Le souper

«Le souper» constitue le XIIème chapitre du roman de Voltaire, Zadig – Le monde comme il va (1747). On y trouve plusieurs aspects qui font le charme des contes de l’époque, tels que la fantaisie, l’imagination, le voyage, la couleur locale, l’humour, la satire… Le héros, Zadig, se mouvemente dans un cadre exotique (l’Arabie), il vit des situations bizarres, comiques et parodiques. Mais Voltaire ne veut pas tout simplement amuser le lecteur, il a une thèse à défendre, par conséquent il invite le lecteur à lire dans les entre-lignes. Voltaire essaie de montrer satiriquement que l’homme croit dominer les événements, mais en effet, il n’est qu’un jouet des forces qui le dépassent. Zadig est toujours dans la quête du bonheur qui semble impossible: quand il croit que finalement il est heureux, la destinée lui tend un piège. Dans «Le souper», Voltaire continue à exposer ses philosophies et c’est pourquoi il choisit le banquet qui est très propre à la confrontation d’idées. Il y rassemble plusieurs hommes de différentes nationalités et cultures et qui ont une grande diversité de points de vue, en ce qui concerne les superstitions et les préjugés. La discussion devient animée et anecdotique et elle sert à illustrer la thèse de Voltaire, selon laquelle l’homme est médiocre et ignorant, le fanatisme est dangereux et mène à la violence, et le hasard joue un rôle primordial dans notre vie. Dans «Le souper», chaque convive tente d’imposer ses convictions, en méprisant celles des autres, ce qui donne une image accablante de la condition humaine. Cependant, Zadig, en faisant usage de sa raison et de son esprit critique, réussit à réconcilier tout le monde, et quand il semble que «tout va bien dans le meilleur des mondes», il lui arrive une catastrophe: on veut brûler Zadig à petit feu, car il venait de détruire une ancienne tradition- «le bûcher du veuvage», ce qui illustre et justifie le scepticisme de Voltaire par rapport à la Providence.

Recueil de pièces historiques, concernant principalement le règne de Louis XIII ; traités de paix, mémoires politiques, etc. (1574-1636).

Contient : Pièces concernant la Suisse et les relations diplomatiques de ce pays avec la France, 1574-1602 ; Traité de Monçon, 1626 ; État des revenus du roi d'Espagne, 1610 (f. 36), — et de ses dépenses (f. 46) ; État des revenus du roi de Portugal, 1610 (f. 53), — et de ses dépenses (f. 54 v) ; Mémoires sur la cour de Rome, au temps de Paul V ; Traité entre la France et les Pays-Bas, 1634 ; Pièces concernant les protestants de Béarn, 1620 ; Harangue de Villeroy aux États de la Ligue, 1593 ; « Extraict de quelques passages du livre intitulé L'homme d'Estat français vrayement catholicque, dédié au roy très-chrestien Louys-le-Juste, par le sieur de Chiremont » [Le Normant], 1626 ; Entrée de Louis XIII à La Rochelle, 1628 ; « Discours... fais par feu monsieur BACON, grand chancelier d'Angleterre » : « De la religion » et « De la superstition » ; Traité entre la Lorraine et la France, 1634 ; Traité avec les archiducs Albert et Isabelle, 1610 ; Traité de Prague entre l'Empire et la Saxe, 1635 ; « Harangue de monsieur d'Avaux aux États de Suède, assemblés à Stocholme » ; « Formula Stumsdorfianorum pactorum de induciis XXVI annorum inter... Poloniæ regem, magnumque ducem Lithuaniæ, etc., etc., regnum Poloniæ magnumque ducatum Lithuaniæ, ab una, et... reginam regnumque Sueciæ, etc., ab altera parte sancitis, XXIV articulis comprehensa », 1635 ; « Discours sur les moiens que tiennent les Espagnols pour parvenir à la monarchie de l'Europe, et ce que l'on peut faire pour les en empescher » ; « Conférence secrette de Henri-le-Grand, tenüe pour le sujet des moiens de parvenir à l'Empire... » ; « Sommaire déclaration des aydes et charges que les roys de France ont levées en leur royaume, et des inconvéniens et troubles advenus par aucunes violences et non accoustumées exactions, par VIGNER » [Nicolas VIGNIER, médecin] ; « Harangue faite au Roy, séant en son Parlement, par monsieur Bignon, son advocat-général », 1636 ; Mémoires sur la validité ou nullité du mariage de Gaston d'Orléans avec Marguerite de Lorraine, en latin

