946 resultados para Receptors, GABA
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Le virus de l’hépatite C (VHC) est un virus à ARN simple brin positif (ssARN) qui se replique dans le foie. Deux cents millions de personnes sont infectées par le virus dans le monde et environ 80% d’entre elles progresseront vers un stade chronique de l’infection. Les thérapies anti-virales actuelles comme l’interféron (IFN) ou la ribavirin sont de plus en plus utilisées mais ne sont efficaces que dans la moitié des individus traités et sont souvent accompagnées d’une toxicité ou d’effets secondaires indésirables. Le système immunitaire inné est essentiel au contrôle des infections virales. Les réponses immunitaires innées sont activées suite à la reconnaissance par les Pathogen Recognition Receptors (PRRs), de motifs macromoléculaires dérivés du virus appelés Pathogen-Associated Molecular Patterns (PAMPs). Bien que l'activation du système immunitaire par l'ARN ou les protéines du VHC ait été largement étudiée, très peu de choses sont actuellement connues concernant la détection du virus par le système immunitaire inné. Et même si l’on peut très rapidement déceler des réponses immunes in vivo après infection par le VHC, l’augmentation progressive et continue de la charge virale met en évidence une incapacité du système immunitaire à contrôler l’infection virale. Une meilleure compréhension des mécanismes d’activation du système immunitaire par le VHC semble, par conséquent, essentielle au développement de stratégies antivirales plus efficaces. Dans le présent travail nous montrons, dans un modèle de cellule primaire, que le génome ARN du VHC contient des séquences riches en GU capables de stimuler spécifiquement les récepteurs de type Toll (TLR) 7 et 8. Cette stimulation a pour conséquence la maturation des cellules dendritiques plasmacytoïdes (pDCs), le production d’interféron de type I (IFN) ainsi que l’induction de chémokines et cytokines inflammatoires par les différentes types de cellules présentatrices d’antigènes (APCs). Les cytokines produites après stimulation de monocytes ou de pDCs par ces séquences ssARN virales, inhibent la production du virus de façon dépendante de l’IFN. En revanche, les cytokines produites après stimulation de cellules dendritiques myéloïdes (mDCs) ou de macrophages par ces mêmes séquences n’ont pas d’effet inhibiteur sur la production virale car les séquences ssARN virales n’induisent pas la production d’IFN par ces cellules. Les cytokines produites après stimulation des TLR 7/8 ont également pour effet de diminuer, de façon indépendante de l’IFN, l’expression du récepteur au VHC (CD81) sur la lignée cellulaire Huh7.5, ce qui pourrait avoir pour conséquence de restreindre l’infection par le VHC. Quoiqu’il en soit, même si les récepteurs au VHC comme le CD81 sont largement exprimés à la surface de différentes sous populations lymphocytaires, les DCs et les monocytes ne répondent pas aux VHC, Nos résultats indiquent que seuls les macrophages sont capables de reconnaître le VHC et de produire des cytokines inflammatoires en réponse à ce dernier. La reconnaissance du VHC par les macrophages est liée à l’expression membranaire de DC-SIGN et l’engagement des TLR 7/8 qui en résulte. Comme d’autres agonistes du TLR 7/8, le VHC stimule la production de cytokines inflammatoires (TNF-α, IL-8, IL-6 et IL-1b) mais n’induit pas la production d’interféron-beta par les macrophages. De manière attendue, la production de cytokines par des macrophages stimulés par les ligands du TLR 7/8 ou les séquences ssARN virales n’inhibent pas la réplication virale. Nos résultats mettent en évidence la capacité des séquences ssARN dérivées du VHC à stimuler les TLR 7/8 dans différentes populations de DC et à initier une réponse immunitaire innée qui aboutit à la suppression de la réplication virale de façon dépendante de l’IFN. Quoiqu’il en soit, le VHC est capable d’échapper à sa reconnaissance par les monocytes et les DCs qui ont le potentiel pour produire de l’IFN et inhiber la réplication virale après engagement des TLR 7/8. Les macrophages possèdent quant à eux la capacité de reconnaître le VHC grâce en partie à l’expression de DC-SIGN à leur surface, mais n’inhibent pas la réplication du virus car ils ne produisent pas d’IFN. L’échappement du VHC aux défenses antivirales pourrait ainsi expliquer l’échec du système immunitaire inné à contrôler l’infection par le VHC. De plus, la production de cytokines inflammatoires observée après stimulation in vitro des macrophages par le VHC suggère leur potentielle contribution dans l’inflammation que l’on retrouve chez les individus infectés par le VHC.
