933 resultados para Immuno-diagnostics
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This chapter highlights the problems that structural methods and SVAR approaches have when estimating DSGE models and examining their ability to capture important features of the data. We show that structural methods are subject to severe identification problems due, in large part, to the nature of DSGE models. The problems can be patched up in a number of ways but solved only if DSGEs are completely reparametrized or respecified. The potential misspecification of the structural relationships give Bayesian methods an hedge over classical ones in structural estimation. SVAR approaches may face invertibility problems but simple diagnostics can help to detect and remedy these problems. A pragmatic empirical approach ought to use the flexibility of SVARs against potential misspecificationof the structural relationships but must firmly tie SVARs to the class of DSGE models which could have have generated the data.
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This paper establishes a general framework for metric scaling of any distance measure between individuals based on a rectangular individuals-by-variables data matrix. The method allows visualization of both individuals and variables as well as preserving all the good properties of principal axis methods such as principal components and correspondence analysis, based on the singular-value decomposition, including the decomposition of variance into components along principal axes which provide the numerical diagnostics known as contributions. The idea is inspired from the chi-square distance in correspondence analysis which weights each coordinate by an amount calculated from the margins of the data table. In weighted metric multidimensional scaling (WMDS) we allow these weights to be unknown parameters which are estimated from the data to maximize the fit to the original distances. Once this extra weight-estimation step is accomplished, the procedure follows the classical path in decomposing a matrix and displaying its rows and columns in biplots.
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Background: Medical treatment of inflammatory bowel disease (IBD) is becoming more and more complex, as several classes of immuno-modulating drugs (IMD) are often used simultaneously. Thus, the probability of adverse effects is greatly increased. Most studies reporting on adverse effects focus on single therapy, and studies providing a global survey of side effects for multiple treatments are lacking. Aim: To assess the type and frequency of adverse events in IBD patients treated with single and multiple IMD therapy. Methods: Analysis of data from the Swiss IBD Cohort Study (SIBDCS) that collects data on a large sample of IBD patients from hospitals and private practices across Switzerland. The following IMD categories were analyzed: 5-ASA, azathioprine (Aza), 6-mercaptopurine (6-MP), methotrexate (MTX), anti-TNF (infliximab, adalimumab, certolizumab-pegol), cyclosporine, tacrolimus, and steroids. The following side effects were assessed: hepatitis, pancreatitis, leucopenia, thrombopenia, nephritis, allergic reaction, pneumonitis, infections (including tuberculosis), osteoporosis, abdominal pain/diarrhea (unrelated to IBD activity), cataract, diabetes, exanthema, hirsutism, lupus-like syndrome, myalgias, depression/psychosis, tumor development. Results: A total of 1,961 patients were analyzed (977 [50%] female, mean age 42.1 ± 14.4 years): 1,119 with Crohn's disease (CD), 800 with ulcerative colitis (UC), and 42 with indeterminate colitis (IC). Three-hundred eighteen (16.2%) patients were not treated with any of the above-mentioned medications, while 650 (33.2%), 569 (29%) and 424 (21.6%) patients had one-, two-, and three- or more- IMD therapy, respectively. Of the 1,643 patients treated with IMD, 535 (32.6%) patients reported at least one side effect. We found a significant correlation between the number of drugs used by a patient and the frequency of side effects (17.4% side effects for one drug, 29% for 2 drugs, and 60.6% for three or more drugs, p < 0.001). The frequency of side effects for the different IMD classes were as follows: 5-ASA (n = 980 treated patients) 10.8%, Aza/6-MP (n = 636) 51.9% (pancreatitis in 57 = 9%, hepatitis in 17 = 2.7% of treated patients), MTX (n = 146) 42.5% (hepatitis in 4 = 2.7% of treated patients), anti-TNF (n = 255) 23.1%, cyclosporine (n = 49) 10.2%, tacrolimus (n = 5) 20%, steroids (systemic or topical, n = 1,150) 9.6%. Conclusion: IBD treatment is associated with a significant number of side effects. A direct correlation between the number of IMD used simultaneously and the frequency of side effects was observed. The results of this study indicate that treating physicians should be vigilant for the occurrence of side effects in IBD patients under single and/or multiple drug therapy.