Xénophon et la divination

Cette thèse a pour but de dresser un panorama complet des croyances de Xénophon en la divination. À l’aide d’une analyse rigoureuse de la totalité des œuvres de cet auteur antique pendant longtemps déprécié, il ressort que le problème de la consultation des dieux, loin d’être abordé de manière anecdotique et spontanée à la façon d’un legs de la tradition que la pensée critique n’a pas touchée, est au contraire un élément essentiel de la formation d’une réflexion profonde sur la piété et plus généralement les rapports qu’entretiennent les hommes avec les dieux. D’autre part, en raison du zèle de Xénophon à avoir rapporté des récits ou des réflexions à propos de la divination, cette analyse offre l’occasion de mieux comprendre les subtilités de cette pratique rituelle logée au cœur de la religion grecque et qui ne saurait être réduite à une forme de superstition.

La chambre de Pandore : féminité et hybridité de l'espace chez Gaston Leroux

Le motif de la « chambre close », considéré comme emblématique du roman policier, a été exploité par de nombreux écrivains depuis le XIXe siècle. Chez les pères fondateurs du genre, tels Edgar Allan Poe et Arthur Conan Doyle, il s’est d’abord incarné sous une forme simple, celle d’un mécanisme permettant la mise en scène d’un « défi à la raison » (Christiane Cadet, 2008), avant de se complexifier à la Belle Époque. Sous la plume de Gaston Leroux, la simplicité cède la place à l’hybridité alors que la « chambre close », en s’emplissant d’un étonnant parfum de femme, devient le lieu où se croisent le crime et la passion, le privé et le public, la raison et la superstition. Dans Le Mystère de la chambre jaune (1907) et Le Fantôme de l’Opéra (1910), le romancier articule ses intrigues autour d’espaces atypiques, destinés à bouleverser les codes du genre policier. Ce mémoire s’attache ainsi à la manière dont un roman populaire, malgré son recours à un motif largement exploité, peut déplacer et transgresser l’horizon d’attente auquel il est associé. Plutôt que d’être figée à la manière d’un cliché photographique, la « chambre close » évolue sans cesse dans les récits à l’étude. Influencée par le phénomène d’hybridité générique qui sous-tend les romans, elle se dote de nouvelles significations qui la singularisent par rapport à l’emploi qu’en ont fait les prédécesseurs. En s’intéressant, dans un premier temps, à la trajectoire empruntée par les corps féminins et à leur influence sur les décors et, dans un deuxième temps, à la manière dont l’espace canalise un certain imaginaire propre à la littérature du XIXe siècle, il s’agira de voir comment Leroux parvient à faire éclater les murs d’un lieu qui, jusqu’alors, était clos « comme un coffre-fort » (Gaston Leroux, 1925).

La critique biblique chez Spinoza

Ce mémoire consiste en une explication de la critique biblique de Spinoza contenue dans la Traité théologico-politique. Cette critique répond à un problème précis : la subversion de la religion en superstition. Cette critique, nous l’expliquons en quatre parties. La première partie consiste en une mise en situation problématique. Elle montre que le problème biblique, qui appelle une critique, est la subversion de la religion. On y montre aussi l’origine de la superstition et la manière dont elle subvertit la religion. La seconde partie consiste en une mise en contexte historique, où l’on montre la pertinence historique d’une telle critique. Nous voyons en effet que la critique biblique de Spinoza s’inscrit dans une période de controverses théologiques importante. La troisième partie expose la méthode d’interprétation des Écritures de Spinoza (méthode historico-critique) et cherche à éclaircir la notion de lumière naturelle, notion fondamentale de la dite méthode. Enfin, dans la quatrième partie, nous exposons la critique spinoziste des autres méthodes interprétatives, jugées erronées par ce dernier, soient les méthodes surnaturelle, sceptique et dogmatique. Nous le verrons, la critique biblique, qui se rapporte à une question très précise, a une finalité plus générale. En effet, la critique biblique est inséparable du but que se donne Spinoza dans le Traité théologico-politique, soit défendre la liberté de penser et de dire ce que l’on pense. En fait, la critique biblique est un moyen pour réaliser ce but.

