864 resultados para Myofascial Pain Syndromes
Resumo:
This research provided relevant data to support pain research literature that finds nurses do not have the knowledge base that they require to sufficiently provide effective pain management. The data demonstrated that nurses have mixed attitudes toward pain. These two findings have been observed in the literature for more than 20 years, but were important results for the hospitals and the nurses involved in the study. The purposes of this study were to identify the level of knowledge and attitudes in a sample of nurses fi-om the surgical and medical units in three hospitals, and determine whether a difference between these two groups existed. The institutional resources to support pain relief practices provided by each hospital were also documented. Data were collected using a convenience sample from the medical and surgical units of three hospitals. Ofthe 1 13 nurses who volunteered to participate, 78 worked in surgical units and 35 worked in medical units. Demographic data were collected about the participants. The established instruments used to obtain data about knowledge and attitude included: (a) Nurses Knowledge of Pain Issues Survey, (b)Attitude to Pain Control Scale, and (c) Andrew and Robert Vignette. Data collected were quantitative along with two open-ended questions for a rich, qualitative section. Inadequate knowledge and outdated attitudes were very evident in the responses. Data from the open-ended questions described how nurses assessed pain and the most conmion problems caring for patients in pain. Nursing practice implications for these hospitals involve initiating a process to develop an educational pain program for nurses throughout the hospital. Utilizing findings from other studies, the program should have an interdisciplinary approach to the planning, implementation, evaluation, and ongoing support. This study supports the belief that inadequate pain management has been attributed to many factors, most importantly to a lack of knowledge. Pain is a costly, unnecessary complication for the patient as well as the hospital. It follows then, that it is in the best interest of all involved to implement an educational pain program in order to influence practice.
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Chronic low back pain (CLBP) is a complex health problem of psychological manifestations not fully understood. Using interpretive phenomenological analysis, 11 semi-structured interviews were conducted to help understand the meaning of the lived experience of CLBP; focusing on the psychological response to pain and the role of depression, catastrophizing, fear-avoidance behavior, anxiety and somatization. Participants characterized CLBP as persistent tolerable low back pain (TLBP) interrupted by periods of intolerable low back pain (ILBP). ILBP contributed to recurring bouts of helplessness, depression, frustration with the medical system and increased fear based on the perceived consequences of anticipated recurrences, all of which were mediated by the uncertainty of such pain. During times of TLBP all participants pursued a permanent pain consciousness as they felt susceptible to experience a recurrence. As CLBP progressed, participants felt they were living with a weakness, became isolated from those without CLBP and integrated pain into their self-concept.
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Recent research suggests that participating in vigorous synchronized physical activity may result in elevated levels of endorphins, which may in turn affect social bonding (Cohen et. al., 2009). The present research aimed to examine whether or not the change in pain tolerance would be able to predict participants’ willingness to cooperate after statistically controlling for the groups’ condition. Participants were asked to run on a treadmill for 30 minutes under one of two conditions (control vs. synchronized). Prior to and after the run participants underwent a pain tolerance test. Once completed, a second activity was introduced to the participants; a cooperative game. A public goods game was used to measure an individual’s willingness to cooperate. The results showed the synchronized condition was able to predict that participants cooperated more during the public goods game (p = .009), however the change in pain threshold was unable to significantly predict cooperation (p = .32).
