936 resultados para insulin therapy


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Oral therapy for type 2 diabetes mellitus, when used appropriately, can safely assist patients to achieve glycaemic targets in the short to medium term. However, the progressive nature of type 2 diabetes usually requires a combination of two or more oral agents in the longer term, often as a prelude to insulin therapy. Issues of safety and tolerability, notably weight gain, often limit the optimal application of anti-diabetic drugs such as sulforylureas and thiazolidinediones. Moreover, the impact of different drugs, even within a single class, on the risk of long-term vascular complications has come under scrutiny. For example, recent publication of evidence suggesting potential detrimental effects of rosiglitazone on myocardial events generated a heated debate and led to a reduction in use of this drug. In contrast, current evidence supports the view that pioglitazone has vasculoprotective properties. Both drugs are contraindicated in patients who are at risk of heart failure. An additional recently identified safety concern is an increased risk of fractures, especially in postmenopausal women. Several new drugs with glucose-lowering efficacy that may offer certain advantages have recently become available. These include (i) injectable glucagonlike peptide-1 (GLP-1) receptor agonists and oral dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) inhibitors; (ii) the amylin analogue pramlintide; and (iii) selective cannabinoid receptor-1 (CB1) antagonists. GLP-1 receptor agonists, such as exenatide, stimulate nutrient-induced insulin secretion and reduce inappropriate glucagon secretion while delaying gastric emptying and reducing appetite. These agents offer a low risk of hypoglycaemia combined with sustained weight loss. The DPP-4 inhibitors sitagliptin and vildagliptin are generally weight neutral, with less marked gastrointestinal adverse effects than the GLP-1 receptor agonists. Potential benefits of GLP-1 receptor stimulation on P cell neogenesis are under investigation. Pancreatitis has been reported in exenatide-treated patients. Pramlintide, an injected peptide used in combination with insulin, can reduce insulin dose and bodyweight. The CB1 receptor antagonist rimonabant promotes weight loss and has favourable effects on aspects of the metabolic syndrome, including the hyperglycaemia of type 2 diabetes. However, in 2007 the US FDA declined approval of rimonabant, requiring more data on adverse effects, notably depression. The future of dual peroxisome proliferator-activated receptor-alpha/gamma agonists, or glitazars, is presently uncertain following concerns about their safety. In conclusion, several new classes of drugs have recently become available in some countries that offer new options for treating type 2 diabetes. Beneficial or neutral effects on bodyweight are an attractive feature of the new drugs. However, the higher cost of these agents, coupled with an absence of long-term safety and clinical outcome data, need to be taken into consideration by clinicians and healthcare organizations.

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Lowering glucose levels, while avoiding hypoglycaemia, can be challenging in insulin-treated patients with diabetes. We evaluated the role of ambulatory glucose profile in optimising glycaemic control in this population. Insulin-treated patients with type 1 and type 2 diabetes were recruited into a prospective, multicentre, 100-day study and randomised to control (n = 28) or intervention (n = 59) groups. The intervention group used ambulatory glucose profile, generated by continuous glucose monitoring, to assess daily glucose levels, whereas the controls relied on capillary glucose testing. Patients were reviewed at days 30 and 45 by the health care professional to adjust insulin therapy. Comparing first and last 2 weeks of the study, ambulatory glucose profile-monitored type 2 diabetes patients (n = 28) showed increased time in euglycaemia (mean ± standard deviation) by 1.4 ± 3.5 h/day (p = 0.0427) associated with reduction in HbA1c from 77 ± 15 to 67 ± 13 mmol/mol (p = 0.0002) without increased hypoglycaemia. Type 1 diabetes patients (n = 25) showed reduction in hypoglycaemia from 1.4 ± 1.7 to 0.8 ± 0.8 h/day (p = 0.0472) associated with a marginal HbA1c decrease from 75 ± 10 to 72 ± 8 mmol/mol (p = 0.0508). Largely similar findings were observed comparing intervention and control groups at end of study. In conclusion, ambulatory glucose profile helps glycaemic management in insulin-treated diabetes patients by increasing time spent in euglycaemia and decreasing HbA1c in type 2 diabetes patients, while reducing hypoglycaemia in type 1 diabetes patients.

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Le diabète de type 1 (DT1) est une maladie complexe qui requiert une implication importante des patients pour contrôler leur glycémie et ainsi prévenir les complications et comorbidités. L’activité physique (AP) régulière et une attention constante pour les glucides ingérés sont des adjuvants essentiels au traitement insulinique. Nous avons démontré que le questionnaire BAPAD-1, spécifiquement développé pour des adultes atteints de DT1, est un outil valide (validité prédictive, fiabilité interne et reproductibilité) pour définir des barrières associées à l’AP. Bien que le niveau de barrières envers l’AP soit faible, la crainte de l’hypoglycémie est la barrière la plus importante chez cette population. L’adoption d’un mode de vie actif est associée à un profil corporel favorable. Les adultes, avec un DT1 et non diabétique, qui maintiennent un bon niveau d’AP, soit un ratio entre la dépense énergétique totale et celle au repos ≥ 1.7, ont une masse grasse, un indice de masse corporelle et un tour de taille significativement inférieurs à ceux d’adultes moins actifs. Le niveau d’AP peut être estimé au moyen d’un moniteur d’AP comme le SenseWear Armband™. Afin de compléter les études de validation de cet outil, nous avons évalué et démontré la reproductibilité des mesures. Toutefois, la dépense énergétique est sous-estimée durant les 10 premières minutes d’une AP d’intensité modérée sur ergocycle. L’utilisation de cet appareil est donc justifiée pour une évaluation de la dépense énergétique sur de longues périodes. Le calcul des glucides est une méthode largement utilisée pour évaluer la quantité d’insuline à injecter lors des repas. Nous avons évalué dans un contexte de vie courante, sans révision de la technique, la précision des patients pour ce calcul. L’erreur moyenne est de 15,4 ± 7,8 g par repas, soit 20,9 ± 9,7 % du contenu glucidique. L’erreur moyenne est positivement associée à de plus grandes fluctuations glycémiques mesurées via un lecteur de glucose en continu. Une révision régulière du calcul des glucides est probablement nécessaire pour permettre un meilleur contrôle glycémique. Nous avons développé et testé lors d’un essai clinique randomisé contrôlé un programme de promotion de l’AP (PEP-1). Ce programme de 12 semaines inclut une séance hebdomadaire en groupe ayant pour but d’initier l’AP, d’établir des objectifs et d’outiller les adultes atteints de DT1 quant à la gestion de la glycémie à l’AP. Bien que n’ayant pas permis d’augmenter la dépense énergétique, le programme a permis un maintien du niveau d’AP et une amélioration de la condition cardio-respiratoire et de la pression artérielle. À la fin du programme, une plus grande proportion de patients connaissait la pharmacocinétique de l’insuline et une plus grande variété de méthodes pour contrer l’hypoglycémie associée à l’AP était utilisée. En conclusion, le diabète de type 1 engendre des défis quotidiens particuliers. D’une part, le calcul des glucides est une tâche complexe et son imprécision est associée aux fluctuations glycémiques quotidiennes. D’autre part, l’adoption d’un mode de vie actif, qui est associée à un meilleur profil de composition corporelle, est limitée par la crainte des hypoglycémies. Le programme PEP-1 offre un support pour intégrer l’AP dans les habitudes de vie des adultes avec un DT1 et ainsi améliorer certains facteurs de risque cardio-vasculaire.

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La tolérance immunitaire dépend de la distinction entre le soi et le non soi par le système immunitaire. Un bris dans la tolérance immunitaire mène à l'auto-immunité, qui peut provoquer la destruction des organes, des glandes, des articulations ou du système nerveux central. Le diabète auto-immun, également connu sous le nom diabète juvénile et diabète de type 1, résulte d'une attaque auto-immune sur les cellules β pancréatiques sécrétrices d’insuline, localisées au niveau des îlots de Langerhans du pancréas. Bien que le diabète auto-immun soit traitable par une combinaison d’injections quotidiennes d’insuline d’origine exogène, de régime et d'exercices, beaucoup de complications chroniques peuvent se manifester chez les patients, y compris, mais non limitées à, la cécité, les maladies cardiovasculaires, l’insuffisance rénale et l'amputation. En raison des nombreuses complications liées au diabète auto-immun à long terme, la recherche continue afin de mieux comprendre tous les facteurs impliqués dans la progression de la maladie dans le but de développer de nouvelles thérapies qui empêcheront, renverseront et/ou traiteront cette maladie. Un rôle primordial dans la génération et l'entretien de la tolérance immunitaire a été attribué au nombre et à la fonction des sous-populations de cellules régulatrices. Une de ces populations est constituée de cellules T CD4-CD8- (double négatives, DN), qui ont été étudiées chez la souris et l'humain pour leur contribution à la tolérance périphérique, à la prévention des maladies et pour leur potentiel associé à la thérapie cellulaire. En effet, les cellules de T DN sont d'intérêt thérapeutique parce qu'elles montrent un potentiel immunorégulateur antigène-spécifique dans divers cadres expérimentaux, y compris la prévention du diabète auto-immun. D’ailleurs, en utilisant un système transgénique, nous avons démontré que les souris prédisposées au diabète auto-immun présentent peu de cellules T DN, et que ce phénotype contribue à la susceptibilité au diabète auto-immun. En outre, un transfert des cellules T DN est suffisant pour empêcher la progression vers le diabète chez les souris prédisposées au diabète auto-immun. Ces résultats suggèrent que les cellules T DN puissent présenter un intérêt thérapeutique pour les patients diabétiques. Cependant, nous devons d'abord valider ces résultats en utilisant un modèle non-transgénique, qui est plus physiologiquement comparable à l'humain. L'objectif principal de cette thèse est de définir la fonction immunorégulatrice des cellules T DN, ainsi que le potentiel thérapeutique de celles-ci dans la prévention du diabète auto-immun chez un modèle non-transgénique. Dans cette thèse, on démontre que les souris résistantes au diabète auto-immun présentent une proportion et nombre absolu plus élevés de cellules T DN non-transgéniques, lorsque comparées aux souris susceptibles. Cela confirme une association entre le faible nombre de cellules T DN et la susceptibilité à la maladie. On observe que les cellules T DN éliminent les cellules B activées in vitro par une voie dépendante de la voie perforine et granzyme, où la fonction des cellules T DN est équivalente entre les souris résistantes et prédisposées au diabète auto-immun. Ces résultats confirment que l'association au diabète auto-immun est due à une insuffisance en terme du nombre de cellules T DN, plutôt qu’à une déficience fonctionnelle. On démontre que les cellules T DN non-transgéniques éliminent des cellules B chargées avec des antigènes d'îlots, mais pas des cellules B chargées avec un antigène non reconnu, in vitro. Par ailleurs, on établit que le transfert des cellules T DN activées peut empêcher le développement du diabète auto-immun dans un modèle de souris non-transgénique. De plus, nous observons que les cellules T DN migrent aux îlots pancréatiques, et subissent une activation et une prolifération préférentielles au niveau des ganglions pancréatiques. D'ailleurs, le transfert des cellules T DN entraîne une diminution d'auto-anticorps spécifiques de l'insuline et de cellules B de centres germinatifs directement dans les îlots, ce qui corrèle avec les résultats décrits ci-dessus. Les résultats présentés dans cette thèse permettent de démontrer la fonction des cellules T DN in vitro et in vivo, ainsi que leur potentiel lié à la thérapie cellulaire pour le diabète auto-immun.

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L’hypoglycémie est une barrière au traitement du diabète de type 1 (DbT1). La collation au coucher est recommandée pour prévenir l’hypoglycémie nocturne (HN), mais son efficacité n’est pas démontrée. Objectif : Déterminer si une prise alimentaire en soirée est associée à la survenue d’HN. Étude observationnelle : 100 DbT1 ont porté un lecteur de glucose en continu et complété un journal alimentaire pendant 72 heures. L’HN est survenue durant 28 % des nuits. Une prise alimentaire en soirée n’était pas associée à l’HN. Toutefois, dans un modèle ajusté, l’apport en glucides en soirée était positivement associé aux HN (avec injection d’insuline rapide) et l’apport en protéines inversement associé aux HN (sans injection d’insuline rapide). Manger en soirée ne semble pas associé à moins d’HN. Des études contrôlées sont nécessaires pour comprendre l’effet de la collation au coucher sur le contrôle glycémique et le rôle de l’insuline rapide injectée en soirée.

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La présente thèse, organisée en trois volets, poursuivait trois objectifs : i) Estimer les coûts médicaux directs du traitement du DT2 dans 4 pays d’Afrique subsaharienne et dans le cas du Mali, rapprocher ces coûts médicaux directs estimés aux dépenses effectives des patients diabétiques ; ii) Examiner le coût-efficacité des interventions de prévention basées sur la modification du mode de vie chez les sujets à haut risque du DT2; iii) Cerner la perception et les attitudes des acteurs de la santé sur les outils de plaidoyer développés dans le cadre du projet DFN et leur potentiel d’impact sur les décideurs. Dans le premier volet, il s’est agi d’estimer les coûts du DT2 et de ses complications au moyen d’un calculateur et de le mettre à l’épreuve au Bénin, au Burkina- Faso, en Guinée et au Mali. Les composantes de soins pour le DT2 et ses complications avaient été définies au préalable par une équipe de spécialistes, sur la base de leur expérience clinique et des lignes directrices existantes. Les prix ont été relevés dans deux structures hospitalières du secteur public et deux du privé. Les coûts ont été estimés sur une base annuelle pour le DT2 avec ou sans complications chroniques puis par épisode pour les complications aiguës. Dans le cas du Mali, ces coûts ont été rapprochés des dépenses de patients diabétiques d’après une précédente enquête transversale dans ce pays. Cette enquête portait sur 500 sujets diabétiques sélectionnés au hasard dans les registres. Les dépenses pour les soins des trois derniers mois avaient été relevées. Les déterminants des dépenses ont été explorés. Il ressort des différences de coûts dans le même secteur puis entre le secteur privé et le secteur public. Le coût minimum du traitement du DT2 sans complications dans le secteur public représentait entre 21% et 34% de PIB par habitant, puis entre 26% - 47% en présence de la rétinopathie et au-delà de 70% pour la néphropathie, la complication chronique la plus coûteuse. Les dépenses des sujets diabétiques enquêtés au Mali, étaient en deçà des coûts minima estimatifs des différentes complications excepté la rétinopathie et le DT2 sans complication. Les facteurs comme l’insulinothérapie, le nombre de complications et la résidence dans la capitale étaient significativement associés aux dépenses plus élevées des patients. Dans le second volet, la revue systématique a consisté à recenser les études d’évaluation économique des interventions de prévention du DT2 dans des groupes à haut risque par l’alimentation et/ou l’activité physique. Les interventions de contrôle de l’obésité comme facteur de risque majeur de DT2 ont également été considérées. Les études ont été sélectionnées dans les bases de données scientifiques en utilisant les mots clés et des critères prédéfinis. Les études originales publiées entre janvier 2009 et décembre 2014 et conduites en français, anglais ou espagnol étaient potentiellement éligibles. La liste de contrôle de « British Medical Journal » a servi à évaluer la qualité des études. Des 21 études retenues, 15 rapportaient que les interventions étaient coût-efficaces suivant les limites d’acceptabilité considérées. Six études étaient non concluantes, dont quatre destinées à la prévention du DT2 et deux, au contrôle de l’obésité. Dans le troisième volet, les perceptions d’utilisateurs potentiels de ce calculateur et d’un autre outil de plaidoyer, à savoir, l’argumentaire narratif expliquant la nécessité de se pencher sur la lutte contre le DT2 en Afrique, ont été évaluées dans une étude qualitative exploratoire. Les données ont été collectées au cours d’entretiens individuels avec 16 acteurs de la santé de quatre pays d’Afrique subsaharienne et un groupe de discussion avec 10 étudiants de master de nutrition à l’issue d’un atelier de formation sur le plaidoyer faisant appel à ces outils, au Bénin. Les entretiens ont été enregistrés, transcrits et codés à l’aide du logiciel QDA Miner. Les participants ont souligné la pertinence des outils pour le plaidoyer et la convivialité du calculateur de coûts. Il demeure cependant que le contexte politique marqué par la compétition des priorités, l’absence de cohésion entre les décideurs et un défaut de données notamment sur le coût-efficacité des interventions sont des freins à la priorisation du DT2 dans les politiques de santé en Afrique subsaharienne que les répondants ont relevés. L’étude confirme que le traitement du DT2 est financièrement inabordable pour un grand nombre de patients. Elle souligne que les dépenses des patients sont en deçà des coûts estimés pour un traitement approprié avec quelques exceptions. La prévention du DT2 basée le mode de vie est coût-efficace mais devrait être étudiée en Afrique. On peut espérer que la pertinence des outils de ce travail telle que relevée par les acteurs de santé se traduise par leur utilisation. Ceci pour susciter des interventions de prévention afin d’infléchir l’évolution du DT2 et son impact économique en Afrique subsaharienne.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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OBJETIVO: Comparar custos de hospitalização e de atenção ambulatorial em gestantes/parturientes diabéticas e com hiperglicemia leve. MÉTODOS: Estudo observacional, prospectivo, quantitativo descritivo realizado em centro de diabete perinatal em Botucatu, SP, entre 2007 e 2008. Foram estimados os custos por absorção diretos e indiretos disponíveis na instituição e os custos específicos para a doença (medicamentos e exames). As 30 gestantes diabéticas tratadas com dieta foram acompanhadas em ambulatório e 20 tratadas com dieta mais insulina foram hospitalizadas. RESULTADOS: O custo da doença diabete (para a assistência pré-natal e parto) foi de US$ 3,311.84 para as gestantes hospitalizadas e de US$ 1,366.04 para as acompanhadas em ambulatório. CONCLUSÕES: Os custos diretos e indiretos e o custo total da assistência pré-natal foram mais elevados nas gestantes diabéticas hospitalizadas enquanto os custos da assistência ao parto e hospitalização para parto e puerpério foram semelhantes. Os custos da assistência pré-natal como no parto/puerpério foram superiores aos valores pagos pelo Sistema Único de Saúde.

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O objetivo deste trabalho foi estudar as repercussões feto-placentárias da insulinoterapia na prenhez de ratas diabéticas. A droga diabetogênica foi aloxana na dose de 42 mg/kg de peso por via intravenosa. Formaram-se cinco grupos experimentais: controle (G1, n=12); diabete moderado não-tratado (G2, n=10); diabete moderado tratado com insulina (G3, n=11); diabete grave não-tratado (G4, n=12) e diabete grave tratado com insulina (G5, n=10). Foram obtidos 634 recém-nascidos e respectivas placentas. O resultado perinatal do tratamento com insulina teve relação direta com a qualidade do controle glicêmico. O tratamento inadequado do diabete moderado determinou níveis de hiperglicemia moderada nos recém-nascidos, não interferiu com o peso corporal dos filhotes e diminuiu a proporção de recém-nascidos grandes para a idade da prenhez (GIP). O controle adequado do diabete grave normalizou a glicemia dos recém-nascidos, aumentou o peso dos filhotes e diminuiu a proporção de recém-nascidos pequenos para a idade da prenhez (PIP). A administração de doses adequadas de insulina no grupo de ratas diabéticas grave diminuiu o peso das placentas mas sem modificar o índice placentário.

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The activities of the enzymes aspartate aminotransferase (AST), alanine aminotransferase (ALT), alkaline phosphatase (ALP), lactate dehydrogenase (LD), creatine kinase (CK), amylase (AMS) and angiotensin converting enzyme (ACE) have been used to assess the toxic effects of xenobiotics that have hypoglycaemic action in hepatic, pancreatic, renal and muscle tissue. Using a validated experimental model of diabetes mellitus in rats, we ascertained whether this syndrome itself affected the serum activities of these enzymes over a 53-day period. Levels of hepatic enzymes AST, ALT and ALP were higher in the streptozotocin (STZ)diabetic rats (group D), but were controlled by insulin therapy (group DI). AMS was reduced in group D and unchanged in group DI rats. Proteinuria was detected 1 day after STZ administation and partially controlled by insulin (group DI); its early presence in group D rats, and the lack of any change in serum ACE in this group, indicates that proteinuria is the better marker for microangiopathy. Microscopic examination of liver, kidney, heart and skeletal muscles (soleus and extensor digitorum longus) revealed various alterations in group D rat tissues, which were less pronounced in group DI. The liver, pancreas and kidney tissue-damage was consistent with the altered serum levels of AST, ALT, ALP and AMS and proteinuria. We conclude that: (i) rigorous control is required when these serum-enzyme levels are used as indicators of tissue toxicity in experimental diabetes, and (ii) LD, CK and bilirubin serum levels, which are unaffected by diabetes, can be used when testing effects of xenobiotics on tissues.

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PURPOSE: to evaluate the insulin therapy protocol and its maternal and perinatal outcome in patients with clinical or gestational diabetes in a high risk reference service. METHODS: descriptive and prospective study including 103 pregnant women with gestational or clinical diabetes treated with insulin and attended by the reference service from October 2003 to December 2005. Gemellarity, miscarriages, unfinished prenatal care and deliveries not attended by the service were excluded. The gestational age at the beginning of the treatment, dosage, doses/day, increment of insulin (UI/kg), glycemic index (GI) and perinatal outcomes were compared. ANOVA, Fisher's exact test and Goodman's test considering p<0.05 were used. RESULTS: multiparity (92 versus 67.9%), pre-gestational body mass index (BMI) >25 kg/m 2 (88 versus 58.5%), weight gain (WG) <8 kg (36 versus 17%) and a high increment of insulin characterized the gestational diabetes. For the patients with clinical diabetes, despite the highest GI (120 mg/dL (39.2 versus 24%)) at the end of the gestational period, insulin therapy started earlier (47.2 versus 4%), lasted longer (56.6 versus 6%) and higher doses of insulin (92 versus 43 UI/day) were administered up to three times a day (54.7 versus 16%). Macrosomia was higher among newborns from the cohort of patients with gestational diabetes (16 versus 3.8%), being the only significant neonatal outcome. There were no neonatal deaths, except for one fetal death in the cohort of patients with clinical diabetes. There were no differences in the other neonatal complications in both cohorts, and most of the newborns were discharged from hospital up to seven days after delivery (46% versus 55.8%). CONCLUSIONS: the analysis of these two cohorts has shown differences in the insulin therapy protocol in quantity (UI/day), dosage (UI/kg weight) and number of doses/day, higher for the clinical diabetes cohort, and in the increment of insulin, higher for the gestational diabetes cohort. Indirectly, the quality of maternal glycemic control and the satisfactory perinatal outcome have proven that the treatment protocol was adequate and did not depend on the type of diabetes.

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Objectives: To evaluate bone healing around dental implants with established osseointegration in experimental diabetes mellitus (DM) and insulin therapy by histomorphometric and removal torque analysis in a rat model. Materials and methods: A total of 80 male Wistar rats received a titanium implant in the tibiae proximal methaphysis. After a healing period of 60 days, the rats were divided into four groups of 20 animals each: a 2-month control group, sacrificed at time (group A), a diabetic group (group D), an insulin group (group I), and a 4-month control group (group C), subdivided half for removal torque and half for histomorphometric analysis. In the D and I groups the DM was induced by a single injection of 40 mg/kg body weight streptozotocin (STZ). Two days after DM induction, group I received subcutaneous doses of insulin twice a day, during 2 months. Groups C and D received only saline. Two months after induction of DM, the animals of groups D, C and I were sacrificed. The plasmatic levels of glucose (GPL) were monitored throughout the experiment. Evaluation of the percentages of bone-to-implant contact and bone area within the limits of the implant threads was done by histomorphometric and mechanical torque analysis. Data were analyzed by anova at significant level of 5%. Results: The GPL were within normal range for groups A, C and I and higher for group D. The means and standard deviations (SD) for histomorphometric bone area showed significant difference between group D (69.34 ± 5.00%) and groups C (78.20 ± 4.88%) and I (79.63 ± 4.97%). Related to bone-to-implant contact there were no significant difference between the groups D (60.81 + 6.83%), C (63.37 + 5.88%) and I (66.97 + 4.13%). The means and SD for removal torque showed that group D (12.91 ± 2.51 Ncm) was statistically lower than group I (17.10 ± 3.06 Ncm) and C (16.95 ± 5.39 Ncm). Conclusions: Diabetes mellitus impaired the bone healing around dental implants with established osseointegration because the results presented a lower percentage of bone area in group D in relation to groups C and I resulting in a lowest torque values for implant removal. Moreover, insulin therapy prevents the occurrence of bone abnormalities found in diabetic animals and osseointegration was not compromised. © 2012 John Wiley & Sons A/S.

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Pós-graduação em Ciências Biológicas (Biologia Celular e Molecular) - IBRC

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)