81 resultados para stunting
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Background: Soil-transmitted helminth (STH) infections are endemic in Honduras and efforts are underway to decrease their transmission. However, current evidence is lacking in regards to their prevalence, intensity and their impact on children’s health. Objectives: To evaluate the prevalence and intensity of STH infections and their association with nutritional status in a sample of Honduran children. Methodology: A cross-sectional study was done among school-age children residing in rural communities in Honduras, in 2011. Demographic data was obtained, hemoglobin and protein concentrations were determined in blood samples and STH infections investigated in single-stool samples by Kato-Katz. Anthropometric measurements were taken to calculate heightfor- age (HAZ), BMI-for-age (BAZ) and weight-for-age (WAZ) to determine stunting, thinness and underweight, respectively. Results: Among 320 children studied (48% girls, aged 7–14 years, mean 9.7661.4) an overall STH prevalence of 72.5% was found. Children .10 years of age were generally more infected than 7–10 year-olds (p = 0.015). Prevalence was 30%, 67% and 16% for Ascaris, Trichuris and hookworms, respectively. Moderate-to-heavy infections as well as polyparasitism were common among the infected children (36% and 44%, respectively). Polyparasitism was four times more likely to occur in children attending schools with absent or annual deworming schedules than in pupils attending schools deworming twice a year (p,0.001). Stunting was observed in 5.6% of children and it was associated with increasing age. Also, 2.2% of studied children were thin, 1.3% underweight and 2.2% had anemia. Moderate-to-heavy infections and polyparasitism were significantly associated with decreased values in WAZ and marginally associated with decreased values in HAZ. Conclusions: STH infections remain a public health concern in Honduras and despite current efforts were highly prevalent in the studied community. The role of multiparasite STH infections in undermining children’s nutritional status warrants more research.
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Soil-transmitted helminth (STH) infections are endemic in Honduras, but their prevalence according to the levels of poverty in the population has not been examined. The present cross-sectional study is aimed to determine the role of different levels of poverty in STH prevalence and infection intensity as well as the potential associations of STH infections with malnutrition and anemia. Research participants were children attending a medical brigade serving remote communities in Northern Honduras in June 2014. Demographic data were obtained, and poverty levels were determined using the unsatisfied basic needs method. STH infections were investigated by the Kato-Katz method; hemoglobin concentrations were determined with the HemoCue system; and stunting, thinness, and underweight were determined by anthropometry. Data were analyzed using descriptive statistics and univariate and multivariable logistic regression models. Among 130 children who participated in this study, a high prevalence (69.2%) of parasitism was found and the poorest children were significantly more infected than those living in less poor communities (79.6% vs. 61.8%; P = 0.030). Prevalence rates of Trichuris trichiura, Ascaris lumbricoides, and hookworms were 69.2%, 12.3%, and 3.85%, respectively. In total, 69% of children had anemia and 30% were stunted. Households’ earthen floor and lack of latrines were associated with infection. Greater efforts should be made to reduce STH prevalence and improve overall childhood health, in particular, among the poorest children lacking the basic necessities of life.
