988 resultados para child weight


Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The Growth, Learning and Development (GLAD) study aimed to examine how a broad range of factors influence child weight during the first year of life. Assessments were undertaken within a multidisciplinary team framework. The sample was drawn from the community and data collection was undertaken in the four Greater Belfast Trusts. Twohundred and thirty-four families took part, each receiving a total of five home visits during which physical growth, oral-motor skills and development were assessed. Psychosocial evaluation examined parent-child interaction, feeding and other parental and child characteristics using quantitative and observational techniques. This paper outlines the main findings and recommendations from the GLAD study.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

A obesidade infantil é um importante problema de saúde pública, não só pelos efeitos adversos durante a infância mas porque tende a persistir na idade adulta, constituindo um factor de risco para diversas doenças crónicas. Os alicerces de uma vida saudável estruturam-se na vida pré-natal e sedimentam-se nos seis primeiros anos de vida, sendo o crescimento da criança fortemente influenciado pelo seu contexto ambiental familiar. Foi neste âmbito que emergiu como objectivo geral deste estudo explorar as relações existentes entre os determinantes infantis (antecedentes obstétricos e peri-natais) e parentais (práticas alimentares, conhecimento dos pais sobre alimentação infantil, percepção parental de competência e percepção do peso da criança) e o desenvolvimento de excesso de peso em crianças pré-escolares. Este estudo, de carácter observacional e transversal, foi realizado com 792 crianças pré-escolares, idade M= 4,39 anos (±0,91Dp) e seus pais, residentes num concelho pertencente às NUTs III Dão-Lafões, sendo efectuada a avaliação antropométrica e classificação nutricional das crianças com base no referencial NCHS (CDC, 2000) e da OMS nos pais. O protocolo de pesquisa incluiu instrumentos de medida que validamos para a população portuguesa e a construção do Questionário de Conhecimentos sobre Alimentação Infantil (QAI) cujas propriedades psicométricas certificam a sua qualidade (Alfa de Cronbach = 0,942; Alfa de Cronbach teste re-teste = 0,977). Nas crianças, 31,3% apresentavam excesso de peso (12,4% obesidade), assim como 41,1% das mães (10,2% obesidade) e 64,4% dos pais (14,8% obesidade), sendo mais evidente nas mães o risco metabólico associado ao Perímetro da Cintura. As mães revelam mais conhecimentos sobre alimentação e sentimentos de eficácia mais elevados com o papel parental, enquanto os pais manifestaram mais sentimentos de motivação e satisfação. Os resultados obtidos corroboram existir efeito significativo dos determinantes infantis e parentais no excesso de peso da criança, designadamente: (i) do peso ao nascer, com impacto dos nascidos grandes; (ii) da higiene do sono especificamente dos que dormem menos de 11horas; (iii) dos que não brincam na rua, (iv) das mães mais jovens, do IMC e risco metabólico dos Pais; (v) da percepção parental da imagem corporal dos filhos, verificando-se que quanto mais elevado o IMC das crianças, mais distorcida é esta percepção dos pais; (vi) das crenças, atitudes e práticas alimentares e que permitem inferir que uma maior preocupação com o peso da criança, maior controlo, restrição e menor pressão para comer se associa a maior excesso de peso. As inferências evidenciam que, na vigilância de saúde periódica se torna imprescindível a valorização dos determinantes de risco biológicos e familiares do excesso de peso infantil, considerando programas de intervenção centrados na família, num processo que encontre sentido a partir daquilo que as famílias experienciam, de forma a ajudá-las a criar recursos fortalecedores de competência para uma parentalidade mais positiva.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

