486 resultados para Frenetomia lingual


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Objetivos: Revisar de manera sistemática el schwannoma localizado en el suelo oral. Presentar un caso tratado en nuestro departamento. Material y método: Mediante la utilización de motores de búsqueda se identificaron artículos sobre schwannoma localizado en el suelo oral. Los criterios de inclusión fueron: a) diagnóstico definitivo de schwannoma localizado en el suelo oral; b) casos publicados en inglés, español o alemán. Se analizaron variables relacionadas con las características clínicas, diagnósticas y de tratamiento. Resultados: Se identificaron 19 artículos que cumplían los criterios de inclusión. Edad media: 44,3 años (rango 17-77); 42,1 % mujeres y 57,8 % hombres; tiempo de evolución de 8,7 meses (rango 1-60); tumoración localizada en el lado izquierdo del suelo oral 52,6 %, en el lado derecho 42,1 %; diámetro mayor medio 38,3 mm (rango 10-70); afectación del nervio hipogloso 15,7 %, nervio lingual 15,7 %, nervio milohioideo 5,2 %, no se identificó nervio de origen en el 21,1 % de los casos; punción aspiración con aguja fina no diagnóstica en el 31,5 % e identificación de tumoración benigna en el 21 %. La exéresis quirúrgica se realizó en el 100 % de los casos con un tiempo de seguimiento de 34,3 meses (rango 1-120). No se documentaron recurrencias. Conclusiones: Los schwannomas localizados en el suelo de la boca son infrecuentes. Se presentan en torno a los 40 años, con leve predominancia por el sexo masculino y del lado izquierdo del suelo oral. El tiempo de evolución se encuentra próximo a los 9 meses. Usualmente asintomático. Los nervios hipogloso y lingual se afectan por igual. En proporción similar, el nervio de origen no puede ser identificado. La punción aspiración con aguja fina no es efectiva. El tratamiento de elección consiste en la enucleación del tumor una vez diagnosticado. No se documentaron recidivas.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

L'hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT, ectopie dans plus de 80 %) a une prévalence de 1 cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT est la conséquence d'une défaillance de la thyroïde embryonnaire à se différencier, à se maintenir ou à migrer vers sa localisation anatomique (partie antérieure du cou), qui aboutit à une absence totale de la thyroïde (athyréose) ou à une ectopie thyroïdienne (linguale ou sublinguale). Les HCDT sont principalement non-syndromiques (soit 98% des cas sont non-familiale), ont un taux de discordance de 92% chez les jumeaux monozygotes, et ont une prédominance féminine et ethnique (i.e., Caucasienne). La majorité des cas d’HCDT n’a pas de cause connue, mais est associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdie). Des mutations germinales dans les facteurs de transcription liés à la thyroïde (NKX2.1, FOXE1, PAX8, NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des patients atteints d’HCDT sporadiques et l’analyse de liaisons exclue ces gènes dans les rares familles multiplex avec HCDT. Nous supposons que le manque de transmission familiale claire d’HCDT peut résulter de la nécessité d’au moins deux « hits » génétiques différents dans des gènes importants pour le développement thyroïdien. Pour répondre au mieux nos questions de recherche, nous avons utilisé deux approches différentes: 1) une approche gène candidat, FOXE1, seul gène impliqué dans l’ectopie dans le modèle murin et 2) une approche en utilisant les techniques de séquençage de nouvelle génération (NGS) afin de trouver des variants génétiques pouvant expliquer cette pathologie au sein d’une cohorte de patients avec HCDT. Pour la première approche, une étude cas-contrôles a été réalisée sur le promoteur de FOXE1. Il a récemment été découvert qu’une région du promoteur de FOXE1 est différentiellement méthylée au niveau de deux dinucléotides CpG consécutifs, définissant une zone cruciale de contrôle de l’expression de FOXE1. L’analyse d’association basée sur les haplotypes a révélé qu’un haplotype (Hap1: ACCCCCCdel1C) est associé avec le HCDT chez les Caucasiens (p = 5x10-03). Une