250 resultados para Paléontologie


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Le but du présent travail est d’apporter la preuve paléontologique mettant en évidence que le clade Raninoida était bien établi dans le Néotropique durant la période Crétacée, où il était représenté par les plus anciennes familles ou par quelques–uns des plus anciens membres des plus anciennes familles. Je décris des taxa raninoïdiens ou similaires, incluant Archaeochimaeridae n. fam. et Archaeochimaera macrophthalma n. gen. n. sp., du Cénomanien supérieur (~95 Ma.) de Colombie (Chapitre 3), Planocarcinus n. gen., Planocarcinus olssoni (Rathbun, 1937) n. comb. et Notopocorystes kerri n. sp., de l’Aptien supérieur (~115 Ma.) de Colombie (Luque et al., accepté) (Chapitre 2). Ces taxa nouveaux, plus la présence de Cenomanocarcinus vanstraeleni Stenzel, 1945, dans l’Albien supérieur de Colombie (Vega et al., 2010), et d’Araripecarcinus ferreirai Martins–Neto, 1987, dans l’Albien du Brésil (Luque et al., en cours) (Chapitre 4), représentent certains des plus anciens signalements de quatre des sept familles raninoïdiennes, au moins, connues à ce jour. La nouvelle famile Archaeochimaeridae se présente comme le groupe frère du clade Raninidae + clade Symethidae. Cependant, la combinaison unique de caractères primitifs, dérivés et homoplasiques est inégalable chez les Raninoida, et, en fait, chez les autres sections de crabes podotrèmes. Alors que les taxa raninoïdiens du Crétacé sont bien connus aux latitudes élevées, les signalements en Amérique du Sud tropicale sont rares et épars, avec pour résultat de considérables distorsions pour traiter des importantes questions biogéographiques et phylogénétiques. Sur la base de données taxonomiques, paléobiogéographiques et cladistiques, une ré–appréciation des toute premières distributions spatio–temporelle des “crabes grenouilles” est proposée, avec pour objet de contribuer à une plus large compréhension de la diversité, phylogénie et évolution des premiers brachyoures au cours des âges.

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Cette thèse analyse les incidences des avancées d’une rationalité technoscientifique sur les définitions classiques de l’humain. Elle discerne, dans sa présentation de ce phénomène, le lien entre la technoscience, la cybernétique et le posthumanisme qui en découle. Elle souligne les mutations et projets de remodèlement de l’humain qui traversent cette rationalité technoscientifique et son paradigme informationnel cybernéticien. Cette rationalité technoscientifique, polémique aux ontologies dites conservatrices, soutenant une vision amorale de la RDTS (Recherche & Développement technoscientifique), accouche d’un posthumanisme – en rapport difficile avec le corps – qui bouscule les définitions classiques de l’humain judéo-chrétien, dont l’anthropologie théologique évangélique. Traitant, dans une première grande section de trois chapitres, de la rationalité technoscientifique et de ses visions de l’humain, la thèse permet la mise en exergue des enjeux principaux se dégageant des nouveaux questionnements des anthropologies classiques soumises aux pressions de la RDTS. Dans la deuxième partie, encore de trois chapitres, qui porte sur l’anthropologie évangélique, la thèse situe les Évangéliques historiquement et doctrinalement, pour mieux relever les éléments identitaires du mouvement et les grandes déterminations théologiques à l’intérieur desquels se déploie cette anthropologie. La présentation de cette dernière se décline à partir des différentes compréhensions du motif anthropologique évangélique par excellence, l’imago Dei et le concept de l’unicité de l’humain dont les fondements semblent de plus en plus fragiles à la lumière des conclusions des recherches en paléontologie et en cognition animale. Si plusieurs défis importants sont posés à l’anthropologie évangélique, la thèse, se limitant à une critique évangélique de la rationalité technoscientifique et des réponses évangéliques à cette dernière, analyse une question essentielle pour la pensée évangélique, celle de l’humain homo ii faber et l’anthropotechnie, versus le remodèlement de l’humain autour des interrogations posthumanistes sur le corps et la question du salut. Cette thèse apporte une contribution 1) sur le plan de la synthèse qu’elle présente de l’anthropologie évangélique, 2) de la compréhension de l’identité évangélique, sa singularité et sa diversité, et 3) des manières dont une théologie évangélique peut entrer en dialogue avec la raison technoscientifique. Elle lève le voile sur l’utilisation tous azimuts du concept de l’imago Dei et de son insuffisance, à lui seul, pour apprécier les véritables enjeux du débat avec la rationalité technoscientique. Elle insinue que ce motif doit être analysé en conjonction avec la christologie dans l’approfondissement du Logos incarné, pour en mieux apprécier l'étendue. Ce n'est que dans ce lien qu’ont pu être trouvés des éléments capables d'articuler ce qui est en germe dans l'imago Dei et suggérer une définition de l’humain capable de prendre en considération les défis d’une rationalité technoscientifique et de son posthumanisme.

