506 resultados para Menopausal obesity


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La relation entre l’obésité et le cancer, bien qu’établie par des études épidémiologiques, est peu connue. Pourtant, environ 25 % des cancers pourraient y être attribuables. Parmi les cancers reliés à l’obésité, les cancers du côlon, du sein chez les femmes ménopausées et de la prostate sont les plus fréquents. Des études sur modèles animaux ont suggéré une association positive entre une diète riche en gras et le développement du cancer mammaire et de la prostate. Nous avons étudié les mécanismes moléculaires par lesquels les acides gras influencent le devenir de lignées de cellules cancéreuses du sein et de la prostate. Ces travaux ont montré que les acides gras insaturés, dont l’oléate, induisent la prolifération cellulaire tandis que les acides gras saturés, dont le palmitate, diminuent la prolifération. Un traitement à l’oléate stimule la formation de gouttelettes lipidiques dans le cytoplasme des cellules de cancer du sein MDA-MB-231 et de la prostate DU145 alors qu’un traitement au palmitate entraîne l’apoptose. Le mécanisme d’action de l’oléate sur la prolifération a été étudié de façon plus approfondie. L’utilisation d’inhibiteurs pharmacologiques nous a permis de déterminer que l’effet prolifératif de l’oléate implique la voie PI3K/Akt, la voie ERK1/2 et l’activation d’un ou de plusieurs récepteur(s) couplé(s) aux protéines G (GPCR). L’oléate induit la phosphorylation rapide des protéines Akt et ERK1/2 dans les cellules de cancer du sein MDA-MB-231 et de la prostate DU145. Au cours des dernières années, deux GPCRs ont été identifiés comme étant activables par des acides gras à moyennes et à longues chaînes, GPR40 et GPR120. GPR40 étant exprimé dans plusieurs lignées cellulaires de cancer du sein et de la prostate contrairement à l’expression de GPR120 qui était inexistante dans la plupart des lignées, nous avons étudié l’implication de GPR40 dans l’effet prolifératif de l’oléate. Ces deux récepteurs n’étant pas exprimés dans les cellules épithéliales mammaires humaines en culture primaire, ces cellules ne répondent pas aux effets de l’oléate sur la prolifération et l’activation des voies de signalisation. L’activation des voies Akt et ERK1/2 par l’oléate dans les cellules MDA-MB-231 et DU145 est potentialisée par la surexpression du récepteur GPR40 et inhibée par l’utilisation d’un siRNA dirigé contre ce récepteur. Cependant, la prolifération induite par l’oléate ne semble pas affectée par la présence d’un siRNA dirigé contre GPR40. L’oléate étant un acide gras, il est capable d’entrer librement dans les cellules et une partie de ses effets sur la prolifération pourrait être attribuée à sa métabolisation. Un agoniste de GPR40, le GW9508, est en mesure d’activer GPR40 sans toutefois entrer dans les cellules ni activer le métabolisme de l’oléate. Le GW9508 stimule la phosphorylation des protéines Akt et ERK1/2 dans les cellules du cancer du sein MDA-MB-231 et de la prostate DU145, mais il n’est pas en mesure d’induire la prolifération cellulaire comme le fait l’oléate. Ces résultats nous permettent de mieux comprendre le mécanisme d’action de l’oléate sur les cellules de cancer du sein et de la prostate. L’oléate induit la signalisation de GPR40 qui est impliquée dans l’activation rapide des voies de signalisation Akt et ERK1/2. De son côté, l’effet prolifératif induit par l’oléate s’effectue par un mécanisme GPR40-indépendant, possiblement lié au métabolisme de l’oléate.

