683 resultados para Coleoptera


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Investigations of 2-alkyl-3-methoxypyrazines (2-isopropyl-3-methoxypyra2ine, 2- secbutyl-3-methoxypyrazine and 2-isobutyl-3-niethoxypyrazine) in ladybug species {Coleoptera: Coccinellidae) and wine samples have been conducted. Headspace sampling coupled with gas chromatography-mass spectrometry was used to determine amounts of 2-alkyl-3-methoxypyra2ines in the ladybug species. Hippodamia convergens had the highest amount of alkybnethoxypyrazines, followed by Harmoma axyridis and the least in Coccinella septempunctata. Using a solvent extraction method, the precoccinelline alkaloid was found present in Hippodamia convergens and Coccinella septempunctata but not Harmonia axyridis. Steam distillation followed by a soHd phase extraction method as a sample preparation technique, enhanced detection while the isotope dilution method afforded accurate quantitation of the alkyknethoxypyrazines in the wine samples. Both ladybug-tainted and commercial wine samples were found to contain the 2- alkyl-3-methoxypyrazines. Wine samples prepared in 2001 generally contained higher levels than the corresponding 2003 samples. Levels of the 2-alkyl-3-methoxypyrazines found in the commercial wines ranged from a minimum value of 6 ng/L to 260 ±10 ng/L. Analyses revealed that for both ladybug species and wine samples, the 2- isopropyl-3-methoxypyrazine had the highest concentration, followed by 2-isobutyl- 3-methoxypyrazine and the least being the 2-secbutyl-3-methoxypyrazine. Possible contamination of the wine samples by ladybugs is thoroughly discussed. Furthermore, attempts to remove or reduce the levels of the alkylmethoxypyrazines with molecularly imprinted polymers from wine samples are presented in detail.

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Cette étude vise à comparer l’histoire évolutive des parasitoïdes du genre Horismenus (Hymenoptera: Eulophidae) à celle de leurs hôtes bruches (Coleoptera: Bruchidae) et plante hôte (Phaseolus vulgaris L.) cultivée dans le contexte d’agriculture traditionnelle, au sein de son centre de domestication Mésoaméricain. Nous avons analysé la structure génétique de 23 populations de quatre espèces de parasitoïdes au Mexique, en utilisant un fragment du gène mitochondrial COI afin de les comparer aux structures précédemment publiées des hôtes bruches et du haricot commun. Nous avons prédit que les structures génétiques des populations d’hôtes (bruches et plante) et de parasitoïdes seraient similaires puisque également influencées par la migration entremise par l’humain (HMM) étant donnée que les parasitoïdes se développent telles que les bruches à l’intérieur des haricots. Compte tenu des stratégies de manipulation reproductive utilisées par l’alpha-protéobactérie endosymbionte Wolbachia spp. pour assurer sa transmission, la structure génétique des populations de parasitoïdes inférée à partir du génome mitochondrial devrait être altérée conséquemment à la transmission conjointe des mitochondries et des bactéries lors de la propagation de l’infection dans les populations de parasitoïdes. Les populations du parasitoïde H. missouriensis sont infectées par Wolbachia spp. Tel que prédit, ces populations ne sont pas différenciées (FST = 0,06), ce qui nous empêche d’inférer sur une histoire évolutive parallèle. Contrairement aux bruches, Acanthoscelides obtectus et A. ovelatus, la HMM n'est pas un processus contemporain qui influence la structure génétique des populations du parasitoïde H. depressus, étant donné la forte différenciation (FST = 0,34) qui existe entre ses populations. La structure génétique observée chez H. depressus est similaire à celle de sa plante hôte (i.e. dispersion aléatoire historique à partir d'un pool génique ancestral très diversifié) et est probablement le résultat d’un flux génique important en provenance des populations de parasitoïdes associées aux haricots spontanées à proximité des champs cultivés. L’étude de l’histoire évolutive intégrant plusieurs niveaux trophiques s’est avérée fructueuse dans la détection des différentes réponses évolutives entre les membres du module trophique face aux interactions humaines et parasitaires, et montre la pertinence d’analyser les systèmes écologiques dans leur ensemble.

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Le criocère du lis, Lilioceris lilii (Coleoptera : Chrysomelidae), un ravageur de lis et de fritillaires d’origine eurasienne, a été observé pour la première fois en Amérique du Nord en 1943 sur l’Ile de Montréal au Canada. Après y avoir été confiné pendant environ 25 années, ce coléoptère a par la suite progressé rapidement sur le territoire nord-américain. Actuellement, on l’observe dans huit provinces canadiennes et huit états américains. Cette étude a investigué les routes d’invasion utilisées par le criocère du lis au Canada et aux États- Unis avec l’aide de marqueurs génétiques AFLP. Pour ce faire, 516 individus parmi 34 sites en Amérique du Nord et en Europe ont été échantillonnés et analysés. Le premier objectif était de déterminer, en analysant la structure génétique des populations nord-américains, s’il y avait eu une ou plusieurs introductions en provenance d’Europe. Le deuxième objectif était d’identifier l’origine de la ou des populations introduites en Amérique du Nord. Finalement, le troisième objectif consistait à proposer un scénario d’invasion de L. lilii en Amérique du Nord basé sur les données de première mention et de structure génétique des populations échantillonnées. Les résultats démontrent une signature génétique distincte entre les criocères du lis du Canada et ceux des États-Unis, suggérant ainsi deux sources d’introductions indépendantes en Amérique du Nord, soit une première introduction à Montréal, Québec, dans les années 1940 et une seconde aux États-Unis au début des années 1990 à Cambridge, Massachusetts. De plus, les deux populations nord-américaines semblent provenir de différentes régions du nord de l’Europe, ce qui est conséquent avec le scénario suggérant deux sources d’introductions indépendantes. Chacune des populations aurait par la suite progressé respectivement dans leur pays d’introduction selon une dispersion de type stratifiée. En effet, la progression continue de L. lilii dans certaines régions suggère une dispersion naturelle de l’espèce sur le territoire nord-américain, alors que la progression rapide sur de longues distances semble être causée par le transport anthropique de lis contaminés.

