935 resultados para Carus, Marcus Aurelius, Roman Emperor, d. 283.
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Lewis Tyrell married Jane Gains on August 31, 1849 in Culpeper Court House, Virginia. Jane Gains was a spinster. Lewis Tyrell died September 25, 1908 at his late residence, Vine St. and Welland Ave., St. Catharines, Ont. at the age of 81 years, 5 months. Jane Tyrell died March 1, 1886, age 64 years. Their son? William C. Tyrell died January 15, 1898, by accident in Albany, NY, age 33 years, 3 months. John William Taylor married Susan Jones were married in St. Catharines, Ont. on August 10, 1851 by William Wilkinson, a Baptist minister. On August 9, 1894 Charles Henry Bell (1871-1916), son of Stephen (1835?-1876) and Susan Bell, married Mary E. Tyrell (b. 1869?) daughter of Lewis and Alice Tyrell, in St. Catharines Ontario. By 1895 the Bell’s were living in Erie, Pennsylvania where children Delbert Otto (b. 1895) and Edna Beatrice (b. 1897) were born. By 1897 the family was back in St. Catharines where children Lewis Tyrell (b. 1899), Gertrude Cora (b. 1901), Bessie Jane (b. 1902), Charles Henry (b. 1906), Richard Nelson (b. 1911) and William Willoughby (b. 1912) were born. Charles Henry Bell operated a coal and ice business on Geneva Street. In the 1901 Census for St. Catharines, the Bell family includes the lodger Charles Henry Hall. Charles Henry Hall was born ca. 1824 in Maryland, he died in St. Catharines on November 11, 1916 at the age of 92. On October 24, 1889 Charles Hall married Susan Bell (1829-1898). The 1911 Census of Canada records Charles Henry Hall residing in the same household as Charles Henry and Mary Bell. The relationship to the householder is step-father. It is likely that after Stephen Bell’s death in 1876, his widow, Susan Bell married Hall. In 1939, Richard Nelson Bell, son of Charles Henry and Mary Tyrell Bell, married Iris Sloman. Iris (b. 22 May 1912 in Biddulph Township, Middlesex, Ontario) was the daughter of Albert (son of Joseph b. 1870 and Elizabeth Sloman, b. 1872) and Josie (Josephine Ellen) Butler Sloman of London, Ont. Josie (b. 1891) was the daughter of Everett Richard and Elizabeth McCarthy (or McCarty) Butler, of Lucan Village, Middlesex North. According to the 1911 Census of Canada, Albert, a Methodist, was a porter on the railroad. His wife, Josephine, was a Roman Catholic. Residing with Albert and Josie were Sanford and Sadie Butler and Sidney Sloman, likely siblings of Albert and Josephine. The Butler family is descended from Peter Butler, a former slave, who had settled in the Wilberforce Colony in the 1830s. Rick Bell b. 1949 in Niagara Falls, Ont. is the son of Richard Nelson Bell. In 1979, after working seven years as an orderly at the St. Catharines General Hospital while also attending night school at Niagara College, Rick Bell was hired by the Thorold Fire Dept. He became the first Black professional firefighter in Niagara. He is a founding member of the St. Catharines Junior Symphony; attended the Banff School of Fine Arts in 1966 and also performed with the Lincoln & Welland Regimental Band and several other popular local groups. Upon the discovery of this rich archive in his mothers’ attic he became passionate about sharing his Black ancestry and the contributions of fugitive slaves to the heritage Niagara with local school children. He currently resides in London, Ont.
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Louis started the Niagara News Bureau in 1936. It was later named the Niagara Editorial Bureau and the Ontario Editorial Bureau. Lou was very active within the community. He promoted the Welland Canals and was secretary for the Mackenzie Heritage Printery and Newspaper Museum. He was honoured with numerous awards and accolades including a medallion from the Pope for his service to the Roman Catholic Church and an honourary degree from Brock University.