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Les habitudes de consommation de substances psychoactives, le stress, l’obésité et les traits cardiovasculaires associés seraient en partie reliés aux mêmes facteurs génétiques. Afin d’explorer cette hypothèse, nous avons effectué, chez 119 familles multi-générationnelles québécoises de la région du Saguenay-Lac-St-Jean, des études d’association et de liaison pangénomiques pour les composantes génétiques : de la consommation usuelle d’alcool, de tabac et de café, de la réponse au stress physique et psychologique, des traits anthropométriques reliés à l’obésité, ainsi que des mesures du rythme cardiaque (RC) et de la pression artérielle (PA). 58000 SNPs et 437 marqueurs microsatellites ont été utilisés et l’annotation fonctionnelle des gènes candidats identifiés a ensuite été réalisée. Nous avons détecté des corrélations phénotypiques significatives entre les substances psychoactives, le stress, l’obésité et les traits hémodynamiques. Par exemple, les consommateurs d’alcool et de tabac ont montré un RC significativement diminué en réponse au stress psychologique. De plus, les consommateurs de tabac avaient des PA plus basses que les non-consommateurs. Aussi, les hypertendus présentaient des RC et PA systoliques accrus en réponse au stress psychologique et un indice de masse corporelle (IMC) élevé, comparativement aux normotendus. D’autre part, l’utilisation de tabac augmenterait les taux corporels d’épinéphrine, et des niveaux élevés d’épinéphrine ont été associés à des IMC diminués. Ainsi, en accord avec les corrélations inter-phénotypiques, nous avons identifié plusieurs gènes associés/liés à la consommation de substances psychoactives, à la réponse au stress physique et psychologique, aux traits reliés à l’obésité et aux traits hémodynamiques incluant CAMK4, CNTN4, DLG2, DAG1, FHIT, GRID2, ITPR2, NOVA1, NRG3 et PRKCE. Ces gènes codent pour des protéines constituant un réseau d’interactions, impliquées dans la plasticité synaptique, et hautement exprimées dans le cerveau et ses tissus associés. De plus, l’analyse des sentiers de signalisation pour les gènes identifiés (P = 0,03) a révélé une induction de mécanismes de Potentialisation à Long Terme. Les variations des traits étudiés seraient en grande partie liées au sexe et au statut d’hypertension. Pour la consommation de tabac, nous avons noté que le degré et le sens des corrélations avec l’obésité, les traits hémodynamiques et le stress sont spécifiques au sexe et à la pression artérielle. Par exemple, si des variations ont été détectées entre les hommes fumeurs et non-fumeurs (anciens et jamais), aucune différence n’a été observée chez les femmes. Nous avons aussi identifié de nombreux traits reliés à l’obésité dont la corrélation avec la consommation de tabac apparaît essentiellement plus liée à des facteurs génétiques qu’au fait de fumer en lui-même. Pour le sexe et l’hypertension, des différences dans l’héritabilité de nombreux traits ont également été observées. En effet, des analyses génétiques sur des sous-groupes spécifiques ont révélé des gènes additionnels partageant des fonctions synaptiques : CAMK4, CNTN5, DNM3, KCNAB1 (spécifique à l’hypertension), CNTN4, DNM3, FHIT, ITPR1 and NRXN3 (spécifique au sexe). Ces gènes codent pour des protéines interagissant avec les protéines de gènes détectés dans l’analyse générale. De plus, pour les gènes des sous-groupes, les résultats des analyses des sentiers de signalisation et des profils d’expression des gènes ont montré des caractéristiques similaires à celles de l’analyse générale. La convergence substantielle entre les déterminants génétiques des substances psychoactives, du stress, de l’obésité et des traits hémodynamiques soutiennent la notion selon laquelle les variations génétiques des voies de plasticité synaptique constitueraient une interface commune avec les différences génétiques liées au sexe et à l’hypertension. Nous pensons, également, que la plasticité synaptique interviendrait dans de nombreux phénotypes complexes influencés par le mode de vie. En définitive, ces résultats indiquent que des approches basées sur des sous-groupes et des réseaux amélioreraient la compréhension de la nature polygénique des phénotypes complexes, et des processus moléculaires communs qui les définissent.