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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Désertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités locales, et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demandé à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Désertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
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Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Désertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demandé à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Désertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
Resumo:
Depuis son indépendance en 1975, le Cap Vert est résolument engagé dans la lutte contre la désertification et les effets de la sécheresse. Plus de 32.000.000 arbres ont été plantés au cours des vingt dernières années pour protéger le sol de l'érosion et reconstituer un espace forestier pratiquement anéanti par cinq siècles d'occupation humaine. Des milliers de kilomètres de murettes et de banquettes, des milliers de digues de correction torrentielle et d'ouvrages hydrauliques ont été construits sur l'ensemble de l'archipel. Les aménagements anti-érosifs ont été mis en place sur plus de 43 % des terres occupées par les cultures pluviales, soit plus de 16.000 hectares. Cet immense effort déployé par les Capverdiens pour lutter contre la dégradation de leurs ressources naturelles et l'appauvrissement des populations qui en dépendent, tire ses motivations historiques des sécheresses désastreuses qui ont secoué le pays au fil des années, jusqu'à celle de 1947 - 49 qui a provoqué des milliers de morts. Ce Programme d'Action National (PAN) s'inscrit dans la continuité de ces efforts. Il est le fruit d'une réflexion conjointe de l'ensemble des acteurs concernés par le problème de la désertification. Il repose à la fois sur le bilan des actions menées jusqu'à ce jour par les différents intervenants, et sur une consultation massive, menée sur l'ensemble du pays, des populations touchées par la désertification et les effets de la sécheresse. Il ne prétend pas innover dans le domaine des techniques de lutte, ni remettre en question le rôle des différents acteurs engagés dans cette lutte. Il vise simplement à une meilleure coordination des efforts et à une plus large participation de la population. Conscientes des problèmes posés par l'interaction de l'homme et de l'environnement sur l'ensemble de la planète, les nations du monde se sont réunies à Rio de Janeiro au mois de juin 1992 lors de la Conférence Mondiale de L’Environnement. Cette conférence organisée par les Nations Unies visait à rapprocher les pays en voie de développement et les pays industrialisés pour garantir l'avenir de la planète terre. Trois conventions internationales fixant des accords de partenariat et des modalités concrètes de mise en oeuvre sont issues de cette rencontre. Il s'agit de: - La Convention sur la Diversité Biologique; - La Convention sur les Changements Climatiques; - Et enfin la Convention de Lutte Contre la Désertification dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification, en particulier en Afrique, qui fut adoptée à Paris le 17 juin 1994, et ouverte à la signature en octobre de la même année. Parmi la centaine de signataires de la convention, la République du Cap-Vert fut le deuxième signataire au monde et le premier pays en Afrique. La Convention de Lutte Contre la Désertification (CCD) repose sur quatre grands principes: a) "Les décisions concernant la conception et l'exécution des programmes de lutte contre la désertification doivent être prises avec la participation des populations et des collectivités locales, et un environnement porteur doit être créé aux échelons supérieurs pour faciliter l'action aux niveaux national et local"; b) La nécessité "d'améliorer, dans un esprit de solidarité et de partenariat internationaux, la coopération et la coordination au niveau sous-régional, régional et international, et de concentrer les ressources financières, humaines, organisationnelles, et techniques là où elles sont nécessaires"; c) La nécessité "d'instituer une coopération entre les pouvoirs publics à tous les niveaux, les collectivités, les organisations non gouvernementales et les exploitants des terres pour mieux faire comprendre, dans les zones touchées, la nature et la valeur de la terre et des rares ressources en eau, et pour promouvoir une utilisation durable de ces ressources"; d) Enfin, "la prise en considération de la situation et des besoins particuliers des pays en voie de développement, tout spécialement les moins avancés d'entre eux". Afin de mettre en oeuvre les résolutions de la convention, il a été demandé à chaque pays signataire d'élaborer un Programme d'Action National, pour en faire l'élément central de sa stratégie en matière de LCD. Le Comité Inter-Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), qui regroupe neuf pays dont la République du Cap-Vert, a été désigné pour appuyer et pour coordonner au niveau sous-régional la mise en oeuvre de la convention. Au niveau national, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA) a été désigné pour assurer la coordination de la mise en oeuvre du PAN. Dans cette tâche, le SEPA compte déjà avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD/UNSO) et de la Coopération Française - chef de file des bailleurs de fonds pour la mise en oeuvre de la CCD au Cap-Vert. L’élaboration du PAN a été un processus relativement long qui a commencé par la réalisation du Premier Forum National en novembre 1995. Ce Forum a permis, entre autres, d’informer les différents partenaires sur la CCD. Par la suite, le Secrétariat Exécutif pour l’Environnement avec l’aide du projet “Appui à la Mise en Oeuvre de la CCD”, a réalisé des tournées d’information et de discussions dans toutes les 17 municipalités qui composent le Pays. Ces tournées ont permis de dialoguer et d’engager effectivement le processus de décentralisation dans l’élaboration du PAN. Il a été convenu que chaque commune doit élaborer un Programme Municipal de Lutte Contre la Désertification. Une formation en approche participative (Méthode accélérée de