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L'anémie de l'enfant reste un problème d'importance pour la santé mondiale, malgré les décennies de recherche visant à comprendre son étiologie et à développer des interventions efficaces pour réduire sa prévalence et ses conséquences. Bien que les facteurs de risque individuels de l'anémie soient connus, y compris les facteurs liés à la malnutrition et à la morbidité, l'interaction entre lesdits facteurs est moins documentée dans des contextes où les enfants sont fréquemment exposés à plusieurs facteurs en même temps. Cette étude vise à documenter les efforts de lutte contre l'anémie du programme MICAH qui a été mis en oeuvre au Ghana, au Malawi et en Tanzanie. Ensuite, en utilisant les données relatives à la fois au processus et à l'évaluation colligées au cours du programme, elle vise à mieux comprendre les facteurs de risque d'anémie chez les jeunes enfants dans ces contextes et à comprendre comment les relations entre ces facteurs peuvent avoir changé au fil du temps lors de l'intervention. Spécifiquement, cette étude vérifie s‘il y a des preuves d'une réduction de la vulnérabilité des enfants aux facteurs de risque associés à l'anémie dans chaque contexte. Un examen de la documentation a été réalisé afin de caractériser le contexte du programme et des interventions, leur l'intensité et étendue. Les données transversales sur la nutrition et l'état de santé des enfants âgés de 24 à 59 mois (N = 2405) obtenues en 2000 et 2004 à partir des enquêtes d'évaluation du programme MICAH au Ghana, au Malawi et en Tanzanie, ont été utilisées pour décrire la prévalence de l'anémie. Les modèles polynomiaux de régression logistique et linéaire ont été utilisés pour estimer les risques d'anémie légère et d'anémie modérée / sévère et les niveaux d‘hémoglobine associés à des groupes de variables. Les estimations du risque attribuable à une population (RAP) ont aussi été calculées. Une anémie (Hb <110 g/L) a touché au moins 60% des enfants dans les trois pays; l'anémie modérée / sévère (<100 g/L) constituait la majorité des cas. Une forte diminution de l'anémie a été observée entre 2000 et 2004 au Ghana, mais seulement une légère baisse au Malawi et en Tanzanie. Le risque d'anémie modérée / sévère était associé au retard de croissance chez les enfants du Ghana (OR 2,68, IC 95% 1,70-4,23) et du Malawi (OR 1,71; 1,29-2,27) mais pas de la Tanzanie (OR 1,29; 0,87- 1,92). Le paludisme et les maladies récentes étaient associées à une hémoglobine plus basse. Une atténuation de cette association en 2004 a été observée seulement au Malawi pour le paludisme et au Ghana pour les maladies récentes. Le risque d'anémie modérée / sévère était 44% moindre chez les enfants âgés de 48 à 59 mois comparativement aux enfants de 24 à 35 mois dans les trois pays et cela n'a pas changé entre 2000 et 2004. Les RAP estimés ont montré qu‘environ un cinquième des cas d‘anémie modérée à sévère était attribuable au retard de croissance au Ghana et Malawi, mais pas en Tanzanie. Des RAP moindres et dépendants des contextes ont été trouvés pour le paludisme et les maladies récentes. Dans ces zones d‘intervention intégrées de santé et de nutrition la relation de certains facteurs de risque à l'anémie se modifia avec le temps. Le retard de croissance est resté toutefois un facteur de risque indépendant et non mitigé de l'anémie. Une réduction efficace des causes de la malnutrition chronique est nécessaire afin de réduire la vulnérabilité des enfants et de garantir un impact maximum des programmes de lutte contre l'anémie. Une mitigation de l'impact du paludisme peut par contre être visée dans les régions endémiques.
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Ce travail financé par l'ACDI a été réalisé au Laboratoire TRANSNUT de l'Université de Montréal (Canada)en collaboration avec le Laboratoire National de Santé Publique (Burkina Faso) et HKI-Burkina Faso.
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Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet « Pôle francophone africain sur le Double Fardeau Nutritionnel » (DFN) du laboratoire TRANSNUT, centre collaborateur OMS sur la transition nutritionnelle du Département de Nutrition de l’Université de Montréal, en collaboration avec ses partenaires au Burkina Faso, à savoir l’Institut de Recherche en Sciences de la Santé (IRSS) et l’Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP). Elle est l’une des premières à s’intéresser au double fardeau de la malnutrition en Afrique francophone. Cette étude avait pour objectif de démontrer l’existence du double fardeau de la malnutrition parmi les adultes de Ouagadougou