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CONTEXTE: L'inefficacité de captation des acides gras libres (AGL) par le tissu adipeux blanc (TAB) est connue pour favoriser la résistance à l'insuline (RI) dans les tissus périphériques, mais dans le foie, elle favorise également la production accrue de lipoprotéines contenant l'apolipoprotéine B100 (lipoprotéines apoB). Nous avons récemment démontré que les femmes post-ménopausées obèses avec un nombre élevé de lipoprotéines apoB à jeun (apoB plasmatique > 1,2 g/L) avaient plus de RI que les femmes avec un taux d’apoB normal. Notre objectif était donc d'examiner si l'inefficacité de captation des AGL pourrait être un mécanisme expliquant la RI, in vivo dans cette population. HYPOTHÈSES: Les femmes ménopausées en surpoids/obèses avec un taux d’apoB élevé ont moins d'efficacité à capter les AGL par le TAB que les femmes avec un taux d’apoB faible. MÉTHODES/RÉSULTATS: L'efficacité de captation des AGL a été examinée dans 22 femmes non diabétiques en surpoids/obèses. La population a été séparée selon la médiane d’apoB (0.9 g/L) en 2 groupes; les femmes ayant un taux d’apoB inférieur vs supérieur à la médiane (N=11/groupe). L'efficacité de captation des AGL par le TAB a été indirectement évaluée en suivant le sort d'un repas riche en gras (0.0162g 13C-trioléine/g de matières grasses, 66% de gras, 47g gras/m2 surface corporelle) marqué au 13C-trioléine, sur 6h en circulation ([13C]TG et [13C]AGL plasmatiques) et en oxydation (13CO2 dans l’air expiré [AE]). L’enrichissement en 13C des échantillons d’AE et du plasma a été mesuré par spectrométrie de masse pour ratio isotopique. Les femmes ayant un apoB élevé avaient une clairance plasmatique totale postprandiale des TG (p <0,05) réduite sans diminuer de la clairance plasmatique totale des AGL, par rapport aux femmes ayant un faible taux d’apoB. Cependant, en examinant le sort du 13C-trioléine, les femmes ayant un apoB élevé avait une réduction de la clairance des [13C]TG plasmatiques (44,78 μM vs 7,81 μM; p <0,05) et des [13C]AGL plasmatiques (2,64 uM vs 0,06 uM; p <0,05) à 6h, sans aucune différence en % récupéré de 13C-trioléine dans le CO2 de l’AE. Ces données suggèrent que les femmes ayant un taux d’apoB élevé ont une réduction postprandiale de la clairance et de la captation de 13Ctrioléine par le TAB. CONCLUSION: La captation inefficace des AGL par le TAB des femmes post-ménopausées en surpoids et obèses avec un surplus d’apoB peut être un mécanisme sousjacent à la RI chez ces sujets.

