81 resultados para albuminuria


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Plusieurs expériences et études cliniques ont démontré que l’activation du système rénine-angiotensine (RAS) peut induire l’hypertension, un facteur de risque majeur pour les maladies cardiovasculaires et rénales. L’angiotensinogène (Agt) est l’unique substrat du RAS. Cependant, il n’a pas encore été démontré si l’activation du RAS intrarénal peut à elle seule induire des dommages rénaux, indépendamment de l’hypertension systémique, et ainsi jouer un rôle prépondérant dans la progression de la néphropathie diabétique. Afin d’explorer le rôle du RAS intrarénal dans les dommages rénaux, un diabète a été induit par l’injection de streptozotocin chez des souris transgéniques (Tg) surexprimant l’Agt de rat dans les cellules des tubules proximaux du rein (RPTC). Les souris Tg diabétiques ont été traitées soit avec des inhibiteurs du RAS (perindopril et losartan), de l’insuline ou une combinaison des deux pour 4 semaines avant d’être euthanasiées. Pour une autre étude, des souris Tg non-diabétiques ont été traitées soit avec des inhibiteurs du RAS, l’hydralazine (vasodilatateur) ou l’apocynine (inhibiteur de la NADPH oxydase) pour une période de 8 semaines avant l’euthanasie. Des souris non-Tg ont été utilisées comme contrôles. Des cellules immortalisées de tubule proximal de rat (IRPTC) transfectées de manière stable avec un plasmide contenant l’Agt ou un plasmide contrôle ont été employées comme modèle in vitro. Nos résultats ont démontré que les souris Tg présentaient une augmentation significative de la pression systolique, l’albuminurie, l’apoptose des RPTC et l’expression de gènes pro-apoptotiques par rapport aux souris non-Tg. Les mêmes changements ont été observés chez les souris Tg diabétiques par rapport aux souris non-Tg diabétiques. L’insuline et/ou les inhibiteurs du RAS ont permis d’atténuer ces changements, sauf l’hypertension qui n’était réduite que par les inhibiteurs du RAS. Chez les IRPTC transfectées avec l’Agt in vitro, les hautes concentrations de glucose augmentent l’apoptose et l’activité de la caspase-3 par rapport aux cellules contrôles et l’insuline et/ou les inhibiteurs du RAS empêchent ces augmentations. En plus des changements physiologiques, les RPTC des souris Tg présentent aussi une augmentation significative de la production des espèces réactive de l’oxygène (ROS) et de l’activité de la NADPH oxydase, ainsi qu’une augmentation de l’expression du facteur de croissance transformant-beta 1 (TGF-β1), de l’inhibiteur activateur du plasminogène de type 1 (PAI-1), des protéines de la matrice extracellulaire, du collagène de type IV et de la sousunité p47 de la NADPH oxydase. Le traitement des souris Tg avec l’apocynine et le perindopril a permis d’améliorer tous ces changements, sauf l’hypertension qui n’était pas corrigée par l’apocynine. D’autre part, l’hydralazine a prévenu l’hypertension, sans modifier l’albuminurie, l’apoptose des RPTC ou l’expression des gènes pro-apoptotiques. Ces résultats montrent bien que l’activation du RAS intrarénal et l’hyperglycémie agissent de concert pour induire l’albuminurie et l’apoptose des RPTC, indépendamment de l’hypertension systémique. La génération des ROS via l’activation de la NADPH oxydase induit en partie l’action du RAS intrarénal sur l’apoptose des RPTC, la fibrose tubulo-interstitielle et l’albuminurie chez les souris Tg. D’autre part, une expérience en cours a tenté d’encore mieux délimiter les effets de l’activation du RAS intrarénal, tout en éliminant la néphrotoxicité du STZ. Pour cette étude, les souris Tg surexprimant l’Agt de rat dans leurs RPTC ont été croisées aux souris Ins2Akita, un modèle spontané de diabète de type I, afin de générer des souris Akita-rAgt-Tg. Les résultats préliminaires indiquent que le RAS intrarénal est activé dans les souris Akita et que la combinaison avec l’hyperglycémie induit du stress du réticulum endoplasmique (ER) dans les RPTC in vivo. Le stress du ER contribue à l’apoptose des RPTC observée dans le diabète, à tout le moins dans le modèle Akita. Le traitement avec des inhibiteurs du RAS permet d’atténuer certains des dommanges rénaux observés dans les souris Akita-rAgt-Tg.