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UANL
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Dans ce mémoire, je compte étudier la lecture représentée dans l’œuvre de Michel Houellebecq. Mon travail sera divisé en deux parties. D’abord, je m’attacherai aux figures de lecteurs dans La possibilité d’une île et dans les autres romans de Houellebecq. Je verrai alors comment la lecture est incarnée dans les romans et quelles sont les fonctions des personnages-lecteurs. Par exemple, j’examinerai comment les personnages s’expriment sur la littérature dans La possibilité d’une île. Je compte pour ce faire utiliser les concepts de « liseur », de « lu » et de « lectant » proposés par Michel Picard dans La lecture comme jeu, mais dans le sens que leur donne Marcel Goulet dans ses travaux. La deuxième partie se centrera sur un « lecteur » particulièrement important : Houellebecq lui-même. Adoptant la définition de l’intertextualité donnée par Gérard Genette dans Palimpsestes, je me concentrerai uniquement sur les traces explicites d’autres textes dans La possibilité d’une île. Je me concentrerai d’abord sur les auteurs fréquemment cités, ceux dont Houellebecq se réclame ou dont il s’écarte. Je me questionnerai ensuite sur le rapport souvent négatif de Houellebecq avec la littérature du passé, pour essayer d’y voir une représentation de cette lecture critique à laquelle l’auteur tente de nous initier. Le travail sur l’intertextualité servira à identifier ce que Pierre Bayard nomme la « bibliothèque intérieure » de l’auteur et à questionner son rapport à celle-ci.
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Honoré de Balzac est aujourd’hui connu pour être le père du roman moderne et l’écrivain de La Comédie humaine. Mais nous oublions souvent qu’entre 1830 et 1832, au début de sa carrière, l’auteur a écrit, comme plusieurs écrivains de son temps, des contes. De multiples facteurs peuvent expliquer cet intérêt : les Contes fantastiques d’Hoffmann sont traduits de l’allemand en français et leur succès est immédiat. De plus, les nouveaux modes de publication littéraire, dans les revues et les journaux, favorisent la prolifération du genre. Un corpus retiendra notre attention : Les Cent Contes drolatiques, un projet, impopulaire en son temps, avec lequel Balzac souhaite « restaurer l’école du rire » en France. Au milieu du dix-neuvième siècle, l’auteur recrée des contes comme ceux que Rabelais, Verville et la reine de Navarre écrivaient en leur temps, trois ou quatre siècles auparavant. Pour ce faire, Balzac invente un langage qui simule le vieux français et crée des personnages grotesques. Qu’est-ce, dans l’écriture balzacienne, que l’esthétique du rire, et comment l’auteur exprime-t-il ce concept dans ses Cent Contes drolatiques? Pour répondre à ces questions, nous étudierons les manifestations du grotesque dans l’ensemble de l’œuvre de l’auteur. Aussi, selon Mikhaïl Bakhtine, dans L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance , le grotesque, uni au rire, est relié au corps : « Le trait marquant du réalisme grotesque est le rabaissement, c’est-à -dire le transfert de tout ce qui est élevé, spirituel, idéal et abstrait sur le plan matériel et corporel. » Par conséquent, ce sont les représentations du corps que nous examinerons dans ce travail. Finalement, l’étude du corps grotesque dans Les Cent Contes drolatiques montrera une autre facette de l’écriture balzacienne, souvent ignorée par les chercheurs : l’importance du rire et la vision du monde que celui-ci communique à travers la littérature.
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Le roman sentimental est un des genres les plus lus, les plus traduits et les plus diffusés. Malgré sa mauvaise réputation, il est étonnant de constater le nombre de ces romans vendus, tous pays confondus. Dans les Antilles, ce phénomène est particulièrement palpable : la présence, et la réception de ces œuvres témoignent de l’engouement pour le genre. Notre étude a pour objectif de dégager d’un corpus sentimental antillais les aspects les plus significatifs. Nous analyserons, d’une part, le schéma narratif élaboré en marge de celui proposé par le roman sentimental classique et, d’autre part, l’esthétique du quotidien mise en place pour créer un sentiment d’appartenance chez le lectorat. Il nous sera ainsi possible de mettre en évidence le discours socioculturel propre à ce genre et plus spécifiquement aux femmes antillaises. Par ailleurs, cette recherche postule que l'appropriation des invariants romanesques et l'élaboration d'une visée didactique participent à l'intégration du roman sentimental antillais dans la sphère des littératures « sérieuses ». Enfin, ce mémoire défend l’idée selon laquelle l’écriture romanesque des auteures étudiées contribue au projet littéraire antillais de réappropriation identitaire.
