938 resultados para feces incontinence
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Sexuality after spinal cord injury (SCI) is a complex issue that is influenced by a number of social, psychological and physiological factors, one of which is urinary incontinence (UI). Using a phenomenological approach, seven mixed methods interviews combining both the interview guide and standardized open-ended approaches were conducted to examine the experience of sexuality for women who are concerned about UI following SCI. Sexual function was one of the top priorities for the women after SCI, and UI was one of the main concerns the women had regarding sexuality. The findings of this study demonstrate that various dimensions of intimacy and the sexual experience as a whole were affected by UI, and the women discussed both physical and psychological concerns. The main issues regarding sexuality included concerns related to relationships, frustrations with limited sexual activities and the difficulty of being sexually satisfied, the number of unanswered questions and concerns, and a fear of being hurt or injured while participating in sexual activities. The main concerns regarding UI were embarrassment, the work and inconvenience involved with the clean-up of UI, bladder infections, the lack of accessible washrooms, and the negative effects of UI medications. When examining sexuality and UI together, the major issues were the constant comparison to the way things were before SCI, as well as the new concerns that the women did not have to worry about previously, worrying about how their partner would react if UI were to occur during sexual activity, and the impact of their own feelings toward UI on sexuality, a connection between pleasurable sexual sensations and UI as well as difficulty differentiating between the sensation of UI with the sensation of UI, dealing with infected urine during sexual activity, having to discuss UI with a new potential sexual partner, and a fear of rejection. Other identified issues included those related to body image, a lack of resources, Doctors who were inadequately educated regarding SCI, and issues related to both having and raising children. There is a significant shortage of information available for women with SCI to use as a resource regarding sexual function in general, and sexual function as it relates to UI. It is necessary that future work focus on creating resources to assist in this area, and that the dissemination of those resources becomes both appropriate and effective. Addressing sexual function and UI which are among the top concerns for this population has the opportunity to greatly improve quality of life (QOL) for these individuals.
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L’incontinence urinaire d’effort (IUE) est une condition fréquente en période postnatale pouvant affecter jusqu’à 77% des femmes. Neuf femmes sur dix souffrant d’IUE trois mois après l’accouchement, vont présenter une IUE cinq ans plus tard. Le traitement en physiothérapie de l’IUE par le biais d’un programme d’exercices de renforcement des muscles du plancher pelvien est reconnu comme étant un traitement de première ligne efficace. Les études ont prouvé l’efficacité de cette approche sur l’IUE persistante à court terme, mais les résultats de deux ECR à long terme n’ont pas démontré un maintien de l’effet de traitement. L’effet d’un programme en physiothérapie de renforcement du plancher pelvien intensif et étroitement supervisé sur l’IUE postnatale persistante avait été évalué lors d’un essai clinique randomisé il y a sept ans. Le but principal de la présente étude était d’évaluer l’effet de ce programme sept ans après la fin des interventions de l’ECR initial. Un objectif secondaire était de comparer l’effet de traitement à long terme entre un groupe ayant fait seulement des exercices de renforcement du plancher pelvien et un groupe ayant fait des exercices de renforcement du plancher pelvien et des abdominaux profonds. Un troisième objectif était d’explorer l’influence de quatre facteurs de risques sur les symptômes d’IUE et la qualité de vie à long terme. Les cinquante-sept femmes ayant complétées l’ECR initial ont été invitées à participer à l’évaluation du suivi sept ans. Vingt et une femmes ont participé à l’évaluation clinique et ont répondu à quatre questionnaires, tandis que dix femmes ont répondu aux questionnaires seulement. L’évaluation clinique incluait un pad test et la dynamométrie du plancher pelvien. La mesure d’effet primaire était un