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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Dans ce collectif d’articles, une majorité d’auteurs adopte une posture critique sévère envers le darwinisme littéraire. Il faut l’admettre, tant par sa prétention à la scientificité que par sa tendance à favoriser la négation des théories poststructuralistes, le darwinisme littéraire se présente comme une offre hostile, proposant d’inféoder la théorie littéraire aux sciences soi-disant objectives. Ne serait-ce qu’au plan sémantique, la quincaillerie conceptuelle nécessaire au fonctionnement de ce biais critique peut rebuter plusieurs lecteurs issus des humanités. L’usage de concepts tirés de la théorie de l’évolution, de la paléontologie, de la philosophie analytique ou des sciences cognitives de première et de seconde génération provoque souvent plus de méfiance que d’enthousiasme auprès d’un public préférant centrer ses réflexions sur des phénomènes culturels. [Introduction]

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Es wurde ein Teil der life-history, die Reproduktion, von Dinosauriern, speziell der Sauropoden, den größten bekannten jemals auf der Erde existierenden Landtieren, untersucht, um unter anderem den Zusammenhang zwischen Gigantismus und Reproduktion zu erforschen. Hierzu wurde eine mögliche life-history für Sauropoden, auf Grundlage des heutigen Forschungsstands in der Biologie und der Paläontologie, anhand einer Literaturrecherche erstellt. Des Weiteren wurde ein Modell zur Reproduktion bei ausgestorbenen oviparen Amnioten, basierend auf bestehenden Zusammenhängen zwischen Körpergröße und verschiedenen masse-spezifischen Reproduktionsmerkmalen (Eigewicht, Gelegegewicht, jähr. Gelegegewicht) bei rezenten oviparen Amnioten, erarbeitet. Mit Hilfe dieses Modells und Informationen aus Fossilfunden wurde der Frage nachgegangen, wie diese Reproduktionsmerkmale bei Dinosauriern wahrscheinlich ausgesehen haben. Weiterhin erfolgte die Überprüfung der Hypothese, dass Dinosaurier, insbesondere Sauropoden, eine höhere Reproduktionskapazität hatten als gleich große landlebende Säugetiere, was ersteren im Vergleich zu letzteren ermöglicht haben soll so viel größer zu werden (Janis und Carrano 1992). rnDie Untersuchungen der Zusammenhänge zwischen Körpergewicht und den masse-spezifischen Reproduktionsmerkmalen ergaben, dass das Körpergewicht immer stark mit den untersuchten Reproduktionsmerkmalen korreliert war. Große Vögel und große Reptilien unterscheiden sich in ihrem relativen Eigewicht (Eigewicht/Körpergewicht). Vögel haben relativ größere Eier. Betrachtet man das relative Gelegegewicht oder das relative jährliche Gelegegewicht so wird der Unterschied kleiner bzw. ist zwischen manchen Reptilien- und Vogelgruppen nicht mehr vorhanden. Dinosaurier hatten relative Eigewichte, die zwischen denen von Reptilien und Vögel liegen. Basale Dinosaurier, wie Prosauropoden, waren in ihrer Reproduktion eher reptilien-ähnlich, während vogel-ähnliche Theropoden eine Reproduktion hatten, die sich besser durch ein Vogelmodel beschreiben lässt. Die Reproduktion anderer Dinosaurier, wie Sauropoden und Hadrosaurier, lässt sich nicht eindeutig durch eines der beiden Modelle beschreiben und/oder die Modelle variierten in Abhängigkeit des betrachteten Merkmals. Trotzdem war es möglich für alle untersuchten Dinosaurier eine Abschätzung zur Gelegegröße und der Anzahl der jährlich gelegten Eier zu machen. Diese Schätzungen ergaben, dass die vermutete hohe Reproduktionskapazität von mehreren hundert Eiern pro Jahr nur für extrem große Sauropoden (70 t) haltbar ist. rnMit Ausnahme der Nagetiere fand ich die Unterschiede in der Reproduktionskapazität von Vögeln und Säugetieren, die Janis und Carrano (1992) postulierten, sogar auf der Ebene von Ordnungen. Dinosauriergelege waren größer als die Würfe von gleichgroßen (extrapolierten) Säugetieren während die Gelegegröße von gleichgroßen (extrapolierten) Vögeln ähnlich der von Sauropoden war. Da das Aussterberisiko häufig mit niedriger Reproduktionskapazität korreliert ist, impliziert dies ein geringeres Aussterberisiko großer Dinosaurier im Vergleich zu großen Säugetieren. Populationen sehr großer Dinosaurier, wie der Sauropoden, konnten vermutlich daher, über evolutionäre Zeiträume betrachtet, sehr viel länger existieren als Populationen großer Säugetiere.rn

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Linguistic palaeontology permits the identification of two language families whose linguistic ancestors pose the likeliest candidates for the original domesticators of rice, viz. Hmong-Mien and Austroasiatic. In the 2009 model, the ancient Hmong-Mien was identified as the primary domesticators of Asian rice, and the ancient Austroasiatics as the secondary domesticators. Recent rice genetic research leads to the modification of this model for rice domestication, but falls short of identifying the original locus of rice domestication. At the same time, the precise whereabouts of the Austroasiatic homeland remains disputed. Linguistic evidence unrelated to rice agriculture has been adduced to support a southern homeland for Austroasiatic somewhere within the Bay of Bengal littoral. The implications of new rice genetic research are discussed, the linguistic palaeontological evidence is reassessed, and an enduring problem with the archaeology of rice agriculture is highlighted.

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von E. Fraas

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