Inteligencia emocional y afrontamiento del estrés

El objetivo principal de este trabajo es realizar una revisión teórica de los estudios que han elaborado un análisis acerca de la Inteligencia Emocional con la capacidad para afrontar situaciones generadoras de estrés. Los diferentes estudios muestran que niveles altos en Inteligencia Emocional se relacionan con estrategias de afrontamiento basadas en el análisis y resolución de conflictos, mientras que niveles bajos de inteligencia emocional se relacionan con estrategias de afrontamiento basadas en la evitación, la superstición, y la resistencia al cambio. La evidencia que arrojan los estudios indican que la inteligencia emocional es fundamental en el autocontrol emocional y en la habilidad de adaptación de los individuos para afrontar situaciones generadoras de estrés.

Domesticating the calendar: the hours and the almanac in Tudor England

This article examines two genres of text which were extremely popular in the late-medieval and early modern periods, and it pays particular attention to women users. The printed almanacs of sixteenth-century England were enormously influential; yet their contents are so formulaic and repetitive as to appear almost empty of valuable information. Their most striking feature is their astrological guidance for the reader, and this has led to them being considered 'merely' the repository of popular superstition. Only in the last decade have themes of gender and medicine been given serious consideration in relation to almanacs; but this work has focused on the seventeenth century. This chapter centres on a detailed analysis of sixteenth-century English almanacs, and the various kinds of scientific and household guidance they offered to women readers. Both compilers and users needed to chart a safe course through the religious and scientific battles of the time; and the complexities involved are demonstrated by considering the almanacs in relation to competing sources of guidance. These latter are Books of Hours and 'scientific' works such as medical calendars compiled by Oxford scholars in the late middle ages. A key feature of this chapter is that it gives practical interpretations of this complex information, for the guidance of modern readers unfamiliar with astrology.

« Moi d’ici, moi de là-bas » : La géographie imaginaire du roman Le Ventre de l’Atlantique de Fatou Diome

L’objectif de la présente étude est d’explorer la « géographie imaginaire » du roman Le Ventre de l’Atlantique, écrit par Fatou Diome. Le concept de la « géographie imaginaire » décrit les rapports de domination spatiale et la construction d’un « Autre », entièrement différent de « nous » (Saïd, 1980). Les deux pays du roman, la France et le Sénégal, sont analysés comme deux sphères inconciliables, associées aux oppositions comme nous – l’Autre, individualisme – collectivisme, rationalité - superstition. Deux images spatiales sont discutées dans ce mémoire: l’île Niodior au Sénégal et l‘océan Atlantique. L’isolation de l’île Niodior renforce la séparation en deux espaces opposés, alors que l’Atlantique constitue un élément parfois chargé de forces magiques, lié à la vie et à la mort. Evoquant l’idée d’hybridité, le roman montre également des espaces et des identités alternatifs, qui transgressent la structure coloniale.

