Induction of macrophage nitric oxide production by interferon-gamma and tumor necrosis factor-alpha is enhanced by interleukin-10.

Interleukin-10 (IL-10) has been reported to inhibit nitric oxide (NO) synthesis and microbicidal activity of interferon-gamma (IFN-gamma)-stimulated macrophages (M phi) by preventing the secretion of tumor necrosis factor-alpha (TNF-alpha) which serves as an autocrine activating signal. We have examined the effects of recombinant IL-10 on the capacity of IFN-gamma together with exogenous TNF-alpha to induce NO synthesis by bone marrow-derived M phi. Under these conditions and in contrast to its reported deactivating potential, IL-10 strongly enhanced NO synthesis measured as nitrite (NO2-) release (half maximal stimulation at approximately 10 U/ml). IL-10 further increased NO2- production by M phi stimulated in the presence of optimal concentrations of prostaglandin E2, a positive modulator of M phi activation by IFN-gamma/TNF-alpha. Increased steady state levels of NO synthase mRNA were observed in 4-h IFN-gamma/TNF-alpha cultures and enhanced NO2(-)-release was evident 24 h but not 48 h after stimulation. These results suggest that the effects of IL-10 on M phi function are more complex than previously recognized.

Regulation of microsomal prostaglandin E2 synthase-1 and 5-lipoxygenase-activating protein/5-lipoxygenase by 4-hydroxynonenal in human osteoarthritic chondrocytes

L’arthrose (OA) est une maladie dégénérative et multifactorielle caractérisée par une destruction de cartilage, une formation d’ostéophytes et une inflammation au niveau de la membrane synoviale. Le 4-hydroxynonénal (HNE), un produit final de la peroxydation lipidique, a été identifié récemment comme un facteur catabolique et un médiateur inflammatoire dans le cartilage arthrosique humain. Notre projet vise à étudier l’effet du HNE sur la régulation de la prostaglandine E2 synthase-1 microsomale (mPGES-1) et de la protéine activante 5-lipoxygénase (FLAP)/5-lipoxygénase (5-LOX) dans les chondrocytes arthrosiques humains. Lorsque les cellules sont traitées une seule fois avec 10 µM HNE, les résultats de Western blot et de PCR en temps réel montrent que l’expression de la cyclooxygénase-2 (COX-2) et de la mPGES-1 augmente de manière significative et atteint respectivement le maximum après 8 et 16 heures d’incubation puis diminue graduellement. Cependant, lorsque les cellules sont traitées plusieurs fois avec 10 µM HNE à 2 heures d’intervalle, l’expression de la COX-2 et de la mPGES-1 augmente en fonction du temps sans subir une baisse après 24 heures d’incubation. Le HNE induit l’activité du promoteur de la mPGES-1 via l’activation du facteur de transcription Egr-1. L’investigation de la 2ème voie du métabolisme de l’acide arachidonique, à savoir 5-LOX/FLAP, montre que le HNE induit l’expression de FLAP après 24 heures de stimulation et celle de 5-LOX seulement après 48 heures. Ceci semble survenir à l’étape de transcription au cours de laquelle HNE induit l’expression de l’ARNm et l’activité du promoteur du gène 5-LOX. Nous avons démontré aussi que le niveau de leukotriène B4 (LTB4) augmente et suit le même profil que celui de la 5-LOX. L’étude des mécanismes moléculaires susceptibles d’être impliqués dans la régulation de la 5-LOX/FLAP par le HNE montre que ce dernier stimule leur expression via l’action de prostaglandine E2 (PGE2) et du facteur de croissance transformant-beta 1 (TGF-β1). En conclusion, notre étude démontre que le HNE induit à court-terme d’incubation la voie de COX-2/mPGES-1 puis par la suite stimule celle de FLAP/5-LOX à long-terme d’incubation dans les chondrocytes arthrosiques humains. Ces résultats suggèrent que la mPGES-1 et 5-LOX/FLAP sont des potentielles cibles thérapeutiques intéressantes pour contrôler la production de PGE2 et LTB4 dans OA.