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Contexte: L'obésité chez les jeunes représente aujourd’hui un problème de santé publique à l’échelle mondiale. Afin d’identifier des cibles potentielles pour des stratégies populationnelles de prévention, les liens entre les caractéristiques du voisinage, l’obésité chez les jeunes et les habitudes de vie font de plus en plus l’objet d’études. Cependant, la recherche à ce jour comporte plusieurs incohérences. But: L’objectif général de cette thèse est d’étudier la contribution de différentes caractéristiques du voisinage relativement à l’obésité chez les jeunes et les habitudes de vie qui y sont associées. Les objectifs spécifiques consistent à: 1) Examiner les associations entre la présence de différents commerces d’alimentation dans les voisinages résidentiels et scolaires des enfants et leurs habitudes alimentaires; 2) Examiner comment l’exposition à certaines caractéristiques du voisinage résidentiel détermine l’obésité au niveau familial (chez le jeune, la mère et le père), ainsi que l’obésité individuelle pour chaque membre de la famille; 3) Identifier des combinaisons de facteurs de risque individuels, familiaux et du voisinage résidentiel qui prédisent le mieux l’obésité chez les jeunes, et déterminer si ces profils de facteurs de risque prédisent aussi un changement dans l’obésité après un suivi de deux ans. Méthodes: Les données proviennent de l’étude QUALITY, une cohorte québécoise de 630 jeunes, âgés de 8-10 ans au temps 1, avec une histoire d’obésité parentale. Les voisinages de 512 participants habitant la Région métropolitaine de Montréal ont été caractérisés à l’aide de : 1) données spatiales provenant du recensement et de bases de données administratives, calculées pour des zones tampons à partir du réseau routier et centrées sur le lieu de la résidence et de l’école; et 2) des observations menées par des évaluateurs dans le voisinage résidentiel. Les mesures du voisinage étudiées se rapportent aux caractéristiques de l’environnement bâti, social et alimentaire. L’obésité a été estimée aux temps 1 et 2 à l’aide de l’indice de masse corporelle (IMC) calculé à partir du poids et de la taille mesurés. Les habitudes alimentaires ont été mesurées au temps 1 à l'aide de trois rappels alimentaires. Les analyses effectuées comprennent, entres autres, des équations d'estimation généralisées, des régressions multiniveaux et des analyses prédictives basées sur des arbres de décision. Résultats: Les résultats démontrent la présence d’associations avec l’obésité chez les jeunes et les habitudes alimentaires pour certaines caractéristiques du voisinage. En particulier, la présence de dépanneurs et de restaurants-minutes dans le voisinage résidentiel et scolaire est associée avec de moins bonnes habitudes alimentaires. La présence accrue de trafic routier, ainsi qu’un faible niveau de prestige et d’urbanisation dans le voisinage résidentiel sont associés à l’obésité familiale. Enfin, les résultats montrent qu’habiter un voisinage obésogène, caractérisé par une défavorisation socioéconomique, la présence de moins de parcs et de plus de dépanneurs, prédit l'obésité chez les jeunes lorsque combiné à la présence de facteurs de risque individuels et familiaux. Conclusion: Cette thèse contribue aux écrits sur les voisinages et l’obésité chez les jeunes en considérant à la fois l'influence potentielle du voisinage résidentiel et scolaire ainsi que l’influence de l’environnement familial, en utilisant des méthodes objectives pour caractériser le voisinage et en utilisant des méthodes statistiques novatrices. Les résultats appuient en outre la notion que les efforts de prévention de l'obésité doivent cibler les multiples facteurs de risque de l'obésité chez les jeunes dans les environnements bâtis, sociaux et familiaux de ces jeunes.

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Flavonoid extracts derived from plant foods have been shown to benefit certain types of fluid retention. However, no studies have investigated these compounds for use in premenstrual fluid retention, a complaint common among women with otherwise normal menstrual cycles. Therefore, we conducted a double-blind, placebo-controlled, pilot study into the effect of a daily flavonoid extract (Colladeen(R), 320 mg oligomeric procyanidins) on premenstrual fluid retention. Fluid retention was assessed at baseline and throughout 4 menstrual cycles of the intervention using validated questionnaires. Leg girth was also measured at baseline and at the end of the study. Thirty subjects completed the study (n = 18 active treatment; n = 12 placebo). Although no significant changes in leg girth measurements were noted, there was a significant improvement in subjective "leg health" scores after flavonoid treatment compared to placebo (p = 0.013). Furthermore, this was accompanied by an improvement in reported premenstrual fluid retention nearing significance (p = 0.066). We conclude that flavonoids supplements may provide a new therapeutic direction to counter premenstrual fluid retention and improve leg health. A larger study is now warranted.

