786 resultados para Standard of care


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Les tumeurs stromales gastrointestinales (GIST) sont les néoplasies mésenchymateuses les plus complexes du système gastrointestinal. Le traitement curatif standard de cette pathologie est la chirurgie avec l'obtention de marges microscopiques négatives. Les résultats impressionnants obtenus sur la prolongation de la survie avec l'administration d'imatinib (IM) chez les patients atteints de maladie métastatique et non-réséquable ont suggéré aux cliniciens que ce même médicament pourrait aussi collaborer à l'obtention de marges négatives plus aisément lors de cancer avancé. Jusqu'à présent, aucune étude prospective n'a caractérisée l'effet d'une thérapie néoadjuvante prolongée à l'IM sur la qualité de la résection chirurgicale subséquente. L'objectif de ce projet de maîtrise était d'évaluer l'efficacité de l'imatinib utilisé avant la chirurgie (néoadjuvant) jusqu'à l'obtention d'une réponse maximale, en vue d'augmenter le taux de résection microscopique complète (R0) dans le traitement chirurgical des GIST à haut risque de résection microscopique incomplète (R1) ou impossible (R2). Pour ce faire, une étude prospective multicentrique de phase II a été réalisée. Le traitement néoadjuvant à l'IM a été instauré chez des patients porteurs d'une GIST localement avancée ou métastatique. Au total, quatorze patients ont reçu une dose de 400-600 mg/d d'IM pour une durée de 6-12 mois avant la chirurgie. Quatorze patients ont été inclus dans l'étude. Onze ont eu une chirurgie à visée curative, un patient a démontré une maladie non-réséquable suite à une laparotomie exploratrice et deux patients ont refusé la chirurgie. Après un suivi moyen de 48 mois, tous les patients opérés étaient vivants et sept sans évidence de récidive. L'utilisation prolongée (12 mois) d'IM dans un contexte néoadjuvant est faisable, sécuritaire, efficace et comporte peu de toxicité. De plus, cette approche est associée à des hauts taux de résection complète (R0), tout en permettant une chirurgie moins extensive. Des études de phase III actuellement en cours sont nécessaires afin de confirmer nos résultats.

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La luxation du genou, bien que très rare, demeure une blessure dévastatrice car elle entraîne de multiples complications en raison de la nature complexe du traumatisme associé à cette lésion. La luxation peut résulter d'un traumatisme à haute ou basse énergie. Les blessures sévères aux ligaments et aux structures associées donnent à la luxation du genou un potentiel élevé d'atteinte fonctionnelle. Le traitement conservateur, qui était considéré comme acceptable auparavant, est maintenant réservé à un très faible pourcentage de patients. La reconstruction chirurgicale est maintenant préconisée dans la plupart des cas, mais de nombreuses options existent et le traitement chirurgical optimal à préconiser reste controversé. Certains chirurgiens recommandent la reconstruction complète de tous les ligaments endommagés le plus tôt possible, tandis que d'autres, craignant l’établissement d’arthrofibrose, limitent l'intervention chirurgicale immédiate à la reconstruction du ligament croisé postérieur et de l'angle postéro-externe. En raison des multiples structures endommagées lors d’une luxation du genou, les chirurgiens utilisent couramment la combinaison des autogreffes et des allogreffes pour compléter la reconstruction ligamentaire. Les complications associées au prélèvement de la greffe, l'allongement de la greffe, l’affaiblissement précoce du greffon ainsi que les risques de transmission de maladies ont poussé les chirurgiens à rechercher différentes options d’intervention. L'utilisation de matériaux synthétiques pour le remplacement du ligament lésé a été proposée dans les années ´80. Après une première vague d'enthousiasme, les résultats décevants à long terme et les taux élevés d'échec ont diminué sa popularité. Depuis lors, une nouvelle génération de ligaments artificiels a vu le jour et parmi eux, le Ligament Advanced Reinforced System (LARS) a montré des résultats prometteurs. Il a été utilisé récemment dans les reconstructions isolées du ligament croisé antérieur et du ligament croisé postérieur pour lesquelles il a montré de bons résultats à court et moyen termes. Le but de cette étude rétrospective était d'évaluer la fonction et la stabilité du genou après la luxation aiguë suivant la reconstruction des ligaments croisés avec le ligament artificiel de type LARS. Cette étude a évalué 71 patients présentant une luxation du genou et qui ont subi une chirurgie de reconstruction du ligament croisé antérieur et du ligament croisé postérieur à l'aide du ligament LARS. Suite à la chirurgie le même protocole intensif de réadaptation a été suivi pour tous les patients, où la mise en charge progressive était permise après une période d’environ 6 semaines pendant laquelle la force musculaire et la stabilité dynamique se rétablissaient. Les outils d’évaluation utilisés étaient le score Lysholm, le formulaire de «l’International Knee Documentation Committee», le «Short Form-36», les tests cliniques de stabilité du genou, l'amplitude de mouvement articulaire à l’aide d’un goniomètre et la radiographie en stress Telos à 30° et 90° de flexion du genou. Le même protocole d’évaluation a été appliqué au genou controlatéral pour des fins de comparaison. Les résultats subjectifs et objectifs de cette étude sont satisfaisants et suggèrent que la réparation et la reconstruction combinées avec ligaments LARS est une alternative valable pour le traitement des luxations aiguës du genou. Ces résultats démontrent que ces interventions produisent des effets durables en termes d’amélioration de la fonction et révèlent la durabilité à long terme des ligaments artificiels LARS. Les patients sont à la fois plus autonomes et plus satisfaits avec le temps, même si la luxation du genou est considérée comme une catastrophe au moment où elle se produit. Des études prospectives randomisées sont maintenant nécessaires afin de comparer la sélection de la greffe et le délai de reconstruction chirurgicale.