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L’hypertension artérielle essentielle (HTA) est une pathologie complexe, multifactorielle et à forte composante génétique. L’impact de la variabilité dans le nombre de copies sur l’HTA est encore peu connu. Nous envisagions que des variants dans le nombre de copies (CNVs) communs pourraient augmenter ou diminuer le risque pour l’HTA. Nous avons exploré cette hypothèse en réalisant des associations pangénomiques de CNVs avec l’HTA et avec l’HTA et le diabète de type 2 (DT2), chez 21 familles du Saguenay-Lac-St-Jean (SLSJ) caractérisées par un développement précoce de l’HTA et de la dyslipidémie. Pour la réplication, nous disposions, d’une part, de 3349 sujets diabétiques de la cohorte ADVANCE sélectionnés pour des complications vasculaires. D’autre part, de 187 sujets de la cohorte Tchèque Post-MONICA (CTPM), choisis selon la présence/absence d’albuminurie et/ou de syndrome métabolique. Finalement, 134 sujets de la cohorte CARTaGENE ont été analysés pour la validation fonctionnelle. Nous avons détecté deux nouveaux loci, régions de CNVs (CNVRs) à effets quantitatifs sur 17q21.31, associés à l’hypertension et au DT2 chez les sujets SLSJ et associés à l’hypertension chez les diabétiques ADVANCE. Un modèle statistique incluant les deux variants a permis de souligner le rôle essentiel du locus CNVR1 sur l’insulino-résistance, la précocité et la durée du diabète, ainsi que sur le risque cardiovasculaire. CNVR1 régule l’expression du pseudogène LOC644172 dont le dosage est associé à la prévalence de l’HTA, du DT2 et plus particulièrement au risque cardiovasculaire et à l’âge vasculaire (P<2×10-16). Nos résultats suggèrent que les porteurs de la duplication au locus CNVR1 développent précocement une anomalie de la fonction bêta pancréatique et de l’insulino-résistance, dues à un dosage élevé de LOC644172 qui perturberait, en retour, la régulation du gène paralogue fonctionnel, MAPK8IP1. Nous avons également avons identifié six CNVRs hautement hérités et associés à l'HTA chez les sujets SLSJ. Le score des effets combinés de ces CNVRs est apparu positivement et étroitement relié à la prévalence de l’HTA (P=2×10-10) et à l’âge de diagnostic de l’HTA. Dans la population SLSJ, le score des effets combinés présente une statistique C, pour l’HTA, de 0.71 et apparaît aussi performant que le score de risque Framingham pour la prédiction de l’HTA chez les moins de 25 ans. Un seul nouveau locus de CNVR sur 19q13.12, où la délétion est associée à un risque pour l’HTA, a été confirmé chez les Caucasiens CTPM. Ce CNVR englobe le gène FFAR3. Chez la souris, il a été démontré que l’action hypotensive du propionate est en partie médiée par Ffar3, à travers une interférence entre la flore intestinale et les systèmes cardiovasculaire et rénal. Les CNVRs identifiées dans cette étude, affectent des gènes ou sont localisées dans des QTLs reliés majoritairement aux réponses inflammatoires et immunitaires, au système rénal ainsi qu’aux lésions/réparations rénales ou à la spéciation. Cette étude suggère que l’étiologie de l’HTA ou de l’HTA associée au DT2 est affectée par des effets additifs ou interactifs de CNVRs.