L’étiologie de l’obésité infantile est multifactorielle et complexe. Le patrimoine génétique tout comme l’environnement d’un enfant peuvent favoriser l’apparition d’un surplus de poids. C’est pourquoi plusieurs études se sont penchées sur le lien entre l’environnement familial et en particulier le rôle de la mère et le risque d’obésité chez l’enfant. L’objectif est de mieux comprendre quels sont les facteurs de risque maternels spécifiques à chaque population afin de mieux prévenir ce fléau. Ce projet a donc cherché à identifier quelles sont les relations entre les facteurs de risque maternels et l’indice de masse corporelle d’enfants québécois avec surcharge pondérale. Parmi les facteurs de risque étudiés, on note des liens entre le niveau de scolarité de la mère, son statut familial et son niveau d’insécurité alimentaire. Sur le plan cognitif et comportemental, le lien entre l’indice de masse corporelle (IMC) de l’enfant et la perception maternelle du poids de son enfant ainsi que le niveau de restriction alimentaire maternel ont également été analysés. Au total, 47 entrevues ont été complétées par téléphone auprès des mères d’enfants obèses ou en embonpoint grâce à un large questionnaire destiné à décrire le profil des familles consultant les cliniques externes du CHU Ste Justine. Les tests de Fisher pour les variables catégorielles, le test de T de comparaison des moyennes du Z-score de l’IMC des enfants ont permis d’effectuer les analyses statistiques. Les résultats obtenus démontrent qu’un lien existe entre le niveau de scolarité maternel et la présence d’insécurité alimentaire. De même, il a été possible de constater que les enfants avec une mère restrictive des apports alimentaires de leur enfant avaient un Z-score de l’IMC significativement plus élevé. Ces résultats suggèrent qu’il existe des liens entre le profil socio-économique et comportemental de la mère et le surplus de poids de l’enfant. Des tests auprès d’un plus large échantillon seront nécessaires afin de confirmer ces résultats, l’objectif étant, entre autres, de mieux cibler les enfants à risque d’embonpoint ou d’obésité et de mieux outiller les professionnels de la santé en contact avec ces familles.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Le surpoids (embonpoint et obésité) chez l’enfant est un problème préoccupant qui prend de plus en plus d’ampleur. Le rôle du parent dans cette problématique est prédominant, puisqu’il assure la disponibilité des aliments, choisit les mets présentés, joue le rôle de modèle dans l’acte alimentaire et interagit avec l’enfant durant les prises alimentaires pour guider son comportement alimentaire. Le parent offre et façonne l’environnement dans lequel évolue l’enfant. Cette thèse explore le rôle de la mère dans cet environnement. Le parent utilise diverses pratiques alimentaires pour guider l’alimentation de l’enfant. Certaines sont douces, comme encourager positivement l’enfant à essayer un aliment (ex. Goûtes-y, moi je trouve ça très bon!) et d’autres plus coercitives (ex. Tu ne sors pas de table sans avoir terminé ton assiette). Les interactions parent-enfant lors de la prise alimentaire sont susceptibles d’avoir différentes conséquences sur l’alimentation de l’enfant, modifiant possiblement les apports alimentaires, les préférences, la néophobie et le statut pondéral. Les interactions parent-enfant en général, donc hors du contexte précis de l’alimentation, peuvent aussi influencer les comportements alimentaires de l’enfant. L’objectif général de cette thèse est d’explorer les relations entre les interactions parent-enfant en général, aussi nommées « styles parentaux » (SP), les interactions parent-enfant dans le contexte alimentaire, portant le nom de «styles parentaux alimentaires» (SPA), les stratégies alimentaires utilisées par les parents pour guider l’alimentation de l’enfant, nommées « pratiques alimentaires parentales » (PAP), les comportements alimentaires de l’enfant et le statut pondéral de ce dernier. Cette thèse comprend 4 objectifs spécifiques. D’abord, d’examiner les relations entre les SP, les SPA et les PAP. Dans un deuxième temps, les relations entre les SPA, le comportement alimentaire de l’enfant (préférence et fréquence de consommation) et le statut pondéral de l’enfant seront explorées. Puis, l’existence de relations entre l’usage de PAP et le comportement alimentaire de l’enfant sera évaluée. Finalement, les relations entre les attitudes de la mère à l’égard de son poids et de celui de son enfant et du comportement néophobique de l’enfant seront explorées. Cent vingt-deux mères d’enfants d’âge préscolaire, de 3 à 5 ans, ont été recrutées par des milieux de garde de l’île de Montréal et ont complété et retourné un questionnaire auto-administré portant sur le style parental, style parental alimentaire, les PAP, les fréquences de consommation de l’enfant, les préférences de l’enfant pour certains aliments et groupe d’aliments, la néophobie de l’enfant, le poids et la taille de l’enfant, le régime actuel de la mère, la perception du poids de l’enfant, la préoccupation face au poids de l’enfant ainsi que la description du profil familial. Les SP, les SPA et les PAP montrent des corrélations. Les SPA, plus particulièrement les deux échelles qui les composent (exigence et sensibilité) montrent des corrélations avec la consommation et la préférence pour certains aliments. Des différences sont aussi notées entre les différents SPA et le statut pondéral de l’enfant et certains comportements alimentaires. La présente thèse suggère une implication de trois concepts, soient les SP, les SPA et les PAP, dans la dynamique alimentaire de la dyade mère-enfant. Des relations importantes entre les SPA et les préférences alimentaires sont suggérées. Les futures recherches dans ce domaine devront évaluer l’impact relatif des PAP, des SP et des SPA sur le comportement alimentaire (consommation et préférence) et le poids de l’enfant. Une intervention efficace visant des changements de comportements alimentaires auprès des familles devra adresser à la fois les PAP, mais aussi les SP et les SPA.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Context: The negative effects of childhood overweight and obesity on quality of life (QOL) have been shown in clinical samples but not yet in population-based community samples.