pad test modifié de 20 minutes. Les mesures d’effets secondaires étaient la dynamométrie du plancher pelvien, les symptômes d’IUE mesuré par le questionnaire Urogenital Distress Inventory, la qualité de vie mesurée par le questionnaire Incontinence Impact Questionnaire et la perception de la sévérité de l’IUE mesuré par l’Échelle Visuelle Analogue. De plus, un questionnaire portant sur quatre facteurs de risques soit, la présence de grossesses subséquentes, la v présence de constipation chronique, l’indice de masse corporel et la fréquence des exercices de renforcement du plancher pelvien de l’IUE, venait compléter l’évaluation. Quarante-huit pour-cent (10/21) des participantes étaient continentes selon de pad test. La moyenne d’amélioration entre le résultat pré-traitement et le suivi sept ans était de 26,9 g. (écart-type = 68,0 g.). Il n’y avait pas de différence significative des paramètres musculaires du plancher pelvien entre le pré-traitement, le post-traitement et le suivi sept ans. Les scores du IIQ et du VAS étaient significativement plus bas à sept ans qu’en prétraitement (IIQ : 23,4 vs 15,6, p = 0,007) et (VAS : 6,7 vs 5,1, p = 0,001). Les scores du UDI étaient plus élevés au suivi sept ans (15,6) qu’en pré-traitement (11,3, p = 0,041) et en post-traitement (5,7, p = 0,00). La poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien à domicile était associée à une diminution de 5,7 g. (p = 0,051) des fuites d’urine observées au pad test selon une analyse de régression linéaire. Les limites de cette étude sont ; la taille réduite de l’échantillon et un biais relié au désir de traitement pour les femmes toujours incontinentes. Cependant, les résultats semblent démontrer que l’effet du traitement à long terme d’un programme de renforcement des muscles du plancher pelvien qui est intensif et étroitement supervisé, est maintenu chez environ une femme sur deux. Bien que les symptômes d’IUE tel que mesuré par les pad test et le questionnaire UDI, semblent réapparaître avec le temps, la qualité de vie, telle que mesurée par des questionnaires, est toujours meilleure après sept qu’à l’évaluation initiale. Puisque la poursuite des exercices de renforcement du plancher pelvien est associée à une diminution de la quantité de fuite d’urine au pad test, les participantes devraient être encouragées à poursuivre leurs exercices après la fin d’un programme supervisé. Pour des raisons de logistique la collecte de donnée de ce projet de recherche s’est continuée après la rédaction de ce mémoire. Les résultats finaux sont disponibles auprès de Chantale Dumoulin pht, PhD., professeure agrée à l’Université de Montréal.
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But: Cette étude a pour but de comparer : a)la morphologie du plancher pelvien (PP), du col vésical et du sphincter urogénital strié (SUS) par IRM et b) la fonction du PP par palpation digitale (PERFECT scheme) chez les femmes âgées continentes ou avec incontinence urinaire à l’effort (IUE) et mixte (IUM). Méthode: Les femmes ont appris à contracter correctement leur PP et la fonction de leur PP a été évaluée. Une séance d’IRM dynamique 3T a suivi. Résultats: 66 femmes ont participé à l’étude. Les groupes étaient similaires en âge, IMC, nombre d’accouchements vaginaux et d’hystérectomie. La validité et la fidélité des différentes mesures anatomiques utilisées ont été confirmées au début de cette étude. Afin de contrôler l’effet potentiel de la taille du bassin sur les autres paramètres, les femmes ont été appariées par la longueur de leur inlet pelvien. Les femmes avec IUM ont un PP plus bas et un support des organes pelviens plus faible, selon leurs ligne M, angle LPC/Ligne H et hauteur de la jonction urétro-vésicale (UV). Les femmes avec IUE ont un PP similaire à celui des continentes, mais présentent plus d’ouverture du col vésical et un angle UV postérieur plus large au repos que les autres groupes. Il n’y a aucune différence de morphologie du SUS entre les groupes. De plus, selon les résultats du PERFECT scheme, les femmes avec IU ont une force du PP plus faible que les continentes. Les femmes avec IUM montrent aussi une faible élévation des muscles du PP à la contraction. Les femmes avec IUE ont, quant à elle, un problème de coordination à la toux. Conclusion: Les déficits causant l’IUE et l’IUM sont différents, mais supportent tous le rationnel des exercices du PP pour le traitement de l’IUE et l’IUM. Ces résultats supportent le besoin de traitements de rééducation spécifiques aux déficits de chacun des types d’IU.