The role of Microsomal prostaglandin synthase-1 (mPGES-1) and Ephrin B2 in Scleroderma

La sclérodermie (sclérose systémique, ScS) est une maladie auto-immune du tissu conjonctif caractérisée  par  l’épaississement  de  la  peau,  l’apparition  spontanée de lésions cicatricielles, des maladies   des   vaisseaux   sanguins,   divers   degrés   d’inflammation,   en   association   avec   un   système   immunitaire hyperactif. La pathogénèse exacte de cette maladie est inconnue et aucun traitement approprié   n’est   disponible.   La fibrose est un élément distinctif de la maladie de ScS et est considérée   résulter   d’une   incapacité   à   mettre   fin   de   façon   appropriée   à   la   réponse   normale   de   réparation   des   plaies.   L’analyse   histologique   du   stade   initial   de   la   ScS   révèle   une   infiltration   périvasculaire de cellules mononucléaires dans le derme, associée à une synthèse accrue de collagène dans les fibroblastes environnants. Ainsi, la compréhension des moyens de contrôler le stade inflammatoire de la ScS pourrait être bénéfique pour contrôler la progression de la maladie peu après son apparition. La mPGES-1 est une enzyme inductible qui agit en aval de la cyclo- oxygénase (COX) pour catalyser spécifiquement la conversion de la prostaglandine (PG) H2 en PGE2. La mPGES-1  joue  un  rôle  clé  dans  l’inflammation,  la  douleur  et  l’arthrite;;  toutefois,  le   rôle de la mPGES-1 dans les mécanismes de fibrose, spécifiquement en rapport avec la ScS humaine, est inconnu. Mon laboratoire a précédemment montré que les souris à mPGES-1 nulle sont résistantes à la fibrose   cutanée   induite   par   la   bléomycine,   à   l’inflammation,   à   l’épaississement  cutané,  à  la  production  de  collagène  et  à  la  formation  de  myofibroblastes.  Sur  la   base  de  ces  résultats,  j’ai  formulé  l’hypothèse  que  l’inhibition pharmacologique de la mPGES-1 régulera à la baisse la production de médiateurs pro-inflammatoires et pro-fibreux au cours de la maladie   de   ScS.   Afin   d’explorer   le   rôle   de   la   mPGES-1   dans   l’inflammation   et   la   fibrose   associées  à  la  maladie  de  ScS,  j’ai  d’abord  examiné  l’expression  de  la  mPGES-1 dans la peau normale comparativement à des biopsies de peau extraites de patients atteints de ScS. Mes résultats ont montré que la mPGES-1 est nettement élevée dans la peau de patients atteints de ScS en comparaison avec la peau humaine normale. De plus, les niveaux de PGE2 dérivés de la mPGES-1 étaient également significativement plus élevés dans les fibroblastes cutanés isolés de patients  atteints  de  ScS  comparativement  aux  fibroblastes  isolés  de  témoins  sains.  J’ai  également   étudié  l’effet  de  l’inhibition pharmacologique de la mPGES-1  sur  l’expression  de  marqueurs  pro- fibreux.   Mes   études   ont   montré   que   l’expression   de   médiateurs   pro-fibreux clés (α-SMA, endothéline-1, collagène de type 1 et facteur de croissance du tissu conjonctif (FCTC)) est élevée dans les fibroblastes cutanés ScS en comparaison avec les fibroblastes cutanés normaux. Un traitement avec un inhibiteur de la mPGES-1 a eu pour effet de réduire significativement l’expression  de  l’α-SMA,  de  l’endothéline-1, du collagène de type 1 mais pas du FCTC dans les fibroblastes  ScS,  sans  effet  significatif  sur  les  fibroblastes  normaux.  J’ai  en  outre  examiné  l’effet   de  l’inhibition  de  la  mPGES-1 sur des cytokines pro-inflammatoires clés impliquées dans la pathologie de la ScS, incluant IL-6, IL-8 et MCP-1.  L’inhibition  pharmacologique  de  la  mPGES- 1 a eu pour effet de réduire significativement les niveaux de production de cytokines pro- inflammatoires IL6, IL8 et MCP-1 dans les fibroblastes avec lésion ScS comparativement à des fibroblastes non traités. De plus, les patients atteints de ScS ont présenté des niveaux plus élevés de p-AKT, de p-FAK et de p-SMAD3 en comparaison avec les fibroblastes cutanés normaux. L’inhibiteur  de  la  mPGES-1 a pu réguler à la baisse cette expression accrue de p-AKT et de p- FAK, mais pas de p-SMAD3,  dans  les  fibroblastes  ScS.  Ces  résultats  ont  suggéré  que  l’inhibition   de la mPGES-1 pourrait être une méthode viable pour réduire le développement de sclérose cutanée et constituent une cible thérapeutique potentielle pour contrôler les mécanismes fibreux et inflammatoires associés à la pathophysiologie de la maladie de ScS. L’un   des   autres   processus   critiques   reliés   à   l’évolution de la réponse fibreuse associée à la maladie de ScS est la différenciation des fibroblastes en des cellules activées spécialisées iii iv appelées myofibroblastes, responsables de déclencher une signalisation adhésive excessive et le dépôt excessif de matrice extracellulaire,   conduisant   à   la   destruction   de   l’architecture   de   l’organe.   Ainsi,   l’identification   des   facteurs   endogènes   qui   initient/   favorisent   la   différenciation   fibroblaste-myofibroblaste peut mener à des stratégies thérapeutiques prometteuses pour contrôler  l’excès  de  signalisation  adhésive  et  de  fibrose  associé  à  la  maladie  de  ScS.  Des  études   antérieures  dans  le  domaine  de  la  biologie  du  cancer  ont  suggéré  que  l’éphrine  B2,  une  protéine   transmembranaire appartenant à la famille des éphrines, est impliquée dans la signalisation adhésive   et   le   remodelage   extracellulaire.   Cependant,   son   rôle   dans   la   fibrose   n’a   jamais   été   exploré.   Dans   la   deuxième   partie   de   mon   étude,   j’ai   donc   étudié   le   rôle   de   l’éphrine   B2   dans   la   fibrose.   Mes   études   montrent   que   l’expression   de   l’éphrine   B2   est   significativement   augmentée   dans la peau humaine ScS comparativement à la peau normale. Plus important encore, le traitement in vitro de   fibroblastes   de   la   peau   humaine   normale   avec   de   l’éphrine   B2   recombinante est capable de transformer des fibroblastes en cellules myofibroblastiques manifestant toutes les caractéristiques myofibroblastiques typiques, incluant la formation accrue de  fibres  de  tension,  des  adhérences  focales,  l’activation  accrue  de  la  FAK,  un  accroissement  de   l’expression  et  de  la  migration  de  fibroblastes  et  de  leur  adhérence  à  la  fibronectine  à  la  fois  chez   les   fibroblastes   cutanés   normaux   et   ScS.   En   outre,   j’ai   traité   des   souris   avec   de   l’éphrine   B2   recombinante et montré que ces souris ont développé une fibrose cutanée significative associée à une épaisseur dermique et à une synthèse de collagène augmentées, une teneur en hydroxyproline (teneur en collagène) accrue et un nombre accru de myofibroblastes exprimant de   l’α-SMA, une activation augmentée de la FAK et de marqueurs pro-fibreux incluant le collagène de type 1 et le FCTC. Dans  l’ensemble,  mes  études  ont  identifié  deux  médiateurs  endogènes  cruciaux  impliqués  dans  la   propagation  de  l’inflammation  et  de  la  fibrose  associées  à  la  maladie  de  ScS.  L’inhibition  de  la   mPGES-1   pourrait   représenter   une   bonne   stratégie   alternative   pour   contrer   l’inflammation   et   la   fibrose au moins durant les stades précoces de la maladie de ScS. De plus, une signalisation excessive   de   l’éphrine B2 favorise la signalisation adhésive et fibreuse en déclenchant la différenciation   de   fibroblastes   en   myofibroblastes   par   l’activation   de   la   voie   de   signalisation   de   la  FAK.  Ainsi,  l’inhibition  d’éphrine  B2  bloquera  la  formation  de  fibroblastes-myofibroblastes et régulera à la baisse la fibrose associée à la maladie de ScS. En somme, la mPGES-1  et  l’éphrine   B2 semblent toutes deux des cibles attrayantes pour le traitement de la ScS et des troubles fibreux qui y sont reliés.

