641 resultados para cancer du col de l’utérus
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Échelle(s) : [1:3 400 000 ca] Échelle de Lieues d'une heure, ou de 20 au Degré 80 = [10,4 cm] (d'après échelles graphiques).
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Échelle(s) : 1:100 000
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Échelle(s) : [ca 1:200 000], échelle de 0,01 pour 2000 mètres
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Échelle(s) : [ca 1:5 085 000], 30 myriamètres [= 5,9 cm]
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Échelle(s) : [ca 1:286 000], 2 Myriamètres [= 7 cm]
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Échelle(s) : [1:2 400 000 ca] Eschelle de 60 mille pas geométriques [= 4,9 cm]
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A majority of smokers and non-smokers mind tobacco smoke. Passive smoking causes death by sudden infant death, lung cancer and coronary heart disease. 3000 to 6000 persons are killed every year in France. The lack of implementation of the Evin's law published in 1991 explains why non-smokers are not given the protection they can expect. The trend of scientific knowledge and of French and international public opinions support a growing demand for a complete protection of non-smokers with a total ban of smoking in all public or working places.
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Introduction : Le cancer de la vessie est la 4ème cause de cancer en Europe, chez l'homme. Dans 70% des¦cas, le diagnostic initial de cancer transitionnel de la vessie est non-musculo invasif mais jusqu'à 45%¦progresseront en tumeur musculo-invasive selon des facteurs de risques qui ont été scorés par¦l'Organisation européenne de recherche sur le traitement du cancer (EORTC). Après résection¦endoscopique transuréthrale vésicale (RTUV) de la tumeur, une instillation intravésicale (ives) d'agents¦chimiothérapeutiques ou d'immunomodulateurs tel que le Bacille Calmette Guérin (BCG) permet de¦réduire les récurrences/progressions. Cependant l'utilisation du BCG est limitée aux patients avec un risque¦de progression haut et intermédiaire au vu des effets secondaires occasionnés. Le système immunitaire¦joue un rôle certain dans l'évolution d'un processus néoplasique. Toutefois, les cancers adoptent différents¦mécanismes pour supprimer la réponse antitumorale. La variation de l'environnement immunologique¦tumoral pourrait avoir une valeur pronostique pour l'évolution naturelle de la maladie. Le but de notre¦étude est d'utiliser des coupes paraffines archivées de RTUV afin de définir l'environnement immunitaire¦des carcinomes urothéliaux non musculo-invasifs, en particulier les caractéristiques immunosuppressives,¦comme prédictif d'un comportement de progression néoplasique.¦Méthodologie : L'exploration d'une base de données de patients suivis pour le cancer de la vessie au¦CHUV afin de faire un choix des coupes de RTUV à examiner a été réalisée. Une approche transversale a été¦abordée en regroupant des patients de stades tumoraux différents ou en évaluant des foyers tumoraux¦multiples au sein de la vessie d'un même patient à un moment donné (i.e lors d'une même RTUV). Une¦approche longitudinale a également été adoptée avec comme objectif de comparer, chez le même patient,¦des tumeurs de stades, de grades et de score de risque de progression de l'EORTC différents au cours du¦temps. L'ARN des tissus de RTUV fixés au formol et enrobés en paraffine a été extrait et purifié. Un kit¦d'amplification en temps réel par réaction en chaîne par polymérase (RCP) pour 84 gènes impliqués dans¦l'anergie des cellules T et la tolérance immunitaire a été utilisé.¦Résultat : Nous avons réuni les informations cliniques de 157 sujets atteints de tumeur vésicale non¦musculo-invasive. 35% des sujets ont reçu une chimiothérapie ives et 40 % ont reçu du BCG ives. Les troisquarts¦de ces derniers ont reçu un cycle de BCG complet (6 semaines). Néanmoins, 38 % d'entre eux vont¦tout de même subir une progression de leur cancer. Les scores de progression de l'EORTC ont pu être¦calculés pour 94 sujets (39% haut risque, 42 % risque intermédiaire et 19% bas risque). 