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Rapport de recherche
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Le virus Epstein-Barr (VEB) est fortement associé au développement de syndromes lymphoprolifératifs (SLP) en greffe pédiatrique. Ce virus a la capacité d’immortaliser les lymphocytes B et de provoquer leur prolifération incontrôlée chez l’hôte immunodéprimé. Plusieurs études démontrent que le cycle lytique du virus jouerait un rôle primordial dans la genèse des SLP en produisant des particules virales pouvant infecter les cellules B adjacentes. Chez un individu immunodéprimé, ces cellules B nouvellement infectées peuvent donner naissance à une expansion lymphocytaire. Le projet présenté dans ce mémoire fait partie d’un programme de recherche visant à élucider le rôle de l’infection productive par le VEB dans le développement des SLP. L’objectif précis de ce projet est de développer un anticorps monoclonal chimère contre la glycoprotéine gp350 du VEB dans le but de neutraliser le virus et d’ainsi prévenir son entrée dans les cellules B. Notre laboratoire a construit une version chimère de l’anticorps monoclonal murin 72A1, lequel se lie à la gp350 et bloque l’infection. Les premiers essais ont révélé la présence de chaînes non fonctionnelles (aberrantes) dans l’hybridome produisant l’anticorps 72A1. La construction de la chaîne légère authentique est maintenant complète alors que celle de la chaîne lourde est toujours en cours. Le processus de caractérisation de l’anticorps chimère inclura des essais de cytotoxicité à médiation cellulaire dépendante des anticorps (ADCC). Dans cette optique, une lignée cellulaire exprimant de façon stable la gp350 a été établie. Notre anticorps chimère anti-gp350 pourrait éventuellement être utilisé comme thérapie préventive chez les greffés présentant un risque élevé de SLP en empêchant l’infection des cellules B adjacentes.
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La douleur est une expérience perceptive comportant de nombreuses dimensions. Ces dimensions de douleur sont inter-reliées et recrutent des réseaux neuronaux qui traitent les informations correspondantes. L’élucidation de l'architecture fonctionnelle qui supporte les différents aspects perceptifs de l'expérience est donc une étape fondamentale pour notre compréhension du rôle fonctionnel des différentes régions de la matrice cérébrale de la douleur dans les circuits corticaux qui sous tendent l'expérience subjective de la douleur. Parmi les diverses régions du cerveau impliquées dans le traitement de l'information nociceptive, le cortex somatosensoriel primaire et secondaire (S1 et S2) sont les principales régions généralement associées au traitement de l'aspect sensori-discriminatif de la douleur. Toutefois, l'organisation fonctionnelle dans ces régions somato-sensorielles n’est pas complètement claire et relativement peu d'études ont examiné directement l'intégration de l'information entre les régions somatiques sensorielles. Ainsi, plusieurs questions demeurent concernant la relation hiérarchique entre S1 et S2, ainsi que le rôle fonctionnel des connexions inter-hémisphériques des régions somatiques sensorielles homologues. De même, le traitement en série ou en parallèle au sein du système somatosensoriel constitue un autre élément de questionnement qui nécessite un examen plus approfondi. Le but de la présente étude était de tester un certain nombre d'hypothèses sur la causalité dans les interactions fonctionnelle entre S1 et S2, alors que les sujets recevaient des chocs électriques douloureux. Nous avons mis en place une méthode de modélisation de la connectivité, qui utilise une description de causalité de la dynamique du système, afin d'étudier les interactions entre les sites d'activation définie par un ensemble de données provenant d'une étude d'imagerie fonctionnelle. Notre paradigme est constitué de 3 session expérimentales en utilisant des chocs électriques à trois différents niveaux d’intensité, soit modérément douloureux (niveau 3), soit légèrement douloureux (niveau 2), soit complètement non douloureux (niveau 1). Par conséquent, notre paradigme nous a permis d'étudier comment l'intensité du stimulus est codé dans notre réseau d'intérêt, et comment la connectivité des différentes régions est modulée dans les conditions de stimulation différentes. Nos résultats sont en faveur du mode sériel de traitement de l’information somatosensorielle nociceptive avec un apport prédominant de la voie thalamocorticale vers S1 controlatérale au site de stimulation. Nos résultats impliquent que l'information se propage de S1 controlatéral à travers notre réseau d'intérêt composé des cortex S1 bilatéraux et S2. Notre analyse indique que la connexion S1→S2 est renforcée par la douleur, ce qui suggère que S2 est plus élevé dans la hiérarchie du traitement de la douleur que S1, conformément aux conclusions précédentes neurophysiologiques et de magnétoencéphalographie. Enfin, notre analyse fournit des preuves de l'entrée de l'information somatosensorielle dans l'hémisphère controlatéral au côté de stimulation, avec des connexions inter-hémisphériques responsable du transfert de l'information à l'hémisphère ipsilatéral.