74 resultados para playwrights


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In the financially precarious period which followed the partition of Ireland (1922) the Northern Irish playwright George Shiels kept The Abbey Theatre, Dublin, open for business with a series of ‘box-office’ successes. Literary Dublin was not so appreciative of his work as the Abbey audiences dubbing his popular dramaturgy mere ‘kitchen comedy’. However, recent analysts of Irish theatre are beginning to recognise that Shiels used popular theatre methods to illuminate and interrogate instances of social injustice both north and south of the Irish border. In doing so, such commentators have set up a hierarchy between the playwright’s early ‘inferior’ comedies and his later ‘superior’ works of Irish Realism. This article rejects this binary by suggesting that in this early work Shiels’s intent is equally socially critical and that in the plays Paul Twyning, Professor Tim and The Retrievers he is actively engaging with the farcical tradition in order to expose the marginalisation of the landless classes in Ireland in the post-colonial jurisdictions.

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A public reading of work by playwrights Jimmy McAleavey and Owen McCafferty as part of the Seamus Heaney Centre programme of readings.

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Innovative and unconventional, Pulitzer Prize-winning playwright Suzan-Lori Parks belongs to the continuum of African American playwrights who have contributed to the quest/ion – the quest for and question – of identities for African Americans. Her plays are sites in which the quest/ion of identities for African Americans is pursued, raised and enacted. She makes use of both page and stage to emphasize the exigency of reshaping African Americans’ identities through questioning the dominant ideologies and metanarratives, delegitimizing some of the prevailing stereotypes imposed on them, drawing out the complicity of the media in perpetuating racism, evoking slavery, lynching and their aftereffects, rehistoricizing African American history, catalyzing reflections on the various intersections of sex, race, class and gender orientations, and proffering alternative perspectives to help readers think more critically about issues facing African Americans. In my dissertation, I approach three plays by Parks – The Death of the Last Black Man in the Whole Entire World (1990), Venus (1996) and Fucking A (2000) – from the standpoints of postmodern drama and African American feminism with a focus on the terrains that reflect the quest/ion of identities for African Americans, especially African American women. I argue that postmodern drama and African American feminism provide the ground for Parks to promote the development of a political agenda in order to call into question a number of dominant ideologies and metanarratives with regard to African Americans and draw upon the roles of those metanarratives as a powerful apparatus of racial and sexual oppressions. I also explore how Parks engages with postmodern drama and African American feminism to incorporate her own mininarratives in the dominant discourses. I argue that Parks in these plays uses postmodern drama and African American feminism to encourage reflections on intersectionality in order to reveal the concerns of African Americans, particularly African American women. Her plays challenge the dominant order of hierarchy and patriarchy, while in some cases urging unity and solidarity between African American men and women by showing how unity and solidarity can help them confront race, class and gender oppressions. Furthermore, I discuss how the utilization of postmodern techniques and devices helps Parks to transform the conventional features of playwriting, to create incredulity toward the dominant systems of oppression and to incorporate her mininarratives within the context of dominant discourses.

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Cette thèse explore le leitmotiv de la prostitution dans l’oeuvre de Tennessee Williams et soutient que la plupart des personnages de Williams sont engagés dans une forme de prostitution ou une autre. En effectuant une analyse formaliste des textes de Williams qui illustrent toute forme de prostitution, avec une attention particulière à quatre grandes pièces, A Streetcar Named Desire (1947), Cat on a Hot Tin Roof (1955), Suddenly Last Summer (1958) et Sweet Bird of Youth (1959), cette présente étude fait valoir que le dramaturge utilise un mode de fiction—le gothique—en lien avec une pratique transgressive—la prostitution—pour relier les classes sociales et troubler les catégories de prostitution. Ce faisant, Williams offre une vision plus représentative et nuancée de la prostitution. Théoriquement, cette thèse repose sur des oeuvres critiques portant sur le genre, la sexualité et l'histoire de Michel Foucault, David Savran, et Michael Paller afin de situer la dramaturgie de Williams dans le contexte historique et culturel des années 1940 et 1950. La première partie de cette thèse (chapitres un et deux) fournit de nombreuses informations autobiographiques et biographiques qui expliquent pourquoi la prostitution est devenue le thème de prédilection pour Williams. Cette section met l’accent sur sa préoccupation constante à l’égard de sa prostitution artistique (en prostituant son art pour le succès commercial) et sexuelle (en payant pour des prostitués). Cette partie présente également un inventaire détaillé des prostituté(e)s, que je divise en trois catégories: 1) la prostitution des enfants, 2) la prostitution masculine et 3) la prostitution féminine. La deuxième partie de cette étude, composée des chapitres trois et quatre, identifie les personnages de Williams qui s’engagent dans une forme de prostitution morale. Ce groupe comprend ceux qui tirent directement profit de la prostitution des autres ainsi que ceux qui se marient uniquement pour un gain financier ou une promotion sociale ou les deux. L’oeuvre de Williams résiste la représentation stéréotypée de la prostituée en littérature comme étant uniquement de sexe féminin ou provenant des classes sociales défavorisées ou les deux. La prostituée de Williams n’est ni une figure romantique ni une rebelle menaçant la société. Cette thèse conclut qu’en représentant des enfants prostitués, des femmes de rue, des prostitués de sexe masculin, des souteneurs, des proxénètes, des propriétaires de bordels, des leaders corrompus et des personnes qui se prostituent en concluant des mariages de convenance, Williams a effectivement et incontestablement dramatisé la prostitution sous toutes ses formes.