recherche participative) a été organisée à l’attention des représentants des communes. Cela a permis aux municipalités de réaliser un diagnostic participatif au niveau des communautés. Des Commissions Municipales pour l’Environnement ont été créées pour la mise en oeuvre de la CCD. Ces Commissions sont formées par les représentants des services publics, des ONG, des associations paysannes et des confessions religieuses. Chaque Municipalité a réalisé un diagnostic participatif et élaboré un rapport qui décrit la situation socio économique des différentes zones et les propositions des communautés pour lutter contre la désertification. Sur la base des diagnostics participatifs et avec l’appui du SEPA, les différentes municipalités ont élaboré leurs propres programmes. Ces programmes ont été validés au cours d’ateliers municipaux avec la participation de tous les partenaires concernés. Le PAN comporte 190 projets municipaux présentés sous forme de fiches de projets dans le volume annexe, auxquels s’ajoutent 5 projets nationaux. Ces derniers ont été définis, d’une part pour répondre à des problèmes et préoccupations manifestées au niveau municipal, mais dont les solutions ont un caractère national et d’autre part pour créer la complémentarité nécessaire avec les autres Programmes Nationaux. Parmi les objectifs majeurs que le Cap-Vert s'est fixé dans son 4ème Plan National de Développement, figurent des objectifs économiques comme la valorisation des ressources naturelles, et des objectifs sociaux, comme la lutte contre la pauvreté et le sous-emploi, la sécurité alimentaire, la protection de l'environnement, et la couverture des besoins essentiels de la population. Tous ces objectifs rentrent dans le champ d'action du PAN, qui contribue donc largement à l'objectif principal du 4ème Plan, à savoir l'intégration dynamique du Cap-Vert dans l'économie mondiale.
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We construct a weighted Euclidean distance that approximates any distance or dissimilarity measure between individuals that is based on a rectangular cases-by-variables data matrix. In contrast to regular multidimensional scaling methods for dissimilarity data, the method leads to biplots of individuals and variables while preserving all the good properties of dimension-reduction methods that are based on the singular-value decomposition. The main benefits are the decomposition of variance into components along principal axes, which provide the numerical diagnostics known as contributions, and the estimation of nonnegative weights for each variable. The idea is inspired by the distance functions used in correspondence analysis and in principal component analysis of standardized data, where the normalizations inherent in the distances can be considered as differential weighting of the variables. In weighted Euclidean biplots we allow these weights to be unknown parameters, which are estimated from the data to maximize the fit to the chosen distances or dissimilarities. These weights are estimated using a majorization algorithm. Once this extra weight-estimation step is accomplished, the procedure follows the classical path in decomposing the matrix and displaying its rows and columns in biplots.
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FY2008 was a productive year for the Iowa Grape and Wine Development Commission. Sixteen proposals were recommended for funding from FY2008 funds and carryover totaling just over $396,000 in outlays. Included in the approved proposals were staffing and equipment for the Midwest Grape and Wine Industry Institute’s wine diagnostics laboratory at Iowa State University, continued support for the viticulturist position at Des Moines Area Community College, funding for the second annual Mid-American Wine Competition, and assistance for marketing and promotion of Ice coats an Iowa vineyard after a February 2008 ice storm. Photo by Mike White and courtesy of Iowa State University. 16 two wine trail associations and seven festivals and events. Commission funding supported a salaried position within IDALS to manage the Iowa Grape and Wine Development Fund and to serve as the Director of the Iowa Grape and Wine Development Commission. The Commission approved funding for a Scholarship Program. The formally created Scholarship Committee met twice in FY2008 to finalize details for the Program and to approve scholarships to twenty-six applicants to aid with the expenses of accredited coursework. Based on data collected by IDALS, the Iowa Department of Economic Development, the Iowa Alcoholic Beverages Division, and Iowa State University the Iowa grape and wine industry appears to continue to be very viable and growth continues at a strong pace. Presently, Iowa ranks 14th in the nation for the number of wineries, and wine produced in the state for 2008 was estimated at a market value in excess of $14.0 million. A tabulation of the budget revealed that just over $1,080,000 in wine gallonage tax appropriations and legislative appropriations have been deposited into the Grape and Wine Development Fund from FY2003 through FY2008. Removing encumbered funds, expenditures have totaled just over $942,500 during that same time. “Financial” funding – used for fostering public awareness and participation of industry events - increased from 6% of expenditures in FY2007 to 9% in FY2008. Used for support of research, education, and outreach, a little over 80% of expenditures and encumbered funds were earmarked for “Technical” spending. Over time, funds invested in “Technical” programs will translate into an increasingly educated and institutionally-supported industry. Local, regional, and statewide events also appeared to be increasing in popularity. The Commission was encouraged to see increased support for these events. It is hoped, too, that the Scholarship Program will provide needed funding to help meet the educational goals of the industry’s workforce. As they continue to support Iowa’s grape and wine industry, the Commissioners look forward to working with individuals, commercial enterprises, state and federal agencies, and industry-sponsored institutions in FY2009 and in years to come.
