985 resultados para ENVI-met versão 3.1


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Introduction. - En Suisse, la prescription de produits biologiqueschez les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde (PR) n'est nilimitée à des centres hospitaliers de rhumatologie, ni soumise à desdirectives strictes éditées par les autorités sanitaires sur le type oule nombre de traitements de fond préalables. La notion d'échec auxtraitements de fond n'est pas non plus précisément définie, et enparticulier l'activité de la maladie ne doit pas répondre à des critèresstricts, notamment en terme de valeurs de DAS, et ce contrairementà de nombreux autres pays où l'impact de ces restrictions aété publié récemment (1, 2).Le registre SCQM peut être considéré comme un bon reflet de lapopulation suisse avec PR, aussi bien pour la population suivie pardes centres hospitaliers que par les practiciens en cabinet privé, eton estime qu'environ 30 % des patients avec PR recevant des traitementsbiologiques en Suisse sont inclus dans ce registre.L'objectif primaire de cette étude est de comparer les caractéristiquesdes patients de notre registre à l'initiation et après un an de traitementbiologique avec celles de registres du même type dans des pays avecun accès plus restreint aux traitements biologiques. Les objectifssecondaires sont de comparer les patients traités en milieu hospitalieret ceux pris en charge en cabinet privé, et aussi d'examiner s'il existedes tendances temporelles (avant et après 2005).Patients et Méthodes. - Les données sont extraites du registre suissede PR (SCQM) qui comprend 4 500 patients inclus entre 1997 et2011. 2 715 patients bénéficient d'un traitement biologique, dont2 427 avec des données à l'introduction du traitement : DAS28/VS,DAS28/CRP, HAQ, durée de la maladie, nbre de tttt préalables, comorbidités,etc. Les principales données démographiques sont : âgemoyen 55 ans, 77 % de femmes 72 % FR+, médecins prescripteurs :62 % en cabinet, 21 % en centre hospitaliers et 16 % en centres universitaires.Nous avons calculés les moyennes (+/- écart type) pourdifférents paramètres de l'activité de la maladie.Résultats. - La moyenne du DAS28/VS à l'introduction du traitement(4,4 +/- 1,3) est nettement inférieur aux valeurs publiées pard'autres registres européens ou canadien (5,3 < > 6,6 ; 1,2). Il en ende même pour le HAQ (1 versus 1,4). Les biologiques sont introduitsaprès en moyenne 1,1 +/- 1 DMARD préalable contre > 3 en Suède,au Danemark ou au Canada.Les caractéristiques démographiques, le degré d'activité et les traitementsprodigués sont similaires entre les patients traités encabinet privé ou en milieu hospitalier, hormis pour une proportionmoindre de traitements iv en cabinet (20 % versus 40 %). Après2005, les traitements biologiques sont introduits beaucoup plusprécocemment, avec une durée médiane de maladie avant l'introductionde thérapies biologiques diminuant de 96 à 51 mois. Onnote également une répartition entre les divers produits biologiquesqui se diversifie. Même si les traitements sont introduits à undegré d'activité similaire (DAS28/VS moyen à 4,4 +/- 1,3) onobserve de meilleurs résultats à 1 an avec un DAS moyen à 1 an :3,5 +/- 1,4 avant 2005 contre 3,1 +/- 1,3 après 2005 (p = 0.0001).Conclusion. - Les données du registre suisse des PR (SCQM) suggèrentque, en l'absence de critères restrictifs d'accès aux traitements biologiques,ceux-ci sont prescrits à des scores d'activité de la maladie(DAS et HAQ) inférieurs, et plus précocemement en terme de nombrede DMARD préalables. Cette tendance se confirme dans le temps, etse retrouve aussi bien en milieu hospitalier qu'en cabinet.En terme de résultats, après 2005, plus de 50 % des patients atteignentun bas degré d'activité de la maladie en terme de DAS aprèsun an de traitement, chiffre qui semble justifier ce type de systèmepeu restrictif favorisant certainement une approche thérapeutiqueplus proche des nouveaux paragidmes de traitement avec une stratégiede type « treat to target ».Références[1] Curtis J R et al. Semin Arthritis Rheum. 40:2-14,2009.[2] Pease C, Pope JE, Truong D et al. Semin Arthritis Rheum, December2010.