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Le règne de Septimius Severus (193-211 apr. J.-C.) se situa entre la période de béatitude des Antonins et la crise de l’Empire romain du IIIe siècle. Cet empereur fut acclamé Auguste par ses légions de la Pannonie Supérieure et il fut contraint de se battre pendant quatre ans afin de demeurer au pouvoir. En y incorporant son origine africaine, ces constats pourraient nous porter à voir dans le règne de Severus les prémices de l’évolution entre le Principat et le Dominat, qui se seraient manifestées entre autres à travers son idéologie impériale. Ce mémoire de maîtrise illustre comment cet empereur adhéra à la tradition iconographique établie depuis le règne d’Auguste, et détermine également l’ampleur de ses innovations sur le plan idéologique. Ainsi, avec l’appui des sources iconographiques, épigraphiques et littéraires, nous nous efforçons à démontrer que l’idéologie de Severus. s’intègre dans une continuité évolutive de la perception du pouvoir impérial.
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À l'aide des tout derniers modèles narratologiques développés entre autres par Ansgar Nünning, nous nous penchons sur l'oeuvre d'Eveline Hasler, une voix phare de la littérature alémanique contemporaine. À partir d’un corpus de six romans, nous examinons de façon systématique sa poétique du roman historique au regard 1) des techniques narratives, 2) de la marginalité de ses personnages en société, 3) de la conception de l’Histoire, 4) de l'image critique qu'elle présente de la Suisse. Il en ressort un portrait très nuancé de l'oeuvre de Hasler, puisqu’elle allie un récit principalement réaliste, plutôt traditionnel, mais aussi inspiré du langage cinématographique, à des passages métahistoriographiques postmodernes, où une narratrice assimilable à l’auteure fait part au « je » de ses réflexions sur l'Histoire. Même si ces brefs passages relativement rares rappellent sans contredit la posture de l’historien, ils s’inscrivent toutefois dans la fiction, laquelle actualise le passé dans la perspective historique d’un lecteur contemporain. De fait, l’œuvre de Hasler se présente comme un jeu habile avec la liberté poétique et le souci de véracité historique, ce à quoi concourt l’imbrication de documents originaux en italique dans le roman. Par ailleurs, la question de la marginalité en société joue un rôle prépondérant chez Hasler, car tous ses personnages principaux sont autant de marginaux, de Außenseiter. Cette problématique montre entre autres les limites de l’Aufklärung, étant donné que ses tenants, les adversaires des marginaux, se targuent le plus souvent d’être motivés par la pensée éclairante pour mieux la pervertir. Il en résulte la mise à l’écart des individus dérangeants — la prétendue sorcière, le géant et les femmes qui remettent en cause l’organisation patriarcale. Or, certains marginaux de Hasler parviennent à s’arracher un espace de liberté dans la marge, au prix de leurs racines helvétiques. Ainsi, ces marginaux peinent à s’inscrire dans l’Histoire dite officielle, ce que Hasler tente de rectifier en leur redonnant une voix. Sur le plan individuel, la plupart d’entre eux expérimentent une évolution circulaire, puisqu’ils ne parviennent pas à sortir de la marge (sauf peut-être Henry Dunant). Cette impression de tourner en rond s’oppose à une conception de l’Histoire humaine qui se déroule en continuum, puisque les exclusions d’hier préfigurent celles d’aujourd’hui. Au-delà de cette mesure humaine du temps, l’horizon temporel de la nature s’inscrit pour sa part dans la permanence. Ainsi, Hasler développe une conception historique qui varie selon des points de vue coexistants. Cet amalgame est le plus souvent marqué par un certain pessimisme, comme le dénote la vie d’Emily Kempin associée au mythe d’Icare. Finalement, tous les acteurs historiques de Hasler appartiennent au contexte helvétique et en présentent une image assez rétrograde, laquelle se dévoile non seulement à travers la fictionnalisation des lieux, mais aussi par des références à trois symboles nationaux : les Alpes, le réduit helvétique et la légende de Guillaume Tell. Hasler fait le procès de ces mythes, associés à la liberté et à la sauvegarde de ce « peuple de bergers », en montrant que la Suisse n’apporte pas de solution originale aux défis de l’Occident.