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The increase in CVD incidence following the menopause is associated with oestrogen loss. Dietary isoflavones are thought to be cardioprotective via their oestrogenic and oestrogen receptor-independent effects, but evidence to support this role is scarce. Individual variation in response to diet may be considerable and can obscure potential beneficial effects in a sample population; in particular, the response to isoflavone treatment may vary according to genotype and equol-production status. The effects of isoflavone supplementation (50hairspmg/d) on a range of established and novel biomarkers of CVD, including markers of lipid and glucose metabolism and inflammatory biomarkers, have been investigated in a placebo-controlled 2x8-week randomised cross-over study in 117 healthy post-menopausal women. Responsiveness to isoflavone supplementation according to (1) single nucleotide polymorphisms in a range of key CVD genes, including oestrogen receptor (ER) alpha and beta and (2) equol-production status has been examined. Isoflavones supplementation was found to have no effect on markers of lipids and glucose metabolism. Isoflavones improve C-reactive protein concentrations but do not affect other plasma inflammatory markers. There are no differences in response to isoflavones according to equol-production status. However, differences in HDL-cholesterol and vascular cell adhesion molecule 1 response to isoflavones v. placebo are evident with specific ER beta genotypes. In conclusion, isoflavones have beneficial effects on C-reactive protein, but not other cardiovascular risk markers. However, specific ER beta gene polymorphic subgroups may benefit from isoflavone supplementation.

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Obesity is sweeping the westernized world at a rate which far outstrips human genomic evolution, highlighting the importance of the obesogenic environment. Diet is an important component of this obesogenic environment, with certain diets (high fat, high refined carbohydrates and sugar) predisposing to overweight. On the other hand, there are also foods shown to protect against obesity and the diseases of obesity, including whole plant foods, dairy products, dietary fibre and functional foods like probiotics, prebiotics and phytochemicals. Interestingly, many of these foods mediate their health-promoting activities through the gut microbiota. The human gut microbiota itself has recently been identified as a contributory factor in this obesogenic environment, with differences observed between lean and obese. Evidence from human studies indicates that important groups of fermentative bacteria differ in abundance between lean and obese. Recently it has been suggested that anomalous microbiota composition in infancy can predispose to overweight in later life, highlighting the important role of optimal microbiota successional development, and that – as observed in laboratory animals – the gut microbiota may contribute to the aetiology of obesity. In this review we will introduce the gut microbiota, describe its interactions with major dietary components and the host, and then go on to discuss evidence indicating that the gut microbiota may contribute to the obesogenic environment. Finally, we will explore possible strategies for modulating the composition and activity of the human gut microbiota which may impact on obesity or the metabolic diseases associated with obesity. (Nutritional Therapy & Metabolism 2009; 27: 113-33)

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Most of diurnal time is spent in a postprandial state due to successive meal intakes during the day. As long as the meals contain enough fat, a transient increase in triacylglycerolaemia and a change in lipoprotein pattern occurs. The extent and kinetics of such postprandial changes are highly variable and are modulated by numerous factors. This review focuses on factors affecting postprandial lipoprotein metabolism and genes, their variability and their relationship with intermediate phenotypes and risk of CHD. Postprandial lipoprotein metabolism is modulated by background dietary pattern as well as meal composition (fat amount and type, carbohydrate, protein, fibre, alcohol) and several lifestyle conditions (physical activity, tobacco use), physiological factors (age, gender, menopausal status) and pathological conditions (obesity, insulin resistance, diabetes mellitus). The roles of many genes have been explored in order to establish the possible implications of their variability in lipid metabolism and CHD risk. The postprandial lipid response has been shown to be modified by polymorphisms within the genes for apo A-I, A-IV, AN, E, B, C-I and C-III, lipoprotein lipase, hepatic lipase, fatty acid binding and transport proteins, microsomal trigyceride transfer protein and scavenger receptor class B type I. Overall, the variability in postprandial response is important and complex, and the interactions between nutrients or dietary or meal compositions and gene variants need further investigation. The extent of present knowledge and needs for future studies are discussed in light of ongoing developments in nutrigenetics.

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Objective: To investigate determinants of the acceptability of isoflavone products among postmenopausal women with regard to social and lifestyle factors, dietary habits, health concerns, food beliefs, menopausal symptoms and therapies, and to elucidate preferences for specific products. Methods: A consumer survey was conducted among postmenopausal women in four European countries (Germany, Denmark, Italy and the UK), including a total of 465 respondents. Results: The declared acceptability of isoflavones was highest in Germany (80%), followed by Italy (75%), the UK (59%) and Denmark (55%; p < 0.001). Among other factors, prior information about isoflavones (odds ratio (OR) 2.64, 95% confidence interval (CI) 1.54-4.51, p < 0.001) and belief that foods can be used to treat medical conditions (OR 2.18, 95% CI 1.17-4.05, p=0.014) were the strongest predictors of potential acceptability. The preferred forms in which isoflavones might be taken differed markedly between countries. Conclusions: Information about the health effects of isoflavones and health-diet links should be considered the most important factors in attempts to influence the potential acceptability of isoflavone products. Foods enriched with isoflavones need to be developed with regard to specific cultural demands in order to assure consumer acceptance on the marketplace.

