des substances (TUS) (obligatoire), trouble d’anxiété généralisée (TAG), épisode dépressif majeur (ÉDM), troubles des conduites (TC), trouble du déficit de l’attention /hyperactivité (TDA/H), état de stress post-traumatique (ÉSPT) et par instrument retenu. Suite à l’analyse des données recueillies, il s’avère difficile de comparer les instruments les uns aux autres, étant donnée la très grande diversité des échelles qu’ils contiennent, ainsi que les devis fort différents des études qui les ont mis à l’épreuve. Par contre, deux instruments se distinguent par la robustesse méthodologique des études à leur sujet, ainsi que leur excellente performance globale. Il s’agit du ChIPS et du K-SADS.
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Australian research in psychiatric genetics covers molecular genetic studies of depression, anxiety, alcohol dependence, Alzheimer's disease, bipolar disorder, schizophrenia, autism, and attention deficit hyperactivity disorder. For each disorder, a variety of clinical cohorts have been recruited including affected sib pair families, trios, case/controls, and twins from a large population-based twin registry. These studies are taking place both independently and in collaboration with international groups. Microarray studies now complement DNA investigations, while animal models are in development An Australian government genome facility provides a high throughput genotyping and mutation detection service to the Australian scientific community, enhancing the contribution of Australian psychiatric genetics groups to gene discovery. (C) 2003 Lippincott Williams Wilkins.
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The use of botulinum neurotoxins for the treatment of muscle hyperactivity and spasticity disorders has been remarkably successful, owing to the abilities of the toxins to elicit prolonged localized paralysis and the rarity of serious adverse effects. However, botulinum toxins are the most deadly protein toxins known, and existing antidotes possess limited effectiveness. Paradoxically, in situ, the intoxicated motoneuron does not die. It reacts by emanating a sprouting network known to implement new functional synapses, leading to resumption of neurotransmission. Recent studies have highlighted ways of accelerating this natural recovery process to overcome paralysis successfully. Developing new therapeutic strategies and treatments for botulism will require more research into the molecular understanding of this 'naturally occurring' recovery process.
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Hyperactivity of the sympathetic and noradrenergic systems is thought to be a feature of post-traumatic stress disorder (PTSD). Assessment of noradrenergic receptor function can be undertaken by measuring the growth hormone (GH) response to the alpha(2)-agonist clonidine. The aim of this study was to examine whether subjects with combat-related PTSD (with or without co-morbid depression) have a blunted growth hormone response to clonidine, compared to a combat-exposed control group. Twenty-three Vietnam veterans suffering from PTSD alone, 27 suffering from PTSD and co-morbid depression, and 32 veteran controls with no psychiatric illness were administered 1.5 mug/kg clonidine i.v. Plasma growth hormone was measured every 20 min for 120 min. The growth hormone response to clonidine was significantly blunted in the non-depressed PTSD group compared to both the depressed PTSD group and the control group as measured by peak growth hormone, delta growth hormone and AUC growth hormone. Subjects with PTSD and no co-morbid depressive illness show a blunted growth hormone response to clonidine. This suggests that post-synaptic alpha(2)-receptors are subsensitive. This finding is consistent with other studies showing increased noradrenergic activity in PTSD. (C) 2003 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The hypothesis to be tested in this study was that the cognitive deficits that have been documented in patients with Borderline Personality Disorder (BPD) are largely the consequence of organic insult, either developmental or acquired. Using a cross-sectional design, 80 subjects (males and females) who met the criteria for BPD participated in the study. They completed a battery of neuropsychological tests and a comprehensive interview assessing organic status as well as measures of the potentially confounding factors of current levels of depression and anxiety. It was expected that BPD-patients with a probable history of organic insult would perform significantly worse than would BPD patients without such a history. Analyses of the results provided partial support for the hypothesis. Subjects with both BPD and a history of organic insult were significantly more impaired on several measures including measures of attention than were BPD only subjects. The results suggested that the impaired cognitive performance of persons diagnosed with BPD may, in part, be attributed to organic factors.
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Attention deficit/hyperactivity disorder (ADHD) has long been described in children who demonstrate developmentally inappropriate symptoms of inattention, impulsivity and motor restlessness. In adults, symptoms are known to persist and the validity of adult ADHD as an entity is now recognized. There is an associated high proportion of other serious psychiatric comorbidities, especially substance abuse, mood and anxiety disorders. Advances have been made into the aetiology and management of ADHD. Many of these focus on the dopamine and noradrenaline pathways.
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Background. Children of alcoholics are significantly more likely to experience high-risk environmental exposures, including prenatal substance exposure, and are more likely to exhibit externalizing problems [e.g. attention deficit hyperactivity disorder (ADHD)]. While there is evidence that genetic influences and prenatal nicotine and/or alcohol exposure play separate roles in determining risk of ADHD, little has been done on determining the joint roles that genetic risk associated with maternal alcohol use disorder (AUD) and prenatal risk factors play in determining risk of ADHD. Method. Using a children-of-twins design, diagnostic telephone interview data from high-risk families (female monozygotic and dizygotic twins concordant or discordant for AUD as parents) and control families targeted from a large Australian twin cohort were analyzed using logistic regression models. Results. Offspring of twins with a history of AUD, as well as offspring of non-AUD monozygotic twins whose co-twin had AUD, were significantly more likely to exhibit ADHD than offspring of controls. This pattern is consistent with a genetic explanation for the association between maternal AUD and increased offspring risk of ADHD. Adjustment for prenatal smoking, which remained significantly predictive, did not remove the significant genetic association between maternal AUD and offspring ADHD. Conclusions. While maternal smoking during pregnancy probably contributes to the association between maternal AUD and offspring ADHD risk, the evidence for a significant genetic correlation suggests: (i) pleiotropic genetic effects, with some genes that influence risk of AUD also influencing vulnerability to ADHD; or (ii) ADHD is a direct risk-factor for AUD.
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Systemic lupus erythematosus (SLE) is characterised by the production of autoantibodies against ubiquitous antigens, especially nuclear components. Evidence makes it clear that the development of these autoantibodies is an antigen-driven process and that immune complexes involving DNA-containing antigens play a key role in the disease process. In rodents, DNase I is the major endonuclease present in saliva, urine and plasma, where it catalyses the hydrolysis of DNA, and impaired DNase function has been implicated in the pathogenesis of SLE. In this study we have evaluated the effects of transgenic overexpression of murine DNase I endonucleases in vivo in a mouse model of lupus. We generated transgenic mice having T-cells that express either wild-type DNase I (wt. DNase I) or a mutant DNase I ( ash. DNase I), engineered for three new properties - resistance to inhibition by G-actin, resistance to inhibition by physiological saline and hyperactivity compared to wild type. By crossing these transgenic mice with a murine strain that develops SLE we found that, compared to control nontransgenic littermates or wt. DNase I transgenic mice, the ash. DNase I mutant provided significant protection from the development of anti-single-stranded DNA and anti-histone antibodies, but not of renal disease. In summary, this is the first study in vivo to directly test the effects of long-term increased expression of DNase I on the development of SLE. Our results are in line with previous reports on the possible clinical benefits of recombinant DNase I treatment in SLE, and extend them further to the use of engineered DNase I variants with increased activity and resistance to physiological inhibitors.