au Burkina Faso, d’en donner l’ampleur et d’identifier ses liens avec les facteurs du mode de vie. Plus spécifiquement, elle visait à décrire les carences nutritionnelles, les facteurs de risque cardiométabolique (FRCM), et la typologie du double fardeau de la malnutrition; examiner les caractéristiques du mode de vie des adultes et leurs liens avec le double fardeau de la malnutrition selon les conditions économique, et enfin d’examiner l’association entre inflammation subclinique, les carences nutritionnelles et les FRCM selon les facteurs du mode de vie. Ces objectifs faisaient suite à nos principales hypothèses qui stipulaient que : parmi les adultes de Ouagadougou, le phénotype de double fardeau de la malnutrition le plus fréquemment observé est l’association de surpoids/obésité avec une ou plusieurs carences nutritionnelles, surtout chez les femmes, puis qu’une alimentation de piètre qualité, en lien avec de mauvaises conditions socioéconomiques et de vie est associée tant aux FRCM qu’aux carences nutritionnelles, contribuant ainsi au double fardeau de malnutrition, et enfin qu’un état d’inflammation subclinique joue un rôle de médiateur entre le mode de vie et aussi bien les carences nutritionnelles que les FRCM. Afin de répondre à ces objectifs, une étude transversale descriptive et analytique a été conduite auprès d’un échantillon aléatoire de 330 adultes âgés de 25 à 60 ans recrutés au sein de l’Observatoire de Population de Ouagadougou, situé à la partie nord de la ville. Cet échantillon a été subdivisé en terciles du score de possessions matérielles, proxy du statut socioéconomique, avec 110 personnes respectivement dans chaque strate de niveau socioéconomique bas, moyen et élevé. Chaque participant a fourni des données sociodémographiques, anthropométriques, cliniques et comportementales; il a aussi fourni un échantillon de sang. Les principales variables de l’étude étaient les suivantes : l’âge, les conditions socioéconomiques (insécurité alimentaire, éducation et proxy du revenu), le mode de vie (les apports alimentaires et la qualité de l’alimentation, l’activité physique, la consommation d’alcool et de tabac, la perception de l’image corporelle, le stress psychosocial); l’inflammation subclinique; les FRCM [surpoids/obésité, tension artérielle élevée (TAE) ou hypertension artérielle (HTA), hyperglycémie, dyslipidémie et insulino-résistance]; les carences nutritionnelles (maigreur, anémie, carence en fer et en vitamine A). Des phénotypes de double fardeau de la malnutrition ont été identifiés en combinant FRCM et carences nutritionnelles. Les résultats ont montré une prévalence élevée de surpoids/obésité, d’obésité abdominale, d’hypertension artérielle, d’hyperglycémie, de résistance à l’insuline et du taux de lipoprotéine de haute densité (HDL-C) bas, respectivement de 24,2 %, 12,5 %, 21,9 %, 22,3 %, 25,1 % et 30,0 %. En utilisant les seuils plus sensibles de la Fédération Internationale du Diabète (FID), l’obésité abdominale, la tension artérielle élevée (TAE), l’hyperglycémie était respectivement de 23,5 %; 36,1 % et 34,5 %. Des carences nutritionnelles étaient également présentes, l’anémie, la carence en fer et en vitamine A, ainsi que la maigreur atteignant respectivement 25,5 %, 15,4 %, 12,7 % et 9,7 % de la population étudiée. Les femmes étaient significativement plus touchées que les hommes autant par les FRCM que par les carences nutritionnelles. Le double fardeau de la malnutrition touchait 23,5 % des personnes et même 25,8 % avec les seuils de la FID pour l’obésité abdominale, la TAE, et l’hyperglycémie. Les deux principaux phénotypes observés étaient : l’association de « surpoids/obésité avec au moins une carence en micronutriment », touchant 7,8 % (11,8 % ♀ vs. 3,4 % ♂) des personnes et l’association d’au moins un FRCM autre que le surpoids/obésité avec au moins une carence en micronutriment, qui touchait 9.0 % (12,4 % ♀ vs. 5,4 % ♂) des personnes. La prévalence de ces phénotypes était plus élevée en utilisant les seuils de la FID plutôt que les seuils de l’OMS. Près de 72,9 % des personnes ou 81,2 % (seuils de la FID) avaient au moins un FRCM. Nous avons identifié à partir de l’analyse typologique, deux schémas alimentaires; « urbain » et « traditionnel », dans cette étude. Les carences nutritionnelles étaient davantage associées au schéma alimentaire « traditionnel », alors que les FRCM se retrouvaient dans les deux schémas alimentaires. Le schéma « urbain » regroupait significativement plus d’hommes et de personnes de niveau socioéconomique élevé, alors que les personnes de niveau socioéconomique bas et les femmes étaient proportionnellement plus nombreuses