76% des patients à¦haut risque a été traité avec du BCG ives. Parmi les patients avec un risque intermédiaire de progression,¦seuls 15 % ont effectivement progressé incluant 2 patients avec des échantillons de RTUV disponibles pour¦analyse. L'analyse par RCP s'est focalisée sur une approche longitudinale incluant 6 patients suivis sur une¦longue période avec de multiples RTUV. 29 échantillons ont été sélectionnés, leur ARN purifiés, mais seuls¦16 ARN se sont révélés en quantité et qualité suffisante pour être analysé par RCP. L'analyse par RCP¦quantitative en temps réel a montré des problèmes dans la quantification de l'ADN génomique, ainsi que¦des gènes domestiques. Ceci a grandement handicapé nos analyses et n'a pas permis la mise en évidence¦convaincante de gènes immuno-modulateurs associés à la progression du cancer de la vessie.¦Discussion : Notre analyse du suivi des patients au CHUV montre que les chirurgiens façonnent leur prise¦en charge durant l'intervention selon des critères adaptés à la situation et tendent ainsi à une stratification¦des risques permettant un traitement adapté, de la même manière que le permet le score de l'EORTC, en¦tous cas en ce qui concerne les patients à haut risque de progression. Les nombreux facteurs impliqués¦dans le cancer de la vessie montrent néanmoins qu'il y aurait des avantages à rationaliser la prise en charge. L'archivage de tissus fixé au formol et enrobé en paraffine a l'avantage de représenter une source¦de matériel considérable et de grande valeur pour la recherche. Néanmoins, malgré l'évolution des¦techniques et la publicité des fabricants, il s'est avéré difficile d'exploiter ce matériel délicat pour en¦obtenir des résultats convaincants.
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Mouse models are important tools to decipher the molecular mechanisms of mammary carcinogenesis and to mimic the respective human disease. Despite sharing common phenotypic and genetic features, the proper translation of murine models to human breast cancer remains a challenging task. In a previous study we showed that in the SV40 transgenic WAP-T mice an active Met-pathway and epithelial-mesenchymal characteristics distinguish low- and high-grade mammary carcinoma. To assign these murine tumors to corresponding human tumors we here incorporated the analysis of expression of transcription factor (TF) coding genes and show that thereby a more accurate interspecies translation can be achieved. We describe a novel cross-species translation procedure and demonstrate that expression of unsupervised selected TFs, such as ELF5, HOXA5 and TFCP2L1, can clearly distinguish between the human molecular breast cancer subtypes-or as, for example, expression of TFAP2B between yet unclassified subgroups. By integrating different levels of information like histology, gene set enrichment, expression of differentiation markers and TFs we conclude that tumors in WAP-T mice exhibit similarities to both, human basal-like and non-basal-like subtypes. We furthermore suggest that the low- and high-grade WAP-T tumor phenotypes might arise from distinct cells of tumor origin. Our results underscore the importance of TFs as common cross-species denominators in the regulatory networks underlying mammary carcinogenesis.
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Échelle(s) : [ca 1:263 000], Echelle de 40000 Mètres
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Échelle(s) : [ca 1:477 000], 20000 mètres [= 4,2 cm]
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Advanced stage follicular lymphoma is incurable by conventional treatment. Important progress has been observed with the development of new therapies based on monoclonal antibodies and on the use of radioimmunotherapy (RIT) in the treatment of non-Hodgkin lymphomas (NHL). Rituximab in combination with chemotherapy in the upfront setting significantly improved treatment outcome as compared with chemotherapy alone. Different studies also indicate that RIT has an important role in the management of NHL and could be beneficial in combination with chemotherapy. These two new treatment options have clearly distinctive mechanisms of action, rituximab being an exclusively biological treatment and RIT adding targeted systemic radiation therapy. Both RIT and the unlabeled antibody treatments might be further improved by different strategies including repetition of RIT or combination of different antibodies. We present here our experience with RIT using 131I-tositumomab (Bexxar) and discuss different topics regarding RIT, like the use of different antibodies, the best choice of the radioisotope or the place of radio-imaging. From the therapeutic point of view, we argue that the debate should not be as to which one among antibody immunotherapy or RIT should be best added to chemotherapy, but that all three treatments might be optimally combined with the aim to get the highest chance of cure for advanced stage follicular lymphoma.