Regulation of lipocalin prostaglandin-D synthase expression by interleukin-1β in human chondrocytes

L'arthrose est une maladie multifactorielle complexe. Parmi les facteurs impliqués dans sa pathogénie, les certains prostaglandines exercent un rôle inflammatoire et d’autres un rôle protecteur. La prostaglandine D2 (PGD2) est bien connue comme une PG anti-inflammatoire, qui est régulée par l’enzyme «Lipocalin prostaglandine D-synthase». Avec l’inflammation de l'arthrose, les chondrocytes essaient de protéger le cartilage en activant certaines voies de récupération dont l'induction du gène L-PGDS. Dans cette étude, nous étudions la voie de signalisation impliquée dans la régulation de l'expression du (L-PGDS) sur les chondrocytes traités avec différents médiateurs inflammatoires. Le but de projet: Nous souhaitons étudier la régulation de la L-PGDS dans le but de concevoir des approches thérapeutiques qui peuvent activer la voie intrinsèque anti-inflammatoire. Méthode et conclusions: In vivo, l'arthrose a été suivie en fonction de l’âge chez la souris ou chirurgicalement suivant une intervention au niveau des genoux de souris. Nous avons confirmé les niveaux d’expression de L-PGDS histologiquement et par immunohistochimie. In vitro, dans les chondrocytes humains qui ont été traités avec différents médiateurs de l'inflammation, nous avons observé une augmentation de l’expression de la L-PGDS dose et temps dépendante. Nous avons montré, in vivo et in vitro que l’inflammation induit une sécrétion chondrocytaire de la L-PGDS dans le milieu extracellulaire. Enfin, nous avons observé la production de différentes isoformes de la L-PGDS en réponse à l'inflammation.