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Les épilepsies génétiques généralisées (ÉGGs) sont un groupe de syndromes épileptiques hétérogènes qui se manifestent habituellement durant les périodes de l’enfance et de l’adolescence. Les ÉGGs représentent 30% de toutes les épilepsies. Il n’existe présentement aucun remède à l’épilepsie génétique généralisée. Au sein de ce groupe d’épilepsies, les sujets sont le plus souvent dépourvus de lésions cérébrales, ce qui signifie que les facteurs génétiques jouent un rôle important dans l’étiologie de la maladie. Au cours des dernières années, plusieurs gènes impliqués dans des formes familiales d’ÉGG ont été identifiés. La majorité d'entre elles codent pour des canaux ioniques incluant le récepteur-ligand GABAA (RGABAA). De ce groupe, des mutations ont été identifiées dans quatre sous-unités du récepteur GABAA. Dans un premier temps, l’objectif général de cette thèse vise l’évaluation de la composante génétique de notre cohorte d’ÉGG expliquée par les gènes codant pour les sous-unités du récepteur GABAA. Puis, dans un second souffle, le rôle des variants identifiés est défini et analysé afin de mieux cerner leurs impacts dans la pathogénèse de ce phénotype. La première partie du projet consiste en une analyse exhaustive des mutations existantes dans la partie codante des 19 gènes GABRA pour des patients atteints d’ÉGG. En criblant des familles québécoises avec ÉGG, nous avons identifié 22 variants rares incluant 19 faux-sens et 3 non-sens dans 14 sous-unités du RGABAA. En séquençant ces gènes dans une grande cohorte de cas et de contrôles, nous avons établi le profil des variations rares pour ceux-ci. Ces données suggèrent qu’une proportion significative (8%) des patients atteints d’ÉGG ont des variants rares sur les gènes du RGABAA. La deuxième partie porte directement sur certains gènes identifiés lors de la première partie. De ce groupe, cinq nouvelles mutations ont été découvertes dans des gènes déjà associés à l’épilepsie (GABRA1 et GABRG2). Nous avons constaté l’impact de ces mutations dans les mécanismes génétiques de l’épilepsie, en mesurant les effets des variants sur la structure et la fonction du récepteur GABAA. La troisième partie se concentre sur notre hypothèse, voulant que les RGABAA mutants altèrent l’effet du GABA durant le développement du système nerveux central (SNC). L’objectif principal vise à déterminer la contribution relative de chacune des sous-unités mutées dans le développement du SNC. Ainsi, nous avons démontré qu’une telle perte de fonction a un impact significatif sur le développement des synapses GABAergiques et glutamatergiques ainsi que sur la plasticité des circuits corticaux. Nos résultats nous ont permis de préciser comment les mutations dans les gènes GABRA peuvent mener à l’ÉGG. Éventuellement, la caractérisation moléculaire de ces mutations contribuera à l’élaboration de nouveaux outils diagnostiques et facilitera la mise au point de traitements mieux ciblés pour les gens atteints de cette condition neurologique chronique.