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Dans un contexte où les virus informatiques présentent un risque sérieux pour les réseaux à travers le globe, il est impératif de retenir la responsabilité des compagnies qui n’y maintiennent pas une sécurité adéquate. À ce jour, les tribunaux québécois n’ont pas encore été saisis d’affaires en responsabilité pour des virus informatiques. Cet article brosse un portrait général de la responsabilité entourant les virus informatiques en fonction des principes généraux de responsabilité civile en vigueur au Québec. L’auteur propose des solutions pour interpréter les trois critères traditionnels ­ la faute, le dommage et le lien causal ­ en mettant l’accent sur l’obligation de précaution qui repose sur les épaules de l’administrateur de réseau. Ce joueur clé pourrait bénéficier de l’adoption de dispositions générales afin de limiter sa responsabilité. De plus, les manufacturiers et les distributeurs peuvent également partager une partie de la responsabilité en proportion de la gravité de leur faute. Les entreprises ont un devoir légal de s’assurer que leurs systèmes sont sécuritaires afin de protéger les intérêts de leurs clients et des tiers.

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Se estimó la sensibilidad y especificidad de la citología de impresión como prueba diagnóstica en lesiones conjuntivales clínicamente sospechosas de neoplasia usando como patrón de oro la patología. Se estudiaron 60 pacientes, que ingresaron al azar a la Fundación Oftalmológica Nacional, con diagnóstico clínico de neoplasia de superficie ocular o lesión sospechosa de neoplasia, quienes fueron sometidos a citología de impresión y posterior resección quirúrgica completa, más estudio patológico de la lesión. Se realizó un análisis descriptivo, analizando la sensibilidad y la especificidad con el método clásico y análisis bayesiano.

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RESUMEN Antecedentes y Justificación: El cáncer de pulmón es la principal causa de muerte relacionada con Cáncer en el mundo. El cáncer pulmonar de células no pequeñas (Non-Small-cell lung cancer NSCLC) representa el 85% de todos los cánceres de pulmón y en un 40% es diagnosticado tardíamente y con los tratamientos disponibles actualmente (cirugía, radioterapia y quimioterapia) presenta una supervivencia a 5 años entre el 10 y el 15%. En los últimos años han surgido nuevos tratamientos basados en la inmunoterapia que prometen mejorar la supervivencia de estos pacientes. Objetivo: Determinar la eficacia de la inmunoterapia en el tratamiento del cáncer de pulmón de células no pequeñas (NSCLC) con el fin de integrar la información disponible para su posterior uso en la clínica. Metodología: Se realizó búsqueda exhaustiva de la literatura disponible del 1 de Enero de 2003 al 31 de Diciembre de 2013. Se examinaron las siguientes bases de datos: Pubmed, Scielo, Medline, Lilacs, EMBASE, Bandolier, peDRO y Cochrane. Se utilizaron los términos MeSH de búsqueda: immunotherapy, NSCLC, clinical trials. Resultados: de 163 referencias identificadas en las bases de datos, 12 fueron seleccionadas para la revisión. Se identificaron 11 estrategias inmunoterapéuticas que fueron complementarias al uso de quimioterapia, radioterapia o ambas. No se encontró diferencia significativa entre la supervivencia global de los grupos de intervención y controles con excepción de 1 artículo. La mayoría de efectos secundarios fueron de leves a moderados y no hubo diferencias significativas entre los grupos. Discusión: no se evidenció un aumento significativo de la supervivencia global con la utilización de inmunoterapias, a excepción de la que emplea células asesinas inducidas por citocinas junto a células dendríticas. Sin embargo es necesario esperar resultados de estudios fase III en curso.

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Background & Aims Patients infected with hepatitis C virus (HCV) genotype 1, body weight <85 kg, and high baseline viral load respond poorly to standard doses of pegylated interferon (peginterferon) and ribavirin. We evaluated intensified therapy with peginterferon alfa-2a plus ribavirin. Methods This double-blind randomized trial included HCV genotype 1-infected outpatients from hepatology clinics with body weight <85 kg and HCV RNA titer <400,000 IU/mL. Patients were randomized to 180 μg/wk peginterferon alfa-2a for 48 weeks plus 1200 mg/day ribavirin (standard of care) (group A, n = 191) or 1400/1600 mg/day ribavirin (group B, n = 189). Additional groups included 360 μg/wk peginterferon alfa-2a for 12 weeks then 180 μg/wk peginterferon alfa-2a for 36 weeks plus 1200 mg/day ribavirin (group C, n = 382) or 1400/1600 mg/day ribavirin (group D, n = 383). Follow-up lasted 24 weeks after treatment. Results Sustained virologic response rates (HCV RNA level <15 IU/mL at end of follow-up) in groups A, B, C, and D were 38%, 43%, 44%, and 41%, respectively. There were no significant differences among the 4 groups or between pooled peginterferon alfa-2a regimens (A + B vs C + D: odds ratio [OR], 1.08; 95% confidence interval [CI], 0.831.39; P = .584) or pooled ribavirin regimens (A + C vs B + D: OR, 1.00; 95% CI, 0.791.28; P = .974). Conclusions In patients infected with HCV genotype 1 who are difficult to treat (high viral load, body weight <85 kg), a 12-week induction regimen of peginterferon alfa-2a and/or higher-dose ribavirin is not more effective than the standard regimen. © 2010 AGA Institute.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Objectives: Laparoscopic resection for benign liver disease has gained wide acceptance in recent years and hepatocellular adenoma (HA) seems to be an appropriate indication. This study aimed to discuss diagnosis and treatment strategies, and to assess the feasibility, safety and outcomes of pure laparoscopic liver resection (LLR) in a large series of patients with HA. Methods: Of 88 patients who underwent pure LLR, 31 were identified as having HA. Diagnosis was based on radiological evaluation and resections were performed for lesions measuring >5.0 cm. Results: The sample included 29 female and two male patients. Their mean age was 33.2 years. A total of 27 patients had a single lesion, one patient had two and one had four lesions. The two remaining patients had liver adenomatosis. Mean tumour size was 7.5 cm. Three right hepatectomies, 17 left lateral sectionectomies and 11 wedge resections or segmentectomies were performed. There was no need for blood transfusion or conversion to open surgery. Postoperative complications occurred in two patients. Mean hospital stay was 3.8 days. Conclusions: Hepatocellular adenoma should be regarded as an excellent indication for pure LLR. Pure LLR is safe and feasible and should be considered the standard of care for the treatment of HA when performed by surgeons with experience in liver and laparoscopic surgery.

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Since the first laparoscopic adrenalectomy, the technique has evolved and it has become the standard of care for many adrenal diseases, including pheochromocytoma. Two laparoscopic accesses to the adrenal have been developed: transperitoneal and retroperitoneal. Retroperitoneoscopic adrenalectomy may be recommended for the treatment of pheochromocytoma with the same peri-operative outcomes of the transperitoneal approach because it allows direct access to the adrenal glands without increasing the operative risks. Although technically more demanding than the transperitoneal approach, retroperitoneoscopy can shorten the mean operative time, which is critical for cases with pheochromocytoma where minimizing the potential for intra-operative hemodynamic changes is essential. Blood loss and the convalescence time can be also shortened by this approach. There is no absolute indication for either the transperitoneal or retroperitoneal approach; however, the latter procedure may be the best option for patients who have undergone previous abdominal surgery and obese patients. Also, retroperitoneoscopic adrenalectomy is a good alternative for treating cases with inherited pheochromocytomas, such as multiple endocrine neoplasia type 2A, in which the pheochromocytoma is highly prevalent and frequently occurs bilaterally.