Objective: To determine relationships between weight and health-related QOL reported by parent-proxy and child self-report in a population sample of elementary school children.

Design, Setting, and Participants:
Cross-sectional data collected in 2000 within the Health of Young Victorians Study, a longitudinal cohort study commenced in 1997. Individuals were recruited via a random 2-stage sampling design from primary schools in Victoria, Australia. Of the 1943 children in the original cohort, 1569 (80.8%) were resurveyed 3 years later at a mean age of 10.4 years.

Main Outcome Measures: Health-related QOL using the PedsQL 4.0 survey completed by both parent-proxy and by child self-report. Summary scores for children'S total, physical, and psychosocial health and subscale scores for emotional, social, and school functioning were compared by weight category based on International Obesity Task Force cut points.

Results: Of 1456 participants, 1099 (75.5%) children were classified as not overweight; 294 (20.2%) overweight; and 63 (4.3%) obese. Parent-proxy and child self-reported PedsQL scores decreased with increasing child weight. The parent-proxy total PedsQL mean (SD) score for children who were not overweight was 83.1 (12.5); overweight, 80.0 (13.6); and obese, 75.0 (14.5); P < .001. The respective child self-reported total PedsQL mean (SD) scores were 80.5 (12.2), 79.3 (12.8), and 74.0 (14.2); P < .001. At the subscale level, child and parent-proxy reported scores were similar, showing decreases in physical and social functioning for obese children compared with children who were not overweight (all P < .001). Decreases in emotional and school functioning scores by weight category were not significant.

Conclusion: The effects of child overweight and obesity on health-related QOL in this community-based sample were significant but smaller than in a clinical sample using the same measure.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Aim: To describe the time children spend watching television (TV) and to assess associations between TV viewing time, the family environment and weight status.

Methods: Parents reported the amount of time children watched TV/video both for ‘the previous school day’ and ‘usually’ and described aspects of the family environment influencing TV access as part of a large cross-sectional study in the Barwon South-western region of Victoria, Australia. Child weight status was  based on measured height and weight. All data were collected in 2003/2004.

