993 resultados para ELF “English as a Lingua Franca” “riviste scientifiche” “lingua franca” “World Englishes”


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Paul Latimer, Associate Professor, Department of Business Law and Taxation. Faculty of Business and Economics, Monash University. Présentation dans le cadre du cycle de conférences organisé par le CRDP intitulé « Le droit à la sécurité ... la sécurité par le droit ».

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Dès sa création en 1966, lâERAP sâest fixé pour but dâaccroître la production du pétrole « franc », en diversifiant ses sources dâapprovisionnement. Un tel objectif prend une tournure cruciale dès lors que les rapports tendus entre le groupe français et les autorités algériennes semblent menacer ses acquis dans le Sahara. Toutefois, se tailler une place sur le marché mondial semble à cette époque une tâche ardue, voire improbable, puisque les espaces les plus pétrolifères sont déjà occupés par les grandes sociétés, dites Majors. Néanmoins, la société dâÃtat française réussit à sâimplanter dans plusieurs pays producteurs, dont lâIrak en 1968, jusquâalors considéré comme la chasse gardée de la Compagnie française des pétroles (CFP). Aussi, lâexpérience irakienne, suite à lâinsuccès en Algérie, incite Elf ERAP à se concentrer dans les pays pétroliers de lâAfrique subsaharienne et en Mer du Nord. Le 3 février 1968, Elf ERAP signe un accord avec la compagnie dâÃtat pétrolière, INOC, pour se charger de la prospection et de lâexploitation dâune partie du territoire confisqué par lâÃtat irakien à la puissante Iraq Petroleum Company (IPC). En contrepartie de ses apports financiers et techniques, Elf ERAP sera rémunérée par un approvisionnement garanti en pétrole irakien : il sâagit dâun nouveau genre de partenariat, dit « contrat dâagence ». Ce dernier succède au système classique des concessions et vaut à la société dâÃtat un franc succès dans son projet de pénétration au Moyen Orient. Très vite, les prospections donnent lieu à la découverte de gisements. La production démarre en 1976 et sâélève à 5 millions de tonnes en 1977. Dès lors, Elf ERAP, devenue la SNEA, peut envisager avec optimisme son avenir énergétique, puisque sa sécurité dâapprovisionnement est, en partie, assurée par le marché irakien. Mais, contre toute attente, le groupe dâÃtat français se retire de lâaffaire en mai 1977, laissant place à lâINOC, qui prend en charge le projet deux ans avant la date prévue par le contrat initial de 1968. Ce sujet de recherche consiste à éclaircir le rôle dâopérateur joué par lâERAP en Irak, entre 1968 et 1977. Pour tenter dâexpliquer le départ prématuré dâElf Irak, il nous faut identifier les facteurs endogènes et exogènes qui ont pu motiver une telle décision. Autrement dit, la société dâÃtat aurait-elle subi les revers de ses propres choix énergétiques ou un tel dénouement serait-il imputable à la politique pétrolière irakienne? Quelles sont les implications de la conjoncture pétrolière internationale dans le cas dâun tel retrait? Aidée des archives historiques dâElf et de TOTAL, nous sommes arrivée à la conclusion que la compression du marché pétrolier, entre distributeurs et producteurs, au cours des années 1970, a considérablement nui à la rentabilité des contrats intermédiaires du type agence.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Au cours des dernières années, les pratiques de lâévaluation comme aide à lâapprentissage (câest-à-dire lâauto-évaluation, lâévaluation par les pairs, la rétroaction) dans la salle de classe ont été de plus en plus considérées comme des éléments essentiels (Black & Wiliam, 1998; Harlen & Winter, 2004; van de Watering & van der Rijt, 2006). Cependant, dans le domaine de lâapprentissage dâune langue seconde la recherche sur ce sujet est plutôt limitée. En nous fondant sur les études de Colby-Kelly et Turner (2007) et de Lyster et Ranta (1997), nous avons mené une recherche exploratoire visant à combler ce besoin. Lâobjectif général était de comprendre comment lâévaluation formative se réalise dans deux cours dâanglais intermédiaire à lâUniversité de Montréal, et de comparer comment ces pratiques sont perçues et vécues par la professeure et ses étudiants. Trois questions de recherche étaient posées: 1. Quelle est la nature de lâévaluation formative dans une salle de classe dâanglais langue seconde? 2. Est-ce que les pratiques de la professeure reflètent ce quâelle pense de lâévaluation formative? 3. Quels sont les correspondances et différences entre les croyances de la professeure et les perceptions de ses étudiants quant aux bénéfices de lâévaluation formative pour lâapprentissage de lâanglais langue seconde? La collecte de données comprend des observations en classe, des entrevues auprès de la professeure et des questionnaires pour les étudiants. Pour répondre à notre première question de recherche, nous avons analysé la rétroaction donnée par la professeure pendant une production orale réalisée par ses étudiants à partir de la typologie de feedback et de uptake de lâétude de Lyster et Ranta (1997). En ce qui a trait à la deuxième question de recherche, nous avons fait des entrevues avec la professeure en vue dâexpliciter ses perceptions relativement à lâévaluation formative. à la fin du trimestre, nous avons comparé ses réponses avec sa pratique à partir des enregistrements vidéo produits en classe. Finalement, pour répondre à notre dernière question de recherche nous avons comparé les réponses données par la professeure aux entrevues avec les réponses des étudiants à un questionnaire adapté à partir de celui de Colby-Kelly et Turner. Finalement, nous présentons et discutons les résultats les plus significatifs obtenus dans cette étude qualitative Nous concluons cette thèse en proposant de avenues pour des recherches futures.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal