995 resultados para forest industry
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A tax system for Oregon.--Taxation and industrial development.--Electric utilities.--Statement by Representative Giesy concerning the taxation of electric utilities.--Forests and the forest industry.
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A large number of socio-economic research projects have been conducted in north Queensland which have drawn on observations from, or been otherwise inspired by, the Community Rainforest Reforestation Program (CRRP). The research may be considered under the headings of financial performance of farm-grown timber, externalities (or environmental values), impediments to tree planting on farms, analysis of the timber supply chain including timber marketing, and facilitation of forest industry development. This paper summarises a variety of insights generated by the research, on small-scale forestry based on native tree species and on policy measures which may be adopted to promote tree growing on farms in tropical north Queensland.
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Lors du transport du bois de la forêt vers les usines, de nombreux événements imprévus peuvent se produire, événements qui perturbent les trajets prévus (par exemple, en raison des conditions météo, des feux de forêt, de la présence de nouveaux chargements, etc.). Lorsque de tels événements ne sont connus que durant un trajet, le camion qui accomplit ce trajet doit être détourné vers un chemin alternatif. En l’absence d’informations sur un tel chemin, le chauffeur du camion est susceptible de choisir un chemin alternatif inutilement long ou pire, qui est lui-même "fermé" suite à un événement imprévu. Il est donc essentiel de fournir aux chauffeurs des informations en temps réel, en particulier des suggestions de chemins alternatifs lorsqu’une route prévue s’avère impraticable. Les possibilités de recours en cas d’imprévus dépendent des caractéristiques de la chaîne logistique étudiée comme la présence de camions auto-chargeurs et la politique de gestion du transport. Nous présentons trois articles traitant de contextes d’application différents ainsi que des modèles et des méthodes de résolution adaptés à chacun des contextes. Dans le premier article, les chauffeurs de camion disposent de l’ensemble du plan hebdomadaire de la semaine en cours. Dans ce contexte, tous les efforts doivent être faits pour minimiser les changements apportés au plan initial. Bien que la flotte de camions soit homogène, il y a un ordre de priorité des chauffeurs. Les plus prioritaires obtiennent les volumes de travail les plus importants. Minimiser les changements dans leurs plans est également une priorité. Étant donné que les conséquences des événements imprévus sur le plan de transport sont essentiellement des annulations et/ou des retards de certains voyages, l’approche proposée traite d’abord l’annulation et le retard d’un seul voyage, puis elle est généralisée pour traiter des événements plus complexes. Dans cette ap- proche, nous essayons de re-planifier les voyages impactés durant la même semaine de telle sorte qu’une chargeuse soit libre au moment de l’arrivée du camion à la fois au site forestier et à l’usine. De cette façon, les voyages des autres camions ne seront pas mo- difiés. Cette approche fournit aux répartiteurs des plans alternatifs en quelques secondes. De meilleures solutions pourraient être obtenues si le répartiteur était autorisé à apporter plus de modifications au plan initial. Dans le second article, nous considérons un contexte où un seul voyage à la fois est communiqué aux chauffeurs. Le répartiteur attend jusqu’à ce que le chauffeur termine son voyage avant de lui révéler le prochain voyage. Ce contexte est plus souple et offre plus de possibilités de recours en cas d’imprévus. En plus, le problème hebdomadaire peut être divisé en des problèmes quotidiens, puisque la demande est quotidienne et les usines sont ouvertes pendant des périodes limitées durant la journée. Nous utilisons un modèle de programmation mathématique basé sur un réseau espace-temps pour réagir aux perturbations. Bien que ces dernières puissent avoir des effets différents sur le plan de transport initial, une caractéristique clé du modèle proposé est qu’il reste valable pour traiter tous les imprévus, quelle que soit leur nature. En effet, l’impact de ces événements est capturé dans le réseau espace-temps et dans les paramètres d’entrée plutôt que dans le modèle lui-même. Le modèle est résolu pour la journée en cours chaque fois qu’un événement imprévu est révélé. Dans le dernier article, la flotte de camions est hétérogène, comprenant des camions avec des chargeuses à bord. La configuration des routes de ces camions est différente de celle des camions réguliers, car ils ne doivent pas être synchronisés avec les chargeuses. Nous utilisons un modèle mathématique où les colonnes peuvent être facilement et naturellement interprétées comme des itinéraires de camions. Nous résolvons ce modèle en utilisant la génération de colonnes. Dans un premier temps, nous relaxons l’intégralité des variables de décision et nous considérons seulement un sous-ensemble des itinéraires réalisables. Les itinéraires avec un potentiel d’amélioration de la solution courante sont ajoutés au modèle de manière itérative. Un réseau espace-temps est utilisé à la fois pour représenter les impacts des événements imprévus et pour générer ces itinéraires. La solution obtenue est généralement fractionnaire et un algorithme de branch-and-price est utilisé pour trouver des solutions entières. Plusieurs scénarios de perturbation ont été développés pour tester l’approche proposée sur des études de cas provenant de l’industrie forestière canadienne et les résultats numériques sont présentés pour les trois contextes.
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The purpose of this quantitative study is to study future consumers’ perception of sustainability in relation to business in general and specifically concerning the forest industry. The aim is to understand, what they feel is important for sustainable business and how the forest industry, in their opinion, is performing in this respect. Further, it aims to study how these perceptions reflect in their buying decisions. The research was conducted by a quantitative survey in two countries, Finland and Hong Kong, in the spring of 2015. All data used in the research is primary. The result indicate that consumers see sustainability issues important today and in the future. Sustainability is seen important both for business in general for the forest industry. The industry is considered sustainable now, but room for improvements exists. The appreciation of sustainability does not reflect to buying decisions, however. The buying of ecological products seems to be more up to chance than to intention. Consumers are not proactive in searching for more ecological or responsible options. Information needs to be taken to them. Ecologicalness as such is still not a strong selling point.
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Lors du transport du bois de la forêt vers les usines, de nombreux événements imprévus peuvent se produire, événements qui perturbent les trajets prévus (par exemple, en raison des conditions météo, des feux de forêt, de la présence de nouveaux chargements, etc.). Lorsque de tels événements ne sont connus que durant un trajet, le camion qui accomplit ce trajet doit être détourné vers un chemin alternatif. En l’absence d’informations sur un tel chemin, le chauffeur du camion est susceptible de choisir un chemin alternatif inutilement long ou pire, qui est lui-même "fermé" suite à un événement imprévu. Il est donc essentiel de fournir aux chauffeurs des informations en temps réel, en particulier des suggestions de chemins alternatifs lorsqu’une route prévue s’avère impraticable. Les possibilités de recours en cas d’imprévus dépendent des caractéristiques de la chaîne logistique étudiée comme la présence de camions auto-chargeurs et la politique de gestion du transport. Nous présentons trois articles traitant de contextes d’application différents ainsi que des modèles et des méthodes de résolution adaptés à chacun des contextes. Dans le premier article, les chauffeurs de camion disposent de l’ensemble du plan hebdomadaire de la semaine en cours. Dans ce contexte, tous les efforts doivent être faits pour minimiser les changements apportés au plan initial. Bien que la flotte de camions soit homogène, il y a un ordre de priorité des chauffeurs. Les plus prioritaires obtiennent les volumes de travail les plus importants. Minimiser les changements dans leurs plans est également une priorité. Étant donné que les conséquences des événements imprévus sur le plan de transport sont essentiellement des annulations et/ou des retards de certains voyages, l’approche proposée traite d’abord l’annulation et le retard d’un seul voyage, puis elle est généralisée pour traiter des événements plus complexes. Dans cette ap- proche, nous essayons de re-planifier les voyages impactés durant la même semaine de telle sorte qu’une chargeuse soit libre au moment de l’arrivée du camion à la fois au site forestier et à l’usine. De cette façon, les voyages des autres camions ne seront pas mo- difiés. Cette approche fournit aux répartiteurs des plans alternatifs en quelques secondes. De meilleures solutions pourraient être obtenues si le répartiteur était autorisé à apporter plus de modifications au plan initial. Dans le second article, nous considérons un contexte où un seul voyage à la fois est communiqué aux chauffeurs. Le répartiteur attend jusqu’à ce que le chauffeur termine son voyage avant de lui révéler le prochain voyage. Ce contexte est plus souple et offre plus de possibilités de recours en cas d’imprévus. En plus, le problème hebdomadaire peut être divisé en des problèmes quotidiens, puisque la demande est quotidienne et les usines sont ouvertes pendant des périodes limitées durant la journée. Nous utilisons un modèle de programmation mathématique basé sur un réseau espace-temps pour réagir aux perturbations. Bien que ces dernières puissent avoir des effets différents sur le plan de transport initial, une caractéristique clé du modèle proposé est qu’il reste valable pour traiter tous les imprévus, quelle que soit leur nature. En effet, l’impact de ces événements est capturé dans le réseau espace-temps et dans les paramètres d’entrée plutôt que dans le modèle lui-même. Le modèle est résolu pour la journée en cours chaque fois qu’un événement imprévu est révélé. Dans le dernier article, la flotte de camions est hétérogène, comprenant des camions avec des chargeuses à bord. La configuration des routes de ces camions est différente de celle des camions réguliers, car ils ne doivent pas être synchronisés avec les chargeuses. Nous utilisons un modèle mathématique où les colonnes peuvent être facilement et naturellement interprétées comme des itinéraires de camions. Nous résolvons ce modèle en utilisant la génération de colonnes. Dans un premier temps, nous relaxons l’intégralité des variables de décision et nous considérons seulement un sous-ensemble des itinéraires réalisables. Les itinéraires avec un potentiel d’amélioration de la solution courante sont ajoutés au modèle de manière itérative. Un réseau espace-temps est utilisé à la fois pour représenter les impacts des événements imprévus et pour générer ces itinéraires. La solution obtenue est généralement fractionnaire et un algorithme de branch-and-price est utilisé pour trouver des solutions entières. Plusieurs scénarios de perturbation ont été développés pour tester l’approche proposée sur des études de cas provenant de l’industrie forestière canadienne et les résultats numériques sont présentés pour les trois contextes.
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The present work, where additional value-creating processes in existing combined heat and power (CHP) structures have been examined, is motivated by a political- and consumer-driven strive towards a bioeconomy and a stagnation for the existing business models in large parts of the CHP sector. The research is based on cases where the integration of flash pyrolysis for co-production of bio-oil, co-gasification for production of fuel gas and synthetic biofuels as well as leaching of extractable fuel components in existing CHP plants have been simulated. In particular, this work has focused on the CHP plants that utilize boilers of fluidized bed (FB) type, where the concept of coupling a separate FB reactor to the FB of the boiler forms an important basis for the analyses. In such dual fluidized bed (DFB) technology, heat is transferred from the boiler to the new rector that is operating with other fluidization media than air, thereby enabling other thermochemical processes than combustion to take place. The result of this work shows that broader operations at existing CHP plants have the potential to enable production of significant volumes of chemicals and/or fuels with high efficiency, while maintaining heat supply to external customers. Based on the insight that the technical preconditions for a broader operation are favourable, the motivation and ability among the incumbents in the Swedish CHP sector to participate in a transition of their operation towards a biorefinery was examined. The result of this assessment showed that the incumbents believe that a broader operation can create significant values for their own operations, the society and the environment, but that they lack both a strong motivation as well as important abilities to move into the new technological fields. If the concepts of broader production are widely implemented in the Swedish FB based CHP sector, this can substantially contribute in the transition towards a bioeconomy.
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The demonstrated wide adaptability, substantial yield potential and proven timber quality of African mahogany (Khaya senegalensis) from plantings of the late 1960s and early 1970s in northern Australia have led to a resurgence of interest in this high-value species. New plantations or trials have been established in several regions since the early 1990s -in four regions in north Queensland, two in the Northern Territory and one in Western Australia. Overall, more than 1500 ha had been planted by early 2007, and the national annual planting from 2007-2008 as currently planned will exceed 2400 ha. Proceedings of two workshops have summarised information available on the species in northern Australia, and suggested research and development (R&D) needs and directions. After an unsustained first phase of domestication of K. senegalensis in the late 1960s to the early 1970s, a second phase began in northern Australia in 2001 focused on conservation and tree improvement that is expected to provide improved planting stock by 2010. Work on other aspects of domestication is also described in this paper: the current estate and plans for extension; site suitability, soils and nutrition; silviculture and management; productivity; pests and diseases; and log and wood properties of a sample of superior trees from two mature plantations of unselected material near Darwin. Some constraints on sustainable plantation development in all these fields are identified and R&D needs proposed. A sustained R&D effort will require a strategic coordinated approach, cooperative implementation and extra funding. Large gains in plantation profitability can be expected to flow from such inputs.
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1. Until the late 1960s, Euterpe edulis was the most important edible palm species in the Brazilian markets. Since then, overharvesting of natural stands and the limited scope of plantations have caused the industry to shift to the multistemmed E, oleracea from the Amazon river estuary.2, As a result of the relocation of the industry, the structure of the palm harvesting industry has changed and illegal trade has continued to exploit the remaining natural stands of E, edulis.3, it is suggested that, to avoid the total harvesting of E. edulis and to achieve sustainable management of the palm heart, it will be necessary to diversify the local economy, create incentives for small land owners to improve their management practices, while keeping their competitiveness against the illegal trade, create the incentive of new sources of palm hearts and create a 'green stamping' For management palms.4, Transformation of the illegal structure of the palm heart industry is probably the only solution to avoid the total depletion of the wild stands of E. edulis.
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"Serial no. 97-EEEE."
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Mode of access: Internet.
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The publication provides a snapshot of the forest and timber industry’s contribution to the Queensland economy and highlights the scope, innovation and features of the state’s forest and timber products that are produced from Queensland’s unique resources.
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Hardboard processing wastewater was evaluated as a feedstock in a bio refinery co-located with the hardboard facility for the production of fuel grade ethanol. A thorough characterization was conducted on the wastewater and the composition changes of which during the process in the bio refinery were tracked. It was determined that the wastewater had a low solid content (1.4%), and hemicellulose was the main component in the solid, accounting for up to 70%. Acid pretreatment alone can hydrolyze the majority of the hemicellulose as well as oligomers, and over 50% of the monomer sugars generated were xylose. The percentage of lignin remained in the liquid increased after acid pretreatment. The characterization results showed that hardboard processing wastewater is a feasible feedstock for the production of ethanol. The optimum conditions to hydrolyze hemicellulose into fermentable sugars were evaluated with a two-stage experiment, which includes acid pretreatment and enzymatic hydrolysis. The experimental data were fitted into second order regression models and Response Surface Methodology (RSM) was employed. The results of the experiment showed that for this type of feedstock enzymatic hydrolysis is not that necessary. In order to reach a comparatively high total sugar concentration (over 45g/l) and low furfural concentration (less than 0.5g/l), the optimum conditions were reached when acid concentration was between 1.41 to 1.81%, and reaction time was 48 to 76 minutes. The two products produced from the bio refinery were compared with traditional products, petroleum gasoline and traditional potassium acetate, in the perspective of sustainability, with greenhouse gas (GHG) emission as an indicator. Three allocation methods, system expansion, mass allocation and market value allocation methods were employed in this assessment. It was determined that the life cycle GHG emissions of ethanol were -27.1, 20.8 and 16 g CO2 eq/MJ, respectively, in the three allocation methods, whereas that of petroleum gasoline is 90 g CO2 eq/MJ. The life cycle GHG emissions of potassium acetate in mass allocation and market value allocation method were 555.7 and 716.0 g CO2 eq/kg, whereas that of traditional potassium acetate is 1020 g CO2/kg.
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Forest policy and forestry management in Tasmania have undergone a number of changes in the last thirty years, many explicitly aimed at improving industry sustainability, job security, and forest biodiversity conservation. Yet forestry remains a contentious issue in Tasmania, due to a number of interacting factors, most significant of which is the prevalence of a ‘command and control’ governance approach by policymakers and managers. New approaches such as multiple-stakeholder decision-making, adaptive management, and direct public participation in policymaking are needed. Such an approach has been attempted in Canada in the last decade, through the Canadian Model Forest Program, and may be suitable for Tasmania. This paper seeks to describe what the Canadian Model Forest approach is, how it may be implemented in Tasmania, and what role it may play in the shift to a new forestry paradigm. Until such a paradigm shift occurs contentions and confrontations are likely to continue.
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Australian forestry plantations have doubled in the past 15 years, with rural communities harbouring a diverse range of positive and negative of economic, environmental and social impacts – the so-called triple bottom line (TBL). Utilising two Australian rural communities in Eden/Gippsland and Tasmania as qualitative case studies, this research explores how 23 non-forestry affiliated rural residents perceived and experienced the TBL economic, environmental and social impacts of plantation forestry. Residents criticised the economic plantation forestry benefits because of lengthy periods of inactivity and limited local employment, explaining that their community was reliant on the industry yet the promised economic benefits had never fully materialised. There was a sense the industry ‘plant and walk away.’ Residents were concerned about the environment impact on water quality, water tables and fire hazards, although they praised plantation forestry for carbon sequestering, eradicating erosion and water run-off. Negative social impacts were described, specifically how the land-use change from farming to forestry had significantly reduced the local population, employment and need for services. Natural resource management and communication strategies are offered, derived from non-forestry affiliated rural resident perspectives on how best to ensure sustainable forest development in their community.