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De nombreuses études ont bien démontré que l’activation du système rénine-angiotensine (RAS) joue un rôle important dans le développement de l’hypertension et de la néphropathie diabétique (DN). La découverte de l’enzyme de conversion de l’angiotensine-2 (ACE2) et l’identification du récepteur MAS, spécifique pour l’angiotensine 1-7 (Ang 1-7), ont permis d’identifier deux nouveaux membres du RAS. L’axe ACE2/Ang 1-7/MAS contrebalance les effets de l’axe ACE/Ang II/AT1. Plusieurs évidences impliquent la contribution du RAS intrarénal dans la DN. Des études réalisées dans notre laboratoire avec des souris transgéniques surexprimant l’angiotensinogène de rat dans les cellules de leurs tubules proximaux rénaux (RPTCs) ont permis de démontrer l’importance du RAS intrarénal dans l’induction de l’hypertension et les dommages rénaux. Nous avons également observé que l’expression rénale de l’ACE2 et les niveaux urinaires d’ANG 1-7 sont plus faibles chez les souris Akita (diabète de type 1) et qu’un traitement avec des bloqueurs du RAS permet de normaliser l’expression de l’ACE2 et de prévenir le développement de l’hypertension dans le modèle des souris Akita. Dans un milieu diabétique, à la fois la glycémie et l’angiotensine II (Ang II) peuvent induire la génération des espèces réactives de l’oxygène (ROS), contribuant ainsi aux dommages rénaux. Afin d’explorer la relation entre les ROS, ACE2 et la DN, nous avons créé des souris Akita transgéniques surexprimant la catalase (Cat) dans les RPTCs, en croisant des souris Akita diabétique de type 1 à notre modèle de souris transgéniques surexprimant la Cat de rat dans les RPTCs. Dans une seconde étude, des souris Akita ont été traitées avec l’Ang 1-7 ou une combinaison d’Ang 1-7 et de son antagoniste, A779, afin d’étudier la relation entre l’action de l’Ang 1-7, l’hypertension systolique (sHTN), le stress oxydatif, les dommages rénaux, ACE2 et l’expression du récepteur Mas. Nos résultats ont montré que la surexpression de Cat atténue le stress oxydatif rénal; prévient l’hypertension, améliore le taux de filtration glomérulaire, l’albuminurie, l’hypertrophie rénale, la fibrose tubulo-interstitielle et l’apoptose tubulaire; et supprime l’expression des gènes profibrotiques et proapoptotiques dans les RPTCs des souris Akita Cat-Tg lorsque comparées aux souris Akita. De plus, la surexpression de Cat dans les RPTC des souris Akita normalise l’expression rénale de l’ACE2 et les niveaux urinaires d’Ang 1-7. D’autre part, l’administration d’Ang 1-7 prévient l’hypertension systémique, normalise le ratio albumine/créatinine urinaire et atténue l’hyperfiltration glomérulaire des souris Akita, sans affecter la glycémie sanguine. De plus, le traitement avec l’Ang 1-7 atténue aussi le stress oxydatif et l’expression de la NADPH oxydase, Agt, ACE, TGF-β1 (transforming growth factor-β1) et collagène IV, tout en augmentant l’expression de l’ACE2 et du récepteur Mas dans les reins des souris Akita. Ces effets sont renversés par la co-admininstration d’A779. Ces résultats démontrent que la surexpression de Cat prévient l’hypertension et la progression de la néphropathie, en plus de mettre en lumière l’importance du stress oxydatif intrarénal et l’expression de l’ACE2 comme facteurs contribuant à l’hypertension et les dommages rénaux observés dans le diabète. En outre, nos données suggèrent que l’Ang 1-7 joue un rôle protecteur dans l’hypertension et les dommages aux RPTC dans le diabète, principalement en réduisant les voies de signalisations du stress oxydatif dans les reins et en normalisant l’expression de l’ACE2 et du récepteur Mas. Nos résultats indiquent aussi que l’Ang 1-7 pourrait agir comme un agent thérapeutique potentiel dans le traitement de l’hypertension systémique et les dommages rénaux observés dans le diabète. En conséquence, l’Ang 1-7 est responsable du rôle protecteur de l’ACE2 dans l’hypertension et la DN.