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L’association démontrée récemment entre les commotions cérébrales dans le sport et le développement possible de maladies neurodégénératives a suggéré la possibilité que des altérations persistantes soient présentes dans le cerveau de l’athlète commotionné. En fait, des altérations neurophysiologiques ont récemment été révélées au sein du cortex moteur primaire (M1) d’athlètes ayant un historique de commotions via la stimulation magnétique transcrânienne (SMT). Plus précisément, la période silencieuse corticale (PSC), une mesure d’inhibition liée aux récepteurs GABAB, était anormalement élevée, et cette hyper-inhibition était présente jusqu’à 30 ans post-commotion. La PSC, et possiblement le GABA, pourraient donc s’avérer des marqueurs objectifs des effets persistants de la commotion cérébrale. Toutefois, aucune étude à ce jour n’a directement évalué les niveaux de GABA chez l’athlète commotionné. Ainsi, les études cliniques et méthodologiques composant le présent ouvrage comportent deux objectifs principaux: (1) déterminer si l’inhibition excessive (GABA et PSC) est un marqueur des effets persistants de la commotion cérébrale; (2) déterminer s’il est possible de moduler l’inhibition intracorticale de façon non-invasive dans l’optique de développer de futurs avenues de traitements. L’article 1 révèle une préservation des systèmes sensorimoteurs, somatosensoriels et de l’inhibition liée au GABAA chez un groupe d’athlètes universitaires asymptomatiques ayant subi de multiples commotions cérébrales en comparaison avec des athlètes sans historique connu de commotion cérébrale. Cependant, une atteinte spécifique des mesures liées au système inhibiteur associé aux récepteurs GABAB est révélée chez les athlètes commotionnés en moyenne 24 mois post-commotion. Dans l’article 2, aucune atteinte des mesures SMT liées au système inhibiteur n’est révélée en moyenne 41 mois après la dernière commotion cérébrale chez un groupe d’athlètes asymptomatiques ayant subi 1 à 5 commotions cérébrales. Bien qu’aucune différence entre les groupes n’est obtenue quant aux concentrations de GABA et de glutamate dans M1 via la spectroscopie par résonance magnétique (SRM), des corrélations différentielles suggèrent la présence d’un déséquilibre métabolique entre le GABA et le glutamate chez les athlètes commotionnés. L’article 3 a démontré, chez des individus en bonne santé, un lien entre la PSC et la transmission glutamatergique, ainsi que le GABA et le glutamate. Ces résultats suggèrent que la PSC ne reflète pas directement les concentrations du GABA mesurées par la SRM, mais qu’un lien étroit entre la GABA et le glutamate est présent. L’article 4 a démontré la possibilité de moduler la PSC avec la stimulation électrique transcrânienne à courant direct (SÉTcd) anodale chez des individus en santé, suggérant l’existence d’un potentiel thérapeutique lié à l’utilisation de cette technique. L’article 5 a illustré un protocole d’évaluation des effets métaboliques de la SÉTcd bilatérale. Dans l’article 6, aucune modulation des systèmes GABAergiques révélées par la SMT et la SRM n’est obtenue suite à l’utilisation de ce protocole auprès d’individus en santé. Cet article révèle également que la SÉTcd anodale n’engendre pas de modulation significative du GABA et du glutamate. En somme, les études incluent dans le présent ouvrage ont permis d’approfondir les connaissances sur les effets neurophysiologiques et métaboliques des commotions cérébrales, mais également sur le mécanisme d’action des diverses méthodologies utilisées.
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Adrenergic stimulation has an inyortant role in the pancreatic It-cell proliferation and insulin secretion. In the present study. we have investigaled how sympathetic system mgulales the panrrealic n I rnerui nr ht an:ilyiing I'pinephi inn 1111 ), Norepinephrinc (NE) and /1-adrenergic receptor changes in the brain as (%eli is in the I swirls. Fill and NII showed a significant decrease in the brain regions, pancreas and plasma :rt 72Ius iller partial prurcrealectonty. We observed an increase in the circulating insulin levels at 72 hrs. Scatchard analysis using I CHI propranolol showed a significant increase in the number of loth the low affinity and high affinity t-adrenergic receplors in cerebral cortex and hypothalamus of partially pancreatectornised rats during peak DNA synthesis. The affinity of the receptors decrea,ed significantly in the low and high affinity receptors of cerebral cortex and the high affinity hypothalamic receptors. In file brain stein, low affinity receptors were increased significantly during regeneration whereas there was no change in the high affinity receptors. The pancreatic ff-adrenergic receptors were also up regulated at 72 firs after partial panerealectony. In vitro studies showed that /i-adrenergic receptors are positive regulators of islet cell proliferation and insulin secretion. Thus our results suggest that the t-adrenergic receptors are functionally enhanced during pancreatic regeneration, which in turn increases pancreatic ft-cell proliferation an(hilisulin secretion in wean hug rats.
