780 resultados para Peinture académique
De l'article à l'etalk : enjeux et défis de la littératie plurielle dans la communication académique
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Comprend : [ Planche dépliante entre pp. 64-65. ] Elévation des faces des murs du Salon de l'Académie [royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107129. ] ; [ Planche dépliante entre pp.104-105. ] Plan et élévation de la salle où se tiennent ordinairement les Assemblés. [ Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107130. ] ; [ Planche dépliante entre pp.164-166. ] Plan et élévation de la troisième salle de l'Académie [royale des Arts de peinture et de sculpture] où sont les vases de Medicis. [XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 106592. ] ; [ Planche dépliante entre pp.208-209. ] Plan de la salle séparée des autres. [ Une salle de l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107131. ] ; [ Planche dépliante entre pp. 246-247. ] Plan du vestibule par où on entre dans le salon [de l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107132. ] ; [ Planche dépliante entre pp.256-257. ] Plan de l'Ecole du modèle [ à l'Académie royale des Arts de peinture et de sculpture. XVIIIè siècle.] [ Cote : BNF C 107133. ]
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Le diable et l'artiste est une plongée dans l'atmosphère «démoniaque » qui régnait en Russie au passage du dix-neuvième au vingtième siècle. Au moment où la Russie, tout comme l'Europe, connaît un vif engouement pour l'ésotérisme, l'occultisme et la théosophie, les écrivains et les artistes s'emparent de la figure diabolique et l'adaptent à leur époque. Après le diable grandiose et solitaire de la période romantique, les symbolistes transforment et stylisent ce personnage, l'incarnant en de, multiples avatars, tantôt majestueux, tantôt petits et mesquins. Le sentiment apocalyptique qui imprègne le tournant du siècle, bientôt confirmé par les bouleversements socio-historiques, renforce encore le mysticisme des artistes et des écrivains, qui invoquent la présence du démon pour mieux comprendre le monde. Dans cet ouvrage, Fanny Mossière montre que la représentation symboliste du diable se caractérise par un «brouillage », un flou, une indétermination : toujours ambigu, insaisissable, «autre », le démon est difficile à percevoir. C'est le cas dans deux romans essentiels pour la période symboliste, L'ange de feu de Valerij Brjusov et Un démon de petite envergure de Fedor Sologub, qui mettent respectivement en scène le personnage mi-angélique mi-démoniaque de Madiel', et nedotykomka, démon informe et inquiétant. Le Maître et Marguerite de Mihail Bulgakov, plus tardif, s'inscrit dans la lignée du mouvement artistique et esthétique symboliste, tant au niveau stylistique que pour sa démonologie débridée. Enfin, une étude de l'oeuvre picturale de Mihail Vrubel', et plus particulièrement de son Démon, complète ce «portrait du diable » à l'orée du vingtième siècle.
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Cette thèse s'intéresse à la manière dont la peinture représente le couple, et à la manière dont le spectateur reçoit et interprète cette représentation, les deux aspects du processus étant admis étroitement solidaires l'un de l'autre. Le corpus obéit au principe d'une traversée thématique sélective sur une période qui va de 1880 à la fin du 20e siècle ; il rassemble des oeuvres de peintres de nationalités diverses (Manet, Vuillard, Bonnard, Vallotton, Munch, Schiele, Kirchner, Beckmann, Hopper et Freud, pour citer les principaux). La perspective méthodologique, définie dans l'introduction du travail, est centrée sur la réception des oeuvres, sous l'angle phénoménologique et herméneutique prioritairement. La première partie développe une approche en lien avec la littérature, où le motif du couple est omniprésent, à partir de l'hypothèse selon laquelle cette parenté intervient dans la réception du thème en peinture ; ce dont résulte fréquemment un déploiement du potentiel narratif de l'image, dont la notion de scénario permet de rendre compte. La deuxième partie se concentre sur le discours pictural en tant que tel, sur les moyens dont la peinture dispose pour faire sens en préparant la lecture à venir, et donc corollairement sur les spécificités de la réception picturale pour la catégorie considérée, soit la peinture de genre. L'attention est portée sur la réception en tant que processus, perceptif et réflexif à la fois, par lequel le spectateur trouve accès à l'oeuvre et développe avec elle une forme de dialogue. La troisième partie explore l'idée élémentaire suivante : représenter un couple, c'est toujours exposer une certaine conception de la relation entre l'homme et la femme. A travers les images du couple créées par quelques peintres majeurs de la première moitié du 20e siècle, on peut suivre l'émergence comme telle de la question du rapport entre les sexes, dont les gender studies ont fait leur objet central. Enfin, une quatrième partie a pour but d'approfondir la question du rapport que nous entretenons avec les représentations figuratives et les modalités de l'implication du spectateur. Y sont envisagés le pouvoir et le fonctionnement référentiels des oeuvres picturales, pour tenter de clarifier le statut des différents modes de compréhension et d'analyse dont nous disposons à leur égard.
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Référence bibliographique : Weigert, 282
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Référence bibliographique : Weigert, 604
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Référence bibliographique : Weigert, 615
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Référence bibliographique : Weigert, 281