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The incidence of obesity has reached alarming levels worldwide, thus increasing the risk of development of metabolic disorders (e.g. type 2 diabetes, coronary heart disease (CHD) and cancer). Among the causes of obesity, diet and lifestyle play a central role. Although the treatment of obesity may appear quite straightforward, by simply re-addressing the balance between energy intake and energy expenditure, practically it has been very challenging. In the search for new therapeutic targets for treatment of obesity and related disorders, the gut microbiota and its activities have been investigated in relation to obesity. The human gut microbiota has already been shown to influence total energy intake and lipid metabolism, particularly through colonic fermentation of undigestible dietary constituents and production of short chain fatty acids (SCFA). Recent studies have highlighted the contribution of the gut microbiota to mammalian metabolism and energy harvested from the diet. A dietary modulation of the gut microbiota and its metabolic output could positively influence host metabolism and, therefore, constitute a potential coadjutant approach in the management of obesity and weight loss.

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Flavonoid extracts derived from plant foods have been shown to benefit certain types of fluid retention. However, no studies have investigated these compounds for use in premenstrual fluid retention, a complaint common among women with otherwise normal menstrual cycles. Therefore, we conducted a double-blind, placebo-controlled, pilot study into the effect of a daily flavonoid extract (Colladeen(R), 320 mg oligomeric procyanidins) on premenstrual fluid retention. Fluid retention was assessed at baseline and throughout 4 menstrual cycles of the intervention using validated questionnaires. Leg girth was also measured at baseline and at the end of the study. Thirty subjects completed the study (n = 18 active treatment; n = 12 placebo). Although no significant changes in leg girth measurements were noted, there was a significant improvement in subjective "leg health" scores after flavonoid treatment compared to placebo (p = 0.013). Furthermore, this was accompanied by an improvement in reported premenstrual fluid retention nearing significance (p = 0.066). We conclude that flavonoids supplements may provide a new therapeutic direction to counter premenstrual fluid retention and improve leg health. A larger study is now warranted.

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A consensus view of soyabean phyto-oestrogens in clinical interventions in post-menopausal women is presented that is based on data from the EU-funded project Phytohealth. The phyto-oestrogens, primarily genistein and daidzein, were given as soyabean-protein isolates, whole-soyabean foods or extracts, supplements or pure compounds. A comprehensive literature search was conducted with well-defined inclusion or exclusion criteria. For areas for which substantial research exists only placebo-controlled double-blind randomised controlled trials (RCT) conducted on healthy post-menopausal women were included. For emerging areas all available human studies in post-menopausal women were reviewed. In order to make cross comparisons between studies the doses of isoflavones were calculated as aglycone equivalents. There is a suggestion, but no conclusive evidence, that isoflavones from the sources studied so far have a beneficial effect on bone health. The consumption of whole-soyabean foods and soyabean-protein isolates has some beneficial effects on lipid markers of cardiovascular risk. The consumption of isolated isoflavones does not affect blood lipid levels or blood pressure, although it may improve endothelial function. For menopausal symptoms there is currently limited evidence that soyabean-protein isolates, soyabean foods or red-clover (Trifolium pratense L.) extract are effective but soyabean isoflavone extracts may be effective in reducing hot flushes. There are too few RCT studies to reach conclusions on the effects of isoflavones on breast cancer, colon cancer, diabetes or cognitive function. The health benefits of soyabean phyto-oestrogens in healthy post-menopausal women are subtle and even some well-designed studies do not show protective effects. Future studies should focus on high-risk post-menopausal women, especially in the areas of diabetes, CVD, breast cancer and bone health.