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O objetivo desta pesquisa é identificar a freqüência com que é realizado o diagnóstico precoce do câncer de mama e de colo uterino no município de Guarapuava, Paraná. Realizou-se estudo transversal de base populacional, incluindo 885 mulheres com idade mínima de 18 anos, no período de outubro a dezembro de 2006. Considerou-se nível de confiança de 95% e margem de erro de 3% para cálculo amostral. Utilizou-se o software Statistica versão 7.1 para a análise dos dados, considerando nível de significância de 5%. O auto-exame das mamas foi realizado por 63% das entrevistadas e o exame clínico em 49%. A mamografia foi realizada por menos de um quarto da amostra. A prevenção do câncer de colo uterino foi praticada pela maioria das mulheres (80%). Conclui-se que as mulheres da amostra estudada realizam exames preventivos de câncer de mama com menos freqüência, se comparado ao exame preventivo de colo de útero.

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OBJECTIVE: In Switzerland, the prescription of biologic antirheumatic agents in rheumatoid arthritis (RA) patients is not limited by stringent requirements from health authorities. The goals of this study were to: determine the characteristics of the Swiss patients at the initiation of biologics, compare them with other countries and evaluate whether different disease activity levels at initiation of therapy, resulting from distinct access to these treatment, influence their effectiveness. METHODS: This is a retrospective cohort study of RA patients followed in the Swiss register (SCQM-RA). Two thousand and sixty patients treated with biologics were retrieved. We present the disease characteristics and the patients' demographic data, at initiation and some effectiveness data after 1 year of treatment. RESULTS: Two thousand and sixty patients treated with biologics were retrieved. At initiation of treatment, the mean disease activity DAS (SD): 4.4 (1.4), number of previous antirheumatic treatments: 1.1, functional status HAQ: 1.1 (0.7) and median duration of illness: 5.5 years were significantly lower than in other published registries. The mean DAS: 3.3 (1.4) 1 year after initiation of therapy also appears lower than in other countries. Additionally, patients treated more recently (after 2005) had a significantly higher improvement in mean DAS. CONCLUSIONS: Data from the Swiss RA registry demonstrate that biologics are prescribed at a lower level of disease activity and after fewer prior DMARD failures than in most other countries, a practice that seems to correlate with overall lower absolute levels of disease activity and better patient outcomes after 1 year of treatment.

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Objective: To assess the relationship between overweight status and the concomitant adherence to physical activity, daily screen time, and nutritional guidelines. Methods: Data were derived from the Swiss HBSC survey 2006. Participants (n=8130, 48.7% girls) were divided into two groups: normal-weight (n=7215, 44.8% girls), and overweight (n=915, 34.8% girls), using self-reported height and weight. Groups were compared on adherence to physical activity, screen time and nutritional guidelines. Bivariate analyses were carried out followed by multivariate analyses using normal-weight individuals as the reference category. Results: Regardless of gender, overweight individuals reported more screen time, less physical activity, and less concomitant adherence to guidelines. For boys, the multivariate analysis showed that any amount exceeding screen time recommendations was associated with increased odds of being overweight (>2-4h: adjusted odds ratio (AOR)=l .40; >4-6h: AOR=l .48; >6h: AOR=l .83). A similar relation was found for any amount below physical activity recommendations (4-6 times a week: AOR=1.67; 2-3 times a week: AOR=1.87; once a week or less: AOR=2.1). For girls, not meeting nutritional guidelines was less likely among overweight individuals (0-2 recommendations: AOR=0.54). Regardless of weight status, more than half of adolescents did not comply with any guideline and less than 2% met all 3 at the same time. Conclusions: Meeting current nutritional, physical activity and screen time guidelines should be encouraged with respect to overweight. However, as extremely low rates of concomitant adherence were found regardless of weight status, their achievability is questionable (especially for nutrition) which warrants further research to better adapt them to adolescents.