88 resultados para stillbirth
Resumo:
Objective: To assess the prevalence of overweight and obesity, and the impact of body mass index (BMI) on maternal and neonatal outcomes, in a UK obstetric population.
Design: Retrospective study.
Setting: A tertiary referral unit in Northern Ireland.
Population: A total of 30 298 singleton pregnancies over an 8-year period, 2004–2011.
Methods: Women were categorised according to World Health Organization classification: underweight (BMI < 18.50 kg/m2); normal weight (BMI 18.50–24.99 kg/m2; reference group); overweight (BMI 25.00–29.99 kg/m2); obese class I (BMI 30.00–34.99 kg/m2); obese class II (BMI 35–39.99 kg/m2); and obese class III (BMI = 40 kg/m2). Maternal and neonatal outcomes were examined using logistic regression, adjusted for confounding variables.
Main outcome measures: Maternal and neonatal outcomes.
Results: Compared with women of normal weight, women who were overweight or obese class I were at significantly increased risk of hypertensive disorders of pregnancy (OR 1.9, 99% CI 1.7–2.3; OR 3.5, 99% CI 2.9–4.2); gestational diabetes mellitus (OR 1.7, 99% CI 1.3–2.3; OR 3.7, 99% CI 2.8–5.0); induction of labour (OR 1.2, 99% CI 1.1–1.3; OR 1.3, 99% CI 1.2–1.5); caesarean section (OR 1.4, 99% CI 1.3–1.5; OR 1.8, 99% CI 1.6–2.0); postpartum haemorrhage (OR 1.4, 99% CI 1.3–1.5; OR 1.8, 1.6–2.0); and macrosomia (OR 1.5, 99% CI 1.3–1.6; OR 1.9, 99% CI 1.6–2.2), with the risks increasing for obese classes II and III. Women in obese class III were at increased risk of preterm delivery (OR 1.6, 99% CI 1.1–2.5), stillbirth (OR 3.0, 99% CI 1.0–9.3), postnatal stay > 5 days (OR 2.1, 99% CI 1.5–3.1), and infant requiring admission to a neonatal unit (OR 1.6, 99% CI 1.0–2.6).
Conclusions: By categorising women into overweight and obesity subclassifications (classes I –III), this study clearly demonstrates an increasing risk of adverse outcomes across BMI categories, with women who are overweight also at significant risk.
Keywords Body mass index, maternal and neonatal outcomes,obesity, pregnancy
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OBJECTIVE: The purpose of this article is to present the specific public health indicators recently developed by EUROCAT that aim to summarize important aspects of the public health impact of congenital anomalies in a few quantitative measures. METHODS: The six indicators are: (1) congenital anomaly perinatal mortality, (2) congenital anomaly prenatal diagnosis prevalence, (3) congenital anomaly termination of pregnancy, (4) Down syndrome livebirth prevalence, (5) congenital anomaly pediatric surgery, and (6) neural tube defects (NTD) total prevalence. Data presented for this report pertained to all cases (livebirths, fetal deaths, or stillbirths after 20 weeks of gestation and terminations of pregnancy for fetal anomaly [TOPFA]) of congenital anomaly from 27 full member registries of EUROCAT that could provide data for at least 3 years during the period 2004 to 2008. Prevalence of anomalies, prenatal diagnosis, TOPFA, pediatric surgery, and perinatal mortality were calculated per 1000 births. RESULTS: The overall perinatal mortality was approximately 1.0 per 1000 births for EUROCAT registries with almost half due to fetal and the other half due to first week deaths. There were wide variations in perinatal mortality across the registries with the highest rates observed in Dublin and Malta, registries in countries where TOPFA are illegal, and in Ukraine. The overall perinatal mortality across EUROCAT registries slightly decreased between 2004 and 2008 due to a decrease in first week deaths. The prevalence of TOPFA was fairly stable at about 4 per 1000 births. There were variations in livebirth prevalence of cases typically requiring surgery across the registries; however, for most registries this prevalence was between 3 and 5 per 1000 births. Prevalence of NTD decreased by about 10% from 1.05 in 2004 to 0.94 per 1000 in 2008. CONCLUSION: It is hoped that by publishing the data on EUROCAT indicators, the public health importance of congenital anomalies can be clearly summarized to policy makers, the need for accurate data from registries emphasized, the need for primary prevention and treatment services highlighted, and the impact of current services measured.
