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RésuméCette étude a pour objectif d'observer l'évolution des actes agressifs dans deux sports d'équipes en fonction de facteurs situationnels (périodes de jeu, lieu de la faute, état du score) et du type d'agressions (instrumentales, hostile). 60 matchs professionnels de football et de hockey sur glace ont été filmés puis analysés à l'aide de grilles d'observation différenciant les deux types d'agressions. Les résultats révèlent que dans ces deux sports, les agressions instrumentales sont plus fréquentes dans les zones importantes du terrain (milieu ou défense) ou lorsque le score est serré. En revanche, les agressions hostiles ne varient pas (ou peu) selon ces facteurs. Les résultats sont discutés au regard de la théorie de l'apprentissage social et de l'hypothèse frustration-agression.AbstractThis study aims at examining observed aggression in two team sports as a function of situational triggers (periods, zones of field, games score) and of type of aggression (instrumental, hostile). 60 soccer and ice hockey games were recorded and analyzed using a grid that differentiates the two types of aggression. The results revealed that theses two sports, instrumental aggressions were more frequent in important zones of field (neutral or defensive ones) and in tied score situations. However, no difference was found for hostile aggression according to these factors. The discussion focused on the social learning theory and frustration-aggression hypothesis.
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In this study, we evaluated the hepatitis B virus (HBV) genotype distribution and HBV genomic mutations among a group of human immunodeficiency virus-HBV co-infected patients from an AIDS outpatient clinic in São Paulo. HBV serological markers were detected by commercially available enzyme immunoassay kits. HBV DNA was detected using in-house nested polymerase chain reaction and quantified by Cobas Amplicor. HBV genotypes and mutations in the basal core promoter (BCP)/pre-core/core regions and surface/polymerase genes were determined by sequencing. Among the 59 patients included in this study, 55 reported prior use of lamivudine (LAM) or tenofovir. HBV DNA was detected in 16/22 patients, with a genotype distribution of A (n = 12,75%), G (n = 2,13%), D (n = 1,6%) and F (n = 1,6%). The sequence data of the two patients infected with genotype G strongly suggested co-infection with genotype A. In 10 patients with viremia, LAM-resistance mutations in the polymerase gene (rtL180M + rtM204V and rtV173L + rtL180M + rtM204V) were found, accompanied by changes in the envelope gene (sI195M, sW196L and sI195M/sE164D). Mutations in the BCP and pre-core regions were identified in four patients. In conclusion, genotype G, which is rarely seen in Brazil, was observed in the group of patients included in our study. A high prevalence of mutations associated with LAM-resistance and mutations associated with anti-HBs resistance were also found among these patients.
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RESUMELes troubles des conduites alimentaires atypiques (TCAA) représentent une catégorie diagnostique émergente, relativement peu décrite. Ils regroupent des tableaux cliniques ne satisfaisant pas entièrement aux critères des troubles alimentaires typiques anorexie et boulimie. Désignés par le terme de EDNOS' dans le DSM-IV2 (American Psychiatrie Association, 1994), ils sont appelés troubles atypiques dans la CIM-103 (World Health Organization, 1993).Les TCAA représentent la majorité des demandes dans les consultations pour troubles alimentaires, concernent une grande proportion de la population non-consultante et constituent un enjeu de santé publique prioritaire.Cette étude se penche sur le parcours de 24 jeunes filles présentant de tels troubles, qui ont été suivies dans le cadre d'un groupe thérapeutique à l'UMSA (Unité Multidisciplinaire de Santé des Adolescents, CHUV, Lausanne). Elle a pour but de mieux connaître ces troubles alimentaires atypiques.Deux axes de questions de recherche organisent ce travail: le premier, orienté autour du trouble alimentaire atypique, de sa définition (avec les questions de classification diagnostique) et de son évolution (avec les questions de passages d'une catégorie à une autre), le second autour du groupe thérapeutique, de son utilité et de ses indications.1. Résultats cliniquesLes résultats de l'analyse thématique décrivent un trouble important, qui induit une souffrance plus intense que ne tendraient à le laisser penser la relative banalité de la présentation clinique en comparaison des troubles typiques ainsi que la catégorisation en tant que troubles résiduels. Des moyens compensatoires -qui visent au maintien d'un poids stable en dépit des crises alimentaires ainsi qu'à la perte de poids, soit par des méthodes non-purgatives (restrictions massives, diètes, jeûnes, pratique du sport à outrance), soit par des méthodes purgatives (vomissements auto-induits, usage de laxatifs, diurétiques) - sont présents chez 15 participantes, sous forme de vomissements chez 6 d'entre elles. Seize participantes ont présenté des troubles des menstruations. Des difficultés de la lignée anxio-dépressive sont relevées chez la moitié des participantes, alliées à un