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E. coli avec potentiel zoonotique pourrait éclore dans les réservoirs porcins et avicoles. Cette étude consiste à examiner la présence de souches E. coli porteuses de gènes virulents associés aux STEC (E. coli producteurs de Shiga-toxines), EPEC (E. coli entéropathogène), et ExPEC (E. coli pathogène extra-intestinal) chez les porcs et volailles élevés au Vietnam. Des prélèvements d’excréments et de carcasses ont été effectués dans des fermes et abattoirs porcins et avicoles sélectionnés où les animaux ont été suivis de l’élevage à l’abattage. Un total de 13,1% des souches, toutes sources confondues, ont été catégorisées comme potentiellement contaminées par ExPEC, possédant un ou plusieurs gènes de virulence iucD, tsh, papC et cnf. Peu d’isolats d’autres pathotypes ont été observés. Tous les gènes de virulence ExPEC, à l’exception de cnf, ont été identifiés plus fréquemment dans les isolats de fèces et carcasses avicoles que dans les isolats porcins. Même constatation pour le groupe du phylogénétique D. Une multirésistance aux médicaments a été régulièrement observée chez les deux isolats ExPEC. Les isolats de fèces de volailles ont souvent été associés à une résistance à l’acide nalidixique et à la ciprofloxacine (P<0.05), de même qu’au gène blaTEM, alors que les gènes qnr et aac(6’)-Ib ont peu été rencontrés des deux côtés. Cette étude démontre que les isolats ExPEC avicoles sont potentiellement plus pathogèniques que ceux porcins et que les isolats ExPEC de carcasses porcines et avicoles peuvent provenir de leurs excréments par la contamination associée au processus d'abattage. Ainsi, la volaille, particulièrement, serait un facteur de transmission de souches ExPEC zoonotiques.
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The objectives were to determine effects of graded levels of selenized yeast derived from a specific strain of Saccharomyces cerevisiae (CNCM I-3060) on animal performance and in selenium concentrations in the blood, milk, feces, and urine of dairy cows compared with sodium selenite; and to provide preliminary data on the proportion of selenium as selenomethionine in the milk and blood. Twenty Holstein cows were used in a 5 × 5 Latin square design study in which all cows received the same total mixed rations, which varied only in source or concentration of dietary selenium. There were 5 experimental treatments. Total dietary selenium of treatment 1, which received no added selenium, was 0.15 mg/kg of dry matter, whereas values for treatments 2, 3, and 4, derived from selenized yeast, were 0.27, 0.33, and 0.40 mg/kg of dry matter, respectively. Treatment 5 contained 0.25 mg of selenium obtained from sodium selenite/kg of dry matter. There were no significant treatment effects on animal performance, and blood chemistry and hematology showed few treatment effects. Regression analysis noted significant positive linear effects of increasing dietary selenium derived from selenized yeast on selenium concentrations in the milk, blood, urine, and feces. In addition, milk selenium results indicated improved bioavailability of selenium from selenized yeast, compared with sodium selenite. Preliminary analyses showed that compared with sodium selenite, the use of selenized yeast increased the concentration of selenomethionine in the milk and blood. There was no indication of adverse effects on cow health associated with the use of selenized yeast.
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A method is proposed to determine the extent of degradation in the rumen involving a two-stage mathematical modeling process. In the first stage, a statistical model shifts (or maps) the gas accumulation profile obtained using a fecal inoculum to a ruminal gas profile. Then, a kinetic model determines the extent of degradation in the rumen from the shifted profile. The kinetic model is presented as a generalized mathematical function, allowing any one of a number of alternative equation forms to be selected. This method might allow the gas production technique to become an approach for determining extent of degradation in the rumen, decreasing the need for surgically modified animals while still maintaining the link with the animal. Further research is needed before the proposed methodology can be used as a standard method across a range of feeds.