Results: A total of 1926 children aged 4–12 years participated. Parent-reported mean ± SE TV time for the previous school day was 83 ± 1.5 min. Children who lived in a family with tight rules governing TV viewing time (22%), or who never watched TV during dinner (33%), or had only one TV in the household (23%) or had no TV in their bedroom (81%) had significantly less TV time than their  counterparts. Overweight or obese children had more TV time than healthy weight children 88 ± 2.9 versus 82 ± 1.7 min per day (P = 0.04). They were also more likely to live in a household where children had a TV in their bedroom than healthy weight children (25% vs. 17%, P < 0.001).

Conclusion: Strategies to reduce TV time should be included as part of broader strategies to prevent childhood obesity. They should include messages to parents about not having a TV in children’s bedrooms, encouraging family rules restricting TV viewing, and not having the TV on during dinner.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction: Childhood overweight/obesity is associated with poor physical and psychosocial health in clinical samples. However, there is little information on the health status of overweight and obese children in the community, who now represent a large proportion of the child population. We examined parent-reported child health and well-being and parent concern about child weight by body mass index (BMI) category in a population sample of primary school children.

Design: A stratified two-stage random cluster sample of 24 primary schools representative of the state of Victoria, Australia.

Measures: BMI (weight/height2) transformed to normalised Z-scores using the 1990 UK Growth Reference; the Child Health Questionnaire (CHQ), a 13-scale 50-item parent-completed measure of health and well-being; parent self-reported height and weight; parent concern about child's weight.

Results: Data were available for 2863 children aged 5-13 y (50.5% male), of whom 17% were overweight and 5.7% obese. Using logistic regression analyses with 'normal weight' as the referent category, obese boys were at greater risk of poor health (ie <15th centile) on seven of the 12 CHQ scales: Physical Functioning (odds ratio (OR) 2.8), Bodily Pain (OR 1.8), General Health (OR 3.5), Mental Health (OR 2.8), Self Esteem (OR 1.8), Parent Impact¾Emotional (OR 1.7) and Parent Impact¾Time (OR 1.9). Obese girls were at greater risk of poor health on only two scales: General Health (OR 2.1) and Self Esteem (OR 1.8). Forty-two percent of parents with obese children and 81% with overweight children did not report concern about their child's weight. Parents were more likely to report concern if the child was obese (OR 21.3), overweight (OR 3.5) or underweight (OR 5.4) than normal weight (P<0.05). Concern was not related to child gender, parental BMI or parental education after controlling for child BMI. Perceived health and well-being of overweight/obese children varied little by weight category of the reporting parent (overweight vs non-overweight).

Conclusions: Parents were more likely to report poorer health and well-being for overweight and obese children (particularly obese boys). Parental concern about their child's weight was strongly associated with their child's actual BMI. Despite this, most parents of overweight and obese children did not report poor health or well-being, and a high proportion did not report concern. This has implications for the early identification of such children and the success of prevention and intervention efforts.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Child obesity research has generally not examined multiple layers of parent–child relationships during weight-related activities such as feeding, eating and play. A literature review was conducted to locate empirical studies that measured parent– child interactions and child eating and child weight variables; five papers met the inclusion criteria and were included in the review. The findings of the review revealed that parent–child relationships are an important element in explaining the unhealthy trend of childhood obesity. We argue that prevention/intervention strategies must extend on the current models of parenting by targeting the family from a bi-directional perspective, and focusing, specifically, on the mutually responsive orientation that exists in the parent–child relationship.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

This data offers insights into child eating habits and daily dietary intake, duration of daily child physical and sedentary activities, parental knowledge of nutrition, child and parent Body Mass Index (BMI), parental behaviours and cognitions pertaining to feeding, eating and physical activity, parental concern for child weight, and child food neophobia.It includes survey data and physical measurements (height and weight) of participants.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The dramatic rise in childhood obesity prevalence in the last two decades has prompted concern about the risk factors that may precipitate or maintain weight gain, or both, in early childhood. Media use has long been implicated in policy debates in Australia, particularly around limits to advertising. However the Australian research funding ecology and dominant paradigms in Australian communication and media studies have resulted in a lack of independent, nationally representative studies upon which to base advice. Australian researchers often can’t afford to collect the kind of data they would like in order to intervene productively as policy actors. As a test case for innovative ways round this dilemma, this paper mobilises secondary data analysis methodologies to explore potential influences of parenting on children’s media use and their weight status.