Rôle des ressources humaines dans la performance du système de référence-évacuation de Kayes au Mali
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La mortalité maternelle et périnatale est un problème majeur de santé publique dans les pays en développement. Elle illustre l’écart important entre les pays développés et les pays en développement. Les interventions techniques pour améliorer la santé maternelle et périnatale sont connues dans les pays en développement, mais ce sont la faiblesse des systèmes de santé et les défis liés aux ressources qui freinent leur généralisation. L’objectif principal de ce travail était de mieux comprendre le rôle des ressources humaines en particulier ceux de la première ligne dans la performance d’un système de référence maternelle. Au Mali, la mise en place d’un système de référence maternelle, système de référence-évacuation « SRE », fait partie des mesures nationales de lutte contre la mortalité maternelle et périnatale. Les trois composantes du SRE, soit les caisses de solidarité, le transport et la communication et la mise à niveau des soins obstétricaux, permettent une action simultanée du côté de la demande et de l’offre de soins maternels et périnatals. Néanmoins, la pénurie de personnel qualifié a conduit à des compromis sur la qualification du personnel dans l’implantation de ce système. La région de Kayes, première région administrative du Mali, est une région de forte émigration. Elle dispose d’une offre de soins plus diversifiée qu’ailleurs au Mali, grâce à l’appui des Maliens de l’extérieur. Son SRE offre ainsi un terrain d’études adéquat pour l’analyse du rôle des professionnels de première ligne. De façon plus spécifique, ce travail avait pour objectifs 1) d’identifier les caractéristiques des équipes de soins de première ligne qui sont associées à une meilleure performance du SRE en termes de survie simultanée de la mère et du nouveau-né et 2) d’approfondir la compréhension des pratiques de gestion des ressources humaines, susceptibles d’expliquer les variations de la performance du SRE de Kayes. Pour atteindre ces objectifs, nous avons, à partir du cadre de référence de Michie et West modélisé les facteurs liés aux ressources humaines qui ont une influence potentielle sur la performance du SRE de Kayes. L’exploration des variations du processus motivationnel a été faite à partir de la théorie de l’attente de Vroom. Nous avons ensuite combiné une revue de la littérature et un devis de recherche mixte (quantitative et qualitative). Les données pour les analyses quantitatives proviennent d’un système d’enregistrement continu de toutes les urgences obstétricales (GESYRE : Gestion du Système de Référence Évacuation mis en place depuis 2004 dans le cadre du suivi et de l’évaluation du SRE de Kayes) et des enquêtes à passages répétés sur les données administratives et du personnel des centres de santé. Un modèle de régression biprobit a permis d’évaluer les effets du niveau d’entrée dans le SRE et des équipes de soins sur la survie jointe de la mère et du nouveau-né. A l’aide d’entrevues semi-structurées et d’observations, nous avons exploré les pratiques de gestion des personnes dans des centres de santé communautaires « CScom » sélectionnés par un échantillonnage raisonné. Les résultats de ce travail ont confirmé que la main d’œuvre humaine demeure cruciale pour la performance du SRE. Les professionnels de première ligne ont influencé la survie des femmes et des nouveau-nés, à morbidités égales, et lorsque la distance parcourue est prise en compte. La meilleure survie de la mère et du nouveau-né est retrouvée dans les cas d’accès direct à l’hôpital régional. Les femmes qui sont évacuées des centres de première ligne où il y a plus de professionnels ou un personnel plus qualifié avaient un meilleur pronostic materno-fœtal que celles qui ont consulté dans des centres qui disposent de personnel peu qualifié. Dans les centres de première ligne dirigés par un médecin, des variations favorables à la performance comme une implication directe des médecins dans les soins, un environnement de soins concurrentiel ont été retrouvés. Concernant les pratiques de gestion dans les centres de première ligne, les chefs de poste ont mis en place des incitatifs pour motiver le personnel à plus de performance. Le processus motivationnel demeure toutefois très complexe et variable. La désirabilité de bons résultats des soins (valence) est élevée pour tous les professionnels ; cependant les motifs étaient différents entre les catégories de personnel. Par ailleurs, le faible niveau d’équipements et la multiplicité des acteurs ont empêché l’établissement d’un lien entre l’effort fourni par les professionnels et les résultats de soins. Cette compréhension du rôle des professionnels de première ligne pourra aider le personnel administratif à mieux cibler le monitorage de la performance du SRE. Le personnel de soins pourra s’en servir pour reconnaitre et appliquer les pratiques associées à une bonne performance. Dans le domaine de la recherche, les défis de recherche ultérieurs sur les facteurs humains de la performance du SRE seront mieux identifiés.