Prostaglandin E-2 and the Suppression of Phagocyte Innate Immune Responses in Different Organs

The local and systemic production of prostaglandin E-2 (PGE(2)) and its actions in phagocytes lead to immunosuppressive conditions. PGE2 is produced at high levels during inflammation, and its suppressive effects are caused by the ligation of the E prostanoid receptors EP2 and EP4, which results in the production of cyclic AMP. However, PGE(2) also exhibits immunostimulatory properties due to binding to EP3, which results in decreased cAMP levels. The various guanine nucleotide-binding proteins (G proteins) that are coupled to the different EP receptors account for the pleiotropic roles of PGE(2) in different disease states. Here, we discuss the production of PGE(2) and the actions of this prostanoid in phagocytes from different tissues, the relative contribution of PGE(2) to the modulation of innate immune responses, and the novel therapeutic opportunities that can be used to control inflammatory responses.

Elevated progesterone concentrations enhance prostaglandin F-2 alpha synthesis in dairy cows

Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

Ovarian superstimulatory response and embryo production in mares treated with equine pituitary extract twice daily

Equine pituitary extract (EPE), has been reported to induce multiple ovulation in mares, however ovulation rates are poor in comparison to those obtained in other species. Attempts to improve the effectiveness of EPE for induction of superovulation in cyclic mares has focused on daily frequency of EPE treatment. Two experiments were performed to compare the ovarian response of cyclic mares given EPE once or twice-daily. Mares were assigned to one of two treatment groups 6 to 8 days after ovulation: prostaglandin was given once and EPE (25 mg) was given once daily (Group 1) or twice daily (Group 2). In Experiment 1, more (P < 0.05) follicles 35 mm were detected in mares treated with EPE twice daily (6.1 +/- 3.1) than in mares treated once a daily (2.0 +/- 0.6). In a second experiment, the embryo recovery rates of mares given the two EPE protocols used in Experiment 1 were compared. The number of ovulations per mare was higher (P < 0.05) for mares treated twice-daily (7.1 +/- 5.1, range 3 to 18) than for mares treated once daily (2.4 +/- 1.8, range 1 to 6). The number of embryos produced per mare was higher (P < 0.05) in mares in Group 2 (3.5) than in Group 1 (1.6).Although it is not clear whether the increased ovulation rate is due specifically to dose or frequency, twice-daily administration of a high dose of EPE significantly improved follicular development, ovulation and embryo recovery over the standard treatment of once-daily injection. (C) 2001 by Elsevier B.V.

Effect of eFSH on ovarian cyclicity and embryo production of mares in spring transitional phase

The use of equine FSH (eFSH) for inducing follicular development and ovulation in transitional mares was evaluated. Twenty-seven mares, from 3 to 15 years of age, were examined during the months of August and September 2004, in Brazil. Ultrasound evaluations were performed during 2 weeks before the start of the experiment to confirm transitional characteristics (no follicles larger than 25 mm and no corpus luteum [CL] present). After this period, as the mares obtained a follicle of at least 25 mm, they were assigned to one of two groups: (1) control group, untreated; (2) treated with 12.5 mg eFSH, 2 times per day, until at least half of all follicles larger than 30 mm had reached 35 mm. Follicular activity of all mares was monitored. When most of the follicles from treated mares and a single follicle from control mares acquired a preovulatory size ( : 35 mm), 2,500 IU human chorionic gonadotropin (hCG) was administered IV to induce ovulation. After hCG administration, the mares were inseminated with fresh semen every other day until ovulation. Ultrasound examinations continued until detection of the last ovulation, and embryo recovery was performed 7 to 8 days after ovulation. The mares of the treated group reached the first preovulatoiy follicle (4.1 +/- 1.0 vs 14.9 +/- 10.8 days) and ovulated before untreated mares (6.6 +/- 1.2 vs 18.0 +/- 11.1 days; P <.05). All mares were treated with prostaglandin F-2 alpha (PGF(2 alpha)), on the day of embryo flushing. Three superovulated mares did not cycle immediately after PGF(2 alpha), treatment, and consequently had a longer interovulatory interval (22.4 vs 10.9 days, P < 0.05). The mean period of treatment was 4.79 1.07 days and 85.71% of mares had multiple ovulations. The number of ovulations (5.6 vs 1.0) and embryos (2.0 vs 0.7) per mare were higher (P < 0.05) for treated mares than control mares. In conclusion, treatment with eFSH was effective in hastening the onset of the breeding season, inducing multiple ovulations, and increasing embryo production in transitional mares. This is the first report showing the use of FSH treatment to recover embryos from the first cycle of the year.