The research reported here uses data from the first three waves of the Longitudinal Study of Australian Children. Results from a path model suggest that children of mothers who were less consistent in the way in which they enforce their rules were more likely to adopt unhealthy lifestyle behaviours, such as sedentary behaviour and consuming unhealthy snacks. Of the lifestyle behaviours considered, time spent watching television or DVDs was the only predictor of child weight status in late childhood. These results suggest a clear pathway linking consistent parenting and other parental practices, children’s lifestyle behaviours and weight status.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Early childhood educators currently provide content focused learning opportunities for children in the areas of well-being and environmental education. However, these are usually seen as discrete content areas and educators are challenged with responding to children’s interests in popular-culture inspired food products given these influence their consumption of energy-dense, nutrient-poor and highly packaged food in the early childhood setting. This paper reports preliminary findings from a pilot randomised trial examining the interconnectedness of sustainability, well-being and popular-culture in early childhood education. Planning, assessment documentation and summaries from twenty-four learning experiences implemented by six educators over a six-week period were analysed using a deductive approach. Twenty well-being and environmental education topics were identified and shown to be generated by the educators when considering the children’s ‘funds of knowledge’ on popular-culture inspired food products. We argue that topics derived from children’s engagement with popular-culture may help educators to create an integrated approach to curriculum provision. This may impact child weight and facilitate obesity prevention and environmental sustainability as children create stronger connections between these content areas and their everyday choices and practices.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

The primary aim of the present study was to cross-sectionally examine the associations between maternal psychosocial variables, child feeding practices, and preschooler body mass index z-score (BMI-z) in children (aged 2–4 years). A secondary aim was to examine differences in child weight outcomes between mothers scoring above and below specified cut-offs on the psychosocial measures. Two hundred and ninety mother–child dyads were recruited from Melbourne, Australia, and completed questionnaires examining demographic information, mothers’ depressive and anxiety symptoms, self-esteem and body dissatisfaction, restrictive and pressure child feeding practices, and preschoolers’ BMI-z scores. Independent t-tests and hierarchical multiple regression were employed to analyse the data. In the final regression model, none of the maternal psychosocial measures or feeding practices predicted child BMI-z scores; maternal body mass index and employment status were the only predictors of preschooler BMI-z. However, independent t-tests revealed that children of mothers with elevated body dissatisfaction scores had significantly higher BMI-z scores than children of mothers without elevated scores. The results suggest that psychosocial variables are not related, cross-sectionally, to preschooler weight outcomes; however, further research is needed to replicate the group differences noted between mothers with and without body dissatisfaction, and to track these relationships longitudinally.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

BACKGROUND: Understanding how we can prevent childhood obesity in scalable and sustainable ways is imperative. Early RCT interventions focused on the first two years of life have shown promise however, differences in Body Mass Index between intervention and control groups diminish once the interventions cease. Innovative and cost-effective strategies seeking to continue to support parents to engender appropriate energy balance behaviours in young children need to be explored. METHODS/DESIGN: The Infant Feeding Activity and Nutrition Trial (InFANT) Extend Program builds on the early outcomes of the Melbourne InFANT Program. This cluster randomized controlled trial will test the efficacy of an extended (33 versus 15 month) and enhanced (use of web-based materials, and Facebook® engagement), version of the original Melbourne InFANT Program intervention in a new cohort. Outcomes at 36 months of age will be compared against the control group. DISCUSSION: This trial will provide important information regarding capacity and opportunities to maximize early childhood intervention effectiveness over the first three years of life. This study continues to build the evidence base regarding the design of cost-effective, scalable interventions to promote protective energy balance behaviors in early childhood, and in turn, promote improved child weight and health across the life course. TRIAL REGISTRATION: ACTRN12611000386932 . Registered 13 April 2011.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)