38 resultados para middens
Resumo:
This paper discusses the ongoing ethnoarchaeological research carried out in Yamana shell middens of Tierra del Fuego. Ethnoarchaeology is used in this research as a tool to improve the archaeological methodology by testing it against anthropological, ethnographical and ethnological sources for achieving more accurate reconstructions of past societies. The ethnographical/ethnological information also is coupled with an experimental approach devised to understand physical and social processes, such as site formation processes and resource use and management. Specifically, this experimental approach was applied to the archaeological sites Tunel VII and Lanashuaia I (Tierra del Fuego, Argentina). (C) 2011 Elsevier Ltd and INQUA. All rights reserved.
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In many situations, it is difficult to evaluate the location of nests of ants, especially in tropical systems, or to determine which trail system corresponds with which nest, as in the case of high-density populations of leaf-cutting ants, Atta spp. Fragments of colored drinking straws coated with an attractant, generally vegetable oil and/or a starchy carbohydrate, are carried by ants and following removal of the attractant are deposited in middens, allowing determination of the origin of foraging workers.
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In the coast of Santa Catarina State (southern Brazil), a large population of monumental shell mounds characterizes a highly dynamic coastal setting. In this paper, sedimentary facies analysis was adapted for description, sampling, and interpretation of shell mound complex and repetitive archaeostratigraphic successions. Archaeofacies identification in the field, according to depositional attributes, is tested by contrasting field description with multi-element chemical analyses, total carbon and nitrogen determinations, and micromorphological descriptions. Two vertical sequences at the black deposit of Jabuticabeira II shell mound were studied and preliminary results showed that: (1) depositional attributes are a reliable base for archaeofacies identification in the field, (2) the formation process of this site involved a sequence of anthropic depositional processes, where burned refuse was redeposited over the shell mound following a ritual construction pattern, and (3) the black deposit includes a double palimpsest that refers to provenance and meaning of mound construction material. (C) 2009 Wiley Periodicals, Inc.
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Dans ce mémoire, intitulé « Les dépotoirs dans le schème d’établissement iroquoien: exemple du site Mailhot-Curran», je m’attèle à définir les modes de rejets des déchets dans le contexte d’un schème d’établissement sédentaire semi-permanent au Sylvicole supérieur. Les dépotoirs des sites archéologiques ne semblent pas obtenir toute l’attention analytique qui leur est due et l’étude des modes de rejets a longtemps été négligée. Pourtant, les amas de déchets sont récurrents sur les sites du Nord-Est américain et ce depuis le Sylvicole moyen. L’étude approfondie de l’organisation d’un site iroquoien se doit de passer par la compréhension des modes d’élimination des déchets, puisque la gestion des rejets est généralement le reflet de la structure du site et du type de peuplement. Les dépotoirs peuvent fournir des informations précieuses sur les zones d’activité, la fonction du site ou encore la durée d’occupation. Le village de Mailhot-Curran témoigne de plusieurs concentrations d’objets. Je souhaite établir si ces concentrations de vestiges peuvent être qualifiées de dépotoirs et si oui, peut-on en distinguer différents types? D’autre part, je m’intéresse à l’aspect social qui encadre la mise en place de dépotoirs. Bien que les dépotoirs soient des indices associés aux premières traces de sédentarité saisonnière, leur présence est précisément liée au phénomène de sédentarisation annuelle. Il s’agit également de définir le geste culturel, l’assainissement d’un village étant un schéma culturel très répandu. De ce geste de rejet découle forcément le choix d’un emplacement, ainsi que le concept de «flux de déplacement» des déchets. Il s’agit de déterminer le lien entretenu entre les aires d’activités et les aires de dépôts primaires et secondaires. Pour ce faire, il est primordial d’évaluer la densité, l’hétérogénéité et le contenu des dépotoirs. Suite à la définition de l’ensemble de ces concepts appliqués au site Mailhot-Curran, je souhaite, à travers une étude comparative, répondre à la question suivante : Les dépotoirs peuvent-ils refléter une pratique culturelle commune aux villages iroquoiens de la région de Saint-Anicet?