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Gamma amino outyric acid is a major inhibitory neurotrarsr titter in the central nervous system. In the preset study sv, Have investigate(' the alteration of GABA receptor, In t he hrain stem of rats during pancreatic regeneration. Three groups of rats were used for the study: sham operated, 72 It and 7 days partially pancreatectonnsea. GABA was (juan- (ified by [H]GABA receptor iispiacement method. GABA receptor kin: 10, pat at i et•ers were studied by using the binding of F'.](iAhA as ligand to the Triton X-100 treated me,i1,;-:mes a1,J displacement with unlabelled GABA. GhRA,v receptor activity was studied by using the [` -1 h3cuculline and displacement with unlabellecV euculline. ;.\13A content significantly decreased (1' < (1.(101 ) it, 0-e brain stern during the regeneration of pancreas. 'I hl, high affinity (IAI3A receptor binding sho?:ed it sigii'f cant decrease in 131„.,\ (P < 11.01) and K,I 1).05) n 72 h and 7 days after partial pancreatee 'timv. ";:flhicuculline hin(Iing showed it signih eat, 'le ( r(, :,e in /Jn1,s and K,I (P < 0.001) in 72 h pa^.rcreaw,, mised rats when compared with sham wt--tt' as P,n and K,I reversed to near sham after 7 da,s of pancreatectomv. The results sugge,) that GAB A throur,r; ('GABA receptors in brain Atcem has a regulatory uie during active regeneration of pancreas which will have inunense clinical significance in the treatment of cliahetcs.
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In the present study dopamine was measured in the hypothalamus, brainstem, pancreatic islets and plasma, using HPLC. Dopamine D2 receptor changes in the hypothalamus, brainstem and pancreatic islets were studied using [3H] YM-09151-2 in streptozotocin-induced diabetic and insulintreated diabetic rats. There was a significant decrease in dopatnine content in the hypothalamus (P<0.001), brainstem (P<0.001), pancreatic islets (P<0.001) and plasma (P<0.00I) in diabetic rats when compared to control. Scatchard analysis of [3H] YM-09151-2 in the hypothalamus of diabetic rats showed a significant decrease in Bax (P<0.001) and Kd, showing an increased affinity of D2 receptors when compared to control. Insulin treatment did not completely reverse the changes that occurred during diabetes. There was a significant decrease in B,nax (P<0.01) with decreased affinity in the brainstem of diabetic rats. The islet membrane preparation of diabetic rats showed a significant decrease (P<0.001) in the binding of [3H] YM-09 151-2 with decreased Kd (P<0.001) compared to control. The increase in affinity of D2 receptors in hypothalamus and pancreatic islets and the decreased affinity in brainstem were confirmed by competition analysis. Thus our results suggest that the decreased dopamine D, receptor function in the hypothalamus, brainstem and pancreas affects insulin secretion in diabetic rats, which has immense clinical relevance to the management of diabetes.