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Background: EEG is the cornerstone of epilepsy diagnostics and mandatory to determine the underlying epilepsy syndrome (e.g. focal vs idiopathic generalized). However, its potential as imaging tool is still underrecognized. In the present study, we aim to determine the prerequisites of maximal benefit of electric source imaging (ESI) to localize the irritative zone in patients with focal epilepsy. Methods: 150 patients suffering from focal epilepsy and with minimum 1 year post-operative follow-up were studied prospectively by reviewers blinded to the underlying diagnosis and outcome. We evaluated the influence of two important factors on sensitivity and specificity of ESI: the number of electrodes (low resolution, LR-ESI: \30 vs. high resolution, HR-ESI: 128-256 electrodes), and the use of individual MRI (i-MRI) vs. template MRI (t-MRI) as head model.Results: ESI had a sensitivity of 85% and a specificity of 87% when HR-ESI with i-MRI was used. Using LR-ESI, sensitivity decreased to 68%, or even 57% when only t-MRI was available. The sensitivity of HR-ESI/i-MRI compared favorably with those of MRI (76%), PET (69%) and ictal/interictal SPECT (64%).Interpretation: This study on a large patient group shows excellent sensitivity and specificity of ESI if 128 EEG channels or more are used for ESI and if the results are co-registered to the patient's individual MRI. Localization precision is as high as or even higher than established brain imaging techniques, providing excellent costeffectiveness in epilepsy evaluation. HR-ESI appears to be a valuable additional imaging tool, given that larger electrode arrays are easily and rapidly applied with modern EEG equipment and that structural MRI is nearly always available for these patients.
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La nomenclature des diagnostics est celle de la Classification internationale des maladies (9e révision), utilisée par la Statistique médicale VESKA depuis 1980. Les trois premiers chiffres du code ont été utilisés; seul le premier diagnostic a été retenu.
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In most pathology laboratories worldwide, formalin-fixed paraffin embedded (FFPE) samples are the only tissue specimens available for routine diagnostics. Although commercial kits for diagnostic molecular pathology testing are becoming available, most of the current diagnostic tests are laboratory-based assays. Thus, there is a need for standardized procedures in molecular pathology, starting from the extraction of nucleic acids. To evaluate the current methods for extracting nucleic acids from FFPE tissues, 13 European laboratories, participating to the European FP6 program IMPACTS (www.impactsnetwork.eu), isolated nucleic acids from four diagnostic FFPE tissues using their routine methods, followed by quality assessment. The DNA-extraction protocols ranged from homemade protocols to commercial kits. Except for one homemade protocol, the majority gave comparable results in terms of the quality of the extracted DNA measured by the ability to amplify differently sized control gene fragments by PCR. For array-applications or tests that require an accurately determined DNA-input, we recommend using silica based adsorption columns for DNA recovery. For RNA extractions, the best results were obtained using chromatography column based commercial kits, which resulted in the highest quantity and best assayable RNA. Quality testing using RT-PCR gave successful amplification of 200 bp-250 bp PCR products from most tested tissues. Modifications of the proteinase-K digestion time led to better results, even when commercial kits were applied. The results of the study emphasize the need for quality control of the nucleic acid extracts with standardised methods to prevent false negative results and to allow data comparison among different diagnostic laboratories.