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Im Rahmen der Fallstudie Harz sollte an der Schnittstelle zwischen Grundlagenforschung und angewandter Forschung ein Beitrag zur Klärung der Frage geleistet werden, inwieweit zwei Zuläufe der Sösetalsperre im Westharz versauert bzw. versauerungsgefährdet sind; aus diesem Stausee wird Trinkwasser für mehrere Gemeinden in Norddeutschland gewonnen. Die Belastung des fast vollständig bewaldeten Einzugsgebiets der Sösetalsperre mit luftbürtigen Schadstoffen (Saurer Regen) zählte zu den höchsten in Mitteleuropa. An jeweils drei Untersuchungsstellen der beiden Bäche Alte Riefensbeek (R1 bis R3) und Große Söse (S1 bis S3) wurden zwischen März 1987 und November 1988 Proben aus Moospolstern und dem hyporheischen Interstitial entnommen und physikalisch, chemisch und biologisch untersucht. Ergänzend wurden Wasserproben zwischen März 1986 und Oktober 1991 sowie vom April 1998 ebenso wie qualitative Fänge von Makroinvertebraten zwischen November 1986 und Juli 1990 sowie vom April 1998 ausgewertet. Die Analyse der tierischen Besiedlung der Moos- und Interstitialproben beschränkte sich auf die taxonomischen Gruppen Turbellaria (Strudelwürmer), Mollusca (Weichtiere), Amphipoda (Flohkrebse), Ephemeroptera (Eintagsfliegen), Plecoptera (Steinfliegen), Heteroptera (Wanzen), Megaloptera (Schlammfliegen), Coleoptera (Käfer), Trichoptera (Köcherfliegen) und Diptera (Zweiflügler). Der Grundsatz, daß normalverteilte und nicht normalverteilte Daten statistisch unterschiedlich behandelt werden müssen, wurde konsequent angewandt. Am Beispiel der Choriotopstruktur wurde gezeigt, daß die Auswahl des Analyseverfahrens das Ergebnis der ökologischen Interpretation multivariater statistischer Auswertung beeinflußt. Die Daten der Korngrößen-Verteilung wurden vergleichend einer univariaten und einer multivariaten statistischen Analyse unterworfen. Mit dem univariaten Verfahren wurden die Gradienten der ökologisch relevanten Korngrößen-Parameter eher erkannt als mit dem multivariaten Verfahren. Die Auswirkungen von Gewässerversauerung sowie anderer Umweltfaktoren (insgesamt 42 Faktoren) auf die Lebensgemeinschaften wurden anhand der Parameter Artenzahl, Besiedlungsdichte, Körpergröße und Biomasse untersucht. Abundanz, Biomasse und Körpergröße sowie die Umweltfaktoren wurden auf einem horizontalen Gradienten, d.h. im Längslauf der Bäche, und auf einem vertikalen Gradienten, d.h. fließende Welle / Bryorheon / Benthon versus Hyporheon, untersucht. Es wurde ein terminologisches System für die Kompartimente in der Fließgewässer-Aue vorgeschlagen, das in sich einheitlich ist. Es wurde ein neuer Moos-Vitalitätsindex für die Moospolster vorgestellt. Es wurden Bestimmungsschlüssel für die Larven der Chloroperlidae (Steinfliegen-Familie) und der Empididae (Tanzfliegen) in den beiden Harzbächen entwickelt. Die untersuchten Bachstrecken waren frei von Abwasserbelastung. An zwei Stellen wurde Wasser für einen Forellenteich ausgeleitet. Abgesehen von zwei meterhohen Abstürzen in der Großen Söse waren wasserbauliche Veränderungen ohne große Bedeutung. Das Abfluß-Regime war insofern nicht mehr natürlich, als beide Bäche in das System der bergbaulichen Bewässerungsgräben des Oberharzes eingebunden sind. Die Söse hatte ein F-nivopluviales Abfluß-Regime, der abflußreichste Doppelmonat war der März / April, die Unregelmäßigkeit des Abfluß-Regimes war sehr hoch, die Vorhersagbarkeit sehr niedrig, die monatlichen Abfluß-Maxima wiesen eine sehr geringe Konstanz auf. Der Zeitraum der biologischen Probenahme wurde von überdurchschnittlich vielen Tagen mit mäßig erhöhten Abflüssen geprägt, sehr große Hochwasser-Wellen fehlten aber. Die Abfluß-Dynamik wurde statistisch beschrieben. Das hydraulische Regime wurde anhand der Meßgrößen Fließgeschwindigkeit, Fließkraft und FROUDE-Zahl dargestellt. Der Zusammenhang zwischen Abfluß und Fließgeschwindigkeit auf der einen Seite und der Korngrößen-Verteilung auf der anderen Seite wurde statistisch untersucht, ebenfalls zwischen dem Abfluß und dem Kohlenstoff- und Stickstoff-Gehalt der Feinstpartikel sowie dem Wasserchemismus. In den Phasen ohne Hochwasser hatte das Hyporheal die Funktion einer Senke für Feinstkörner. Das Bachbett der Alten Riefensbeek war stabiler als das der Großen Söse. Insgesamt gesehen war das hyporheische Sediment in den quellnahen Abschnitten grobkörniger und auf den quellfernen Strecken feinkörniger. Der prozentuale Anteil der Feinstkörner im Hyporheal und Benthal nahm aber im Längslauf der Bäche ab. Dies ist ungewöhnlich, konnte aber nicht plausibel mit geologischen und hydrologischen Meßgrößen erklärt werden. Beide Bäche waren sommerkalt. Der Einfluß der Wassertemperatur auf die Larvalentwicklung wurde beispielhaft an den Taxa Baetis spp. und Leuctra gr. inermis untersucht. Es gab eine Tendenz, daß der Kohlenstoff- und Stickstoff-Gehalt der Feinstpartikel vom Benthal in das Hyporheal anstieg. Dies war ein weiterer Hinweis darauf, daß das Hyporheal die Funktion einer Senke und Vorratskammer für Nährstoffe hat. Der Zusammenhang zwischen partikulärer und gelöster Kohlenstoff-Fraktion wurde diskutiert. Im Hyporheon war die Nitrifikation nicht stärker als in der fließenden Welle. Es gab Hinweise, daß die sauren pH-Werte in der Großen Söse die Nitrifikation hemmten. Die Valenzen der Moos- und Tier-Taxa bezüglich Fließgeschwindigkeit, pH-Wert, Alkalinität sowie der Gehalte von Sauerstoff, Calcium, Magnesium, Kalium und Natrium wurden zusammengestellt. Das hyporheische Sediment war sehr grob und hatte eine hohe Porosität. Der Austausch zwischen fließender Welle und hyporheischem Wasser konnte deshalb sehr schnell erfolgen, es gab keine intergranulare Sprungschicht, die physikalischen und chemischen Tiefengradienten waren in den meisten Fällen gar nicht ausgeprägt oder nur sehr flach. Die Wassertemperatur des Freiwassers unterschied sich nicht signifikant von derjenigen im hyporheischen Wasser. Es gab -- von wenigen Ausnahmen bei pH-Wert, Leitfähigkeit und Sauerstoffgehalt abgesehen -- keine signifikanten Unterschiede zwischen dem Wasserchemismus der fließenden Welle und dem des Hyporheals. Die physikalischen und chemischen Voraussetzungen für die Refugialfunktion