perfectionnisme important. L'estime de soi apparaît globalement basse, excessivement influencée par l'insatisfaction attachée au poids et aux formes corporelles. L'analyse fait clairement apparaître le lien complexe unissant les attitudes face à l'alimentation et le désir de maigrir aux crises de frénésie alimentaire. Les crises permettent aux patientes de moduler leurs émotions, tant .positives que négatives. Le vécu de la maladie et des préoccupations pour le corps et l'alimentation semble généralisable. et «transcatégorique», bien que les troubles alimentaires de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive, du fait de l'absence de crises de frénésie, semblent appartenir à un registre différent des troubles avec perte de contrôle sur l'alimentation et crises, notamment en termes d'implications dans la vie quotidienne.Lorsque les participantes sont revues (au minimum un an après la sortie du groupe thérapeutique), 15 d'entre elles sont indemnes de tout symptôme, 5 présentent encore un TCAA type boulimie atypique, et 4 ont parfois des crises résiduelles. Des préoccupations pour l'alimentation et le poids subsistent. Le pronostic d'évolution n'apparaît lié ni à la durée de participation au groupe, ni uniquement à la catégorie diagnostique ou aux seuls éléments de co-morbidité, mais davantage à un investissement rapidement positif du groupe, ainsi qu'à la qualité des prises en charge parallèles en présence d'éléments de co-morbidité importants ou d'antécédents d'autres troubles alimentaires.Notre collectif atteste de passages d'une catégorie de trouble à une autre (anorexie puis boulimie, comme décrit dans la littérature) et de changements d'intensité (trouble typique puis atypique) au cours de la maladie, confirmant un continuum possible, tant entre les troubles typiques, qu'entre les troubles typiques et atypiques. Néanmoins, la multiplicité des parcours possibles dans la maladie, ainsi que l'existence de formes stables, sans passages d'une catégorie à une autre, incite à la prudence et ne permet pas de confirmer en tout point l'hypothèse de la nature dimensionnelle (même nature, intensité différente) des troubles alimentaires.Le trouble atypique représente parfois une étape dans l'évolution à partir d'un trouble typique, pouvant être envisagé comme moment sur le chemin de la guérison, ce qui pose la question des critères de guérison.2. Nature des troubles alimentaires atypiquesDu collectif émergent 4 catégories diagnostiques de troubles alimentaires atypiques: hyperphagie boulimique, boulimie atypique non-purgative, boulimie atypique purgative et anorexie atypique restrictive. Le tableau clinique.de l'hyperphagie boulimique comporte des crises de boulimie, mais peu de préoccupations concernant le poids et les formes corporelles en compá= raison des 3 autres catégories, et pas de moyens de compensation des crises, ce qui induit fréquemment un surpoids voire une obésité pour les patientes concernées. Les moyens de compensation des crises de boulimie demeurent non-purgatives (jeûne, sport) dans la boulimie atypique non-purgative, alors que vomissements et usage de laxatifs suite aux crises caractérisent la boulimie atypique purgative. Le tableau clinique de l'anorexie atypique restrictive ne présente ni crises de boulimie ni moyens de compensation purgatifs type vomissements. Ces catégories sont retrouvées dans la littérature.Nos résultats rejoignent la littérature actuelle qui envisage la nécessité d'une reclassification des troubles alimentaires en vue du DSM-V. Dans l'intervalle, adopter la classification de la CIM et parler d'anorexie atypique, de -type restrictif ou avec crises, de boulimie atypique, purgative ou non, et y ajouter l'hyperphagie boulimique, rendrait mieux compte de la réalité clinique des troubles alimentaires atypiques que ne le fait la classe des EDNOS du DSM, peu différenciée, mêlant des tableaux très divers et au final insatisfaisante.3. Utilité et indication du groupeLe groupe recèle un fort pouvoir thérapeutique pour les patientes qui s'y impliquent. L'étayage sur les autres émerge comme facteur thérapeutique principal, ainsi que le décrit la littérature. Cette prise en charge thérapeutique convient particulièrement à des patientes présentant un trouble alimentaire sur le versant boulimique, comprenant l'hyperphagie boulimique, la boulimie atypique, purgative ou non, ainsi que certaines boulimies de moyenne gravité. Les patientes du collectif qui présentent des difficultés de l'ordre de l'anorexie atypique restrictive bénéficient moins du groupe que les participantes qui expérimentent des pertes de contrôle sur la nourriture.4. ImplicationsL'intensité de la souffrance, la complexité des tableaux symptomatiques, la diversité des parcours et les multiples répercussions sur la vie sociale démontrent l'importance de repérer et prendre en charge ces troubles alimentaires qui demeurent souvent banalisés. Dans cette perspective, la formation au dépistage, à l'évaluation et à la prise en charge des divers intervenants confrontés à ces troubles représente un enjeu majeur. .Enfin, dénoncer les pressions socioculturelles à la minceur et le dictat des régimes, promouvoir une notion de bien-être et une bonne estime de soi qui ne soient pas liées à l'apparence contribuera à prévenir les troubles alimentaires atypiques.