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Lo studio è stato condotto su pazienti affetti da carcinoma nasale trattati con radioterapia presso il Centro Oncologico Veterinario (Sasso Marconi, BO). Lo studio, prospettico, randomizzato e in doppio cieco, ha valutato l’efficacia del trattamento radioterapico in combinazione o meno con firocoxib, un inibitore selettivo dell’enzima ciclossigenasi 2 (COX-2). Sono stati inclusi pazienti con diagnosi istologica di carcinoma nasale sottoposti a stadiazione completa. I pazienti sono stati successivamente suddivisi in due gruppi in base alla tipologia di trattamento: radioterapia associata a firocoxib (Gruppo 1) o solo radioterapia (Gruppo 2). Dopo il trattamento, i pazienti sono stati monitorati a intervalli di 3 mesi sia clinicamente che mediante esami collaterali, al fine di valutare condizioni generali del paziente, un’eventuale tossicità dovuta alla somministrazione di firocoxib e la risposta oggettiva al trattamento. Per valutare la qualità di vita dei pazienti durante la terapia, è stato richiesto ai proprietari la compilazione mensile di un questionario. La mediana del tempo libero da progressione (PFI) è stata di 228 giorni (range 73-525) nel gruppo dei pazienti trattati con radioterapia e firocoxib e di 234 giorni (range 50-475) nei pazienti trattati solo con radioterapia. La sopravvivenza mediana (OS) nel Gruppo 1 è stata di 335 giorni (range 74-620) e di 244 giorni (range 85-505) nel Gruppo 2. Non si sono riscontrate differenze significative di PFI e OS tra i due gruppi. La presenza di metastasi ai linfonodi regionali condizionava negativamente PFI e sopravvivenza (P = 0.004). I pazienti trattati con firocoxib hanno mostrato un significativo beneficio in termini di qualità di vita rispetto ai pazienti trattati con sola radioterapia (P=0.008). La radioterapia può essere considerata un’efficace opzione terapeutica per i cani affetti da neoplasie nasali. Firocoxib non sembra migliorare significativamente i tempi di sopravvivenza, ma risulta utile al fine di garantire una migliore qualità di vita.

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Approximately 20% of leg ulcers remain unresponsive to the best conservative standard of care. So far, these patients could either receive conventional skin grafts or had to accept their intractable wound. Skin substitutes from cell culture may represent a promising alternative to heal a major part of these patients on a non-surgical, potentially more cost-effective basis.

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Patients with recurrent high-grade glioma (HGG) have a poor prognosis and there is no defined standard of care. High levels of vascular endothelial growth factor (VEGF) expressed in HGG make the anti-VEGF monoclonal antibody bevacizumab (BEV) of particular interest.

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We present a 3 day old girl born at term presenting with an interlabial, cystic mass. Pregnancy, delivery and routine antenatal screening were unremarkable. The smooth lesion was located in the anterior half of the vulva, covered with thin vessels. The medially displaced urethra and the medio-posteriorly displaced hymen were identified. Voiding was not impaired. We discuss the differential diagnosis of vulvar masses in the newborn girl. A thorough clinical examination must be the standard of care of pediatric examinations in infants.

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PURPOSE: Glioblastomas are notorious for resistance to therapy, which has been attributed to DNA-repair proficiency, a multitude of deregulated molecular pathways, and, more recently, to the particular biologic behavior of tumor stem-like cells. Here, we aimed to identify molecular profiles specific for treatment resistance to the current standard of care of concomitant chemoradiotherapy with the alkylating agent temozolomide. PATIENTS AND METHODS: Gene expression profiles of 80 glioblastomas were interrogated for associations with resistance to therapy. Patients were treated within clinical trials testing the addition of concomitant and adjuvant temozolomide to radiotherapy. RESULTS: An expression signature dominated by HOX genes, which comprises Prominin-1 (CD133), emerged as a predictor for poor survival in patients treated with concomitant chemoradiotherapy (n = 42; hazard ratio = 2.69; 95% CI, 1.38 to 5.26; P = .004). This association could be validated in an independent data set. Provocatively, the HOX cluster was reminiscent of a "self-renewal" signature (P = .008; Gene Set Enrichment Analysis) recently characterized in a mouse leukemia model. The HOX signature and EGFR expression were independent prognostic factors in multivariate analysis, adjusted for the O-6-methylguanine-DNA methyltransferase (MGMT) methylation status, a known predictive factor for benefit from temozolomide, and age. Better outcome was associated with gene clusters characterizing features of tumor-host interaction including tumor vascularization and cell adhesion, and innate immune response. CONCLUSION: This study provides first clinical evidence for the implication of a "glioma stem cell" or "self-renewal" phenotype in treatment resistance of glioblastoma. Biologic mechanisms identified here to be relevant for resistance will guide future targeted therapies and respective marker development for individualized treatment and patient selection.