533 resultados para Nerf optique


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BACKGROUND: Radiation optic neuropathy (RON) is a rare, unpredictable, late complication of radiotherapy secondary to obliterative endarteritis. Tumor recurrence has to be ruled out by a clinical and neuroradiological examination. METHODS: Five patients with RON were investigated by magnetic resonance imaging (MRI) during 1992. RESULTS: Radiation-induced lesions of the intracranial visual pathways were easily visible on MRI. Without Gadolinium, a sectorial swelling was detectable, which markedly enhanced with Gadolinium. Intracranial optic nerve was affected in 5/5 cases, optic chiasm in 3/5 cases, and optic tract in 2/5 cases. CONCLUSIONS: MRI is the examination of choice when RON is suspected: it will easily delineate the extent of the lesion, and compression/infiltration by a recurrent tumor will be formally ruled out. A segmental swelling of visual pathway with marked Gadolinium enhancement on MRI is highly suggestive of radionecrosis.

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We report on three children with acute transverse myelitis. One of them also had optic neuritis. In connection with these three cases, we discuss etiology, diagnosis and outcome of transverse myelitis in childhood and possible involvement of the optic nerve. Our observations show the variability of spinal cord deficit and the fact that there can be a good prognosis, despite severe initial neurological deficits and massive elevation of basic myelin protein in children with ATM.

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Contexte : La stimulation du nerf vague est une technique neurochirurgicale qui consiste en l'implantation d'une électrode envoyant des impulsions autours de celui-ci. Depuis l'approbation de la FDA en 1997 aux Etats-Unis, elle est utilisée chez certains patients épileptiques pharmaco-résistants et dont la chirurgie classique n'est pas envisageable [1], Par exemple lorsque qu'aucun foyer épileptique n'est identifiable, qu'une zone éloquente du cortex est atteinte ou encore qu'il y a de multiples points de départ. On parle généralement de patient « répondeur » lorsqu'une diminution de plus de 50% des crises est observée après l'opération. La proportion de patients répondeurs est estimée entre 20 à 50% [2], avec une action positive sur l'éveil [3]. Le mécanisme d'action de cette thérapie reste largement inconnu même si quelques ébauches d'hypothèses ont été formulées, notamment une action inhibitrice sur le noyau solitaire du nerf vague qui pourrait avoir comme effet de moduler des projections ascendantes diffuses via le locus coeruleus [3, 4]. Objectifs : Le but de ce travail est d'observer les effets de la stimulation du nerf vague sur le métabolisme cérébral et potentiellement d'élaborer des hypothèses sur le mécanisme d'action de ce traitement. Il faudra plus précisément s'intéresser au tronc cérébral, contenant le locus coeruleus (métabolisme de la noradrénaline) et aux noyaux du raphé (métabolisme de la sérotonine), deux neurotransmetteurs avec effet antiépileptique [5]. Le but sera également d'établir des facteurs prédictifs sur la façon de répondre d'un patient à partir d'une imagerie cérébrale fonctionnelle avant implantation, notamment au niveau du métabolisme cortical, particulièrement frontal (éveil) sera intéressant à étudier. Méthodes : Un formulaire d'information ainsi que de consentement éclairé sera remis à chaque patient avant inclusion dans l'étude. Les informations de chaque patient seront également inscrites dans un cahier d'observation (Case Report Form, CRF). Le travail s'organisera essentiellement sur deux populations. Premièrement, chez les patients déjà opérés avec un stimulateur en marche, nous réaliserons qu'une imagerie PET au F-18-fluorodeoxyglucose (FDG) post-opératoire qui seront comparés à une base de données de patients normaux (collaboration Dr E. Guedj, AP-HM, La Timone, Marseille). Nous confronterons également les images de ces patients entre elles, en opposant les répondeurs (diminution des crises de ≥50%) aux non-répondeurs. Deuxièmement, les patients non encore opérés auront un examen PET basal avant implantation et 3-6 mois après la mise en marche du stimulateur. Nous évaluerons alors les éventuelles modifications entre ces deux imageries PET, à la recherche de différences entre les répondeurs et non-répondeurs, ainsi que de facteurs prédictifs de bonne réponse dans l'imagerie de base. Toutes les comparaisons d'images seront effectuées grâce avec le programme d'analyse SPM08. Résultats escomptés : Nous espérons pouvoir mettre en évidence des modifications du métabolisme cérébral au FDG sur la base de ces différentes images. Ces constatations pourraient nous permettre de confirmer ou d'élargir les hypothèses physiologiques quant aux effets du traitement par stimulation vagale. Nous aimerions, de plus, amener à définir des facteurs prédictifs sur la façon de répondre d'un patient au traitement à l'aide du PET au F-18-FDG de départ avant implantation. Plus value escomptée : Ces résultats pourront donner des pistes supplémentaires quant au fonctionnement de la stimulation vagale chez les patients avec épilepsie réfractaire et servir de base à de nouvelles recherches dans ce domaine. Ils pourraient aussi donner des éléments pronostics avant l'implantation pour aider la sélection des patients pouvant bénéficier de ce type de thérapie.

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INTRODUCTION: Disulfiram has been used since the late 1940s to treat chronic alcoholism. This drug interferes with alcohol metabolism resulting in an acetaldehyde increase. This causes painful symptoms, encouraging abstinence. Side effects include rare cases of bilateral optic neuropathies. Visual recovery occurs frequently upon cessation of therapy. METHOD AND OBSERVATION: We retrospectively studied patients referred for visual loss while treated with disulfiram between 1987 and 2005. Fourteen patients (three females, 11 males; aged 35-62 years) complained of visual loss, but a toxic, disulfiram-related, optic neuropathy was diagnosed in only five patients. Following cessation of disulfiram therapy, visual acuity and field improved in all five patients. DISCUSSION: and conclusion: When disulfiram toxicity is suspected with optic neuropathy, cessation of treatment is mandatory. Visual prognosis is good in the majority of cases, as illustrated by our series. Disulfiram toxicity can be diagnosed only after excluding all other possible causes of visual loss.

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METHODS: We examined 20 patients from 2 unrelated Swiss families to describe their clinical phenotype. In addition, a linkage analysis was performed in an attempt to confirm the reported genetic homogeneity of this condition as well as to refine its genomic localization. RESULTS: Two point analysis provided a cumulative LOD-score of 3.03 with marker D3S 2305. The absence of recombination precluded further refinement of the disease interval. CONCLUSIONS: Our data confirm the genetic homogeneity and the extreme variability of expression, occasionally mimicking low tension glaucoma.