dans le schéma « traditionnel ». Le temps dévolu aux activités sédentaires était significativement plus important que celui consacré aux activités d’intensité modérée à vigoureuse. L’activité physique était inversement associée à l’indice de masse corporelle (IMC), au tour de taille (TT), à la masse grasse corporelle, à la tension artérielle systolique (TAS) et diastolique (TAD), à la triglycéridémie et au taux de lipoprotéine de faible densité (LDL-C). L’IMC et le TT augmentaient en outre avec le temps de sédentarité. Ainsi, le double fardeau de malnutrition était associé au statut socioéconomique bas, au sexe féminin et à la sédentarité. Nous avons aussi trouvé que 39,4 % des personnes avaient une inflammation subclinique qui était associée de façon indépendante et positive à la ferritinémie, à l’IMC, au TT et à la masse grasse corporelle, et négativement au HDL-C. L’exploration du stress psychosocial et de l’image corporelle a révélé une association entre le stress psychosocial, l’HTA et une perception positive de l’embonpoint. Les personnes ayant peut-être accusé un retard de croissance à l’enfance (d’après l’indice de Cormic) étaient significativement plus touchées par le surpoids/obésité, l’obésité abdominale et la résistance à l’insuline. Ces résultats nous ont permis d’atteindre nos objectifs, mais aussi de vérifier nos hypothèses de recherche. Comme on peut le constater, les FRCM sont une réalité à Ouagadougou, qui se compliquent par leur coexistence avec des carences en micronutriments dont la prévalence est tout aussi importante. Une transition nutritionnelle est en cours dans cette ville et contribue au bouleversement des comportements alimentaires et du style de vie favorisant l’émergence de ce double fardeau, dans un contexte où le passé nutritionnel de la population offre des conditions idéales pour un niveau de risque particulièrement élevé pour ces FRCM. Cependant, l’évolution de cette prévalence pourrait être inversée ou tout au moins ralentie si des actions étaient entreprises dès maintenant.
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L’ Initiative des Écoles Amies de la Nutrition (IEAN) est une initiative développée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en 2006 pour contrer le Double Fardeau Nutritionnel (DFN). TRANSNUT est une équipe de professeurs de l’Université de Montréal et Centre collaborateur OMS sur la transition nutritionnelle et le développement. En 2009, il a participé à une étude de base au Burkina Faso, qui a recueilli des données anthropométriques et biologiques des élèves du cours moyen. Cinq ans plus tard, en 2014, de nouvelles données anthropométriques et biologiques ont été recueillies dans les mêmes écoles mais non chez les mêmes élèves. Le but de cette étude est d'analyser les données de 2014 et de comparer les résultats avec ceux de 2009, afin d'évaluer l'impact et l’efficacité de l'initiative. C’est une étude transversale menée dans 12 écoles à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Six écoles «intervention» et six écoles «témoin» ont été sélectionnées, en tenant compte de la nature des écoles (privées/publiques) et de leurs zones géographiques (urbaines/périurbaines). L'échantillon total comprenait 651 écoliers (54,7% de filles) âgés de 8 à 14 ans. Des mesures anthropométriques et de la concentration d'hémoglobine ont été effectuées sur tous les enfants, alors que le rétinol sérique a été mesuré dans un sous-échantillon aléatoire de 184 enfants. Le test de t et du Khi Carré ont été utilisés pour la comparaison des moyennes et des proportions. L'âge moyen des enfants était de 11,4 ± 1,1 ans. Les taux d'anémie et de déficience en vitamine A (DVA) étaient respectivement de 35,6% et 26,1%. La prévalence du retard de croissance était de 8,1% et celle de la maigreur, de 8,4%. Chez les filles, 2,8% étaient en surpoids contre 0,9% des garçons (p = 0,036). Moins d'élèves étaient maigres en 2014 (7,2%) par rapport à 2009 (13,7%), et ce résultat était significatif avec p < 0,001. En outre, les carences en micronutriments ont été moins présentes dans les écoles en 2014 par rapport à 2009 (p = 0,007 pour l'anémie, p = 0,044 pour la DVA). Nos résultats ont confirmé une grande amélioration du statut nutritionnel des enfants d’âge scolaire à Ouagadougou. Toutefois, il n’est pas possible présentement d’évaluer jusqu'à quelle mesure l’IEAN a été impliquée dans ces changements, ni d’attribuer ces améliorations à cette initiative uniquement. Les recherches futures doivent être axées sur des études longitudinales pour évaluer de manière plus précise la croissance des mêmes élèves qui font partie des écoles « amies de la nutrition ».