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GABAergic alterations in hypothalamus during compensatory hyperplasia after partial hepatectomy (PH), lead nitrate (LN) induced direct hyperplasia and N-nitrosodiethylamine (NDEA) induced neoplasia in liver were investigated. Serum GABA levels were increased in all 3 experimental groups compared with the control. GABA content decreased in hypothalamus of PH and NDEA treated rats, while it increased in LN treated rats. GABAA receptor number and affinity in hypothalamic membrane preparations of rats showed a significant decrease in PH and NDEA treated rats, while in LN treated rats the affinity increased without any change in the receptor number. The GABAB receptor number increased in PH and NDEA treated rats, while it decreased in LN treated rats. The affinity of the receptor also increased in NDEA treated rats. Plasma NE levels showed significant increase in PH and NDEA rats compared with the control while it decreased in LN treated rats. The results of the present study suggests that liver cell proliferation is influencing the hypothalamic GABAergic neurotransmission and these changes regulate the hepatic proliferation through the sympathetic stimulation.
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Gamma aminohutyric acid (GAB A.) receptor tunctionaI status was artaIV se(l in pa It ial hcpatcctoIn ised.II'II). lead nitrate (LN) induced hyperplastic and N-nifrosodiethylantinc INDEAI treated nctplastic rat Iivers during peak DNA synthesis. The high-affinity I'HJGALA binding significantly decreased in PII and NDEi\ rats and the receptor affinity decreased in NDEA and increased in LN rats compared with control . in NDEA. displacement analysis of I'I IIGABA with muscimol showed loss of low-allinity site and a shill of high-allinity cite towards low-allinity . ' 1 he affinity sites shifted towards high-affinity in LN rats. 'file number of low-allinity 1'I Ilhicuc)lline receptors decreased cignilic:uttly in NDEA and I'll whereas it increased in LN rats. (ir\Bi\t receptor :gunist. unrscinrul. disc dependcnllyinhihilcd epidermal growth factor IEGI--) induced DNA synthesis :uul enhanced the tr:utsfnrnting grmvth )actor (Il I I'(il (tlI mediated DNA synthesis suppression in prim:uy hepalucvte cultures . Our results suggest that GABA,t reccjhtor act as an inhibitory signal fur hepatic cell prolifctatiun.
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5-Hydroxytryptamine2A (5-HT2A) receptor kinetics was studied in cerebral cortex and brain stem of streptozotocin (STZ) induced diabetic rats. Scatchard analysis with [3H] (±) 2,3dimethoxyphenyl-l-[2-(4-piperidine)-methanol] ([3H]MDL100907) in cerebral cortex showed no significant change in maximal binding (Bmax) in diabetic rats compared to controls. Dissociation constant (K) of diabetic rats showed a significant decrease (p < 0.05) in cerebral cortex, which was reversed to normal by insulin treatment. Competition studies of [3H]MDL100907 binding in cerebral cortex with ketanserin showed the appearance of an additional low affinity site for 5-HT2A receptors in diabetic state, which was reversed to control pattern by insulin treatment. In brain stem, scatchard analysis showed a significant increase (p < 0.05) in Bmax accompanied by a significant increase (p < 0.05) in Kd. Competition analysis in brain stem also showed a shift in affinity towards a low affinity State for 5-HT2A receptors. All these parameters were reversed to control level by insulin treatment. These results show that in cerebral cortex there is an increase in affinity of 5-HT2A receptors without any change in its number and in the case of brain stem there is an increase in number of 5HT2A receptors accompanied by a decrease in its affinity during diabetes. Thus, from the results we suggest that the increase in affinity of 5-HT2A receptors in cerebral cortex and upregulation of 5-HT2A receptors in brain stem may lead to altered neuronal function in diabetes.
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The stimulatory effect of dopamine through dopamine 1)2 receptor on glucose - induced insulin secretion was studied in the pancreatic islets in nitro. I)oparnilie signifieanlly stimula(ed insulin secretion at a concentration of 10 a N1 in the presence of high,glucose ( 20 nii1 ). ' fhe higher concentrations of dopamine (111 -1() 4) inhibited glucose- induced insulin secretion in the presence of both 4 mM1 and 20 m M glucose. Stimulatory and inhibitory effect of dopamine on glucose - induced insulin secretion was reverted by the addition of dopamine 1)2 receptor antagonists such as butaclamol and sulpiride . Norepinephrine (NE) at 111 4 11 concentration inhibited the dopamine uptake as well as its stimulatory effect at 11) - 8 IN1 concentration on glucose induced insulin secretion. Our results suggest that dopamine exerts a differential effect on glucose -induced insulin secretion through dopamine D2 receptor and it is essential for the regulation of glucose-induced insulin secretion by pancreatic islets.