réduction significative de l’activité luciférase est observée pour Hap1 (réduction de 68%, p<0.001) comparé au promoteur WT de FOXE1. Une réduction de 50% de l’expression de FOXE1 dans une lignée de cellules thyroïdienne humaine est suffisante pour réduire significativement la migration cellulaire (réduction de 55%, p<0.05). Un autre haplotype (Hap2: ACCCCCCC) est observé moins fréquemment chez les Afro-Américain comparés aux Caucasiens (p = 1.7x10-03) et Hap2 diminue l’activité luciférase (réduction de 26%, p<0.001). Deux haplotypes distincts sont trouvés fréquemment dans les contrôles Africains (Black-African descents). Le premier haplotype (Hap3: GTCCCAAC) est fréquent (30.2%) chez les contrôles Afro-Américains comparés aux contrôles Caucasiens (6.3%; p = 2.59 x 10-9) tandis que le second haplotype (Hap4: GTCCGCAC) est trouvé exclusivement chez les contrôles Afro-Américains (9.4%) et est absent chez les contrôles Caucasiens (P = 2.59 x 10-6). Pour la deuxième approche, le séquençage de l’exome de l’ADN leucocytaire entre les jumeaux MZ discordants n’a révélé aucune différence. D'où l'intérêt du projet de séquençage de l’ADN et l’ARN de thyroïdes ectopiques et orthotopiques dans lesquelles de l'expression monoallélique aléatoire dans a été observée, ce qui pourrait expliquer comment une mutation monoallélique peut avoir des conséquences pathogéniques. Finalement, le séquençage de l’exome d’une cohorte de 36 cas atteints d’HCDT a permis d’identifier de nouveaux variants probablement pathogéniques dans les gènes récurrents RYR3, SSPO, IKBKE et TNXB. Ces quatre gènes sont impliqués dans l’adhésion focale (jouant un rôle dans la migration cellulaire), suggérant un rôle direct dans les défauts de migration de la thyroïde. Les essais de migration montrent une forte diminution (au moins 60% à 5h) de la migration des cellules thyroïdiennes infectées par shRNA comparés au shCtrl dans 2 de ces gènes. Des zebrafish KO (-/- et +/-) pour ces nouveaux gènes seront réalisés afin d’évaluer leur impact sur l’embryologie de la thyroïde.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Aim: To investigate the healing process following use of collagen sponges in the dental socket after extraction. Wound complications during the study were also evaluated. Methods: 32 cats were included in this study. IV administration of the combination of diazepam (0.22 mg/kg) and ketamine (10 mg/kg) was used to induce general anesthesia. Surgical extraction of both 3rd mandibular premolars was performed. The open dental sockets were divided in two groups. In Group A, the open dental socket on the left side was closed using 4-0 Monocryl in simple interrupted pattern. In Group B, the right dental socket was filled with lyophilized hydrolyzed collagen and the buccal and lingual flaps were sutured using 4-0 Monocryl and simple interrupted pattern. Meloxicam (0.2 mg/kg) was used to manage the post-extraction pain in all cats. Ampicilline 20 mg/kg was used as prophylaxis. The wounds were observed during the study to evaluate any signs of inflammation or dehiscence. Radiographs were taken to compare healing of the socket 3 weeks after the procedure. A 1 mm biopsy punch sample was taken from sockets in all cats for comparison of the healing in both groups. Results: Hemorrhage occurred only in the sockets of Group A. Remission of radiolucent area occurred in both groups. Mean score of inflammation was lower and mean scores of fibrotic reaction and fibroplasia were higher in Group B (p<0.05). Conclusions: Use of hemosponge in alveolar socket may accelerate fibroplasia and formation of the connective tissue and reduce inflammation after tooth extraction. Therefore, post-extraction use of the hemostatic agent in the dental socket is recommended.