988 resultados para New York Entomological Society.
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Receipt from Adam, Meldrum and Anderson, Buffalo, New York for sateen, May 17, 1887.
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Receipt from A. Cutler and Son, Buffalo, New York for oak chairs in leather and bookcase, Sept. 19, 1887.
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Receipt from A. Cutler and Son, Buffalo, New York for oak chairs in leather and bookcase, Sept. 19, 1887.
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Receipt from Lucien Howe, M.D., Buffalo, New York for ear examination, Sept. 24, 1887.
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Receipt from the Genesee, Buffalo, New York for rooms rented, Sept. 24, 1887.
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Receipt from N. W. Harris and Co., Bankers, New York for installment on Dominion Power and Transmission Co., Dec. 19, 1907.
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Letter to the Honourable William Dickson at Wood Lawn, Youngstown, New York from W. Bushby. He says that Mary is probably going to marry Mr. Lyon and he asks if there is any chance that Mr. Dickson could come for the wedding. He says he heard about the death of George Hamilton from John Hamilton (3 ½ pages, handwritten), Sept. 29, 1836.
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Letter addressed to Jeremiah Jackson of Wall Street, New York from his brother A. Jackson, Austin, Texas. This letter introduces his brother A, Jackson to Mr. Collier. Mr. Collier delivered the letter on his way home to St. Catharines, April 14, 1845.
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Map (printed) of Bellevue near Niagara Falls, New York, 48 cm. x 60 cm. There some staining and the map has been taped on the back. This does not affect the item. There is an illustration of the Suspension Bridge at Bellevue at the bottom of the page, 1847.
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UANL
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UANL
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Présente depuis le temps des Romains, et bien au-delà des simples «articles de Paris», la contrefaçon s’est introduite dans tous les domaines de fabrication. L’objectif de cette recherche est de déterminer quelles peuvent être les raisons et les motivations qui poussent un groupe d’immigrants à se spécialiser dans la vente de contrefaçon d’objet de luxe. Pour y répondre, nous proposons de suivre deux hypothèses. D'une part, le contexte politicoéconomique international est constitué de telle sorte qu'il favorise un groupe restreint de pays et limite en contrepartie les débouchés à bon nombre de pays en développement. Les pays développés modulent, ou font pression sur les organisations internationales à leur image afin d'en tirer davantage de bénéfices, et souvent au détriment des pays en développement. Et d'autre part, à l'intérieur de ces populations en mouvement, certains individus font le choix (inévitable ou stratégique) de se cantonner dans un commerce de la rue, parfois illégal, comme c'est le cas de la vente d'objet de luxe contrefait. D’un autre côté, l’adhésion d’un individu à un commerce illégal ne peut lui être totalement imposée par des forces extérieures. Ainsi, il est démontré dans ce travail, que la vente de contrefaçon répond aux particularités et aux exigences de certains individus: statut d’immigrants illégaux, peu ou pas d’expérience de travail compatible avec le pays d’accueil, travail sans contraintes d’horaire, travail à l’extérieur et, surtout, favorisant la vie sociale.
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Les débats économiques au 19e siècle, loin d’être l’apanage du monde universitaire, étaient aux États-Unis un des principaux objets de contentieux entre les partis politiques et ceux-ci trouvaient écho dans la sphère publique. Les journaux étaient alors le principal moyen de communiquer les opinions des différents partis. La présente étude vise à mettre en contexte et cerner la position des écrits du plus important économiste américain de son époque, Henry Charles Carey (1793-1879), reconnu comme tel par J.S. Mill et Karl Marx en leur temps, lors de la décennie de 1850 dans le journal le plus influent de cette période, le New York Tribune. Pour ce faire, il a fallu au préalable identifier les articles non signés de Carey dans le journal, ce qui n’avait auparavant jamais été fait. Au moment d’écrire dans le principal organe américain qui défendait la protection aux États-Unis afin d’industrialiser le pays, Carey était alors le représentant le plus prééminent du système américain d’économie. Ce dernier, fondé sur les écrits d’Alexander Hamilton, prônait l’industrialisation des États-Unis et l’intervention de l’État pour défendre le bien commun, s’opposant ainsi à l’école libérale anglaise basée sur les écrits d’Adam Smith. Conceptuellement, la pensée économique de Carey se situe dans la tradition des Autres Canon, basée sur la production et l’innovation. Ceci le mena à s’opposer avec vigueur tant au malthusianisme qu’à la division internationale du travail, justifiée théoriquement par la thèse de l’avantage comparatif de Ricardo. En effet, dans son analyse, la volonté exprimée au milieu du 19e siècle par l’Angleterre de devenir l’atelier du monde et de faire du reste des nations des producteurs de matières premières sous un régime de libre-échange n’était rien d’autre que la continuation de la politique coloniale par d’autres moyens. Pour Carey, la spécialisation dans l’exportation de matières premières, notamment défendue par les planteurs du Sud des États-Unis, loin d’être bénéfique au pays, était le sûr gage de la pauvreté comme les cas de l’Irlande et de l’Inde le démontraient.