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El estado nutricional es un indicador de calidad de vida de los individuos; la malnutrición se ha constituido en una problemática de la población infantil de países en vía de desarrollo cuya reducción se ha incluido en los objetivos del Milenio; para su abordaje, Colombia implementó el Sistema de Vigilancia Epidemiológica Alimentaria y Nutricional SISVAN- que desde 1998, ha recopilado información del estado nutricional de niños y niñas. Metodología: Estudio descriptivo longitudinal con un análisis evolutivo (pruebas ANOVA y Bonferoni) de la malnutrición en infantes de Bogotá, con base en los reportes del SISVAN desde 1998 al 2009. La clasificación nutricional se determinó mediante gráficas de la NCHS. Empleamos software SPSS 15. Resultados: 1836.903 registros totales depurados (895638 niñas y 941265 niños), pertenecientes a 20 localidades de Bogotá. La prevalencia de malnutrición encontrada varía según el indicador antropométrico utilizado (Peso/Edad, Talla/Edad y Peso/Talla), así: desnutrición global varía de 2.6%(1998) a 2.8%(2009); de 1.5%(1998) a 1.6%(2009) para sobrepeso y para obesidad 0.8% según el indicador Peso/Edad para ambos géneros. Indicador Talla/Edad: prevalencias de 5.1%(1998) a 4.8%(2009) para desnutrición crónica y retraso de crecimiento de 11.7%(1998) a 11.1% (2009). Indicador Peso/Talla se encuentra: 12.7%(1998) a 12.6%(2009) para desnutrición aguda, 4.9%(1998) a 4.2%(2009) para sobrepeso y para obesidad de 4.8%(1998) a 4.0%(2009). Conclusiones: Existen diferencias significativas entre las prevalencias de desnutrición, sobrepeso y obesidad durante los años de reporte del SISVAN, observándose una tendencia al decrecimiento en obesidad, desnutrición aguda y crónica, y a un comportamiento sin variaciones para sobrepeso.
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El daño hepático asociado a Nutrición Parenteral es una complicación letal en pacientes con nutrición parenteral prolongada. Su etiología no es clara aún, y se cree que las emulsiones lipídicas tradicionales con en base aceite de soya pueden contribuir a su génesis. Recientemente la modificación del contenido de ácidos grasos de las emulsiones lipídicas tradicionalmente de ácidos grasos omega-6 a ricas en omega-3 se postula como terapia prometedora en niños con PNALD. Se realizó una búsqueda sistemática de la literatura en Cochrane y Pubmed, se seleccionaron ensayos clínicos controlados y estudios de cohorte prospectiva. Se utilizó le metodología SIGN para la calificación de los estudios y evaluación del grado de recomendación basada en la evidencia. El meta-análisis que se llevó a cabo incluyó dos artículos de cohorte prospectiva del grupo de Boston para la variable principal de desenlace considerada: tiempo de reverso de la colestasis. Los pacientes que recibieron emulsiones de lípidos de pescado experimentaron regresión de la colestasis significativamente más rápido que los que recibieron emulsiones de soya (HR=10.3, IC 95%:3.7,29,0, efectos fijos), menor mortalidad y menor necesidad de trasplante hepático. Su utilización no se asocia con deficiencia de ácidos grasos, hipertrigliceridemia, coagulopatía o retraso en el crecimiento. Se evidencio una correlación entre la disminución de los niveles de triglicéridos y aumento de los niveles de albúmina, sugiriendo un beneficio nutricional en los pacientes bajo infusiones de lípidos de pescado.