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Aim: To investigate the existence of sexual dimorphism between the first and second permanent molars. Methods: A cross-sectional, observational, blind study using comparative and statistical descriptive procedures. The sample included 50 pairs of plaster casts from undergraduate dental students (25 men/25 women) from the Federal University of Paraíba, João Pessoa/PB, Brazil, aged 20-26 years. Odontometric measurements of first and second maxillary/mandibular, right/left permanent molars were performed. Mesiodistal (MD) and buccolingual/palatal (BL/BP) widths and the distance between the lingual cusps of corresponding molars in opposite quadrants, were measured. The data were analyzed by Student’s t test and ANOVA with Bonferroni (p≤0.05). Results: The crowns of all first molars were statistically larger in men than in women (p<0.05). Maxillary and mandibular left second molars (#27 and #37) did not differ in their MD widths (p=0.66, p=0.75), whereas mandibular left and right second molars (#37 and #47) showed statistically different BL widths (p=0.007 and p=0.008). As to the distance between the lingual cusps, only the first left-to-right mandibular molars (#36-46) showed no sex dimorphism (p=0.107). Conclusions: Molars are larger in males than in females. Individually, first molars demonstrated higher evidence of sex distinction than second molars.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Aim: To assess the effect of adding zinc oxide nanoparticles to dental adhesives on their anti-microbial and bond strength properties. Methods: 45 human premolars were cut at the cement enamel junction (CEJ) and the crowns were sliced into buccal and lingual halves. The specimens were classified into three groups, etched with 37% phosphoric acid for 15 s and rinsed for 30 s. Single Bond, Single Bond+5% zinc oxide and Single Bond+10% zinc oxide were used in the first, second and third groups. A cylinder of Z250 composite was bonded and cured for 40 s. For anti-bacterial testing, 10 samples of each group were assessed by direct contact test; 10 μL of bacterial suspension was transferred into tubes containing adhesives and incubated for one hour; 300 μL of brain heart infusion (BHI) broth was added to each tube and after 12 h, 50 μL of bacteria and broth were spread on blood agar plates and incubated for 24 h. Results: The colony count decreased significantly in the second and third groups compared to the first. Conclusions: Incorporation of zinc oxide nanoparticles into dental adhesives increases their anti-microbial properties without affecting their bond strength.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

En el mercado existen varios sistemas de tratamiento en ortodoncia, los cuales deben ser estudiados para evitar que causen alteraciones en el periodonto, especialmente en los procesos alveolares corticales, por lo que el objetivo de este estudio fue conocer los cambios óseos alveolares, sean reabsorciones, aposiciones o ningún cambio óseo. Para realizar el estudio, se tomó como muestra tres sistemas de tratamiento: Sistema de Autoligado Damon, Sistema Biofuncional QR y Sistemas Convencionales Roth y MBT, estos brackets se aplicaron en 18 pacientes (seis de cada sistema), los cuales fueron sometidos a una tomografía antes del tratamiento y otra después de finalizada la etapa de alineación y nivelación. En los estudios tomográficos se realizaron trazados para medir en milímetros las corticales alveolares vestibulares, palatina y lingual, de los seis dientes anteriores superiores e inferiores, siendo la muestra total de 216 dientes. Para obtener los resultados del estudio, se ingresaron los datos recolectados en una hoja de cálculo Excel y procesados estadísticamente mediante el software SPSS versión 22, con las pruebas ANOVA y Tukey, obteniendo como resultados en el promedio de reabsorción ósea total p= 0,05 y con el Sistema Biofuncional QR una significancia de p= 0,025, en este último se demostró la presencia de aposición en la cortical lingual mandibular. Se concluyó que todos los sistemas de tratamiento causan reabsorciones óseas, siendo el Sistema Damon el de mayor reabsorción, seguido del Sistema convencional y luego el Sistema Biofuncional QR, produciendo este último una aposición estadísticamente significante. En los dientes anterosuperiores no existieron cambios óseos significativos y en los dientes anteroinferiores las mayores reabsorciones fueron en las piezas 42 y 32 y aposición en la pieza 41