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Diabetes and obesity are two metabolic diseases characterized by insulin resistance and a low-grade inflammation Seeking an inflammatory factor causative of the onset of insulin resistance, obesity, and diabetes, we have identified bacterial lipopolysaccharide (LPS) as a triggering factor. We found that normal endotoxemia increased or decreased during the fed or fasted state, respectively, on a nutritional basis and that a 4-week high-fat diet chronically increased plasma LPS concentration two to three times, a threshold that we have defined as metabolic endotoxemia. Importantly, a high-fat diet increased the proportion of an LPS-containing microbiota in the gut. When metabolic endotoxemia was induced for 4 weeks in mice through continuous subcutaneous infusion of LPS, fasted glycemia and insulinemia and whole-body, liver, and adipose tissue weight gain were increased to a similar extent as in highfat-fed mice. In addition, adipose tissue F4/80-positive cells and markers of inflammation, and liver triglyceride content, were increased. Furthermore, liver, but not wholebody, insulin resistance was detected in LPS-infused mice. CD14 mutant mice resisted most of the LPS and high-fat diet-induced features of metabolic diseases. This new finding demonstrates that metabolic endotoxemia dysregulates the inflammatory tone and triggers body weight gain and diabetes. We conclude that the LPS/CD14 system sets the tone of insulin sensitivity and the onset of diabetes and obesity. Lowering plasma LPS concentration could be a potent strategy for the control of metabolic diseases.

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Background: Population monitoring has been introduced in UK primary schools in an effort to track the growing obesity epidemic. It has been argued that parents should be informed of their child's results, but is there evidence that moving from monitoring to screening would be effective? We describe what is known about the effectiveness of monitoring and screening for overweight and obesity in primary school children and highlight areas where evidence is lacking and research should be prioritised. Design: Systematic review with discussion of evidence gaps and future research. Data sources: Published and unpublished studies ( any language) from electronic databases ( inception to July 2005), clinical experts, Primary Care Trusts and Strategic Health Authorities, and reference lists of retrieved studies. Review methods: We included any study that evaluated measures of overweight and obesity as part of a population-level assessment and excluded studies whose primary outcome measure was prevalence. Results: There were no trials assessing the effectiveness of monitoring or screening for overweight and obesity. Studies focussed on the diagnostic accuracy of measurements. Information on the attitudes of children, parents and health professionals to monitoring was extremely sparse. Conclusions: Our review found a lack of data on the potential impact of population monitoring or screening for obesity and more research is indicated. Identification of effective weight reduction strategies for children and clarification of the role of preventative measures are priorities. It is difficult to see how screening to identify individual children can be justified without effective interventions.

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Obesity has been described as a global epidemic. Its increasing prevalence is matched by growing costs, not only to the health of the individual, but also to the medical services required to treat a range of obesity-related diseases. In most instances, obesity is a product of progressively less energetic lifestyles and the over-consumption of readily available, palatable, and highly caloric foods. Past decades have seen massive investment in the search for effective anti-obesity therapies, so far with limited success. An important part of the process of developing new pharmacologic treatments for obesity lies in improving our understanding of the psychologic and physiologic processes that govern appetite and bodyweight regulation. Recent discoveries concerning the endogenous cannabinoids are beginning to give greater insight into these processes. Current research indicates that endocannabinoids may be key to the appetitive and consummatory aspects of eating motivation, possibly mediating the craving for and enjoyment of the most desired, most fattening foods. Additionally, endocannabinoids appear to modulate central and peripheral processes associated with fat and glucose metabolism. Selective cannabinoid receptor antagonists have been shown to suppress the motivation to eat, and preferentially reduce the consumption of palatable, energy-dense foods. Additionally, these agents act to reduce adiposity through metabolic mechanisms that are independent of changes in food intake. Given the current state of evidence, we conclude that the endocannabinoids represent an exciting target for new anti-obesity therapies.