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El donante vivo es una alternativa para satisfacer la baja oferta de órganos en el tratamiento de la Enfermedad Renal Crónica, la morbilidad asociada a la donación debe ser evaluada. Con información contenida en la base de datos de seguimiento de pacientes trasplantados se contactaron los donantes e invitaron a entrevista con información del objetivo del estudio, consentimiento informado, registro de datos vitales, fecha de donación, antecedentes de enfermedades. Se determinó creatinina sérica, creatinuria, albuminuria. Entrevistados 86 donantes, edad actual 46.2±9.48 años, 35.49±9.68 años al momento de la donación, 49 (56.3%) mujeres. Tiempo promedio transcurrido desde la donación 10.78±5.6 (2-29) años. Índice de masa corporal 27.16±4.42 (17.9-42.42). En 74 donantes: tasa de filtración glomerular 70.02±11.66 ml/min/m², 15 donantes (20.22%) con valores < 60, relación albuminuria/creatinuria 9.85±10.95 mg/g (0.75-62.9), cinco donantes (6.8%) con valores > 30 y < 300, creatinina sérica 0.98±0.16 (0.75-1.6) mg/dl. Tensión arterial 114.9±14/74.81±8 mmHg, cuatro donantes (4.65%) con tensión arterial sistólica mayor de 140 y dos (2.32%) tensión arterial diastólica mayor de 90. No se detectaron diabéticos. La morbilidad y mortalidad baja asociadas a la donación observadas en estudios de seguimiento se han atribuido a que se trata de personas sanas previas a la donación y a un seguimiento juicioso después de la nefrectomía. La morbilidad observada en la función renal, tensión arterial, peso corporal, hace necesario establecer políticas de seguimiento médico así como generar bases de datos estructuradas que lleven a estudios de investigación que posiblemente incrementen los donantes vivos de riñón.

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El donante vivo es una alternativa para satisfacer la baja oferta de órganos en el tratamiento de la Enfermedad renal crónica en fase terminal, la morbilidad asociada a la donación debe ser evaluada. Con información contenida en la base de datos de seguimiento de pacientes trasplantados en el Hospital Universitario Mayor Mederi se contactaron los donantes e invitaron a entrevista con información del objetivo del estudio, consentimiento informado, registro de signos vitales, fecha de donación, antecedentes de enfermedades. Se determinó creatinina sérica en mg/dL, y en muestra aislada de orina creatinuria en mg/dL y albuminuria en mg/gr Fueron entrevistados 86 donantes, edad actual promedio 46.2±9.48 años, 35.49±9.68 años al momento de la donación, 49 (56.3%) mujeres. Tiempo promedio transcurrido desde la donación 10.78±5.6 (2-29) años. Índice de masa corporal promedio de 27.16±4.42 m²/kg (17.9-42.42). En 73 donantes la tasa de filtración glomerular promedio fue 70.02±11.66 ml/min/1.73m², 15 donantes (20.22%) con valores < 60ml/min/1.73m², relación albuminuria/creatinuria 9.85±10.95 mg/gr (0.75-62.9), cinco donantes (6.8%) con valores > 30 y < 300 mg/gr ed decir con evidencia de microalbuminiria, ningún paciente con evidencia de proteinuria, creatinina sérica promedio 0.98±0.16 (0.75-1.6) mg/dl. Tensión arterial sistólica promedio 114.9±14/74.81±8 mmHg, cuatro donantes (4.65%) con tensión arterial sistólica mayor de 140 mmHg y dos (2.32%) tensión arterial diastólica mayor de 90 mmHg. No se detectaron diabéticos.

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Background: Microalbuminuria in Type 2 diabetes is associated with arterial endothelial dysfunction, but the venous bed was never evaluated. Aim: To study the endothelial function in the venous and arterial bed in patients with Type 2 diabetes with normoalbuminuria or microalbuminuria. Material and methods: We evaluated 28 patients with Type 2 diabetes, glycated hemoglobin (Hbak(1c)) <7.5%, who were classified as normo- (albuminuria <30 mg/24 h; no.=16) or microalbuminuric (albuminuria 30-300 mg/24 h; no.=12). Venous and arterial endothelial function were assessed by the dorsal hand vein technique (venodilation by acetylcholine) and brachial artery flow-mediated vasodilation, respectively. Results: Patients were normotensive (systolic arterial pressure: 131.1 +/- 10.6 mmHg) and on good metabolic control (HbA(1c): 6.6 +/- 0.6%). Microalbuminuric patients presented impaired venous (32.9 +/- 17.4 vs 59.3 +/- 26.5%; p=0.004) and arterial vasodilation (1.8 +/- 0.9 vs 5.1 +/- 2.4; p<0.001), as compared to normoalbuminuric patients. There was a negative correlation between acetylcholine-induced venodilation and albuminuria (r=-0.62; p<0.001) and HbA(1c) (r=-0.41; p=0.032). The same was observed between flow-mediated arterial vasodilation and albuminuria (r=-0.49; p=0.007) and HbA(1c) (r=-0.44; p=0.019). Venous and arterial vasodilation was positively correlated (r=0.50; p=0.007). Conclusions: Both venous and arterial endothelial function are impaired in Type 2 microalbuminuric diabetics, in spite of good metabolic control, suggesting that other factors are involved in its pathogenesis. (J. Endocrinol. Invest. 33: 696-700, 2010) (C) 2010, Editrice Kurtis