des Hyporheons waren deshalb für versauerungsempfindliche Taxa nicht gegeben. In der Tiefenverteilung der untersuchten Tiergruppen im Hyporheal lag das Maximum der Abundanz bzw. Biomasse häufiger in 10 cm als in 30 cm Tiefe. Daraus läßt sich aber keine allgemeine Gesetzmäßigkeit ableiten. Es wurde durchgehend die Definition angewendet, daß die Gewässerversauerung durch den Verlust an Pufferkapazität charakterisiert ist. Saure Gewässer können, müssen aber nicht versauert sein; versauerte Gewässer können, müssen aber nicht saures Wasser haben. Maßstab für das Pufferungsvermögen eines Gewässers ist nicht der pH-Wert, sondern sind die Alkalinität und andere chemische Versauerungsparameter. Der pH-Wert war auch operativ nicht als Indikator für Gewässerversauerung anwendbar. Die chemische Qualität des Bachwassers der Großen Söse entsprach aufgrund der Versauerung nicht den umweltrechtlichen Vorgaben bezüglich der Parameter pH-Wert, Aluminium, Eisen und Mangan, bzgl. Zink galt dies nur an S1. In der Alten Riefensbeek genügte das Hyporheal-Wasser in 30 cm Tiefe an R2 bzgl. des Sauerstoff-Gehalts nicht den umweltrechtlichen Anforderungen. Nur im Freiwasser an R1 genügten die Ammonium-Werte den Vorgaben der EG-Fischgewässer-Richtlinie, der Grenzwert wurde an allen anderen Meßstellen und Entnahmetiefen überschritten. Das BSB-Regime in allen Entnahmetiefen an R2, im Freiwasser an R3 und S1, im Hyporheal an R1 sowie in 30 cm Tiefe an R3 genügte nicht den Anforderungen der Fischgewässer-Richtlinie. Der Grenzwert für Gesamt-Phosphor wurde an S3 überschritten. In der Großen Söse war der Aluminium-Gehalt so hoch, daß anorganisches und organisches Aluminium unterschieden werden konnten. Besonders hohe Gehalte an toxischem anorganischen Aluminium wurden an Tagen mit Spitzen-Abflüssen und Versauerungsschüben gemessen. Erst die Ermittlung verschiedener chemischer Versauerungsparameter zeigte, daß auch die alkalischen Probestellen R2 und R3 mindestens versauerungsempfindlich waren. Die Messung bzw. Berechnung von chemischen Versauerungsparametern sollte deshalb zum Routineprogramm bei der Untersuchung von Gewässerversauerung gehören. Zu Beginn des Untersuchungsprogramms war angenommen worden, daß die mittleren und unteren Abschnitte der Alten Riefensbeek unversauert sind. Dieser Ansatz des Untersuchungsprogramms, einen unversauerten Referenzbach (Alte Riefensbeek) mit einem versauerten Bach (Große Söse) zu vergleichen, mußte nach der Berechnung von chemischen Versauerungsindikatoren sowie der Analyse der Abundanz- und Biomasse-Werte modifiziert werden. Es gab einen Versauerungsgradienten entlang der Probestellen: R1 (unversauert) R2 und R3 (versauerungsempfindlich bis episodisch leicht versauert) S2 und S3 (dauerhaft versauert) S1 (dauerhaft stark versauert). An S1 war das Hydrogencarbonat-Puffersystem vollständig, an S2 und S3 zeitweise ausgefallen. Die Versauerungslage an R2 und R3 war also schlechter als vorausgesehen. Unterschiede im Versauerungsgrad zwischen den Meßstellen waren nicht so sehr in unterschiedlichen Eintragsraten von versauernden Stoffen aus der Luft begründet, sondern in unterschiedlichen Grundgesteinen mit unterschiedlichem Puffervermögen. Der Anteil der verschiedenen sauren Anionen an der Versauerung wurde untersucht, die chemischen Versauerungsmechanismen wurden mit Hilfe von Ionenbilanzen und verschiedenen Versauerungsquotienten analysiert. Die beiden untersuchten Bäche waren von anthropogener Versauerung betroffen. Dabei spielte die Schwefel-Deposition (Sulfat) eine größere Rolle als die Stickstoff-Deposition (Nitrat). Die Probestelle S1 war immer schon in unbekanntem Maß natürlich sauer. Dieser natürlich saure Zustand wurde von der hinzugekommenen anthropogenen Versauerung bei weitem überragt. Die wenigen gewässerökologischen Daten, die im Wassereinzugsgebiet der Söse vor 1986 gewonnen wurden, deuten darauf hin, daß die Versauerung in den 70er und in der ersten Hälfte der 80er Jahre vom Boden und Gestein in die Bäche durchgeschlagen war. Dieser Versauerungsprozeß begann vermutlich vor 1973 in den Quellen auf dem Acker-Bruchberg und bewegte sich im Laufe der Jahre immer weiter talwärts in Richtung Trinkwasser-Talsperre. Der Mangel an (historischen) freilandökologischen Grundlagendaten war nicht nur im Untersuchungsgebiet, sondern ist allgemein in der Versauerungsforschung ein Problem. Wenn sich das Vorkommen von nah verwandten Arten (weitgehend) ausschließt, kann dies an der Versauerung liegen, z.B. war die Alte Riefensbeek ein Gammarus-Bach, die Große Söse ein Niphargus-Bach; dieses muß aber nicht an der Versauerung liegen, z.B. fehlte Habroleptoides confusa im Hyporheos an R3, Habrophlebia lauta hatte dagegen ihr Abundanz- und Biomasse-Maximum an R3. Zugleich lag das Maximum des prozentualen Anteils von Grobsand an R3, eine mögliche Ursache für diese interspezifische Konkurrenz. Die biologische Indikation von Gewässerversauerung mit Hilfe der Säurezustandsklassen funktionierte nicht in den beiden Harzbächen. Es wurde deshalb ein biologischer Versauerungsindex vorgeschlagen; dieser wurde nicht am pH-Wert kalibriert, sondern an der chemischen Versauerungslage, gekennzeichnet durch die Alkalinität und andere chemische Meßgrößen der Versauerung. Dafür wurden aufgrund der qualitativen und quantitativen Daten die häufigeren Taxa in die vier Klassen deutlich versauerungsempfindlich, mäßig versauerungsempfindlich, mäßig versauerungstolerant und deutlich versauerungstolerant eingeteilt. Es reicht nicht aus, die biologischen Folgen von Gewässerversauerung sowie Veränderungen in der Nährstoff-Verfügbarkeit und im sonstigen Wasserchemismus nur anhand der Artenzahl oder des Artenspektrums abzuschätzen. Vielmehr müssen quantitative Methoden wie die Ermittlung der Abundanzen angewandt werden, um anthropogene und natürliche Störungen des Ökosystems zu erfassen. Es wurde eine Strategie für die behördliche Gewässergüteüberwachung von Bachoberläufen vorgeschlagen, die flächendeckend die Versauerungsgefährdung erfassen kann. Die Auswirkungen der zeitlichen Dynamik des Versauerungschemismus wurden am Beispiel des versauerungsempfindlichen Taxons Baetis spp. (Eintagsfliegen) dargestellt. An S2 und S3 kam es zu starken