Presbyterian ethos and environment in the novels of John Buchan : a religious and historical study

The aim of this thesis is to establish, from a historical and religious perspective, that the Presbyterian ethos and environment in which John Buchan was reared was the predominating influence in the writing of his novels. Presbyterianism was not the only influence on Buchan that determined the character of his stories. Buchan was by temperament a romantic, and this had considerable influence on his literature. His novels are romances, peopled by romantic figures who pursue romantic adventures. There are the signs of Buchan's romantic nature in the contents of the novels: creative imagination, sensitivity to nature, and expectations of the intrusion of other worlds, with destiny-determining events to follow. But Buchan had also an acquired classicism. His studies at Glasgow and Oxford Universities brought him in touch with a whole range of the master-pieces of classical literature, especially the works of Plato and Virgil. This discipline gave him clarity and conciseness in style, and balanced the romantic element in him, keeping his work within the bounds of reason. At the heart of Buchan's life and work, however, was his deeply religious nature and this, while influenced by romanticism and classicism, was the dominant force behind his work. Buchan did not accept in its entirety the Presbyterian doctrine conveyed to him by his father and his Church. He was moderate by temperament and shrank from excesses in religious matters, and, being a romantic, he shied away from any fixed creeds. He did embrace the fundamentals of Christianity, however, which he learned from his father and his Church, even if he did put aside the Rev. John's orthodox Calvinism. The basic Christianity which underlies all Buchan's novels has the stamp of Presbyterianism upon it, and that stamp is evident in his characters and their adventures. The expression of Christianity which Buchan embraced was the Christian Platonism of seventeenth century theologians, who taught and preached at Cambridge University, They gave prominence to the place of reason and conscience in man's search for God, They believed that reason and conscience were the ‘candle of the Lord’ which was existed every one. It was their conviction that, if that light was followed, it would lead men and women to God. They were against superstition and fanaticism in religion, against all forms of persecution for religious beliefs, and insisted that God could only be known by renouncing evil and setting oneself to live according to God’s will. This teaching Buchan received, but the stamp of his Presbyterianism was not obliterated. The basic doctrines which arose from his father's Presbyterianism and are to be found in Buchan's novels are as follows: a. the fear (or awe) of God, as life's basic religious attitude; b. the Providence of God as the ultimate determinative force in the outcome of events; c. the reality, malignity and universality of evil which must be forcefully and constantly resisted; d. the dignity of human beings in bearing God's image; e. the conviction that life has meaning and that its ultimate goal, therefore, is a spiritual one - as opposed to the accumulation of wealth, the achieving of recognition from society, and the gaining access to power; f. the necessity of challenge in life for growth and fulfilment, and the importance of fortitude in successfully meeting such challenge; g. the belief that, in the purpose of God, the weak confound the strong. These emphases of Presbyterianism are to be found in all Buchan's novels, to a greater or lesser degree. All his characters are serious people, with a moral purpose in life. Like the pilgrims of the Bible, they seek a country: true fulfilment. This quest becomes more spiritual and more dearly defined as Buchan grows in age and maturity. The progress is to be traced from his early novels, where fulfilment is sought in honour and self-approving competence, as advocated by classicism; to the novels of his middle years, where fulfilment is sought in adventures suggested by romanticism. In his final novel Sick Heart River. Buchan appears to have moved somewhat from his earlier classicism and his romanticism as the road to fulfilment. In this novel, Buchan expresses what, for him, is ultimate fulfilment: a conversion to God that produces self-sacrificing love for others. The terminally-ill Edward Leithen sets out on a romantic adventure that will enable him to die with dignity, and so, in classic style, justify his existence. He has a belief in God, but in a God who is almighty, distant and largely irrelevant to Leithen's life. In the frozen North of Canada, where he expects to find his meagre beliefs in God's absolute power confirmed by the icy majesty of mountain and plain, he finds instead God's mercy and it melts his heart. In a Christ-like way, he brings life to others through his death, believing that, through death, he will find life. There is sufficient evidence to give plausibility to the view that Buchan is describing in Leithen his own pilgrimage. If so, it means that Buchan found his way back to the fundamental experience of the Christian life, conversion, so strongly emphasised in his orthodox Presbyterianism home and Church. However, Buchan reaches this conclusion in a Christian Platonist way, through the natural world, rather than through the more orthodox pathway of Scripture.