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La desnutrición infantil y la pobreza se encuentran asociadas y estas a su vez con el progreso de los países. Conocer las determinantes sociales y económicas de la niñez que padece de bajo peso es necesario para crear escenarios propicios para el adecuado desarrollo de la primera infancia y de esta manera contribuir con la superación de la pobreza en el marco de sistemas sanitarios equitativos. Se realiza una descripción de las características socio-económicas y un análisis de posibles asociaciones entre estas y el bajo peso infantil de una muestra de infantes de uno de los sectores de mayor vulnerabilidad y pobreza de Bogotá (Colombia). La tasa del bajo peso infantil en la muestra del estudio en más alta a la presentada en Bogotá y Colombia (8.5%, 2.9% y 3.4% respectivamente). Al realizar el análisis de las posibles asociaciones entre el bajo peso y las variables de estudio, se evidencia que las relaciones son débiles entre la primera y las segundas, siendo la condición de desplazamiento la que mayor asociación positiva presenta con la deficiencia nutricional seguido del rango de edad entre los 25 y 36 meses. La situación que presenta mayor independencia con respecto al bajo peso infantil es contar con vivienda propia seguida del sexo. La desnutrición infantil se presenta en niveles importantes en sectores de mayor vulnerabilidad con implicaciones para el adecuado desarrollo de los infantes y para las intenciones de reducción de los índices de pobreza en el país. El fortalecimiento de las políticas públicas que favorezca el desarrollo infantil, la superación de la pobreza y las inequidades en los sistemas de salud deben contemplar acciones integrales dirigidas a los más vulnerables, con la participación de la sociedad civil y los sectores públicos y privados, el compromiso político y económico de los gobiernos y reglas claras que contribuyan a la solución estructural de la pobreza y que promueva el adecuado desarrollo infantil.
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Introducción: La hipertensión arterial es un problema de salud pública tanto en países industrializados como en vía de desarrollo. Su prevalencia en la infancia viene en aumento por lo que es relevante determinarla en niños preescolares a nivel local. Objetivo: Determinar la prevalencia de hipertensión arterial en niños de tres a cinco años de una cohorte de 14 hogares infantiles del ICBF de la localidad de Usaquén en Bogotá. Materiales y métodos: Se realizó un estudio de corte transversal analítico, utilizando la base de datos de un ensayo aleatorizado y controlado del año 200913, y se evaluaron las cifras de tensión arterial de acuerdo a sexo, edad, talla y su correlación con el IMC con un nivel de confianza del 95% y precisión del 1%. Se calcularon las medias, desviaciones estándar, percentiles y prevalencia. Resultados: Se obtuvo una muestra de 1035 casos, encontrándose una prevalencia de 4,5% de HTA sistólica, 10,4% de diastólica, ambas en estadio I; teniendo en cuenta tanto sistólica como diastólica, fue de 11,6% en estadio I. Se determinaron los valores de presión arterial sistólica y diastólica en cuartiles de acuerdo a edad, sexo y talla. El coeficiente de correlación entre el IMC y los niveles de presión arterial sistólica y diastólica fueron de 0.0992 y 0.0362 respectivamente. Conclusión: La prevalencia de HTA general fue de 11,6%, predominando la diastólica en estadio I en niños preescolares. No se encontró correlación entre el IMC y las cifras de tensión arterial sistólica y diastólica.
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ANTECEDENTES: En Colombia, reportes del año 2010 de la Encuesta Nacional de la Situación en Nutrición ENSIN 2010(2), muestran uno de cada dos colombianos, presentan un índice de masa corporal mayor al esperado (3) METODO: El presente estudio de corte transversal, determino la prevalencia de obesidad y otros factores de riesgo cardiovascular en una población de estudiantes de Ciencias de la Salud de una Universidad regional en el primer periodo académico del año 2013. El tamaño de muestra fue n=113 sujetos que corresponden 60,5% a la carrera de medicina y 39,95% a enfermería. Con el fin de conocer su comportamiento con respecto a hábitos y estilos de vida específicos como el consumo de alcohol, el consumo de tabaco y el sedentarismo, así como su asociación a eventos inflamatorios relacionados con la fisiopatología de los procesos de salud asociados al peso, por medio de instrumentos de medición clínica, antropométrica y sérica, determino un modelo estadístico propicio para entender el comportamiento de la obesidad y la enfermedad Cardiovascular RESULTADOS: La prevalencia estimada de sobrepeso y obesidad por Índice de Masa Corporal (IMC), fue del 27,7% (IC 95%: 19.9%,37.2%); por el perímetro abdominal (OBPABD) se encontró una prevalencia