976 resultados para Congrès de Brighton
Resumo:
Ten years after the production of the initial 'We Never Give Up' film, this documentary filmis a follow-up film about the experiences of ten survivors of South Africa apartheid and their struggle for reparations. Produced by the Human Rights Media Centre, Cape Town, the film was directed and filmed by Cahal McLaughlin in a collaborative relationship with Khulumani Support Group Western Cape.
Further Information:
This documentary film, produced with the Human Rights Media Centre, Cape Town, and in collaboration with Khulumani Support Group Western Cape, is the ten-year follow up to We Never Give Up (2002), which addressed the issues of reparations as dealt with by the South African government and the Truth and Reconciliation Commission. We Never Give Up II (2012) returns to these themes and to the same participants, asking how life has changed in the interim. The process of collaborative practices acknowledges the importance of sharing ownership/authorship in the storytelling processes as well as in validating traumatic experiences by those who survived major and sustained political violence. Made over a two-year period, involving close consultation with participants, the film offers insights, by those most directly affected, to what might constitute legal, financial, social and psychological reparations. The film has been screened in Cape Town, Bloemfontain, Zanzibar Film Festival, Belfast (Belfast Film Festival), Brighton, Guildford, Galway and London, always accompanied by discussion of the issues raised in Q&As. To emphasise the importance of the film for debates on policy around reparations, a 25 minute edited version was selected to be screened on SABC on ‘Special Assignment’ by SABC on April 29th, 2013 (South Africa’s ‘Freedom Day’), followed by a debate with Department of Justice spokesperson, Dr Khotso De Wee. The chapter 'Maureen Never Gave Up' in Daniels, McLaughlin and Pearce (eds.) 'Truth, Dare or Promise' (2013) Cambridge Scholars Press (ISBN: 1-4438-4959-6, ISBN 13: 978-1-4438-4959-3, Release Date: 2013-09-01), which analyses the production of this film, is offered as part of the portfolio.
Resumo:
Cette communication a pour objectif de présenter et d’analyser les résultats d’une enquête portant sur l’accord sujet-verbe en français contemporain. Dans le domaine de l’accord sujet-verbe, bien que dans la plupart des cas le locuteur n’ait pas le choix de l’accord – c’est–à-dire qu’il n’y a qu’un accord possible – il existe néanmoins des contextes dans lesquels on peut trouver une variation entre l’accord singulier et le pluriel (cf. Corbett 2006 ; Grevisse 1993 ; Riegel et al 1994). Cette variation est souvent liée à une discordance entre le nombre syntaxique et le nombre sémantique. C’est le cas de certaines expressions de quantité, comme dans les exemples suivants : Singulier : « On a affaire à une minorité qui fait la loi à l’université » (Ouest France, 23-24 mai 2009, p.13) Pluriel : « Un petit millier de producteurs allemands, français et belges se sont déplacés, hier, à Bruxelles […] » (Ouest France, 26 mai 2009, p.3) Cette variation nous offre plusieurs pistes de recherche : dans une perspective linguistique, elle peut nous aider à mieux comprendre comment interagissent les différents facteurs linguistiques qui ont une influence sur l’accord, et dans une perspective sociolinguistique, elle représente un nouveau domaine à explorer pour l’étude sociolinguistique de la variation grammaticale en français, ce qui reste jusqu’à présent relativement peu étudiée. Nous traitons dans cette communication de la perspective sociolinguistique, c'est-à-dire les facteurs externes tels que l’âge, le sexe, et le niveau d’éducation du locuteur qui jouent un rôle dans l’accord sujet-verbe avec les expressions de quantité. Nous considérons en particulier la variation sexolectale : dans un premier temps, nous examinons les résultats de quelques études précédentes de la variation morphosyntaxique en français contemporain par rapport à l’influence du sexe du locuteur. Nous en concluons que les Principes élaborés par Labov (1990) pour décrire la variation sexolectale en anglais semblent être moins valables pour le cas du français de la France ; ou bien, qu’ils ne s’appliquent pas de façon simpliste. Dans un deuxième temps, nous présentons les résultats de nôtre étude, et nous voyons que pour nôtre projet aussi, les résultats pour la variation sexolectale ne s’expliquent pas facilement dans le cadre des Principes de Labov (1990).