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In patients with dementia, Behavioral and Psychological Symptoms of Dementia (BPSD) are frequent findings that accompany deficits caused by cognitive impairment and thus complicate diagnostics, therapy and care. BPSD are a burden both for affected individuals as well as care-givers, and represent a significant challenge for therapy of a patient population with high degree of multi-morbidity. The goal of this therapy-guideline issued by swiss professional associations is to present guidance regarding therapy of BPSD as attendant symptoms in dementia, based on evidence as well as clinical experience. Here it appears to be of particular importance to take into account professional experience, as at this point for most therapeutic options no sufficiently controlled clinical trials are available. A critical discussion of pharmaco-therapeutic intervention is necessary, as this patient-population is particularly vulnerable for medication side-effects. Finally, a particular emphasis is placed on incorporating and systematically reporting psycho-social and nursing options therapeutic intervention.
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Eosinophilic esophagitis is a recent diagnosis, of growing interest and prevalence. It has to be considered by every physician when facing any adult or pediatric case of dysphagia, food impaction, and symptoms of GERD (gastroesophageal reflux disease) resistant to proton-pump inhibitor treatment. The diagnosis is made by combining clinical symptoms and endoscopic signs, supported by biopsies of the mucosa, which should show more than 15 eosinophils per high power field. The etiology seems to be of allergic origin, and a full immuno-allergic testing should be made. Recommendations for the treatment are to calm down the inflammatory process by proton-pump inhibitors, and to give topical steroids, keeping the systemic treatment for acute severe cases. In cases of esophageal stenoses, dilations can be undertaken, but with a high risk of recurrence.
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Pratique Médicale Ambulatoire (PMA) est une enquête basée sur le modèle américain du National Ambulatory Medical Care Survey qui a été conduite dans les cantons de Vaud et Fribourg en 1987. Elle avait pour but de décrire l'activité des médecins installés et celle des services ambulatoires des hôpitaux. La fiche de relevé de cette enquête comprenait notamment les caractéristiques du patient (âge, sexe), le motif de la consultation et le ou les diagnostics posés par le médecin. Dans le cadre de ce travail, tous les motifs de consultation se rapportant à une douleur ont été sélectionnés et analysés. [Auteur, p. 2]
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Background: Cetuximab significantly enhances efficacy of radiotherapy and chemotherapy in head and neck cancer. We investigated the safety and feasibility of adding cetuximab to neoadjuvant chemoradiation of locally advanced esophageal cancer. Methods: Pts with resectable, locally advanced squamous cell carcinoma (SCC) or adenocarcinoma (AC) of the thoracic esophagus or gastroesophageal junction (staged by EUS, CT and PET scan) were treated with 2 cycles of induction chemotherapy (docetaxel 75mg/m2, cisplatin 75mg/m2 q3w and weekly cetuximab 250mg/m2), followed by concomitant chemo- immuno-radiation therapy (CIRT: docetaxel 20mg/m2, cisplatin 25mg/m2 and cetuximab 250mg/m2 weekly five times concomitant with 45 Gy radiotherapy in 25 fractions); followed by surgery 4-8 weeks later. The phase I part consisted of 2 cohorts of 7 patients each, without and with docetaxel during CIRT, respectively. Interpatient dose-escalation (adding docetaxel during CIRT) was possible if < 2 out of 7 pts of the 1st cohort experienced limiting toxicity. Having finished the phase 1 part, 13 additional patients were treated with docetaxel-containing CIRT in a phase II part. Pathological response was evaluated according to the Mandard classification. Results: 27 pts from 12 institutions were included. As of today, results from 20 pts are available (cohort 1: 7, cohort 2: 7, phase ll : 6). Median age was 64yrs (range 47-71). 11 AC; 9 SCC. 19 pts (95%) completed CIRT (1 pt stopped treatment during induction therapy due to sepsis). 17 pts underwent resection (no surgery: 1pt for PD, 1pt for cardiac reasons). Grade 3 toxicities during CIRT included anorexia 15%, dysphagia/esophagitis 15%, fatigue 10%, nausea 10%, pruritus 5%, dehydration 5%, nail changes 5% and rash 5% .1 pt suffered from pulmonary embolism. 13 pts (65%, intention-to-treat) showed a complete or near complete pathological remission (cohort 1: 5, cohort 2: 4, phase II: 4). Conclusions: Adding cetuximab to preoperative chemoradiation for esophageal cancer is safe and feasible in a community-based multicenter setting. Antineoplastic activity is encouraging with 65% pathological responders.