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Focal and segmental glomerulosclerosis (FSGS) is one of the most important causes of end-stage renal failure. The bradykinin B1 receptor has been associated with tissue inflammation and renal fibrosis. To test for a role of the bradykinin B1 receptor in podocyte injury, we pharmacologically modulated its activity at different time points in an adriamycin-induced mouse model of FSGS. Estimated albuminuria and urinary protein to creatinine ratios correlated with podocytopathy. Adriamycin injection led to loss of body weight, proteinuria, and upregulation of B1 receptor mRNA. Early treatment with a B1 antagonist reduced albuminuria and glomerulosclerosis, and inhibited the adriamycin-induced downregulation of podocin, nephrin, and alpha-actinin-4 expression. Moreover, delayed treatment with antagonist also induced podocyte protection. Conversely, a B1 agonist aggravated renal dysfunction and even further suppressed the levels of podocyte-related molecules. Thus, we propose that kinin has a crucial role in the pathogenesis of FSGS operating through bradykinin B1 receptor signaling. Kidney International (2011) 79, 1217-1227; doi:10.1038/ki.2011.14; published online 16 March 2011

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It currently is unknown whether creatine supplementation is safe for people with or at risk of kidney disease. We report on the short-term effects of creatine supplementation on kidney function in a young man with a single kidney and mildly decreased glomerular filtration rate (GFR). A 20-year-old man who had undergone unilateral nephrectomy and presented with mildly decreased GFR without kidney damage underwent a trial with 35 days of creatine supplementation (20 g/d for 5 days followed by 5 g/d for the next 30 days) and had his kidney function monitored. After the intervention, (51)Cr-EDTA clearance (pre, 81.6 mL/min/1.73 m(2); post, 82.0 mL/min/1.73 m(2)), proteinuria (protein excretion: pre, 130 mg/d; post, 120 mg/d), and electrolyte levels were unchanged. Albuminuria, serum urea level, and estimated creatinine clearance were decreased (pre, 4.6 mg/d; post, 2.9 mg/d; pre, 37 mg/d; post, 28 mg/dL; and pre, 88 mL/min/1.73 m(2); post, 71 mL/min/1.73 m(2), respectively), whereas serum creatinine level was slightly increased (pre, 1.03 mg/dL; post, 1.27 mg/dL), falsely suggesting kidney function impairment. This prospective report suggests that short-term creatine supplementation may not affect kidney function in an individual with a single kidney, mild decreased GFR, and ingesting a high-protein diet (ie, 2.8 g/kg/d). This finding has great relevance considering that creatine-induced kidney disease has been a growing concern, even for healthy people. Am J Kidney Dis 55: e7-e9. (C) 2010 by the National Kidney Foundation, Inc.

