977 resultados para Questionnaires alimentaires
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About a third of obese adolescents also suffer from some kind of eating disorders which have to be recognized and included in the therapeutic frame. Besides this co-morbidity, most of these patients also require a psychological support. The group approach represents an adequate response to these problems, in providing a space for exchanges and an opportunity for mutual support. The group approach may even prove more beneficial than an individual treatment. Involving the parents too reinforces the improvement that adolescents can get from their participation in such groups.
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La première enquête de prévalence des facteurs de risque pour les maladies cardio-vasculaires qui a été effectuée auprès de la population des cantons de Vaud, Fribourg et du Tessin, dans le cadre du Projet MONICA, a permis de décrire la distribution de l'indice de masse corporelle. Entre 25 et 74 ans, près d'une personne sur 4 a un excès de poids préjudiciable à sa santé, cette proportion étant même de plus de 1 sur 3 chez les hommes tessinois. Cet état de fait n'est peut-être pas irrémédiable puisque 1 femme sur 3 et 1 homme sur 5 a modifié ses habitudes alimentaires dans le sens d'une nourriture plus saine et moins énergétique au cours des 12 mois précédant l'enquête. Cependant une activité physique régulière, susceptible d'avoir un rôle préventif sur la survenue des maladies cardio-vasculaires et qui pourrait contribuer à la diminution de la fréquence de l'obésité, n'est exercée que par moins de la moitié de la population en moyenne. C'est probablement l'exercice régulier d'activités sportives qui permettrait le plus d'augmenter le niveau général de l'activité physique dans la population puisque peu de personnes exercent une profession exigeant d'intenses efforts physiques.
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Introduction La maladie « Non-Alcoholic Fatty Liver Disease ; NAFLD » et l'obésité provoque la résistance à l'insuline, un symptôme caractéristique du syndrome métabolique. La fréquence de ces maladies a augmenté de manière importante durant ces dernières décennies. Cette augmentation est étroitement liée à la surcharge énergétique dans notre culture modernisée. Pour combattre cette situation, des régimes riches en protéines semblent être bénéfiques, en particulier parce que l'acide aminé leucine stimule la satiété. Cependant l'effet des protéines alimentaires sur la stéatose hépatique reste peu connu. Résultats : Pour étudier cette question, nous avons nourri des souris C57B6/J (âgées de 5 semaines) avec un régime standard (10% kcal graisse, 20% kcal protéine), un régime riche en graisse (45% kcal graisse, 20% kcal protéine) ou un régime riche en graisse et enrichi en protéines (45% kcal graisse, 40% kcal protéine) pendant 10 semaines. Nous avons ainsi montré que l'addition de protéines au régime gras permet de prévenir la stéatose hépatique. Dans un deuxième temps nous avons testé si cet effet bénéfique des protéines alimentaires provient des acides aminés ramifiés (Branched-chain amino acids= BCAA : leucine, isoleucine, valine), composants majeurs de protéines alimentaires. Pour ce faire, nous avons ajouté un groupe de souris nourries au régime riche en graisses + BCAA (45% kcal graisse, 23% kcal protéine). Nos résultats montrent que l'addition des BCAA ne protège pas contre la stéatose hépatique, mais, au contraire, aggrave l'obésité et l'hyperinsulinémie. De manière intéressante, nous avons observé que la supplémentation en protéines ou en BCAA induit des effets différents sur la prise alimentaire et la dépense énergétique. Conclusion : Notre étude suggère clairement que les protéines alimentaires protègent contre l'obésité et la stéatose hépatique. Elle confirme également que les composants majeurs des protéines alimentaires (BCAA) n'exercent pas cet effet protecteur, mais qu'il aggrave le syndrome métabolique. Etant donné que l'ingestion importante et chronique de protéines alimentaires est délétère pour le rein, il serait très intéressant d'identifier les acides aminés spécifiques qui induiraient le même effet protecteur que les protéines alimentaires, mais sans perturber le fonctionnement rénal.
