999 resultados para Cartes disséquées


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Imprints: v. 1-2, 5-6, 1820; v. 3-4, 1819; v. 7-9, 1821; v.10-12, 1822; v. 13-15, 1824.

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"Analyse critique des cartes de l'ancienne Grèce ... par M. Barbié du Bocage."

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Translation of Katholischer Missions-Atlas.

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"Bibliographie": p. 437-440; bibliographical foot-notes.

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This research aims at studying the use of greeting cards, here understood as a literacy practice widely used in American society of the United States. In American culture, these cards become sources of information and memory about people‟s cycles of life, their experiences and their bonds of sociability enabled by means of the senses that the image and the word comprise. The main purpose of this work is to describe how this literacy practice occurs in American society. Theoretically, this research is based on studies of literacy (BARTON, HAMILTON, 1998; BAYHAM, 1995; HAMILTON, 2000; STREET, 1981, 1984, 1985, 1993, 2003), the contributions of social semiotics, associated with systemic-functional grammar (HALLIDAY; HASAN 1978, 1985, HALLIDAY, 1994, HALLIDAY; MATTHIESSEN, 2004), and the grammar of visual design (KRESS; LEITE-GARCIA, VAN LEEUWEN, 1997, 2004, 2006; KRESS; MATTHIESSEN, 2004). Methodologically, it is a study that falls within the qualitative paradigm of interpretative character, which adopts ethnographic tools in data generation. From this perspective, it makes use of “looking and asking” techniques (ERICKSON, 1986, p. 119), complemented by the technique of "registering", proposed by Paz (2008). The corpus comprises 104 printed cards, provided by users of this cultural artifact, from which we selected 24, and 11 e-cards, extracted from the internet, as well as verbalizations obtained by applying a questionnaire prepared with open questions asked in order to gather information about the perceptions and actions of these cards users with respect to this literacy practice. Data analysis reveals cultural, economic and social aspects of this practice and the belief that literacy practice of using printed greeting cards, despite the existence of virtual alternatives, is still very fruitful in American society. The study also allows users to comprehend that the cardholders position themselves and construct identities that are expressed in verbal and visual interaction in order to achieve the desired effect. As a result, it is understood that greeting cards are not unintentional, but loaded with ideology and power relations, among other aspects that are constitutive of them.

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The postcard is a medium that has gained popularity at the time that the picture was linked to its support. It circulated favoring mainly the views of the cities and composed a triad between landscape, photography and tourism. The visuality that loads is among signs of representations, relationships, forms of collective consciousness and ways of seeing the world. In Natal, the photographer Jaeci Emereciano Galvão registered urban and social transformations focusing on interventions that emphasized urban centres as social space and progress and nature as a space for contemplation and enjoyment. They are images with social and cultural issues very clear, since the picture is from a process of creation that is all about choices and decisions about what deserves to be photographed. Therefore, the aim of this research by investigating the role of photographs evidenced in Jaeci’s postcards, with a view to inclusion of tourism in the spaces of Natal and the visuality assumed in the context of their own identity. The theoretical framework that makes up the discussions about the landscape, the city's tourism and photographic representation in postcards emerged from the literature of Schama (1996), Corbin (1989), Cosgrove (1998), Benjamin (1987), Kossoy (2003; 2006; 2009) and Souza Martins (2009), which gave grants to interpret and understand the symbolic construction presented in the postcards. Methodologically the work was done through research in archives, newspapers, postcards of the survey, interviews, iconographic and iconological analyses proposed by Kossoy. At the end, it was concluded the Jaeci Galvão’s postcards established themselves as essential elements for symbolic landscapes of tourism in Natal.

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L’acquisition de l’anglais comme langue seconde est faite pour diverses raisons et atteinte par plusieurs moyens. Au Québec, il est enseigné obligatoirement dans les écoles primaires et secondaires ainsi que dans les institutions collégiales. L’approche privilégiée dans tous les cours d’anglais, langue seconde aux niveaux primaire et secondaire, est l’approche communicative. Cependant, bien que le programme de formation doive être respecté dans toutes les écoles de la province, les étudiantes et étudiants ne commencent pas leurs études collégiales avec le même niveau de compétences en anglais. En fait, quatre niveaux d’anglais langue, seconde, sont offerts, permettant à ceux et celles qui sont plus faibles de suivre des cours d’anglais, langue seconde, adaptés à leur niveau de compétence. L’approche communicative vise l’apprentissage d’une langue de la même manière dont on apprend sa langue maternelle. On croit qu’en plaçant les étudiantes et étudiants dans des situations de communication avec leurs pairs, ils se rendent compte de leurs propres erreurs et s’autocorrigent tout au long du cours. Cependant, bien que cette façon d’apprendre soit efficace pour un certain nombre d’étudiantes et d’étudiants, des statistiques démontrent qu’entre 20 % et 25 % d’étudiantes et d’étudiants sont incapables de réussir l’anglais de base au niveau collégial. Or, cette recherche s’est basée sur la prémisse que pour plusieurs étudiantes et étudiants, l’approche communicative au détriment des approches favorisant un enseignement explicite n’est pas suffisante pour apprendre l’anglais adéquatement. Ainsi, nous avons exploré la conception de cartes conceptuelles pour soutenir un enseignement explicite et favoriser un apprentissage significatif, plus précisément des temps de verbes de base visés dans le cours d’anglais de base, soit le Niveau I. Notre recherche-développement se fonde sur un cadre de référence contenant quatre principaux éléments. Premièrement, nous avons examiné deux courants actuels en éducation au Québec, soit l’approche par compétence implantée dans toutes les écoles primaire et secondaire ainsi qu’au niveau collégial, puis l’approche communicative qui est utilisée dans les cours d’anglais langue seconde. En deuxième lieu, nous avons présenté une recension des écrits relatifs à un enseignement explicite et enfin, en troisième lieu, une recension des écrits relatifs à un apprentissage significatif. Finalement, notre cadre de référence porte sur l’usage de cartes conceptuelles en enseignement. Notre méthodologie s’est inscrite dans un devis de recherche-développement qui est qualitative et interprétative. En se basant sur un modèle de Loiselle et Harvey (2001, 2007), notre processus de conception, de mise à l’essai et de validation a été noté dans un journal de bord. La mise à l’essai a été réalisée dans deux classes de niveau de base en anglais, langue seconde, dans un cégep francophone de la région de Québec. Cette étape a été suivie par une validation par voie d’entrevues individuelles et de groupes de discussion auprès d’expertes et d’experts et auprès d’étudiantes et d’étudiants. Les résultats de notre recherche-développement proviennent de constats à la suite d’un examen de notre journal de bord et des commentaires reçus lors de la validation. Principalement, nous avons remarqué un intérêt de la part d’autres enseignantes et enseignants à trouver des façons complémentaires d’enseigner explicitement les temps de verbes de base. De plus, un certain nombre d’étudiantes et d’étudiants ont soutenu avoir appris de façon plus significative des temps de verbes grâce aux cartes conceptuelles. Cette première exploration d’usage de cartes conceptuelles nous a permis de tirer des conclusions positives, mais il est à noter que notre recherche a été limitée en temps et en nombre de participantes et participants. Nous croyons qu’il serait pertinent de continuer à explorer l’usage des cartes conceptuelles pour un enseignement explicite et un apprentissage significatif dans les cours d’anglais langue seconde en faisant des mises à l’essai et des validations plus systématiques.