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Le recueil de brèves théâtrales "Les Journées nationales" rassemble trois courtes pièces ("La Journée nationale du pardon", "La Journée nationale de la lutte contre l’embonpoint" et "La Journée nationale de la frivolité") qui reposent sur une prémisse commune, en apparence farfelue : l'obligation de célébrer un quelconque impératif social dicté par la majorité. À travers un humour parfois noir, "Les Journées nationales" se présentent comme de courtes satires sociales qui, en judiciarisant une conduite morale implicitement imposée, entreprennent de disséquer et de décomposer les normes sociales et les valeurs généralement admises afin d’en souligner les incohérences. "Quand les huissiers se saisissent de la scène : l’absurde bureaucratique dans le théâtre contemporain" est un essai qui vise à analyser les procédés et à identifier les enjeux à l’œuvre dans les pièces de théâtre de l’absurde bureaucratique. Cette expression désigne des œuvres dramatiques qui, à travers un comique de décalage, une utilisation ludique et créative du jargon bureaucratique et une importance accordée au référent social du lieu et des personnages, expriment la terreur ressentie par leurs auteurs à l’endroit de l’institutionnalisation des relations humaines. À l’aide de quatre pièces principales ("Le Professeur Taranne" d’Arthur Adamov, "Les Travaux et les Jours" de Michel Vinaver, "Quelques conseils utiles aux élèves huissiers" de Lydie Salvayre et "États financiers" de Normand Chaurette), d’études sur le théâtre de l’absurde (Esslin, Hubert) de même que d’ouvrages de sociocritique (Duchet) et de sociologie (Crozier et Friedberg, Le Breton), il sera démontré qu’en exprimant une tension constante entre l’intime et le professionnel, l’absurde bureaucratique laisse aussi entrevoir la persistance du pouvoir et de la responsabilité individuels au sein des organisations sociales.

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Réalisé en cotutelle avec l'Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

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Par la nature double de sa réflexion, le présent mémoire propose d'interroger, au théâtre contemporain, la violence dans le langage comme modalité de négociation avec le réel. D'abord par une fiction au dispositif épuré et à la langue poétique, la pièce de théâtre Caille-moi, puis par un essai sur la pièce de théâtre Rouge gueule d'Étienne Lepage, nous désirons mettre en lumière un langage désubjectivé (Gilles Deleuze et Félix Guattari, Pierre Ouellet) au cœur duquel la présence de l'altérité remplace une certaine aliénation. Inscrivant notre démarche à la croisée des études littéraires et théâtrales, à la suite des travaux de Marion Chénetier-Alev sur l'oralité au théâtre, nous exposons à la fois la violence faite au dispositif théâtral et aux lecteurs-spectateurs dans l'espace du théâtre rendu possible par la violence du langage. Notre réflexion se pose également dans une visée plus large, interrogeant l'inscription du théâtre in-yer-face britannique (Sarah Kane) et de ses répercussions dans le théâtre québécois contemporain, en soulignant la connaissance de la dramaturgie québécoise dont fait preuve la pièce. En ce sens, le langage inventé par le jeune dramaturge offre le contrepoint à un certain cynisme contemporain et impose un langage riche et conscient de son histoire.

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La notion de l'absurde a pris dans la pensée et le langage courant un très grand nombre de significations, parfois très éloignées les unes par rapport aux autres. Il est arrivé à au moins deux reprises que le terme « absurde » soit entendu dans le sens d'un courant : dans la philosophie absurde théorisée par Albert Camus en 1942, et dans le Théâtre de l'absurde (Beckett, Ionesco, etc.), qui lui a connu son apogée dans les années cinquante. Ces deux mouvements pourraient être envisagés comme l'expression d'un seul et même courant, l'absurde, qui prend ses racines dans une Europe ébranlée par les horreurs de la guerre et l'affaissement de la religion chrétienne. Pour les contemporains, l'hostilité et le désordre de l'univers, de même que la solitude irrémédiable de l'individu apparaissent comme des vérités à la fois douloureuses et difficile à ignorer. Roman Polanski (1933-), cinéaste à la fois prolifique et éclectique, ouvre à l'absurde de nouveaux horizons, ceux du septième art. L'analyse de son oeuvre (et des éléments autobiographiques qui la sous-tendent parfois) met à jour d'indéniables parentés avec les figures-clés de l'absurde que sont Camus, Kafka, Nietzsche et les dramaturges européens de l'après-guerre. Ces parentés se repèrent tout autant dans les thématiques récurrentes de ses films que dans leurs obsessions formelles.