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This study was designed to assess the effect of GB virus (GBV)-C on the immune response to human immunodeficiency virus (HIV) in chronically HIV-infected and HIV- hepatitis C virus (HCV)-co-infected patients undergoing antiretroviral therapy. A cohort of 159 HIV-seropositive patients, of whom 52 were HCV-co-infected, was included. Epidemiological data were collected and virological and immunological markers, including the production of interferon gamma (IFN-γ) and interleukin (IL)-2 by CD4, CD8 and Tγδ cells and the expression of the activation marker, CD38, were assessed. A total of 65 patients (40.8%) presented markers of GBV-C infection. The presence of GBV-C did not influence HIV and HCV replication or TCD4 and TCD8 cell counts. Immune responses, defined by IFN-γ and IL-2 production and CD38 expression did not differ among the groups. Our results suggest that neither GBV-C viremia nor the presence of E2 antibodies influence HIV and HCV viral replication or CD4 T cell counts in chronically infected patients. Furthermore, GBV-C did not influence cytokine production or CD38-driven immune activation among these patients. Although our results do not exclude a protective effect of GBV-C in early HIV disease, they demonstrate that this effect may not be present in chronically infected patients, who represent the majority of patients in outpatient clinics.
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Background: Over the last two decades, mortality from coronary heart disease (CHD) and cerebrovascular disease (CVD) declined by about 30% in the European Union (EU). Design: We analyzed trends in CHD (X ICD codes: I20-I25) and CVD (X ICD codes: I60-I69) mortality in young adults (age 35-44 years) in the EU as a whole and in 12 selected European countries, over the period 1980-2007. Methods: Data were derived from the World Health Organization mortality database. With joinpoint regression analysis, we identified significant changes in trends and estimated average annual percent changes (AAPC). Results: CHD mortality rates at ages 35-44 years have decreased in both sexes since the 1980s for most countries, except for Russia (130/100,000 men and 24/100,000 women, in 2005-7). The lowest rates (around 9/100,000 men, 2/100,000 women) were in France, Italy and Sweden. In men, the steepest declines in mortality were in the Czech Republic (AAPC = -6.1%), the Netherlands (-5.2%), Poland (-4.5%), and England and Wales (-4.5%). Patterns were similar in women, though with appreciably lower rates. The AAPC in the EU was -3.3% for men (rate = 16.6/100,000 in 2005-7) and -2.1% for women (rate = 3.5/100,000). For CVD, Russian rates in 2005-7 were 40/100,000 men and 16/100,000 women, 5 to 10-fold higher than in most western European countries. The steepest declines were in the Czech Republic and Italy for men, in Sweden and the Czech Republic for women. The AAPC in the EU was -2.5% in both sexes, with steeper declines after the mid-late 1990s (rates = 6.4/100,000 men and 4.3/100,000 women in 2005-7). Conclusions: CHD and CVD mortality steadily declined in Europe, except in Russia, whose rates were 10 to 15-fold higher than those of France, Italy or Sweden. Hungary and Poland, and also Scotland, where CHD trends were less favourable than in other western European countries, also emerge as priorities for preventive interventions.