Bunker-de-bunk 2012

Cultural issues in understanding and treating obsessive compulsive and spectrum disorders

This chapter discusses the cross-cultural understanding of the obsessive compulsive and spectrum disorders. Epidemiological studies suggest a reasonably consistent prevalence of OCD around the world. The role of other culturally influenced factors in the presentation of OCD is also considered (i.e., religiosity, superstition, and beliefs), with religion considered particularly important in the presentation of OCD, although not in its prevalence per se. Treatment effect sizes across countries and within minority cultures from Western countries are outlined. The influence of cultural factors on help-seeking behaviors, assessment, misdiagnosis, and treatment are considered. Limitations of the literature base are discussed, particularly the lack of non-Western studies of treatment effects, and the low evidence base for the spectrum disorders.

Catholic mothers and daughters: resilient conversations

In this paper, conversations between a group of white, middle class, adult Australian mothers and daughters are examined to disclose the symbolic dimensions that mark girlhood, womanhood, motherhood and the mother– daughter dyad within Catholic discourse. In their conversations,women unravel and produce understandings of themselves as women, and as mothers and daughters that operate at both a symbolic and real material level. Thewomen in their intergenerational dialogue depict a visceral account of Catholic desire, guilt, pleasure, piety and anger. They offer insights into the curious patriarchal religious rituals; logic and superstition that shaped their Catholic upbringings and that still permeate their adult lives. For it becomes evident that they are still affected by, and living out, the intensity of this religious force. By constructing traces of the Catholic mother–daughter nexus which relates back to women’s conversations, the intention is not to construct a closed off space but, rather, to construct a place in which women actively talk, listen and read, and by so doing come to a better understanding of their own social gendered embodied selves.

Os dias são maus : o ensino religioso cristão em dias pós-modernos o desafio de fazer crer perante a cultura da incredulidade

This paper adopts the assumption that religion continues to be a major highlight in the dimension of the contemporary world - characterized by pluralism, the ideas of tolerance and freedom. But for certain streams of Christianity, the postmodern culture seems to be characterized as a highly damaging to their doctrines and principles, since this religious matrix carries a truth claim that would support all its significance, its definition values and their dissemination effort ( evangelism ). This is not to say that Christianity is the only religion that claims to the truth, which would be a gross mistake. Now, religion has been reputed as a phenomenon doomed to disappear, according to the " ideology " of Modernity, given the idea that scientific development would lead us inevitably to the statement that religion was merely a social institution based in the superstition, in fantasy, the imaginary and therefore had nothing "real " unless its existence as an institution capable of aggregating society (give it cohesion), provide values and meaning to different ontological anxieties and doubts of humankind. In the contemporary scenario - seeded by modernity - as Christian ideas, doctrines and principles are in harmony or conflict with postmodernity? These are our starting questions and issues that we intend to stop and reflect. From the assumption that the religious phenomenon has great force in the present day, this research aims to perform central analysis of how religious education, a Protestant denomination specific, harmonizes or clashes with the ideology or ideas more general and emphatic that we can observe in the western world is presented to us from the diagnoses made by the contemporary authors who debate about postmodernism and postmodernity, notably David Harvey, Jean - François Lyotard, Bauman Zygmunt and Fredric Jameson

O medo da morte e os temores infundados: uma investigação acerca da natureza da alma em Lucrécio.

Lucrèce, penseur latin du siècle I, avant J.C., écrire que le peur de la mort imputé par la religion et la superstition, nourrit le souhait à la richesse, l'ambition du pouvoir et les actes insensés, dont les conséquences se reflètent dans les maladies de l'âme. La terreur qui s'installe chez l'homme, à l'être confronté au décès, est aussi un obstacle à la liberté et à la vie équilibrée. Les craintes sans fondement seulement seraient surmonter, avec la compréhension de la nature et du mouvement de l'âme, en percevant leur génération, corporéité et finitude. Pour cela, la compréhension des atomes et du vide, les éléments primordiaux de la nature se basent tout la connaissance de l'âme. L'objectif de ce travail est enquêter la nature de l'âme dans Lucrèce, en présentant une réflexion sur les craintes sans fondement et la peur de la mort, comme une manière de percevoir le mouvement de la vie elle-même, et de que manière sa philosophie affronte à la crainte de la mort.