956 resultados para Warburton, William, 1698-1779
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Agreement (1 page, handwritten note) stating that William Barker of Oxford paid for the broken lots no. 21 and 22 and in the 3rd concession in the County of Oxford of Reverend Harris’ land, Nov. 7, 1831.
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Warrant (1 page, handwritten copy) that a complaint was presented to Edmund Riselay, Justice of the Peace in Bertie by Henry Nelles, Justice of the Peace in Niagara against William Wintermute and Benjamin Wright of Bertie by Joseph Lindeberry of Clinton regarding the suspicion of Wintermute and Wright stealing wheat from the Lindeberry barn. Benjamin Wright seemed the guiltier of the two and therefore it is requested that he be brought before a Justice of the Peace to be examined. This document is stained, but this does not affect the text, April 4, 1837.
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Letter to J.P. Bradley from William Harmon of Bytown regarding money due from a timber sale, Sept. 25, 1847.
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Probate (vellum) of Last Will and Testament of Hervey William Price of Welland who died Jan. 27, 1875. It is proven that the administration of the estate was granted to Joseph Augustus Woodruff, Aug. 19, 1880.
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Province of Upper Canada Grant (paper mounted on canvas) to William Dickson. He is granted 24 acres with allowance for roads in the Town of Newark in the County of Lincoln. This was entered in the auditor’s office on June 12, 1798. Parts of the paper are missing. This affects the text slightly, Nov. 10, 1797.
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Broadside, 45 cm. x 30 cm. of a requisition to W. Woodruff from William W. Ball, John McBride, Robert N. Ball, W. Servos, Joseph Wynn and 150 other people for Mr. Woodruff to run as a Representative in Parliament. This is followed by a positive, and humble response from Mr. Woodruff, June 3, 1856.
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Document de travail
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A l’époque de la Nouvelle-France, il n’était pas rare que des enfants de moins d’un an décèdent. Les parents acceptaient avec sagesse et résignation le décès de leurs enfants. Telle était la volonté du Tout-Puissant. Grâce au Registre de la Population du Québec Ancien (R.P.Q.A.) élaboré par le Programme de Recherche en Démographie Historique (P.R.D.H), l’ampleur de la mortalité infantile a pu être mesurée selon plusieurs critères, quelques facteurs déterminants examinés ainsi qu’une composante intergénérationnelle identifiée. Couvrant pour la première fois la totalité de l’existence de la colonie, nos résultats confirment l’importance de la mortalité des enfants aux XVIIe et XVIIIe siècles (entre 140 et 260‰ avant correction pour le sous-enregistrement des décès). Des disparités tangibles ont été constatées entre les sexes, selon le lieu de naissance ainsi que selon la catégorie professionnelle à laquelle appartient le père de l’enfant. L’inégalité des probabilités de survie des tout-petits reflète l’iniquité physiologique entre les genres, avec une surmortalité masculine de l’ordre de 20%, et l’influence de l’environnement dans lequel vit la famille : les petits de la ville de Québec décédaient en moyenne 1,5 à 1,2 fois plus que les petits des campagnes. Montréal, véritable hécatombe pour l’instant inexpliquée, perdait 50% de ses enfants avant l’âge d’un an, ce qui représente 1,9 fois plus de décès infantiles que ceux des enfants de la campagne, qui jouissent malgré tout des bienfaits de leur environnement. Les effets délétères de l’usage de la mise en nourrice, qui touche plus de la moitié des enfants des classes aisées citadines, ravagent leur descendance de plus en plus profondément. L’examen de la mortalité infantile sous ses composantes endogène et exogène révèle que la mortalité de causes exogènes explique au moins 70% de tous les décès infantiles. La récurrence des maladies infectieuses, l’absence d’hygiène personnelle, l’insalubrité des villes constituaient autant de dangers pour les enfants. Dans une perspective davantage familiale et intergénérationnelle où l’enfant est partie intégrante d’une fratrie, des risques significatifs ont été obtenus pour plusieurs caractéristiques déterminantes. Les mères de moins de 20 ans ou de plus de 30 ans, les enfants de rang de naissance supérieur à 8, un intervalle intergénésique inférieur à 21 mois ou avoir son aîné décédé accroissent les risques de décéder avant le premier anniversaire de l’ordre de 10 à 70%, parce que le destin d’un enfant n’est pas indépendant des caractéristiques de sa mère ou de sa fratrie. Nous avons aussi constaté une relation positive entre la mortalité infantile expérimentée par une mère et celle de ses filles. La distribution observée des filles ayant perdu au moins 40% de leurs enfants au même titre que leur mère est 1,3 à 1,9 fois plus grande que celle attendue pour les filles ayant eu 9 enfants et moins ou 10 enfants et plus. Il existerait une transmission intergénérationnelle de la mortalité infantile même lorsqu’on contrôle pour la période et la taille de la famille.
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