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Thèse réalisée en cotutelle avec l'Institut d'Études théâtrales de l'Université Sorbonne nouvelle - Paris 3

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Aleks Sierz in his important survey of mid 1990s drama has identified the plays of Sarah Kane as exemplars of what he terms ‘In-Yer Face’ theatre. Sierz argues that Kane and her contemporaries such as Mark Ravenhill and Judy Upton represent a break with the ideological concerns of the previous generation of playwrights such as Doug Lucie and Stephen Lowe, whose work was shaped through recognizable political concerns, often in direct opposition to Thatcherism. In contrast Sarah Kane and her generation have frequently been seen as literary embodiments of ‘Thatcher’s Children’, whereby following the fall of the Berlin Wall and the inertia of the Major years, their drama eschews a recognizable political position, and seems more preoccupied with the plight of individuals cut adrift from society. In the case of Sarah Kane her frequently quoted statement, ‘I have no responsibility as a woman writer because I don’t believe there’s such a thing’, has compounded this perception. Moreover, its dogmatism also echoes the infamous comments attributed to Mrs Thatcher regarding the role of the individual to society. However, this article seeks to reassess Kane’s position as a woman writer and will argue that her drama is positioned somewhere between the female playwrights who emerged after 1979 such as Sarah Daniels, Timberlake Wertenbaker and Clare McIntyre, whose drama was distinguished by overtly feminist concerns, and its subsequent breakdown, best exemplified by the brief cultural moment associated with the newly elected Blair government known as ‘Cool Britannia’. Drawing on a variety of sources, including Kane’s unpublished monologues, written while she was a student just after Mrs Thatcher left office, this paper will argue that far from being an exponent of post-feminism, Kane’s drama frequently revisits and is influenced by the generation of dramatists whose work was forged out the sharp ideological positions that characterized the 1980s and a direct consequence of Thatcherism.

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Sarah Kane's notorious 1995 debut, Blasted, has been widely though belatedly recognized as a defining example of experiential or ‘in-yer-face’ theatre. However, Graham Saunders here argues that the best playwrights not only innovate in use of language and dramatic form, but also rewrite the classic plays of the past. He believes that too much stress has been placed on the play's radical structure and contemporary sensibility, with the effect of obscuring the influence of Shakespearean tradition on its genesis and content. He clarifies Kane's gradually dawning awareness of the influence of Shakespeare's King Lear on her work and how elements of that tragedy were rewritten in terms of dialogue, recast thematically, and reworked in terms of theatrical image. He sees Blasted as both a response to contemporary reality and an engagement with the history of drama. Graham Saunders is Senior Lecturer in Theatre Studies at the University of the West of England, Bristol, and author of the first full-length study of Kane's work: ‘Love Me or Kill Me’: Sarah Kane and the Theatre of Extremes (Manchester University Press, 2002). An earlier version of this article was given as a paper at the ‘Crucible of Cultures: Anglophone Drama at the Dawn of a New Millennium’ conference in Brussels, May 2001. Saunders is currently working on articles about Samuel Beckett and Edward Bond

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Aleks Sierz in his important survey of mid 1990s drama has identified the plays of Sarah Kane as exemplars of what he terms ‘In-Yer Face’ theatre. Sierz argues that Kane and her contemporaries such as Mark Ravenhill and Judy Upton represent a break with the ideological concerns of the previous generation of playwrights such as Doug Lucie and Stephen Lowe, whose work was shaped through recognizable political concerns, often in direct opposition to Thatcherism. In contrast Sarah Kane and her generation have frequently been seen as literary embodiments of ‘Thatcher’s Children’, whereby following the fall of the Berlin Wall and the inertia of the Major years, their drama eschews a recognizable political position, and seems more preoccupied with the plight of individuals cut adrift from society. In the case of Sarah Kane her frequently quoted statement, ‘I have no responsibility as a woman writer because I don’t believe there’s such a thing’, has compounded this perception. Moreover, its dogmatism also echoes the infamous comments attributed to Mrs Thatcher regarding the role of the individual to society. However, this article seeks to reassess Kane’s position as a woman writer and will argue that her drama is positioned somewhere between the female playwrights who emerged after 1979 such as Sarah Daniels, Timberlake Wertenbaker and Clare McIntyre, whose drama was distinguished by overtly feminist concerns, and its subsequent breakdown, best exemplified by the brief cultural moment associated with the newly elected Blair government known as ‘Cool Britannia’. Drawing on a variety of sources, including Kane’s unpublished monologues, written while she was a student just after Mrs Thatcher left office, this paper will argue that far from being an exponent of post-feminism, Kane’s drama frequently revisits and is influenced by the generation of dramatists whose work was forged out the sharp ideological positions that characterized the 1980s and a direct consequence of Thatcherism.