Patterns of Gene Expression in the Bovine Corpus Luteum Following Repeated Intrauterine Infusions of Low Doses of Prostaglandin F2alpha

Natural luteolysis involves multiple pulses of prostaglandin F2alpha (PGF) released by the nonpregnant uterus. This study investigated expression of 18 genes from five distinct pathways, following multiple low-dose pulses of PGF. Cows on Day 9 of the estrous cycle received four intrauterine infusions of 0.25 ml of phosphate-buffered saline (PBS) or PGF (0.5 mg of PGF in 0.25 ml of PBS) at 6-h intervals. A luteal biopsy sample was collected 30 min after each PBS or PGF infusion. There were four treatment groups: Control (n = 5; 4 PBS infusions), 4XPGF (4 PGF infusions; n = 5), 2XPGF-non-regressed (2 PGF infusions; n = 5; PGF-PBS-PGF-PBS; no regression after treatments), and 2XPGF-regressed (PGF-PBS-PGF-PBS; regression after treatments; n = 5). As expected, the first PGF pulse increased mRNA for the immediate early genes JUN, FOS, NR4A1, and EGR1 but unexpectedly also increased mRNA for steroidogenic (STAR) and angiogenic (VEGFA) pathways. The second PGF pulse induced immediate early genes and genes related to immune system activation (IL1B, FAS, FASLG, IL8). However, mRNA for VEGFA and STAR were decreased by the second PGF infusion. After the third and fourth PGF pulses, a distinctly luteolytic pattern of gene expression was evident, with inhibition of steroidogenic and angiogenic pathways, whereas, there was induction of pathways for immune system activation and production of PGF. The pattern of PGF-induced gene expression was similar in corpus luteum not destined for luteolysis (2X-non-regressed) after the first PGF pulse but was very distinct after the second PGF pulse. Thus, although the initial PGF pulse induced mRNA for many pathways, the second and later pulses of PGF appear to have set the distinct pattern of gene expression that result in luteolysis.

Antigenicity of Primary Endodontic Infection against Macrophages by the Levels of PGE(2) Production

Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

Effects of Ethanol on Synthesis of Prostaglandin F2 alpha in Bovine Females

Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

Paracoccidioides brasiliensis Uses Endogenous and Exogenous Arachidonic Acid for PGE(x) Production

Paracoccidioides brasiliensis is the agent of paracoccidioidomycosis, the most prevalent deep mycosis in Latin America. Production of eicosanoids during fungal infections plays a critical role on fungal biology as well as on host immune response modulation. The purpose of our study was to assess whether P. brasiliensis strains with different degree of virulence (Pb18, Pb265, Bt79, Pb192) produce prostaglandin E-x (PGE(x)). Moreover, we asked if P. brasiliensis could use exogenous sources of arachidonic acid (AA), as well as metabolic pathways dependent on cyclooxygenase (COX) enzyme, as reported for mammalian cells. A possible association between this prostanoid and fungus viability was also assessed. Our results showed that all strains, independently of their virulence, produce high PGE(x) levels on 4 h culture that were reduced after 8 h. However, in both culture times, higher prostanoid levels were detected after supplementation of medium with exogenous AA. Treatment with indomethacin, a COX inhibitor, induced a reduction on PGEx, as well as in fungus viability. The data provide evidence that P. brasiliensis produces prostaglandin-like molecules by metabolizing either endogenous or exogenous AA. Moreover, the results suggest the involvement of these mediators on fungal viability.