Versauerungsschüben. Baetis konnte sich nicht ganzjährig halten, sondern nur in versauerungsarmen Phasen im Sommer und im Herbst; es gab einen Besiedlungskreislauf aus Ausrottungs- und Wiederbesiedlungsphasen. Die temporäre Population von Baetis an S2 und S3 bestand nur aus ersten Larvenstadien. Die Probestellen wurden auf horizontalen Gradienten der Umweltfaktoren angeordnet. Bei einigen Parametern gab es keinen Gradienten (z.B. Sauerstoff-Gehalt), bei anderen Parametern waren die Meßstellen auf sehr flachen Gradienten angeordnet (z.B. C:N-Quotient der Feinstkörner), bei den restlichen Meßgrößen waren die Gradienten sehr deutlich (z.B. Alkalinität). Bei den Längsgradienten von Abundanz und Biomasse waren alle Möglichkeiten vertreten: Zunahme (z.B. Leuctra pseudosignifera), Abnahme (z.B. Gammarus pulex), Maximum an der mittleren Probestelle (z.B. Leuctra pseudocingulata) und kein signifikanter Trend (z.B. Nemoura spp.). Abundanz und Biomasse zahlreicher taxonomischer Einheiten hatten ihr Maximum im Längslauf an den quellnächsten Probestellen R1 und S1, z.B. Protonemura spp. und Plectrocnemia spp. Die Lebensgemeinschaften an R1 und S1 waren allerdings völlig unterschiedlich zusammengesetzt. Die häufig vertretene Annahme, versauerte Gewässer seien biologisch tot, ist falsch. Unter Anwendung des 3. biozönotischen Grundprinzips wurde das Maximum von Abundanz und Biomasse in den quellnahen Abschnitten mit dem eustatistischen (stabilen) Regime von Wassertemperatur, Abfluß und Protonen-Gehalt, in der Alten Riefensbeek auch von Alkalinität und ALMER-Relation erklärt. Aufgrund der natürlichen und anthropogenen Störungen war im Längslauf der untersuchten Bäche keine natürliche biozönotische Gliederung des Artenbestands erkennbar. Die Korrelationsberechnungen zwischen den Umweltfaktoren und der Taxazahl ergaben, daß in erster Linie versauerungsrelevante Parameter -- Gehalte saurer Anionen, basischer Kationen und von Metallen, Alkalinität usw. -- die höchsten Korrelationskoeffizienten mit der Taxa-Zahl hatten; unter den natürlichen Meßgrößen zählten nur die Gehalte von DOC und TIC sowie der Anteil der Sande zu der Gruppe mit den höchsten Korrelationskoeffizienten. Die Korrelationsberechnungen zwischen den Umweltfaktoren und den Abundanzen ergab dagegen, daß die quantitative Zusammensetzung der Lebensgemeinschaft nicht nur durch die anthropogene Gewässerversauerung, sondern mindestens genauso durch einige natürliche Meßgrößen beeinflußt wurde. Es gab in den Harzbächen keinen ökologischen Superfaktor, der die quantitative Zusammensetzung der Lebensgemeinschaft überwiegend bestimmte. Auch die Meßgrößen der anthropogenen Gewässerversauerung waren nicht solch ein Superfaktor. Einen ähnlich hohen Einfluß auf die quantitative Zusammensetzung der Lebensgemeinschaft hatten die geologisch bestimmten Umweltfaktoren Leitfähigkeit und TIC-Gehalt, der von der Landnutzung bestimmte DOC-Gehalt sowie der Chlorid-Gehalt, der geologisch, möglicherweise aber auch durch den Eintrag von Straßensalz bestimmt wird. Die Mischung von anthropogenen und natürlichen Faktoren wurde in einem Modell der Wirkung von abiotischen Faktoren auf Bryorheos und Hyporheos dargestellt. Als Beispiel für die zeitliche Nutzung ökologischer Nischen wurde die Verteilung der Larven und Adulten der Dryopidae (Hakenkäfer) im Hyporheos und Bryorheos untersucht. Die Larven wurden vorzugsweise im Hyporheon, die Adulten im Bryorheon angetroffen. Die untersuchten Taxa wurden in die Varianten bryorheobiont, bryorheophil, bryorheotolerant, bryorheoxen und bryorheophob bzw. hyporheobiont, hyporheophil, hyporheotolerant, hyporheoxen und hyporheophob eingeteilt, um ihre räumliche Nutzung ökologischer Nischen zu beschreiben. Die gängige Lehrmeinung, daß das Hyporheon die Kinderstube benthaler Makroinvertebraten ist, konnte für zahlreiche Taxa bestätigt werden (z.B. Habrophlebia lauta). Für die bryorheophilen Taxa (z.B. Gammarus pulex und Baetis spp.) trifft diese Lehrmeinung in den beiden Harzbächen nicht zu. Vielmehr übernimmt das Bryorheon die Funktion einer Kinderstube. Die Larven von Plectrocnemia conspersa / geniculata sowie von Baetis spp. und Amphinemura spp. / Protonemura spp. neben Gammarus pulex zeigten eine Habitatbindung, die erstgenannte Gattung an das Hyporheal, die letztgenannten 3 Taxa an untergetauchte Moospolster (Bryorheal). Die Idee von der Funktion des Hyporheals als Kinderstube der Larven und Jungtiere, als Schutzraum gegen die Verdriftung durch Strömung und vor Fraßdruck durch Räuber sowie als Ort hohen Nahrungsangebots mußte für die letztgenannten 3 Taxa abgelehnt werden. Für sie übernahm das Bryorheal diese Aufgaben. Zwar waren die beiden Bäche oligotroph und die Nahrungsqualität der Feinstkörner im Hyporheal war niedrig. Die Abundanz- und Biomasse-Werte im Bryorheos und Hyporheos gehörten aber zu den weltweit höchsten. Es wurde das Paradoxon diskutiert, daß im Hyporheon der beiden Bäche Diatomeen-Rasen gefunden wurden, obwohl das Hyporheon lichtlos sein soll. Das Hyporheon wurde als ein Ökoton zwischen Benthon / Rheon und Stygon angesehen. Es wurden vier Haupttypen des Hyporheons beschrieben. Wegen des sehr unterschiedlichen Charakters des Hyporheons in verschiedenen Fließgewässern gibt es keinen einheitlichen Satz von abiotischen und biotischen Faktoren, mit denen das Hyporheon vom Benthon und Stygon abgegrenzt werden kann. In den beiden Harzbächen ähnelte das Hyporheon mehr dem Benthon als dem Stygon. Es konnte nicht anhand der chemischen Meßgrößen vom Benthon abgegrenzt werden, sondern anhand der physikalischen Meßgrößen Trübung und der Anteile von Feinsand und Schluffe/Tone sowie anhand der biologischen Parameter Summen-Abundanz und Summen-Biomasse. Aus der Typologie des Hyporheons folgt, daß ein bestimmtes Hyporheon nicht alle in der Literatur beschriebenen Funktionen innerhalb der Fließgewässer-Aue übernehmen kann. Es wurde ein Schema entwickelt, mit dem sich die optimale Liste der Parameter für die Untersuchung eines bestimmten Hyporheons auswählen läßt. Der Tendenz in der Fließgewässer-Ökologie, immer neue Konzepte zu entwickeln, die allgemeingültig sein sollen, wurde das Konzept vom individuellen Charakter von Fließgewässer-Ökosystemen entgegengestellt.