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A limited number of foods explain the majority of food allergies. These allergies can be due to a weak allergenicity (garlic, onion, potato), or a weak (or increasing) exposure to emergent food allergens which can be imported (exotic fruits), or recently introduced (lupin, buckwheat, sesame, inulin) or modified by the industry (lysats, lecithins, traces of antibiotics, caseinates, molds, dust mite). Others are in relation with rarer cross-reactivity food allergy syndrome (Apiaceae-Compositae-mugwort syndrome, egg-bird syndrome, cat epithelium-pork meat syndrome). Others are rarely identified, because the food is masked (pepper, basilic). We illustrate rare cases of food allergy and discuss the diagnostic management which is based on a meticulous patient history. Un nombre restreint d'aliments explique la majorité des allergies alimentaires. Les allergies alimentaires rares sont dues à une faible allergénicité (ail, oignon, pomme de terre) ou à une exposition faible ou croissante à des aliments émergents, importés (fruits exotiques), introduits (lupin, sarrasin, sésame, inuline), ou modifiés par l'industrie (lysats, lécithines, traces d'antibiotiques, caséinates, moisissures, acariens). D'autres sont en relation avec des croisements d'allergènes rares (syndrome croisé ombellifères-composées-armoise, syndrome oeuf-oiseau, syndrome épithélium de chat-viande de porc). D'autres enfin sont rarement identifiées, car l'allergène est masqué (poivre, basilic). Nous décrivons des cas rares illustratifs et rappelons la démarche diagnostique qui s'appuie sur une anamnèse minutieuse.
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Négocier le lancement pour la première fois une enquête par questionnaires et à grande échelle, sur les membres de 8 partis politiques marocains en plein congrès national, est une voie d'accès ethnographique privilégiée pour comprendre les modalités de prise de décision au sein de ces organisations. Cet article se penche sur les circonstances qui favorisent ou entravent l'ouverture du terrain. L'insertion dans des cercles de confiance, la « scientificité » du projet, la création d'un précédent par le premier parti à autoriser l'enquête semblent être les clés du succès. Toutefois, un refus révèle que tolérer une telle recherche revient pour les dirigeants à accepter avec plus ou moins d'enthousiasme une production « démocratisée » et hors contrôle de l'image de leur parti.
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Among 645 obese patients examined at an out-patient clinic for obese patients by physical examination and a computerized questionnaire, two subgroups of patients could be identified according to their nutritional preferences: 177 patients preferred carbohydrates exclusively (group A) and 73 patients fat exclusively (group B). No definite preferences were formulated by the other patients. Among patients under 25 years, only 3 belonged to group B and 49 to group A, while in older patients no significant differences were found. Among patients with BMI less than 30, there were significantly fewer patients from group B than from group A (p = 0.006), while in patients with BMI greater than 30 no significant difference was observed. There were significantly more men in group B than in group A. 57% of the patients of group B complained of physical symptoms related to their obesity, compared to 37% in group A (p = 0.006). 26% of group B suffered from joints and muscles compared to 13% of group A (p = 0.003). Hyperglycemia (greater than 5,6 mmol/l) was found in 21% of group A and in 40% of group B (p less than 0.005). Hypercholesterolemia (greater than 6.5 mmol/l) was found in 20% of group A and in 32% of group B (p less than 0.05). In conclusion, obese patients who prefer fat have more general symptoms related to obesity, more abnormal physical signs, and more frequently have hyperglycemia and hypercholesterolemia than patients who prefer carbohydrates.
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Young people (mostly females) suffering from eating disorders not otherwise specified (EDNOS) are more and more numerous and their difficulties pose serious problems to health care providers as well as the society. These situations correspond to eating disorders which do not totally meet the DSM-IV criteria for either anorexia or bulimia nervosa. The duration of the symptoms, the extent of suffering as well as the impact on daily life should be taken into account to set-up the treatment. The therapeutic approach to these disorders should ideally include both cognitive/dietary and psychodynamic approaches. The Multidisciplinary Unit for Adolescent Health in Lausanne has set-up a group treatment for these patients.