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The high-affinity bindings of [3H]-5-hydroxytryptamine to serotonin S-1 receptors, [3H]-ketanserin to serotonin S-2 receptors in the cerebral cortex, [3H]- fluphenazine to dopamine D-1 receptors, and [3H]-spiroperidol to dopamine D-2 receptors in the corpus striatum were studied in pyridoxine-deficient rats and compared to pyridoxine-supplemented controls. There was a significant increase in the maximal binding (Bmax) of serotonin S-1 and S-2 receptors with a significant decrease in their binding affinities (Kd). However, there were no significant changes either in the maximal binding or binding affinity of striatal dopamine D- 1 and D-2 receptors. Receptor sensitivity seems to correlate negatively with the corresponding neurotransmitter concentrations in the pyridoxine-deficient rats.
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The high-affinity of [3H]y-aminobutyric acid (GABA) to GABAA receptors and [3H]baclofen to GABAB receptors were studied in the cerebellum of pyridoxine-deficient rats and compared to pyridoxine-supplemented controls. There was a significant increase in the maximal binding ( Bmax) of both GABAA and GABAB receptors with no significant difference in their binding affinities (Kd). The changes observed suggest a supersensitivity of GABAA and GABAB receptors which seems to correlate negatively with the concentration of GABA in the cerebellum of pyridoxine-deficient rats.
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The recent developments in neurobiology have rendered new prominence and potential to study about the structure and function of brain and related disorders. Human behaviour is the net result of neural control of the communication between brain cells. Neurotransmitters are chemicals that are used to relay, amplify and modulate electrical signals between neurons and/or another cell. It mediates rapid intercellular communication through the nervous system by interacting with cell surface receptors. These receptors often trigger second messenger signaling pathways that regulate the activity of ion channels. The functional balance of different neurotransmitters such as Acetylcholine (Ach), Dopamine (DA), Serotonin (5-HT), Norepinephrine (NE), Epinephrine (EPI), Glutamate and Gamma amino butyric acid (GABA) regulates the growth, division and other vital functions of a normal cell / organism (Sudha, 1998). Any change in neurotransmitters' functional balance will result in the failure of cell function and may lead to the occurrence of diseases. Abnormalities in the production or functioning of neurotransmitters have been implicated in a number of neurological disorders like Schizophrenia, Alzheimer's, Epilepsy, Depression and Parkinson's disease. Changes in central and peripheral neuronal signaling system is also noted in diabetes, cancer, cell proliferation, alcoholism and aging. Elucidation of neurotransmitters receptor interaction pathways and gene expression regulation by second messengers and transcriptional factors in health and disease conditions can lead to new small molecules for development of therapeutic agents to improve neurological disease conditions. Increased awareness of the global effects of neurological disorders should help health care planners and the neurological community set appropriate priorities in research, prevention, and management of these diseases.
Age-related and sex-related alterations in f3-adrenergic receptors in different regions of rat brain
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The binding of (-)[ 3H ]dihydroalprenolol , an antagonist of norepinephrine , to $-adrenergic receptors in different regions of the brain of male and female rats of various ages was measured . The binding to the synaptosomal fraction of corpus striatum , hypothalamus, cerebral cortex, cerebellum and the brainstems shows a significant decrease in the binding in old rats of both sexes . Only in the female corpus striatal region, the binding in the adult and the old is the same . In the case of females, the highest binding is seen in the young. In the male, an increase in binding occurs up to adulthood , after which it declines, suggesting a definite sex-related difference in the Q-adrenergic receptor.