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1. In contrast to above-ground insects, comparatively little is known about the behaviour of subterranean insects, due largely to the difficulty of studying them in situ. 2. The movement of newly hatched (neonate) clover root weevil (Sitona lepidus L. Coleoptera: Curculinidae) larvae was studied non-invasively using recently developed high resolution X-ray microtomography. 3. The movement and final position of S. lepidus larvae in the soil was reliably established using X-ray microtomography, when compared with larval positions that were determined by destructively sectioning the soil column. 4. Newly hatched S. lepidus larvae were seen to attack the root rhizobial nodules of their host plant, white clover (Trifolium repens L.). Sitona lepidus larvae travelled between 9 and 27 mm in 9 h at a mean speed of 1.8 mm h(-1). 5. Sitona lepidus larvae did not move through the soil in a linear manner, but changed trajectory in both the lateral and vertical planes.

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Genetically modified (GM) cotton was approved for commercial cultivation in 2002. Hybrids to date have carried the Bt (Bacillus thuringiensis) gene, which confers resistance to Lepidoptera and certain Coleoptera. As well as "official" Bt hybrids (i.e., those that have gone through a formal approval process), there are "unofficial" Bt hybrids produced without such approval. The owners of the official hybrids, Monsanto-Mahyco, claim that the unofficial hybrids are not as good and could even damage the perception of Bt cotton amongst farmers. Anti-GM groups claim that neither type of Bt hybrid provides either yield or economic advantages over non-Bt hybrids. This paper reports the first study of official versus unofficial versus non-Bt hybrids in India (622 farmers in Gujarat State) with the specific aim of comparing one hypothesized ranking in terms of gross margin of (a) official Bt hybrids, (b) unofficial Bt hybrids, and (c) non-Bt hybrids. Results suggest that the official Bt varieties (MECH 12 and MECH 162) significantly outperform the unofficial varieties in terms of gross margin. However, unofficial, locally produced Bt hybrids can also perform significantly better than non-Bt hybrids, although second-generation (F2) Bt seed appears to have no yield advantage compared to non-Bt hybrids but can save on insecticide use. The paper explores some of the implications of this ranking.