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L’asthme maternel complique environ 3,4% à 12,4% des grossesses dans les pays développés ce qui en fait une des maladies chroniques les plus fréquentes pouvant engendrer de sérieux problèmes médicaux chez la mère et le fœtus. D’autre part, un taux relativement important de femmes enceintes, soit 4 à 7%, utilisent des médicaments anti-asthmatiques. La mortinaissance, la mortalité néonatale et/ou la mortalité périnatale sont les issues de grossesses les plus dramatiques pour l’enfant et la famille. Toutefois, l’effet de l’asthme et de l’utilisation des corticostéroïdes inhalés (CSI) pendant la grossesse sur ces complications a été inadéquatement évalué. La majorité des études qui ont évalué ces associations souffraient d’un manque de puissance statistique et/ou d’une absence ou d’un ajustement inadéquat pour les variables potentiellement confondantes. Les travaux présentés dans cette thèse ont donc pour objectif d’évaluer le risque de mortalité périnatale chez les femmes asthmatiques comparativement aux femmes non- asthmatiques. Cette thèse vise également à évaluer si les femmes asthmatiques exposées aux CSI courent plus de risque de mortalité périnatale que les femmes asthmatiques non exposées et si le risque de mortalité périnatale varie en fonction de la dose quotidienne de CSI utilisée par la mère pendant la grossesse. À l’aide du croisement de trois bases de données administratives du Québec, une large cohorte de femmes asthmatiques et non-asthmatiques qui ont eu au moins une grossesse entre 1990 et 2002 a été construite (n=41 142). À partir de cette cohorte, deux cohortes de grossesses ont été constituées. Les deux premières études présentées dans cette thèse sont basées sur toute la cohorte alors que la dernière étude est basée uniquement sur les grossesses de femmes asthmatiques. Une étude de cohorte a d’abord été réalisée afin d’évaluer l’effet de l’asthme maternel sur le risque de mortalité périnatale permettant l’ajustement pour les variables provenant des bases de données administratives. Afin de mieux estimer le risque de mortalité périnatale chez les femmes asthmatiques une étude de cohorte comprenant deux phases d’échantillonnage a ensuite été réalisée à l’aide d’informations additionnelles sur le tabagisme, l’utilisation de drogue illicite et l’histoire de mortinaissances, colligées à partir du dossier médical de la mère. Finalement, le risque de mortalité périnatale chez les femmes asthmatiques qui ont utilisé des CSI pendant la grossesse et le risque de mortalité périnatale en fonction de la dose moyenne quotidienne de CSI consommée par la mère pendant la grossesse ont été investigués à l’aide d’une étude de cohorte à deux phases d’échantillonnage chez les femmes asthmatiques uniquement. Nous avons premièrement observé que l’asthme pendant la grossesse pourrait augmenter le risque de mortalité périnatale due à l’augmentation du risque de bébés de petits poids et de bébés prématurés chez les femmes asthmatiques (OR=1,30; IC 95%: 1,05-1,57). Toutefois, après avoir ajusté pour le tabagisme pendant la grossesse, le risque relatif de mortalité périnatale a diminué à 12% et l’association n’est pas demeurée statistiquement significative (OR= 1,12; IC 95%: 0,87-1,45). Finalement, l’utilisation de CSI pendant la grossesse, lorsque la dose n’a pas été considérée, n’a pas été associé à une augmentation significative du risque de mortalité périnatale (OR= 1,07; IC 95% : 0,70-1,61) et un effet protecteur non-significatif de l’utilisation de doses de CSI de 250 ug ou moins par jour a été observé (OR=0,89; IC 95%: 0,55 -1,44). Toutefois, les femmes qui ont pris des doses >250 ug/jour avaient un risque accru de mortalité périnatale de 52%, mais cette association n’était pas statistiquement significative (OR=1,52; IC 95%: 0,62-3,76). Cette augmentation du risque pourrait toutefois résulter d’un ajustement imparfait pour la sévérité et le contrôle de l’asthme (les femmes asthmatiques qui ont utlisé >250 ug/jour sont susceptibles d’avoir un asthme plus sévère ou inadéquatement maîtrisé). Les conclusions de nos travaux qui sont plutôt rassurantes pourront contribuer à une meilleure prise en charge des femmes enceintes asthmatiques, à aider les médecins dans la prescription de CSI pendant la grossesse et à rassurer les femmes enceintes souffrant d’asthme et les femmes enceintes qui doivent utiliser des CSI. Toutefois, des études supplémentaires sont nécessaires afin de pouvoir conclure que l’utilisation de doses plus élevées de CSI (>250 ug/jour) pendant la grossesse sont sécuritaires.
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Les Inuits sont le plus petit groupe autochtone au Canada. Les femmes inuites présentent des risques beaucoup plus élevés d’issues de grossesse défavorables que leurs homologues non autochtones. Quelques études régionales font état d’une mortalité fœtale et infantile bien plus importante chez les Inuits canadiens par rapport aux populations non autochtones. Des facteurs de risque tant au niveau individuel que communautaire peuvent affecter les issues de grossesse inuites. Les relations entre les caractéristiques communautaires et les issues de grossesse inuites sont peu connues. La compréhension des effets des facteurs de risque au niveau communautaire peut être hautement importante pour le développement de programmes de promotion de la santé maternelle et infantile efficaces, destinés à améliorer les issues de grossesse dans les communautés inuites. Dans une étude de cohorte de naissance reposant sur les codes postaux et basée sur les fichiers jumelés des mortinaissances/naissances vivantes/mortalité infantile, pour toutes les naissances survenues au Québec de 1991 à 2000, nous avons évalué les effets des caractéristiques communautaires sur les issues de grossesse inuites. Lorsque cela est approprié et réalisable, des données sur les issues de grossesse d’un autre groupe autochtone majeur, les Premières Nations, sont aussi présentées. Nous avons tout d'abord évalué les disparités et les tendances temporelles dans les issues de grossesse et la mortalité infantile aux niveaux individuel et communautaire chez les Premières Nations et les Inuits par rapport à d'autres populations au Québec. Puis nous avons étudié les tendances temporelles dans les issues de grossesse pour les Inuits, les Premières Nations et les populations non autochtones dans les régions rurales et du nord du Québec. Les travaux concernant les différences entre milieu rural et urbain dans les issues de grossesse chez les peuples autochtones sont limités et contradictoires, c’est pourquoi nous avons examiné les issues de grossesse dans les groupes dont la langue maternelle des femmes est l’inuktitut, une langue les Premières Nations ou le français (langue majoritairement parlée au Québec), en fonction de la résidence rurale ou urbaine au Québec. Finalement, puisqu'il y avait un manque de données sur la sécurité des soins de maternité menés par des sages-femmes dans les communautés éloignées ou autochtones, nous avons examiné les issues de grossesse en fonction du principal type de fournisseur de soins au cours de l'accouchement dans deux groupes de communautés inuites éloignées. Nous avons trouvé d’importantes et persistantes disparités dans la mortalité fœtale et infantile parmi les Premières Nations et les Inuits comparativement à d'autres populations au Québec en se basant sur des évaluations au niveau individuel ou communautaire. Une hausse déconcertante de certains indicateurs de mortalité pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue des Premières Nations et l’inuktitut, et pour les femmes résidant dans des communautés peuplées principalement par des individus des Premières Nations et Inuits a été observée, ce qui contraste avec quelques améliorations pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue non autochtone et pour les femmes résidant dans des communautés principalement habitées par des personnes non autochtones en zone rurale ou dans le nord du Québec. La vie dans les régions urbaines n'est pas associée à de meilleures issues de grossesse pour les Inuits et les Premières Nations au Québec, malgré la couverture d'assurance maladie universelle. Les risques de mortalité