996 resultados para Courajod, Louis Charles Léon, 1841-1896.


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Lewis Tyrell married Jane Gains on August 31, 1849 in Culpeper Court House, Virginia. Jane Gains was a spinster. Lewis Tyrell died September 25, 1908 at his late residence, Vine St. and Welland Ave., St. Catharines, Ont. at the age of 81 years, 5 months. Jane Tyrell died March 1, 1886, age 64 years. Their son? William C. Tyrell died January 15, 1898, by accident in Albany, NY, age 33 years, 3 months. John William Taylor married Susan Jones were married in St. Catharines, Ont. on August 10, 1851 by William Wilkinson, a Baptist minister. On August 9, 1894 Charles Henry Bell (1871-1916), son of Stephen (1835?-1876) and Susan Bell, married Mary E. Tyrell (b. 1869?) daughter of Lewis and Alice Tyrell, in St. Catharines Ontario. By 1895 the Bell’s were living in Erie, Pennsylvania where children Delbert Otto (b. 1895) and Edna Beatrice (b. 1897) were born. By 1897 the family was back in St. Catharines where children Lewis Tyrell (b. 1899), Gertrude Cora (b. 1901), Bessie Jane (b. 1902), Charles Henry (b. 1906), Richard Nelson (b. 1911) and William Willoughby (b. 1912) were born. Charles Henry Bell operated a coal and ice business on Geneva Street. In the 1901 Census for St. Catharines, the Bell family includes the lodger Charles Henry Hall. Charles Henry Hall was born ca. 1824 in Maryland, he died in St. Catharines on November 11, 1916 at the age of 92. On October 24, 1889 Charles Hall married Susan Bell (1829-1898). The 1911 Census of Canada records Charles Henry Hall residing in the same household as Charles Henry and Mary Bell. The relationship to the householder is step-father. It is likely that after Stephen Bell’s death in 1876, his widow, Susan Bell married Hall. In 1939, Richard Nelson Bell, son of Charles Henry and Mary Tyrell Bell, married Iris Sloman. Iris (b. 22 May 1912 in Biddulph Township, Middlesex, Ontario) was the daughter of Albert (son of Joseph b. 1870 and Elizabeth Sloman, b. 1872) and Josie (Josephine Ellen) Butler Sloman of London, Ont. Josie (b. 1891) was the daughter of Everett Richard and Elizabeth McCarthy (or McCarty) Butler, of Lucan Village, Middlesex North. According to the 1911 Census of Canada, Albert, a Methodist, was a porter on the railroad. His wife, Josephine, was a Roman Catholic. Residing with Albert and Josie were Sanford and Sadie Butler and Sidney Sloman, likely siblings of Albert and Josephine. The Butler family is descended from Peter Butler, a former slave, who had settled in the Wilberforce Colony in the 1830s. Rick Bell b. 1949 in Niagara Falls, Ont. is the son of Richard Nelson Bell. In 1979, after working seven years as an orderly at the St. Catharines General Hospital while also attending night school at Niagara College, Rick Bell was hired by the Thorold Fire Dept. He became the first Black professional firefighter in Niagara. He is a founding member of the St. Catharines Junior Symphony; attended the Banff School of Fine Arts in 1966 and also performed with the Lincoln & Welland Regimental Band and several other popular local groups. Upon the discovery of this rich archive in his mothers’ attic he became passionate about sharing his Black ancestry and the contributions of fugitive slaves to the heritage Niagara with local school children. He currently resides in London, Ont.

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Cette thèse a été réalisée en cotutelle entre l'Université de Montréal et l'École des Hautes Études en Sciences Sociales de Paris, sous la direction de Michel Duchesneau (UdeM) et Esteban Buch (EHESS). La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l'Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).

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Ce mémoire engage une réflexion sur la plénitude dans la pensée de Charles Taylor, et plus particulièrement dans son maître ouvrage L’âge séculier. L’idée de plénitude y est intimement liée à celles de modernité, de croyance et d’incroyance. C’est que, pour Taylor, comprendre la modernité implique de saisir le changement qui nous a permis de passer d’un contexte dans lequel il était impensable de ne pas croire en Dieu à un contexte dans lequel la croyance n’est qu’une option. Ce changement tourne essentiellement autour d’une modification de notre représentation de la plénitude. Qu’est-ce que la plénitude pour notre auteur ? Elle est la condition à laquelle tend tout homme et implique une réponse, tacite ou pas, à la question du sens de la vie. Mon principal objectif sera de saisir la nature de la plénitude telle que la conçoit Taylor. Je montrerai que la double définition de la plénitude dans L’âge séculier génère une certaine tension entre la plénitude conçue comme un événement unique et comme une aspiration constante vers le sens (qui correspond aussi au bien). Je proposerai une résolution de cette tension à travers une compréhension de la plénitude qui vise à en restituer l’unité fondamentale, l’idée étant de saisir la plénitude comme événement unique et comme aspiration constante au sens, non pas séparément, mais dans leur relation. Ce modèle d’interprétation, fourni par l’idée d’éternité, que l’on retrouve aussi dans L’âge séculier, me conduira à établir une coïncidence entre la poursuite de la plénitude et le désir d’éternité. Tous deux ont le même but fondamental : à travers l’inscription de moments qualitativement privilégiés et uniques, constitutifs de la vie, dans la totalité de cette vie, ils visent à en dévoiler le sens et à lui conférer une certaine pérennité. À plus forte raison, ce que j’entends montrer à travers la coïncidence entre plénitude et éternité, c’est que la quête de plénitude n’engage pas nécessairement la perspective religieuse déployée dans L’âge séculier, mais plutôt une forme de transcendance que l’on pourrait qualifier de « temporelle ».

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Ce mémoire propose une analyse du rôle qu’exerce le collectionneur d’art, un acteur ayant une capacité accrue à agir concrètement sur une part importante du monde artistique. La capacité des collectionneurs à agir comme mécènes pour certains artistes, à acheter leurs œuvres, à les vendre, à les exposer, sont autant d’actions qui ont un impact direct sur la carrière des artistes. Plus le collectionneur est reconnu comme une instance capable de légitimer le travail d’un artiste, plus il peut voir sa sphère d’influence devenir importante. Pour adéquatement saisir les effets qu’ont ces actions sur l’entièreté du monde artistique, nous avons choisi de prendre comme objet d’étude une figure particulière qui exemplifie le méga-collectionneur, Charles Saatchi. En assumant lui-même, tour-à-tour, plusieurs rôles dans le monde de l’art, il est reconnu comme un agent apte à reconnaître la légitimité d'une proposition artistique. La première partie de ce mémoire nous permet d'observer l'élaboration d'une véritable tradition du collectionnement et ses principaux acteurs derrière celle-ci. Dans un deuxième temps, le mémoire présente les théories qui expliquent l'avènement du pouvoir prépondérant reconnu au méga-collectionneur. Sont ainsi observés les principes de coopération, propres aux « mondes de l'art », ainsi que les phénomènes de médiation. Finalement, nous étudions, décrivons et définissons les actions et les interactions des divers acteurs et agents qui participent au réseau dont Saatchi est le centre afin de cerner la place qu’il occupe dans le champ culturel, donc sa propre légitimité et sa capacité à reconnaître et à consacrer d’autres acteurs.

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u.a.: Artikel über Schopenhauer in der Edinburgh-Review; Welt als Wille und Vorstellung; Kunstausstellungen in Frankfurt am Main; Farbenlehre;

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par Voltaire

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u.a. Rezeption Schopenhauers in Amerika;