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The use of semiochemicals for manipulation of the pollen beetle Meligethes aeneus (Fabricius) (Coleoptera: Nitidulidae) is being investigated for potential incorporation into a push-pull control strategy for this pest, which damages oilseed rape, Brassica napus L. (Brassicaceae), throughout Europe. The response of M. aeneus to non-host plant volatiles was investigated in laboratory assays to establish whether they have any effect on host plant location behaviour. Two approaches were used. First a novel, moving-air bioassay using air funnels was developed to compare the response of M. aeneus to several non-host plant essential oils. The beetles avoided the host plant flowers in the presence of non-host volatiles, suggesting that M. aeneus uses olfactory cues in host location and/or acceptance. The results were expressed as 'repellency values' in order to compare the effects of the different oils tested. Lavender (Lavendula angustifolia Miller) (Lamiaceae) essential oil gave the highest repellency value. In addition, a four-arm olfactometer was used to investigate olfactory responses, as this technique eliminated the influence of host plant visual and contact cues. The attraction to host plant volatiles was reduced by the addition of non-host plant volatiles, but in addition to masking the host plant volatiles, the non-host volatiles were avoided when these were presented alone. This is encouraging for the potential use of non-host plants within a push-pull strategy to reduce the pest colonisation of crops. Further testing in more realistic semi-field and field trials is underway.