Prostaglandin E-2 inhibits Paracoccidioides brasiliensis killing by human monocytes

Human monocytes lacked fungicidal activity against high virulence strain of Paracoccidioides brasiliensis, even after IFN-gamma activation. However, monocytes treated with indomethacin exhibited an effective killing against this fungus, suggesting a role of prostaglandin E-2 (PGE(2)) in the inhibition process. Thus, the purpose of this work was to determine whether the effect of PGE2 in fungicidal activity was related with decrease on H2O2 release, the metabolite involved in P. brasiliensis killing, and changes in the levels of TNF-alpha, IL-6 and IL-10. Human monocytes challenged with the fungus produced high PGE(2) levels, which in turn inhibited the fungicidal activity of these cells by reducing H2O2 and TNF-alpha production. (C) 2007 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.

13,14-Dihydro-15-Keto Prostaglandin F-2 alpha Release in Response to Oxytocin Challenge Early Post-Partum in Anoestrous Nelore Cows Submitted to Temporary Calf Removal and Progesterone Priming

The study evaluated, in early post-partum anoestrous Nelore cows, if the increase in plasma oestradiol (E2) concentrations in the pre-ovulatory period and/or progesterone priming (P4 priming) preceding ovulation, induced by hormonal treatment, reduces the endogenous release of prostaglandin PGF(2)alpha and prevents premature lysis of the corpus luteum (CL). Nelore cows were subjected to temporary calf removal for 48 h and divided into two groups: GPE/eCG group (n = 10) and GPG/eCG group (n = 10). Animals of the GPE/eCG group were treated with a GnRH agonist. Seven days later, they received 400 ID of eCG, immediately after PGF(2)alpha treatment, and on day 0, 1.0 mg of oestradiol benzoate (EB). Cows of the GPG/eCG group were similarly treated as those of the GPE/eCG group, except that EB was replaced with a second dose of GnRH. All animals were challenged with oxytocin (OT) 9, 12, 15 and 18 days after EB or GnRH administration and blood samples were collected before and 30 min after OT. Irrespective of the treatments, a decline in P4 concentration on day 18 was observed for cows without P4 priming. However, animals exposed to P4 priming, treated with EB maintained high P4 concentrations (8.8 +/- 1.2 ng/ml), whereas there was a decline in P4 on day 18 (2.1 +/- 1.0 ng/ml) for cows that received GnRH to induce ovulation (p < 0.01). Production of 13,14-dihydro-15-keto prostaglandin F-2 alpha (PGFM) in response to OT increased between days 9 and 18 (p < 0.01), and this increase tended to be more evident in animals not exposed to P4 priming (p < 0.06). In conclusion, the increase in E2 during the pre-ovulatory period was not effective in inhibiting PGFM release, which was lower in P4-primed than in non-primed animals. Treatment with EB promoted the maintenance of elevated P4 concentrations 18 days after ovulation in P4-primed animals, indicating a possible beneficial effect of hormone protocols containing EB in animals with P4 priming.

Effect of prostaglandins on the production of H2O2 and cytokines that modulate the fungicidal activity of human monocytes against Paracoccidioides brasiliensis

Human monocytes lack fungicidal activity against high virulent strains of Paracoccidioides brasiliensis, the etiological agent of paracoccidioidomycosis, even after IFN-γ activation. However, monocytes treated with indomethacin (INDO) or INDO plus IFN-γ effectively killed this fungus, suggesting an inhibitory role of prostaglandins in this process. Thus, the purpose of this work was to test if this regulatory effect of prostaglandin was associated with alterations on H2O2 production and/or on modulatory cytokines levels, such as TNF-α, IL-10, and IL-6. Peripheral blood monocytes obtained from 10 healthy donors were incubated for 18 hours in the presence or absence of IFN-γ, INDO, or IFN-γ plus INDO, and further challenged with a high virulent strain of P. brasiliensis (Pb18) for 4 hours. Then, the monocytes cultures were evaluated for H2O2 release and fungicidal activity calculated by counting the colony forming units after plating. Moreover, on supernatants of the same cultures, TNF-α, IL-10, IL-6, and PGE2 concentrations were evaluated by ELISA. Monocytes treated with INDO or INDO plus IFN-γ presented higher fungicidal activity associated with the release of higher levels of H2O2 and TNF-α, but lesser levels of PGE2, when compared to nontreated cells. However, the levels of IL-10 and IL-6 were similar between treated and nontreated cells. The results suggest that human monocytes when challenged with high virulent strains of P. brasiliensis produce prostaglandins that inhibit the fungicidal activity of these cells by reducing H2O2 and TNF-α levels.