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Inhibitory receptors mediate CD8 T-cell hyporesponsiveness against cancer and infectious diseases. PD-1 and CTLA-4 have been extensively studied, and blocking antibodies have already shown clinical benefit for cancer patients. Only little is known on extended co-expression of inhibitory receptors and their ligands. Here we analyzed the expression of eight inhibitory receptors by tumor-antigen specific CD8 T-cells. We found that the majority of effector T-cells simultaneously expressed four or more of the inhibitory receptors BTLA, TIM-3, LAG-3, KRLG-1, 2B4, CD160, PD-1 and CTLA-4. There were major differences depending on antigen-specificity, differentiation and anatomical localization of T-cells. On the other hand, naive T-cells were only single or double positive for BTLA and TIM-3. Extended co-expression is likely relevant for effector T-cells, as we found expression of multiple ligands in metastatic lesions of melanoma patients. Together, our data suggest that naive T-cells are primarily regulated by BTLA and TIM-3, whereas effector cells interact via larger numbers of inhibitory receptors. Blocking multiple inhibitory receptors simultaneously or sequentially may improve T-cell based therapies, but further studies are necessary to clarify the role of each receptor-ligand pair.
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Human immunodeficiency virus type 1 (HIV-positive) pregnant women require specific prophylactic and therapeutic approaches. The efficacy of established approaches is further challenged by co-infection with other sexually transmitted diseases (STDs). The objective of this study was to determine the prevalence of co-infections in pregnant women infected with different HIV-1 subtypes and to relate these findings, together with additional demographic and clinical parameters, to maternal and infant outcomes. Blood samples from pregnant women were collected and tested for syphilis, hepatitis B virus (HBV) and hepatitis C virus (HCV). Human papillomavirus (HPV) diagnosis was evaluated by the presence of alterations in the cervical epithelium detected through a cytopathological exam. Medical charts provided patient data for the mothers and children. Statistical analyses were conducted with STATA 9.0. We found a prevalence of 10.8% for HCV, 2.3% for chronic HBV, 3.1% for syphilis and 40.8% for HPV. Of those co-infected with HPV, 52.9% presented high-grade intraepithelial lesions or in situ carcinoma. Prematurity, birth weight, Apgar 1' and 5' and Capurro scores were similar between co-infected and non-co-infected women. The presence of other STDs did not impact maternal and concept outcomes. More than half of the patients presenting cervical cytology abnormalities suggestive of HPV had high-grade squamous intraepithelial lesions or cervical cancer, evidencing an alarming rate of these lesions.
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La tecnología actual ha permitido que en los últimos años la nanociencia y la nanotecnología sean puntos críticos en el desarrollo del conocimiento. En estos momentos se desarrollan sistemas de dimensiones nanométricas que son interesantes debido a sus potenciales aplicaciones en diferentes ámbitos como en química, física, biología, materiales, medicina, cosmética... Dentro de estos sistemas nanoscópicos se encuentran las nanopartículas, estructuras con un tamaño inferior a los 100nm de longitud. En esta clasificación existen a su vez diferentes categorías, como las nanopartículas metálicas, semiconductoras, magnéticas, etc. y es exactamente en esta última tipoogía donde se centra este estudio. Este proyecto de investigación desarrolla la síntesis de magnetita (Fe3O4), ferrita de cobalto (CoFe2O4) y ferrita de cobre (CuFe2O4) con la finalidad de utilizarlas como dopante en superconductores. El método sintético utilizado es del tipo solvotérmico y se lleva a cabo en trietilenglicol, el cual actúa a la vez como disolvente y como estabilizante de las nanopartículas. Las partículas así obtenidas son dispersables en medios polares como el etanol absoluto. Los precursores de este método sintético son los respectivos acetilacetonatos metálicos debido a que el ligando orgánico descompone en productos volátiles. Existen diferentes factores que afectan a la síntesis, tales como la velocidad de ascenso de la temperatura, la agitación, la presencia de agua, la temperatura de descomposición de los precursores, etc. Algunos de estos factores han sido estudiados con detalle y aplicados con tal de optimizar el método experimental. Las nanopartículas sintetizadas han sido analizadas mediante diversas técnicas físicas con tal de establecer diferentes parámetros, tales como su composición fnal, su pureza, su estructura, sus propiedades magnéticas, etc. Estas técnicas son diversas: desde la espectroscopia infrarroja hasta medidas mediante SQUID, pasando por rayos X, microscopía electrónica y termogravimetría. Los resultados han sido favorables en la síntesis de la magnetita y también en la ferrita de cobalto, ya que las nanopartículas obtenidas son homogéneas, fácilmente dispersables en algoholes, estables por largos períodos de teimpo, rápidas de sintetizar, etc. El único problema observado ha sido la síntesis de ferrita de cobre la cual se ha de optimizar, ya que el producto final ha resultado ser una mezcla de tres compuesto diferentes.