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1 The feeding responses of Pterostichus madidus Fab., P. melanarius Illiger and Nebria brevicollis Fab. (Coleoptera: Carabidae) to dimethoate-contaminated prey were investigated in 'no-choice' and 'choice' feeding tests. 2 In the no-choice tests, starved beetles were presented with aphid prey treated with four concentrations of dimethoate. In the choice tests, treated and untreated prey were presented together and the feeding preferences of the starved beetles observed. 3 No avoidance or rejection behaviour was seen in any of the carabids in either of the tests, i.e. no discrimination of the treated and untreated prey was observed. 4 Sufficient dimethoate was consumed with the aphid prey to cause significant mortality levels in the carabids. 5 The concentrations of dimethoate used in these experiments are comparable to field exposure, so carabids feeding in treated fields and field margins could potentially suffer lethal effects via the indirect exposure route of consuming contaminated prey.

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1. The establishment of grassy strips at the margins of arable fields is an agri-environment scheme that aims to provide resources for native flora and fauna and thus increase farmland biodiversity. These margins can be managed to target certain groups, such as farmland birds and pollinators, but the impact of such management on the soil fauna has been poorly studied. This study assessed the effect of seed mix and management on the biodiversity, conservation and functional value of field margins for soil macrofauna. 2. Experimental margin plots were established in 2001 in a winter wheat field in Cambridgeshire, UK, using a factorial design of three seed mixes and three management practices [spring cut, herbicide application and soil disturbance (scarification)]. In spring and autumn 2005, soil cores taken from the margin plots and the crop were hand-sorted for soil macrofauna. The Lumbricidae, Isopoda, Chilopoda, Diplopoda, Carabidae and Staphylinidae were identified to species and classified according to feeding type. 3. Diversity in the field margins was generally higher than in the crop, with the Lumbricidae, Isopoda and Coleoptera having significantly more species and/or higher abundances in the margins. Within the margins, management had a significant effect on the soil macrofauna, with scarified plots containing lower abundances and fewer species of Isopods. The species composition of the scarified plots was similar to that of the crop. 4. Scarification also reduced soil- and litter-feeder abundances and predator species densities, although populations appeared to recover by the autumn, probably as a result of dispersal from neighbouring plots and boundary features. The implications of the responses of these feeding groups for ecosystem services are discussed. 5. Synthesis and applications. This study shows that the management of agri-environment schemes can significantly influence their value for soil macrofauna. In order to encourage the litter-dwelling invertebrates that tend to be missing from arable systems, agri-environment schemes should aim to minimize soil cultivation and develop a substantial surface litter layer. However, this may conflict with other aims of these schemes, such as enhancing floristic and pollinator diversity.

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The silvicultural management of Scottish birch woodlands for timber production is replacing traditional low intensity management practices, such as domesticated livestock grazing. These new management practices involve thinning of existing woodlands to prescribed densities to maximize biomass and timber quality. Although presently infrequent, the wide scale adoption of this practice could affect invertebrate community diversity. The impact of these changes in management on Staphylinidae and Carabidae (Coleoptera) in 19 woodlands in Aberdeenshire, north-east Scotland was investigated. Grazing and logging practices were important determinants of beetle community structure. Woodland area had no effect on any measure of beetle community structure, although isolation did influence the abundance of one carabid species. Changes towards timber production forestry will influence the structure of invertebrate communities, although the scale at which this occurs will determine its effect.

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Studies in polytunnels were conducted to investigate the effects of ultraviolet (UV)-blocking films on naturally occurring insect pests and their arthropod natural enemies on a cucumber crop. Within tunnels clad with Antibotrytis (blocks light < 400 nm) and UVI/EVA (UV transmitting), 5.8 and 23.4 times more aphids, respectively, were recorded on traps compared with those on traps within tunnels clad with XL 385 (blocks light < 385 nm). When all plants within the UVI/EVA tunnels had become heavily infested with aphids, half of the plants in XL 385 tunnels were uninfested. More Coleoptera and thrips (approximately two times) were recorded under the UVI/EVA film than under the UV-blocking films, but for other arthropod pests (e. g. whitefly, leafhoppers), clear conclusions could not be drawn as low numbers were recorded. Substantial numbers of chalcid parasitoids and syrphids were found under the UV-blocking films, but further research is needed to evaluate fully the effect of such films on biological control of aphids. Higher syrphid numbers and more aphid mummies were recorded under the UVI/EVA film, probably because of the higher numbers of aphids present in tunnels clad with this film. The potential that UV-blocking films have as an effective component of commercial Integrated Pest Management (IPM) systems, for protected horticultural crops, is discussed.