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Patients with chronic kidney disease are at higher risk of developing cardiovascular disease. The complex, interaction between the kidney and the cardiovascular system is incompletely understood, particularly at the early stages of the cardiovascular continuum. The overall aim of this thesis was to clarify novel aspects of the interplay between the kidney and the cardiovascular system at different stages of the cardiovascular continuum; from risk factors such as insulin resistance, inflammation and oxidative stress, via sub-clinical cardiovascular damage such as endothelial dysfunction and left ventricular dysfunction, to overt cardiovascular death. This thesis is based on two community-based cohorts of elderly, Uppsala Longitudinal Study of Adult Men (ULSAM) and Prospective Investigation of the Vasculature in Uppsala Seniors (PIVUS). The first study, show that higher insulin sensitivity, measured with euglycemic-hyperinsulinemic clamp technique was associated to improve estimated glomerular filtration rate (eGFR) in participants with normal fasting plasma glucose, normal glucose tolerance and normal eGFR. In longitudinal analyses, higher insulin sensitivity at baseline was associated with lower risk of impaired renal function during follow-up. In the second study, eGFR was inversely associated with different inflammatory markers (C-reactive protein, interleukin-6, serum amyloid A) and positively associated with a marker of oxidative stress (urinary F2-isoprostanes). In line with this, the urinary albumin/creatinine ratio was positively associated with these inflammatory markers, and negatively associated with oxidative stress. In study three, higher eGFR was associated with better endothelial function as assessed by the invasive forearm model. Further, in study four, higher eGFR was significantly associated with higher left ventricular systolic function (ejection fraction). The 5th study of the thesis shows that higher urinary albumin excretion rate (UAER) and lower eGFR was independently associated with an increased risk for cardiovascular mortality. Analyses of global model fit, discrimination, calibration, and reclassification suggest that UAER and eGFR add relevant prognostic information beyond established cardiovascular risk factors in participants without prevalent cardiovascular disease. Conclusion: this thesis show that the interaction between the kidney and the cardiovascular system plays an important role in the development of cardiovascular disease and that this interplay begins at an early asymptomatic stage of the disease process.

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Aim To estimate the prevalence of erectile dysfunction (ED) in Chinese diabetic men and to identify its risk factors, we carried out a cross-sectional survey of 500 Chinese diabetic men attending a community hospital diabetic clinic in Hong Kong.
Methods Patients were interviewed and asked to report on their experience of ED as defined in the National Institutes of Health Consensus Conference 1993. Diabetic complications and patient clinical data were obtained from patients' medical records.
Results Of the 486 patients studied, the prevalence of ED was 63.6% (95% confidence interval 59.3–67.9%). The prevalence of ED increased with age, from 33.3% to 73.8% for diabetic men aged between 21 and 80 years (P = 0.001). Severity of ED also increased with age. Among diabetic men with ED, there was no report of complete ED for diabetic men aged 40 years and below, whereas the proportion of patients with complete ED increased from 7.4% to 71.1% between the ages of 41 and 80 years. ED occurred early in the course of the disease, with a prevalence increasing from 56.0% in men with diabetes mellitus (DM) for < 5 years to 72.0% in those with DM for > 20 years (P = 0.038). Duration of DM was also associated with severity; the proportion of patients with complete ED increased from 30.8% for those with DM for < 5 years to 72.2% for those with DM for ≥ 20 years (P < 0.001). Using logistic regression analysis, DM duration, diabetic complications including retinopathy, abnormal albuminuria and sensory neuropathy, and higher level of education were associated with a higher risk of ED. By polychotomous logistic regression, age was the only factor found to be associated with the severity of ED, after adjusting for other variables.
Conclusions Chinese diabetic patients have a prevalence of self-reported ED that appears to be higher than that of Western populations. This may be due to cultural differences and the association of abnormal albuminuria and hypertension.

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Low serum 25-hydroxyvitamin D (25[OH]D) levels have been associated with chronic kidney disease in cross-sectional studies. However, this association has not been studied prospectively in a large general population–based cohort.

This prospective cohort study shows that vitamin D deficiency is associated with a higher annual incidence of albuminuria and reduced eGFR and independently predicts the 5-year incidence of albuminuria. These associations warrant further exploration in long-term prospective clinical trials.