estimada del 27,4% (IC 95%: 19,9% – 36,4%), y la prevalencia con el Índice Cintura Cadera (OBICC) fue de 3,5% (IC 95%:1,3% – 9,3%). CONCLUSIONES: La presencia de hábitos no saludables y la presencia de sobrepeso y obesidad se considera que es necesario en primera instancia una valoración general de estado nutricional de los universitarios de las diferentes facultados y plantear estrategias preventivas ya que la literatura documenta los efectos de los hábitos no saludables sino además documenta los efectos de la prevención de la misma ya que en si se ha encontrado asociación para enfermedades cardiovasculares. Se propone que para obtener mayor información del comportamiento de los factores de riesgo cardiovasculares se deberían realizar estudios retrospectivos en el que intervengan las demás carreras de la universidad y poder evaluar la totalidad de población universitaria
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Introducción: Las deficiencias de micronutrientes continúan siendo un problema de salud pública en la población infantil, dentro de las ellas se ha encontrado a la deficiencia de zinc causa importante de morbi-mortalidad en los países en desarrollo, la nutrición adecuada de zinc es esencial para un crecimiento adecuado, inmunocompetencia y desarrollo neuroconductual; se dispone de información insuficiente sobre el estado de zinc en la población preescolar lo cual dificulta la expansión de las intervenciones para el control de su deficiencia. Colombia presenta una deficiencia de este micronutriente, considerándose a nivel mundial como un problema de salud pública moderado a severo. Una evaluación sobre la prevalencia y factores determinantes asociados puede proporcionar datos sobre el riesgo de deficiencia de zinc en una población, considerando factores demográficos, sociales y nutricionales que podrían predisponer a la población preescolar colombiana a sufrir este déficit. Metodología: Estudio observacional de corte transversal que incluyó 4275 niños entre 1 y 4 años, utilizando datos de la Encuesta Nacional de Situación Nutricional (ENSIN-2010). Se realizaron análisis bivariados y multivariados para determinar factores asociados positiva y negativamente con deficiencia de zinc. Resultados: El 49,1% de los niños encuestados cursaban con deficiencia de zinc. Los factores de riesgo asociados a deficiencia de zinc encontrados fueron menor edad, peso y talla bajos, vivir en región Atlántica, región Central, Territorios Nacionales, vivienda en área de población dispersa, pertenencia a etnia afrocolombiana, pertenencia a etnia indígena, estar afiliado a régimen subsidiado, no estar afiliado a ningún régimen de salud, madre sin educación, no asistencia a programa de alimentación dirigido y el grado severo de inseguridad Conclusiones: El déficit de zinc en los niños entre 1 y 4 años de edad es multifactorial, siendo un reflejo probable de la situación de inequidad de la población colombiana, en especial, la más pobre y vulnerable. Palabras clave: Zinc, Deficiencia de zinc, factores asociados, niños entre 1 y 4 años, Colombia
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To identify and describe the sociodemographic and nutritional characteristics associated with neurobehavioral development among young children living in three communities in the northeastern Andean region of Cayambe-Tabacundo, Ecuador. Women in the study communities who had a child 3 to 61 months of age completed a questionnaire about maternal and child health and sociodemographic characteristics. The Ages and Stages Questionnaire (ASQ) was directly administered to 283 children by two trained interviewers. Growth measurements and a hemoglobin finger-prick blood test were obtained in 2003–2004. Prevalence of developmental delay was calculated, and associations between child development and maternal, child, and household characteristics were explored. High frequencies of developmental delay were observed. Children 3 to 23 months old displayed delay in gross motor skills (30.1%), and children 48 to 61 months old displayed delay in problem-solving skills (73.4%) and fine motor skills (28.1%). A high frequency of both anemia (60.4%) and stunting (53.4%) was observed for all age groups. Maternal educational level was positively associated with communication and problem-solving skills, and monthly household income was positively associated with communication, gross motor, and problem-solving skills. The results suggest a high prevalence of developmental delay and poor child health in this population. Child health status and the child’s environment may contribute to developmental delay in this region of Ecuador, but sociodemographic factors affecting opportunities for stimulation may also play a role. Research is needed to identify what is causing high percentages of neurobehavioral developmental delay in this region of Ecuador.