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Although adult Rumex obtusifolius are problematic weeds, their seedlings are poor competitors against Lolium perenne, particularly in established swards. We investigated the possibility of using this weakness to augment control of R. obtusifolius seedlings with combinations of Gastrophysa viridula (Coleoptera: Chrysomelidae) and the rust fungus Uromyces rumicis. Rumex obtusifolius seedlings were grown in competition with L. perenne sown at different rates and times after R. obtusifolius: they competed successfully with L. perenne when sown 21 days before the grass. Sowing both species at the same time resulted in a dominant grass sward, with R. obtusifolius becoming dominant when sown 42 days prior to L. perenne. Grass sowing rate had no effect on R. obtusifolius growth or biomass. A second experiment investigated how competition from L. perenne sown 21 days after R. obtusifolius combined with damage from G. viridula and/or U. rumicis (applied at either the 3-4- or 10-13-leaf stage, or at both stages) affected the growth and final biomass of R. obtusifolius. Beetle grazing at the latter leaf stage was the only treatment that reduced R. obtusifolius biomass, although rust infection at the earlier application led to an increase in shoot and root weight. The results are discussed in terms of the potential for use of these agents in the field.

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A radiocarbon-dated multiproxy palaeoenvironmental record from the Lower Thames Valley at Hornchurch Marshes has provided a reconstruction of the timing and nature of vegetation succession against a background of Holocene climate change, relative sea level movement and human activities. The investigation recorded widespread peat formation between c. 6300 and 3900 cal. yr BP (marine ‘regression’), succeeded by evidence for marine incursion. The multiproxy analyses of these sediments, comprising pollen, Coleoptera, diatoms, and plant and wood macrofossils, have indicated significant changes in both the wetland and dryland environment, including the establishment of Alnus (Alder) carr woodland, and the decline of both Ulmus (Elm; c. 5740 cal. yr BP) and Tilia (Lime; c. 5600 cal. yr BP, and 4160–3710 cal. yr BP). The beetle faunas from the peat also suggest a thermal climate similar to that of the present day. At c. 4900 cal. yr BP, Taxus (L.; Yew) woodland colonised the peatland forming a plant community that has no known modern analogue in the UK. The precise reason, or reasons, for this event remain unclear, although changes in peatland hydrology seem most likely. The growth of Taxus on peatland not only has considerable importance for our knowledge of the vegetation history of southeast England, and NW Europe generally, but also has wider implications for the interpretation of Holocene palaeobotanical records. At c. 3900 cal. yr BP, Taxus declined on the peatland surface during a period of major hydrological change (marine incursion), an event also strongly associated with the decline of dryland woodland taxa, including Tilia and Quercus, and the appearance of anthropogenic indicators.

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A semiochemical based push-pull strategy for control of oilseed rape pests is being developed at Rothamsted Research. This strategy uses insect and plant derived semiochemicals to manipulate pests and their natural enemies. An important element within this strategy is an understanding of the importance of non-host plant cues for pest insects and how such signals could be used to manipulate their behaviour. Previous studies using a range of non-host plants have shown that, for the pollen beetle Meligethes aeneus (Coleoptera: Nitidulidae), the essential oil of lavender, Lavandula angustifolia (Lamiaceae), was the most repellent. The aim of this study was to identify the active components in L. angustifolia oil, and to investigate the behaviour of M. aeneus to these chemicals, to establish the most effective use of repellent stimuli to disrupt colonisation of oilseed rape crops. Coupled gas chromatography-electroantennography (GC-EAG) and gas chromatography-mass spectrometry (GC-MS) resulted in the identification of seven active compounds which were tested for behavioural activity using a 4-way olfactometer. Repellent responses were observed with (±)-linalool and (±)-linalyl acetate. The use of these chemicals within a push-pull pest control strategy is discussed.

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Despite the fact that mites were used at the dawn of forensic entomology to elucidate the postmortem interval, their use in current cases remains quite low for procedural reasons such as inadequate taxonomic knowledge. A special interest is focused on the phoretic stages of some mite species, because the phoront-host specificity allows us to deduce in many occasions the presence of the carrier (usually Diptera or Coleoptera) although it has not been seen in the sampling performed in situ or in the autopsy room. In this article, we describe two cases where Poecilochirus austroasiaticus Vitzthum (Acari: Parasitidae) was sampled in the autopsy room. In the first case, we could sample the host, Thanatophilus ruficornis (Küster) (Coleoptera: Silphidae), which was still carrying phoretic stages of the mite on the body. That attachment allowed, by observing starvation/feeding periods as a function of the digestive tract filling, the establishment of chronological cycles of phoretic behavior, showing maximum peaks of phoronts during arrival and departure from the corpse and the lowest values in the phase of host feeding. From the sarcosaprophagous fauna, we were able to determine in this case a minimum postmortem interval of 10 days. In the second case, we found no Silphidae at the place where the corpse was found or at the autopsy, but a postmortem interval of 13 days could be established by the high specificity of this interspecific relationship and the departure from the corpse of this family of Coleoptera.