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Introdução: A retinopatia diabética (RD) é a principal causa de novos casos de cegueira entre norte-americanos em idade produtiva. Existe uma associação entre RD e as outras complicações microvasculares do diabete melito. A associação da RD com a fase inicial da nefropatia, a microalbuminúria, não está esclarecida em pacientes com diabete melito (DM) tipo 2. Polimorfismos de genes (ENNP1; FABP2) relacionados à resistência insulínica, entre outros, poderiam estar associados à RD. Objetivo: O objetivo deste estudo foi avaliar fatores genéticos e não genéticos associados à RD avançada em pacientes com DM tipo 2. Métodos: Neste estudo caso-controle foram incluídos pacientes DM tipo 2 submetidos à avaliação clínica, laboratorial e oftalmológica. Foi realizada oftalmoscopia binocular indireta sob midríase e obtidas retinografias coloridas em 7 campos padronizados. Foram classificados como casos os pacientes portadores de RD avançada (formas graves de RD não proliferativa e RD proliferativa) e como controles os pacientes sem RD avançada (fundoscopia normal, e outras formas de RD). Foram estudados os polimorfismos K121Q do gene ENNP1 e A54T do gene FABP2. Na análise estatística foram utilizados testes paramétricos e não paramétricos conforme indicado. Foi realizada análise de regressão logística múltipla para avaliar fatores associados à RD avançada. O nível de significância adotado foi de 0,05%. Resultados: Foram avaliados 240 pacientes com DM tipo 2 com 60,6 ± 8,4 anos de idade e duração conhecida de DM de 14,4 ± 8,4 anos. Destes, 67 pacientes (27,9%) apresentavam RD avançada. Os pacientes com RD avançada apresentaram maior duração conhecida de DM (18,1 ± 8,1 vs. 12,9 ± 8,2 anos; P< 0,001), menor índice de massa corporal (IMC) (27,5 ± 4,2 vs. 29,0 ± 9,6 kg/m2; P= 0,019), além de uso de insulina mais freqüente (70,8% vs 35,3%; P< 0,001) e presença de nefropatia diabética (81,1% vs 34,8%; P< 0,001) quando comparados com os pacientes sem RD avançada. Na avaliação laboratorial os pacientes com RD avançada apresentaram valores mais elevados de creatinina sérica [1,4 (0,6 -13,6) vs 0,8 (0,5-17,9) mg/dl; P<0,001] e de albuminúria [135,0 (3,6-1816,0) vs 11,3 (1,5-5105,0) μg/min; P<0,001] quando comparados com pacientes sem RD avançada. A distribuição dos genótipos dos polimorfismos do ENNP1 e FABP2 não foi diferente entre os grupos. A análise de regressão logística múltipla demonstrou que a presença de nefropatia (OR=6,59; IC95%: 3,01-14,41; P<0,001) e o uso de insulina (OR=3,47; IC95%: 1,60- 7,50; P=0,002) foram os fatores associados à RD avançada, ajustados para a duração de DM, presença de hipertensão arterial, glicohemoglobina e IMC. Quando na análise foram incluídos apenas pacientes normoalbuminúricos e microalbuminúricos, a microalbuminúria (OR=3,8; IC95%: 1,38-10,47; P=0,010), o uso de insulina (OR=5,04; IC95%: 1,67-15,21; P=0,004), a duração do DM (OR=1,06 IC95%: 1,00-1,13; P=0,048) e a glicohemoglobina (OR=1,35; IC95%: 1,02-1,79; P=0,034) foram os fatores associados à RD avançada, ajustados para a presença de hipertensão arterial e IMC. Conclusão: Pacientes com DM tipo 2 portadores de formas avançadas de RD apresentam mais freqüentemente envolvimento renal pelo DM, incluindo o estágio de microalbuminúria. Uma avaliação renal com medida de albuminúria dever ser incorporada como avaliação de rotina nestes pacientes.

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A microalbuminúria representa o primeiro estágio da nefropatia diabética (ND) e, além de prever a evolução para nefropatia clínica e insuficiência renal, é acompanhada de elevado risco de doença cardiovascular. Este trabalho discute o curso clínico, valores e procedimentos utilizados no diagnóstico da microalbuminúria em pacientes com diabete melito (DM). A progressão de microalbuminúria para nefropatia clínica é menor do que inicialmente suposto. O rastreamento da microalbuminúria deve ser realizado por ocasião do diagnóstico de DM tipo 2, em pacientes com DM tipo 1 após 5 anos de duração de DM e por ocasião da puberdade. A microalbuminúria é diagnosticada com valores de excreção urinária de albumina (EUA 24-h) entre 20-200 μg/min, embora valores elevados ainda dentro da faixa normal já sejam preditivos de nefropatia clínica. A concentração de albumina em amostra casual de urina, além de ser facilmente realizada, é o teste de maior acurácia e menor custo para o rastreamento da microalbuminúria. Contudo, o diagnóstico deve ser confirmado com EUA 24-h. Fitas reagentes para medida semi-quantitativa apresentam baixa acurácia, além de alto custo. No presente momento, a albuminúria é ainda o melhor teste para prever a instalação da nefropatia clínica.