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Pseudomonas syringae pv. phaseolicola causes halo blight of the common bean, Phaseolus vulgaris, worldwide and remains difficult to control. Races of the pathogen cause either disease symptoms or a resistant hypersensitive response on a series of differentially reacting bean cultivars. The molecular genetics of the interaction between P. syringae pv. phaseolicola and bean, and the evolution of bacterial virulence, have been investigated in depth and this research has led to important discoveries in the field of plant-microbe interactions. In this review, we discuss several of the areas of study that chart the rise of P. syringae pv. phaseolicola from a common pathogen of bean plants to a molecular plant-pathogen supermodel bacterium. Taxonomy: Bacteria; Proteobacteria, gamma subdivision; order Pseudomonadales; family Pseudomonadaceae; genus Pseudomonas; species Pseudomonas syringae; Genomospecies 2; pathogenic variety phaseolicola. Microbiological properties: Gram-negative, aerobic, motile, rod-shaped, 1.5 µm long, 0.7-1.2 µm in diameter, at least one polar flagellum, optimal temperatures for growth of 25-30 °C, oxidase negative, arginine dihydrolase negative, levan positive and elicits the hypersensitive response on tobacco. Host range: Major bacterial disease of common bean (Phaseolus vulgaris) in temperate regions and above medium altitudes in the tropics. Natural infections have been recorded on several other legume species, including all members of the tribe Phaseoleae with the exception of Desmodium spp. and Pisum sativum. Disease symptoms: Water-soaked lesions on leaves, pods, stems or petioles, that quickly develop greenish-yellow haloes on leaves at temperatures of less than 23 °C. Infected seeds may be symptomless, or have wrinkled or buttery-yellow patches on the seed coat. Seedling infection is recognized by general chlorosis, stunting and distortion of growth. Epidemiology: Seed borne and disseminated from exudation by water-splash and wind occurring during rainfall. Bacteria invade through wounds and natural openings (notably stomata). Weedy and cultivated alternative hosts may also harbour the bacterium. Disease control: Some measure of control is achieved with copper formulations and streptomycin. Pathogen-free seed and resistant cultivars are recommended. Useful websites: Pseudomonas-plant interaction http://www.pseudomonas-syringae.org/; PseudoDB http://xbase.bham.ac.uk/pseudodb/; Plant Associated and Environmental Microbes Database (PAMDB) http://genome.ppws.vt.edu/cgi-bin/MLST/home.pl; PseudoMLSA Database http://www.uib.es/microbiologiaBD/Welcome.html.
Resumo:
In the past three decades, Brazil has undergone rapid changes in major social determinants of health and in the organisation of health services. In this report, we examine how these changes have affected indicators of maternal health, child health, and child nutrition. We use data from vital statistics, population censuses, demographic and health surveys, and published reports. In the past three decades, infant mortality rates have reduced substantially, decreasing by 5.5% a year in the 1980s and 1990s, and by 4.4% a year since 2000 to reach 20 deaths per 1000 livebirths in 2008. Neonatal deaths account for 68% of infant deaths. Stunting prevalence among children younger than 5 years decreased from 37% in 1974-75 to 7% in 2006-07. Regional differences in stunting and child mortality also decreased. Access to most maternal-health and child-health interventions increased sharply to almost universal coverage, and regional and socioeconomic inequalities in access to such interventions were notably reduced. The median duration of breastfeeding increased from 2.5 months in the 1970s to 14 months by 2006-07. Official statistics show stable maternal mortality ratios during the past 10 years, but modelled data indicate a yearly decrease of 4%, a trend which might not have been noticeable in official reports because of improvements in death registration and the increased number of investigations into deaths of women of reproductive age. The reasons behind Brazil`s progress include: socioeconomic and demographic changes (economic growth, reduction in income disparities between the poorest and wealthiest populations, urbanisation, improved education of women, and decreased fertility rates), interventions outside the health sector (a conditional cash transfer programme and improvements in water and sanitation), vertical health programmes in the 1980s (promotion of breastfeeding, oral rehydration, and immunisations), creation of a tax-funded national health service in 1988 (coverage of which expanded to reach the poorest areas of the country through the Family Health Program in the mid-1990s); and implementation of many national and state-wide programmes to improve child health and child nutrition and, to a lesser extent, to promote women`s health. Nevertheless, substantial challenges remain, including overmedicalisation of childbirth (nearly 50% of babies are delivered by caesarean section), maternal deaths caused by illegal abortions, and a high frequency of preterm deliveries.