périnatale étaient quelque peu, mais non significativement plus élevés dans les communautés de la Baie d'Hudson où les soins de maternité sont prodigués par des sages-femmes, en comparaison des communautés de la Baie d'Ungava où les soins de maternité sont dispensés par des médecins. Nos résultats sont peu concluants, bien que les résultats excluant les naissances extrêmement prématurées soient plus rassurants concernant la sécurité des soins de maternité dirigés par des sages-femmes dans les communautés autochtones éloignées. Nos résultats indiquent fortement le besoin d’améliorer les conditions socio-économiques, les soins périnataux et infantiles pour les Inuits et les peuples des Premières Nations, et ce quel que soit l’endroit où ils vivent (en zone éloignée au Nord, en milieu rural ou urbain). De nouvelles données de surveillance de routine sont nécessaires pour évaluer la sécurité et améliorer la qualité des soins de maternité fournis par les sages-femmes au Nunavik.
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Introducción: La Preeclampsia ocurre entre el 2-7% de los embarazos. Previos estudios han sugerido la asociación entre los niveles alterados de PAPP-A y la β-hCG libre con el desarrollo de Preeclampsia (PE) y/o Bajo Peso al Nacer (BPN). Metodología: El diseño del estudio es de Prueba Diagnóstica con enfoque de casos y controles. Las mediciones séricas de PAPP-A y la β-hCG libre, fueron realizadas entre la semana 11-13.6 días durante 2 años. Resultados: La cohorte incluyó 399 pacientes, la incidencia de PE fue de 2,26% y de BPN fue de 14.54%. El punto de corte del percentil 10 fue MoM PAPP-A: 0,368293 y MoM β-hCG libre: 0,412268; la especificidad en PE leve fue de 90,5 y para BPN de 90. Los MoM de la β-hCG libre, la edad y el peso materno se comportan como factores de riesgo, mientras que mayores valores de MoM de la PAPP-A y mayor número de partos factores de protección. Para el BPEG severo la edad materna y la paridad se comportan como factores de riesgo, mientras que un aumento promedio de los valores de los MoM de la PAPP-A y la β-hCG libre, como factores de protección en el desarrollo de BPEG Severo. Conclusiones: Existe una relación significativa entre los valores alterados de PAPP-A y de β-hCG libre, valorados a la semana 11 a 13 con la incidencia de Preeclampsia y de Bajo Peso al nacer en fetos cromosómicamente normales, mostrando unos niveles significativamente más bajos a medida que aumentaba la severidad de la enfermedad.
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Introducción: La aparición de vasodilatación aislada de la arteria cerebral media en fetos pequeños para la edad gestacional sin otros cambios en el doppler puede interpretarse como fisiológica o podría ser la manifestación inicial de una restricción de crecimiento intrauterino de inicio tardío. Se pretende evaluar la asociación de la disminución del índice de pulsatibilidad de la arteria cerebral media, como predictor de desenlaces perinatales adversos, en fetos con bajo peso para edad gestacional. Metodología: Se realizó un estudio de cohorte analítica de temporalidad histórica para determinar si el hallazgo de disminución de la pulsatibilidad en el doppler de arteria cerebral media se asocia con el pronóstico perinatal adverso, en fetos pequeños para edad gestacional mediante un muestreo no probabilístico. Resultados: Se recolectaron un total de 325 flujometría doppler de fetos pequeños para edad gestacional. El riesgo de parto pretérmino fue RR 2.6 IC95% 1.6-4.1, de hospitalización fue RR 1.4 IC95%1.1-1.9 y de muerte fue 2.1 IC95%1.5-3.2 cuando hay índice de pulsatilidad alterada en la arteria cerebral media. La regresión logística mostró que el riesgo de desenlaces desfavorables con alteraciones en la arteria cerebral media fue de RR 4.2 IC95% 2.5-7.1 ajustado por edad materna, edad gestacional y bajo peso al nacer. Discusión Los pacientes expuestos presentan mayor riesgo de desenlaces desfavorables con diferencias significativas, no así en otros estudios publicados. El presente estudio muestra asociaciones significativas que debe ser evaluada con estudios más amplios.
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La obesidad es una de las causas de óbito fetal documentadas en la literatura, pero actualmente no hay datos conclusivos sobre el efecto del sobrepeso como causa de óbito. Con la presente revisión sistemática se pretendió evaluar la evidencia relacionada con las alteraciones de peso como causa de óbito fetal. Se realizó una revisión sistemática de la literatura en múltiples bases de datos incluyendo la mejor evidencia relacionada con el tema en un periodo de cinco años. El sobrepeso/obesidad es un factor de riesgo modificable en toda mujer que planea una gestación; la intervención oportuna durante la valoración preconcepcional puede modificar todos los factores en cuanto a patrones de alimentación, ejercicio y hábitos de vida saludable.
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Dystrophin is the product of the Duchenne muscular dystrophy (DMD) gene. Dystrophin-related protein (utrophin), an autosomal homologue of dystrophin, was studied in skeletal muscle from normal fetuses aged 9-26 weeks and one stillbirth of 41 weeks' gestation, and compared with low- and high-risk DMD fetuses aged 9-20 weeks. Utrophin was present at the sarcolemma from before 9 weeks' gestation, although there was variability in intensity both within and between myotubes. Sarcolemmal immunolabelling became more uniform, and levels of utrophin increased to a maximum at approximately 17-18 weeks. Levels then declined, until by 26 weeks sarcolemmal labelling was negligible and levels were similar to adult control muscle. By 41 weeks there was virtually no sarcolemmal labelling, although immunolabelling of capillaries was bright. Similar results were obtained with normal and DMD fetal muscle. Utrophin is therefore expressed in the presence and absence of dystrophin and down-regulated before birth in normal fetal muscle fibres. Samples were not available to determine whether or when, utrophin levels decline in DMD fetal muscle. On Western blots, utrophin was shown to have a smaller relative molecular mass than adult dystrophin, but similar to the fetal isoform. Blood vessels were brightly immunolabelled at all ages, although utrophin immunolabelling of peripheral nerves increased with gestational age.
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Bakgrund: Det finns begränsad kunskap om hur mammor upplever att drabbas av HELLP syndrom och samtidigt mista sitt väntade barn. Ytterligare kunskap kan bidra till ökad förståelse och leda till bättre vård. Syfte: Att beskriva mammors upplevelser av att drabbas av HELLP syndrom och samtidigt mista sitt väntade barn. Metod: En kvalitativ fallstudie med djupintervjuer som analyserades genom kvalitativ innehållsanalys. Resultat: Studien påvisade det kaos och den overklighetskänsla mammorna upplevde då insjuknandet och händelserna skedde i snabb takt. Det fanns ingen tid för reflektion, tillståndet var livshotande och en katastrofkänsla uppstod. Temat overkligt kaos formades. De svårt sjuka mammorna klarade inte att delta vid första omvårdnaden av sitt döda barn men kunde under vårdtiden vara tillsammans med barnet vid flera tillfällen vilket gav känslor av både glädje och sorg. Mammorna upplevde restsymtom av HELLP syndrom ett halvår efter händelsen. Slutsatser: Det snabba insjuknandet och händelseförloppet resulterade i ett overkligt kaos för mammorna. Det är viktigt att vårdpersonalen är tydliga i sin kommunikation och hela tiden närvarande hos mamman. Barnmorskan har en central roll i att hjälpa mammorna att möta och vara nära sitt döda barn så mycket som möjligt.
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Background Pregnancy outcomes in the general population are important public health indicators. Purpose The overall aim of this study was to investigate the outcomes of reported pregnancies within a well-defined population, to identify risk groups for adverse pregnancy outcomes, and to suggest preventive measures. Method A prospective population-based cohort study of pregnant women in Bavi district, Vietnam between 1 January 1999 and 30 June 2004. Results Pregnancy outcome was reported for 5,259 cases; 4,152 (79%) resulted in a live birth, 67 (1.3%) in a stillbirth, 733 (14%) in an induced abortion, and 282 (5.4%) in a spontaneous abortion. There was an increased risk of home delivery for women from ethnic minorities (OR?=?1.85; 95%CI?=?1.06–3.24) or with less than 6 years of schooling (OR?=?7.36; 95%CI?=?3.54–15.30). The risk of stillbirth was increased for ethnic minorities (OR?=?6.34; 95%CI?=?1.33–30.29) and women delivering at home (OR?=?6.81; 95%CI?=?2.40–19.30). The risk of induced abortion increased with maternal age. Conclusion Our findings emphasize the public health significance of access to adequate family planning, counselling, and maternal health care for all women. Policies should specifically target women from high-risk groups.
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Objective. To evaluate maternal and perinatal outcomes of first pregnancy after chemotherapy for gestational trophoblastic neoplasia (GTN) in Brazilian patients.Methods. This study included 252 subsequent pregnancies after chemotherapy for GTN treated between 1960-2005. Correlations of maternal and perinatal outcomes with chemotherapy regimen (single or multiagent) and the time interval between chemotherapy completion and first subsequent pregnancy were investigated.Results. There was a significant increase in adverse maternal outcomes in women who conceived <6 months than 6-12 months (76.2% and 19.6%; p<0.0001; OR=13.12; CI 95%=3.87-44.40) and >12 months (76.2% and 21.7%; P<0.0001; OR=11.56; CI 95%=3.98-33.55) after chemotherapy. Spontaneous abortion frequency was higher <6 months (71.4%) than 6-12 months (17.6%; p<0.0001: OR=11.66; CI 95%=3.55-38.22) and >12 months (9.4%; p<0.0001: OR=23.97: CI 95%=8.21-69.91) after chemotherapy. There was no difference in adverse perinatal outcomes (stillbirth, fetal malformation, and preterm birth) related to the interval after chemotherapy and Subsequent pregnancy. The overall occurrence of adverse maternal and perinatal outcomes did not significantly differ between patients on single or multiagent regimens.Conclusion. Adverse maternal outcomes and spontaneous abortion were more frequent among patients who conceived within 6 months of chemotherapy completion. In these cases, careful prenatal monitoring and hCG level measurement 6 weeks after the completion of any new pregnancy are recommended. (C) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.
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Toxoplasma gondii isolates from Brazil are biologically and genetically different from European and North America isolates. Recently, four genotypes were considered the common clonal lineages in Brazil and were designated as types BrI, BrII, BrIII, and BrIV. The pathogenicity of two major Brazilian lineages was investigated after oral inoculation of queens in the middle third of their pregnancies with T. gondii cysts. Twelve pregnant queens without T. gondii antibodies were distributed in group A (infected with a type BrI isolate); group 2 (infected with type BrIII isolate), and group 3 (non-infected control). Infection with type BrI isolate caused toxoplasmosis manifestations and abortion from one litter. Toxoplasmosis manifestations besides premature stillbirth of one litter were observed in queens infected with type BrIII isolate. Indirect fluorescence antibody test showed T. gondii antibodies in all eight infected queens at 30 days after inoculation. In two 10-day-old kittens of the same litter (group 1), titers of 16 and 64 were detected. At the same time, titers of 16, 32, and 32 were detected in three kittens from the same litter (group 2). Experimental infection with tissue cysts from a type BrI and type BrIII isolates of T. gondii developed similar reproductive disturbance in primary infected pregnant queens.