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Situé entre entre le roman et le récit personnel, Cru. prend la forme d'un aller-retour entre fiction et autobiographie. Le texte, construit à l'aide d'une écriture syncopée et brute, présente deux personnages homosexuels à l'ère « post-sida », alors que ceux-ci tentent de comprendre ce que veut dire « être un homme » dans un contexte social où le mépris (envers les autres et soi-même) est encore présent, mais peut-être encore plus pernicieux qu'auparavant, parce que camouflé sous l'idée d'une acceptation globale. Au final, Cru. soulève la délicate question du droit à la vérité dans une démarche autobiographique et celle de l'implication de la cruauté dans un récit qui ne concerne pas que l'auteur, mais son entourage aussi. Cruauté nécessaire : le devoir d'une vérité autobiographique chez Guibert, Dustan et Rémès est un essai qui vise l'analyse de différents procédés se rattachant à l'écriture autobiographique homosexuelle des années 1990, particulièrement aux textes appartenant à la littérature du sida. Si l'autobiographie vise, dans une certaine mesure, le dévoilement de la vérité, comment ne pas parler de cruauté alors que les auteurs qui la pratiquent y vont de révélations qui ne concernent pas qu'eux? Si le processus d'écriture autobiographique se veut bénéfique, le résultat est-il purement diabolique? Il faudra d'abord, évidemment, définir ce que l'on entend par « vérité » et « cruauté » (lire « bénéfique » et « maléfique »). En ce qui concerne le Bien et le Mal, les textes de Bataille et Nietzsche contribueront à définir deux concepts qui peuvent, souvent, être relatifs. En confrontant les textes des trois auteurs français – tous séropositifs au moment de l'écriture – à différentes théories autobiographiques (Doubrovsky, Lejeune, Miraux) et identitaires (Foucault, Schecter, Butler), et à certains écrits sur le devoir et la responsabilité (Donner, Brooks), l'on tentera de démontrer que la cruauté dont Guibert, Dustan et Rémès font preuve est essentielle à l'écriture autobiographique.
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Ce mémoire étudie les autodafés de livres représentés dans trois textes français de la seconde moitié du XVIIIe siècle : l’article « Bibliomanie » (1752) de l’Encyclopédie, écrit par Jean le Rond D’Alembert, le roman l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais (1770) de Louis Sébastien Mercier et la comédie le Bureau d’esprit (1776-1777) de Jean-Jacques Rutlidge. Il révèle, chez ces auteurs, une critique du livre qui paradoxalement s’accompagne de sa défense. Le premier chapitre décrit succinctement la croissance de l’imprimé en France, à l’époque, l’évolution des goûts en matière de lecture, et un imaginaire du livre dans lequel entrent une impression d’envahissement et une grande admiration pour l’écrit. Les trois chapitres subséquents suivent l’ordre chronologique de parution des textes retenus et analysent les scènes de livres brûlés qu’ils contiennent. D’Alembert et Mercier, non sans réserves, aimeraient jeter au feu la majorité des livres qui les entourent. Rutlidge constitue un cas particulier : l’autodafé vise un ouvrage précis, soit une traduction française de Shakespeare. Le mémoire, en conclusion, évoque quatre textes plus récents où sont rapportés des autodafés de livres : le poème « À qui la faute ? » de Victor Hugo, le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la pièce les Combustibles d’Amélie Nothomb et le roman les Corpuscules de Krause de Sandra Gordon. Reprenant des idées présentes chez D’Alembert, Mercier et Rutlidge, ces œuvres illustrent leur richesse.
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Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal