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9 mai 1891. Le prie d'envoyer 300 francs à son fils Pierre. - 30 juin 1891. Le prie de donner 200 francs à sa fille. - 29 juillet 1891. Lui demande 300 francs d'avance. - 16 août 1891. Au sujet de "Néron" qui pourrait être repris sur la scène du théâtre de Nice. Evoque la distribution qui paraît la plus adéquate et ses relations avec le compositeur Antoine Rubinstein. Barbier voit dans cette reprise un avantage, celui de "mettre enfin la pièce au point, ce qu'[il n'a] pu encore faire, avec la diable de collaboration fantaisiste et vagabonde de Rubinstein.". - 20 août 1891. Au sujet de "Néron" et de la distribution la plus convenable : "Ce qui me séduit le plus, c'est la possibilité de parfaire l'ouvrage et d'en donner enfin une version définitive et dont je sois content". - 23 août 1891. Au sujet de "Néron". S'incline devant les choix de son éditeur et le met en garde sur le compositeur : "Avec son génie (car il en a), c'est un homme à rater tous les succès du monde! Son art l'aveugle et lui masque les nécessités du théâtre". - 12 septembre 1891. Au sujet de "Néron" et des hésitations d'Eugène Bertrand à monter la pièce. Le directeur de théâtre préfèrerait monter "Paul et Virginie". - 15 septembre 1891. Lui renvoie son "traité" signé de "Paul et Virginie" et lui demande une avance
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14 février 1896. Lui demande des avances pour tenir ses engagements. - 20 octobre 1896. Remercie "Le Menestrel" pour son compte rendu favorable de "Clarisse Harlowe", mais exprime toute son amertume à l'encontre des compositeurs : "Ils sont encore plus bêtes que les directeurs! Ils ne comprenaient déjà plus rien à la musique. Ils arrivent à ne plus rien comprendre à leur langue maternelle". - Lieu restitué d'après le cachet de la poste : "Paris. Montparnasse. 20 OCT 96"
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23 janvier 1897. Au sujet de ses droits d'auteurs. - 26 mars 1897. Demande une avance. - 1er avril 1897. A bien reçu son avance pour le mois de mai et redemande encore de l'argent à son éditeur. - 24 mai 1897. Demande à nouveau de l'argent. - 31 juillet 1897. Conteste une dette de 1700 francs qu'il aurait contractée avec Heugel. Lui demande de vérifier dans ses livres de caisse. - 29 octobre 1897. Papier bordé de noir. L'informe qu'il prononcera quelques mots à l'occasion de l'inauguration du monument d'Antonin Mercié
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12 novembre 1898. Le remercie de la bonne grâce qu'il a mise à lui rendre service. - 1er décembre 1898. Lui demande 500 francs. - 3 décembre 1898. Au sujet de l'argent qu'il doit à Heugel. - Papier bordé de noir
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2 juin 1899. Epuisé et fatigué, il sollicite Heugel en lui demandant une avance de1000 francs. - 7 juin 1899. Regrette que les relations avec Heugel s'enveniment : "Non, il ne fallait pas la caisse d'un Rotschild pour me les donner, il fallait simplement vous souvenir des centaines de mille francs que j'ai fait gagner au "Menestrel" ; mais vous avez la mémoire plus courte que votre cher père. Le spectacle de ma misère manquerait apparemment aux joies de votre fortune!..." Elude la question des dettes de son fils Pierre : "Quant à la dette de Pierre, permettez-moi de vous répéter une fois de plus qu'elle ne me regarde pas. Comment ne lui avez-vous pas donné un travail qui vous eut amplement remboursé?". - 14 juillet 1899. "Le relevé des comptes définitifs que me donne Chevalier prouve que je ne me trompais pas". - Papier bordé de noir
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18 janvier 1900. Solde son compte avec le "Ménestrel". - Papier à en-tête : "Au Ménestrel, 2 bis rue Vivienne. Paris". - 5 mars 1900. Au sujet de ses affaires avec Heugel : "Votre oncle m'a accoutumé à ne plus voir en lui qu'un éditeur. J'aime mieux m'en tenir là. Où l'humiliation commence, l'amitié est de trop." L'informe que le règlement qu'ils ont arrangé ne lui convient plus et demande un versement d'argent tous les mois. - Carte bordée de noir
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Rendez-vous divers, demandes d'argent.
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La problématique des marquages corporels en tant que pratiques ancestrales s'insèrent dans des formes contemporaines d'inscription corporelle. Nous nous sommes permis d'essayer de savoir s'il s'agissait toujours d'une expression d'un malaise psychologique important ? Quelles peuvent en être les conséquences ? Pourquoi marquer le corps ? La mise en oeuvre de ce travail s'est articulée en deux phases, au départ, nous avons opéré par une pré-enquête d'envergure qui a regroupé 200 adolescents (10 filles et 190 garçons). Ensuite et dans un deuxième temps nous avons interrogé dix adolescents qui se marquent la peau dont trois garçons, âgés de quinze à dix-neuf ans. Grâce à une « tri approche » : Entretien clinique, tests du Rorschach et du TAT. Les résultats auxquels nous sommes parvenus peuvent être résumés comme suit : ces pratiques expriment une souffrance qui peine à trouver une voie d'expression symbolique autre que le corps, l'angoisse et la relation d'objet du type anaclitique, l'organisation défensive renseigneraient essentiellement sur des défenses narcissiques, centrées notamment autour du clivage et le retournement sur soi, une identité fragile marquée par une image du corps et représentation de soi fragiles et un sur (dés) investissement des limites. Il s'agit d'une emprise sur le corps et sur les marques mêmes, permettant de retrouver l'objet et le recréer. À partir des principaux résultats obtenus, nous envisageons de travailler, en filigrane sur les spécificités des types de marquages corporels existant en Algérie. En effet si le présent travail s'est étayé sur une analyse prônant la globalité, un comparatif entre les types de marquages, de même, l'établissement d'un lien entre la symbolique de certaines pratiques et les soubassements psychodynamiques qui l'entourent, serait d'un apport considérable dans la compréhension du fait étudié dans ses moindres « recoins ». -- The problem of the physical markings as ancestral practices fit into contemporary forms of physical registration. We allowed to try to know if it was always about an expression of an important psychological illness? What can be the consequences? Why to mark the body? The application of this work articulated in two phases, at first, we operated by a large-scale pre- inquiry which grouped together 200 teenagers (10 girls and 190 boys). Then and in the second time we interrogated ten teenagers who mark the skin among which three boys, from fifteen to nineteen years old. Thanks to one « sorting approaches »: clinical Interview, tests of Rorschach and TAT. The results which we reached can be summarized as follows: these practices express a suffering which has difficulty in finding a way of symbolic expression other one than the body, the fear and the relation of object of the type anaclitique, the defensive organization would inform essentially about narcissistic defences, centred notably around the cleavage and the reversal on one, a fragile identity marked by an image of the body and the representation of one fragile and one on investment of the limits. It is about an influence on the body and on the marks, allowing to find the object and to recreate it. From the main obtained results, we intend to work, between the lines on the specificities of the types of physical markings existing in Algeria. Indeed if the present work supported on an analysis lauding the global nature, a comparative degree between the types of markings, also, the establishment of a link between the symbolism of certain practices and the bases psychodynamiques who surround him, would be of a considerable contribution in the understanding of the fact studied in its slightest « hidden recesses ».
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1er juillet [1861] : Promet un article sur la distribution des récompenses des Salons et des Concours où il rappellera le nom et les oeuvres de Gustave Doré dont il a "le talent en grande estime" : "Le concours de sculpture a été très fort ; le nombre de médailles est trop restreint, et les Grands Prix de Rome toujours favorisés". Evoque aussi le nom de Charles Garnier : "Le "Sujet d'Opéra" de Garnier a obtenu la première médaille d'architecture. Décision tout exceptionnelle et très flatteuse car l'oeuvre ne faisait point partie, à proprement parler, de l'Exposition d'Architecture" (NLAS-212-1). - Février 1865 : Réclame un droit de réponse à un article de Blaze de Bury paru dans le "Ménestrel". La lettre contient également la réponse de Heugel datée du 3 février 1865 dans laquelle l'éditeur lui demande d'adoucir ses propos (NLAS-212-9). - 30 juillet 1866 : Echanges et négociations au sujet de la publication de "Tobie" de Fromental Halévy. Est vexé que l'éditeur ne voie pas dans cette parution une bonne affaire et rappelle qu'il a donné au "Ménestrel" "à titre purement gratuit" un travail important sur l'oeuvre de son frère, alors que tant d'autres collègues sont très bien payés pour fournir des notices sur des compositeurs auxquelles il reproche "un esprit de dénigrement à l'égard de [s]on cher frère". Tente de rendre justice à son frère : "Je ne puis cependant m'empêcher de remarquer, quand j'entre chez vous, qu'à côté des bustes ou portraits de Meyerbeer, de Rossini, d'Auber, qui décorent vos magasins, je ne vois pas une seule image du grand maître qui fut leur égal" (NLAS-212-11). - 2 août 1866 : Le remercie pour le témoignage personnel de ses sentiments à l'égard de son "cher et regretté frère" : "cette justice que vous lui avez toujours rendue me dédommage amplement des torts que peuvent avoir envers sa mémoire plusieurs écrivains qui ont coopéré avec moi au monument que vous élevez à la gloire de nos grands maîtres français et étrangers" (NLAS-212-12). - 25 avril 1867 : au sujet des droits d'auteur de "Tobie" (NLAS-212-16). - 7 mai 1873 : Se dit heureux que son article convienne au directeur du "Ménestrel". Évoque "Carmen" de Bizet : "Ludovic [Halévy] et Meilhac sont à l'oeuvre et achèvent un poème où l'ami Bizet aura toute occasion de déployer son talent" (NLAS-212-17). - 16 juin 1875 : Le remercie pour son article consacré à "[leur] cher et infortuné Bizet" : "Impossible de rendre un hommage plus complet et en meilleurs termes à une existence si courte et si bien remplie" (NLAS-212-19). - 22 juin 1875 : Au sujet d'un opéra inachevé de Bizet, "Le Cid" : "La seule personne qui pourrait vous donner des renseignements que vous désirez sur l'opéra laissé inachevé par Bizet [...] serait sa jeune et malheureuse veuve, ma pauvre nièce Geneviève, mais elle est dans un tel état de prostration, d'accablement et d'inconsolable affliction qu'il est encore impossible de l'interroger sur un sujet si douloureux pour elle et qui raviverait de si poignants souvenirs" (NLAS-212-20). - Contient aussi 2 LAS de sa belle-soeur Léonie Halévy au sujet de sa fondation "Le Pain à bon marché" (NLAS-212-22/23)