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Dans ce mémoire, intitulé « Les dépotoirs dans le schème d’établissement iroquoien: exemple du site Mailhot-Curran», je m’attèle à définir les modes de rejets des déchets dans le contexte d’un schème d’établissement sédentaire semi-permanent au Sylvicole supérieur. Les dépotoirs des sites archéologiques ne semblent pas obtenir toute l’attention analytique qui leur est due et l’étude des modes de rejets a longtemps été négligée. Pourtant, les amas de déchets sont récurrents sur les sites du Nord-Est américain et ce depuis le Sylvicole moyen. L’étude approfondie de l’organisation d’un site iroquoien se doit de passer par la compréhension des modes d’élimination des déchets, puisque la gestion des rejets est généralement le reflet de la structure du site et du type de peuplement. Les dépotoirs peuvent fournir des informations précieuses sur les zones d’activité, la fonction du site ou encore la durée d’occupation. Le village de Mailhot-Curran témoigne de plusieurs concentrations d’objets. Je souhaite établir si ces concentrations de vestiges peuvent être qualifiées de dépotoirs et si oui, peut-on en distinguer différents types? D’autre part, je m’intéresse à l’aspect social qui encadre la mise en place de dépotoirs. Bien que les dépotoirs soient des indices associés aux premières traces de sédentarité saisonnière, leur présence est précisément liée au phénomène de sédentarisation annuelle. Il s’agit également de définir le geste culturel, l’assainissement d’un village étant un schéma culturel très répandu. De ce geste de rejet découle forcément le choix d’un emplacement, ainsi que le concept de «flux de déplacement» des déchets. Il s’agit de déterminer le lien entretenu entre les aires d’activités et les aires de dépôts primaires et secondaires. Pour ce faire, il est primordial d’évaluer la densité, l’hétérogénéité et le contenu des dépotoirs. Suite à la définition de l’ensemble de ces concepts appliqués au site Mailhot-Curran, je souhaite, à travers une étude comparative, répondre à la question suivante : Les dépotoirs peuvent-ils refléter une pratique culturelle commune aux villages iroquoiens de la région de Saint-Anicet?
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"Bibliographical notes": p. 137.
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La fin du 18e siècle était une période dynamique au Labrador. À cette époque, le phénomène climatique nommé le Petit Âge glaciaire affectait grandement l’étendue de la banquise côtière. L’arrivée des missionnaires et des objets européens enclencha une réorganisation des rôles sociaux chez les Inuits. L’établissement hivernal d’Ikkeghasarsuk, connu sous le code Borden HdCg-23 et le nom de site officiel Koliktalik-6, est composé principalement de deux maisons semi-souterraines construites avant 1776 sur un site dorsétien. La présente étude explore les stratégies d’occupation du territoire par l’analyse des restes fauniques de ces deux maisons. Les espèces de phoques chassées et leurs niches écologiques indiquent que les occupants du site exploitaient surtout les phoques présents dans les eaux libres de glace à l’automne, les phoques annelés au sina l’hiver et les phoques annelés sur la banquise côtière au printemps. Le site d’Ikkeghasarsuk, placé sur une île dénudée et balayée par le vent, aurait permis d’avoir un accès privilégié aux ressources marines diverses, peu importe les conditions climatiques.
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For the past 15 years, a succession of stable isotope studies have documented the abrupt dietary transition from the Mesolithic to the Neolithic in Western and Northern Europe. Portugal, with its Late Mesolithic shell middens and burials apparently coexisting with the earliest Neolithic, further illustrates the nature of that transition. Individuals from Neolithic contexts there had significantly different diets to their Mesolithic counterparts. No evidence was found for a transitional phase between the marine oriented Mesolithic subsistence regimes and the domesticated, terrestrial Neolithic diet. Two later Neolithic individuals, however, showed evidence for partial reliance on marine or aquatic foods. This raises questions about the possible persistence of marine dietary regimes beyond the Mesolithic period. This article is followed by a brief note by Mary Jackes and David Lubell.