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The objective was to determine the presence or absence of transgenic and endogenous plant DNA in ruminal fluid, duodenal digesta, milk, blood, and feces, and if found, to determine fragment size. Six multiparous lactating Holstein cows fitted with ruminal and duodenal cannulas received a total mixed ration. There were two treatments (T). In T1, the concentrate contained genetically modified (GM) soybean meal (cp4epsps gene) and GM corn grain (cry1a[b] gene), whereas T2 contained the near isogenic non-GM counterparts. Polymerase chain reaction analysis was used to determine the presence or absence of DNA sequences. Primers were selected to amplify small fragments from single-copy genes (soy lectin and corn high-mobility protein and cp4epsps and cry1a[b] genes from the GM crops) and multicopy genes (bovine mitochondrial cytochrome b and rubisco). Single-copy genes were only detected in the solid phase of rumen and duodenal digesta. In contrast, fragments of the rubisco gene were detected in the majority of samples analyzed in both the liquid and solid phases of ruminal and duodenal digesta, milk, and feces, but rarely in blood. The size of the rubisco gene fragments detected decreased from 1176 bp in ruminal and duodenal digesta to 351 bp in fecal samples.
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Formate stimulates growth of a new bacterium from human feces. With high formate, it ferments glucose to acetate via the Wood-Ljungdahl pathway. The original isolate fermented vegetable cellulose and carboxymethylcellulose, but it lost this ability after storage at -76degreesC. 16S rRNA gene sequencing identifies it as a distinct line within the Clostridium coccoides supra-generic rRNA grouping. We propose naming it Bryantella formatexigens gen. nov., sp. nov.
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During studies on the microflora of human feces we have isolated a strictly anaerobic, non-spore-forming, Gram-negative staining organism which exhibits a somewhat variable coccus-shaped morphology. Comparative 16S ribosomal RNA gene sequencing studies show the unidentified organism is phylogenetically a member of the Clostridium leptum supra-generic rRNA cluster and displays a close affinity to some rDNA clones derived from human and pig feces. The nearest named relatives of the unidentified isolate corresponded to Faecalibacterium prausnitzii (formerly Fusobacterium prausnitzii) displaying a 16S rRNA sequence divergence of approximately 9%, with Anaerofilum agile and A. pentosovorans the next closest relatives of the unidentified bacterium (sequence divergence approximately 10%). Based on phenotypic and phylogenetic considerations, it is proposed that the unusual coccoid-shaped organism be classified as a new genus and species, Subdoligranulum variabile. The type strain of S. variabile is BI 114(T) (= CCUG 47106(T) = DSM 15176(T)). (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Morphological, biochemical, and molecular genetic studies were performed on an unknown anaerobic, catalase-negative, nonspore-forming, rod-shaped bacterium isolated from dog feces. The unknown bacterium was tentatively identified as a Eubacterium species, based on cellular morphological and biochemical tests. 16S rRNA gene sequencing studies, however, revealed that it was phylogenetically distant from Eubacterium limosum, the type species of the genus Eubacterium. Phylogenetically, the unknown species forms a hitherto unknown sub-line proximal to the base of a cluster of organisms (designated rRNA cluster XVI), which includes Clostridium innocuum, Streptococcus pleomorphus, and some Eubacterium species. Based on both phenotypic and phylogenetic criteria, it is proposed that the unknown bacterium be classified as a new genus and species, Allobaculum stercoricanis. Using a specific rRNA-targeted probe designed to identify Allobacultan stercoricanis, in situ hybridisation showed this novel species represents a significant organism in canine feces comprising between 0.1% and 3.7% of total cells stained with DAPI (21 dog fecal samples). The type strain of Allobaculum stereoricanis is DSM 13633(T) = CCUG 45212(T). (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Phenotypic and phylogenetic studies were performed on four isolates of an unidentified gram-negative, microaerotolerant, non-spore-forming, rod-shaped bacterium isolated from the feces of children. The unknown organism was bile resistant and produced acetic acid as the major end product of metabolism of peptides and carbohydrates. It possessed a low DNA G + C content of 31 mol %. Comparative 16S rRNA gene sequencing demonstrated that the four isolates were phylogenetically identical (100% 16S rRNA sequence similarity) and represent a hitherto unknown sub-line within the genus Cetobacterium. The novel bacterium displayed approximately 5% sequence divergence with Cetobacterium ceti, and can be readily distinguished from the latter by physiological and biochemical criteria. Based on phylogenetic and phenotypic evidence, it is proposed that the unknown fecal bacterium be classified in the genus Cetobacterium, as Cetobacterium somerae sp. nov. The proposed type strain of Cetobacterium somerae is WAL 14325(T) (ATCC BAA-474(T) = CCUG 46254T).