993 resultados para Motor functions
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La progression d’un individu au travers d’un environnement diversifié dépend des informations visuelles qui lui permettent d’évaluer la taille, la forme ou même la distance et le temps de contact avec les obstacles dans son chemin. Il peut ainsi planifier en avance les modifications nécessaires de son patron locomoteur afin d’éviter ou enjamber ces entraves. Ce concept est aussi applicable lorsque le sujet doit atteindre une cible, comme un prédateur tentant d’attraper sa proie en pleine course. Les structures neurales impliquées dans la genèse des modifications volontaires de mouvements locomoteurs ont été largement étudiées, mais relativement peu d’information est présentement disponible sur les processus intégrant l’information visuelle afin de planifier ces mouvements. De nombreux travaux chez le primate suggèrent que le cortex pariétal postérieur (CPP) semble jouer un rôle important dans la préparation et l’exécution de mouvements d’atteinte visuellement guidés. Dans cette thèse, nous avons investigué la proposition que le CPP participe similairement dans la planification et le contrôle de la locomotion sous guidage visuel chez le chat. Dans notre première étude, nous avons examiné l’étendue des connexions cortico-corticales entre le CPP et les aires motrices plus frontales, particulièrement le cortex moteur, à l’aide d’injections de traceurs fluorescents rétrogrades. Nous avons cartographié la surface du cortex moteur de chats anesthésiés afin d’identifier les représentations somatotopiques distales et proximales du membre antérieur dans la partie rostrale du cortex moteur, la représentation du membre antérieur située dans la partie caudale de l’aire motrice, et enfin la représentation du membre postérieur. L’injection de différents traceurs rétrogrades dans deux régions motrices sélectionnées par chat nous a permis de visualiser la densité des projections divergentes et convergentes pariétales, dirigées vers ces sites moteurs. Notre analyse a révélé une organisation topographique distincte de connexions du CPP avec toutes les régions motrices identifiées. En particulier, nous avons noté que la représentation caudale du membre antérieur reçoit majoritairement des projections du côté rostral du sillon pariétal, tandis que la partie caudale du CPP projette fortement vers la représentation rostrale du membre antérieur. Cette dernière observation est particulièrement intéressante, parce que le côté caudal du sillon pariétal reçoit de nombreux inputs visuels et sa cible principale, la région motrice rostrale, est bien connue pour être impliquée dans les fonctions motrices volontaires. Ainsi, cette étude anatomique suggère que le CPP, au travers de connexions étendues avec les différentes régions somatotopiques du cortex moteur, pourrait participer à l’élaboration d’un substrat neural idéal pour des processus tels que la coordination inter-membre, intra-membre et aussi la modulation de mouvements volontaires sous guidage visuel. Notre deuxième étude a testé l’hypothèse que le CPP participe dans la modulation et la planification de la locomotion visuellement guidée chez le chat. En nous référant à la cartographie corticale obtenue dans nos travaux anatomiques, nous avons enregistré l’activité de neurones pariétaux, situés dans les portions des aires 5a et 5b qui ont de fortes connexions avec les régions motrices impliquées dans les mouvements de la patte antérieure. Ces enregistrements ont été effectués pendant une tâche de locomotion qui requiert l’enjambement d’obstacles de différentes tailles. En dissociant la vitesse des obstacles de celle du tapis sur lequel le chat marche, notre protocole expérimental nous a aussi permit de mettre plus d’emphase sur l’importance de l’information visuelle et de la séparer de l’influx proprioceptif généré pendant la locomotion. Nos enregistrements ont révélé deux groupes de cellules pariétales activées en relation avec l’enjambement de l’obstacle: une population, principalement située dans l’aire 5a, qui décharge seulement pendant le passage du membre au dessus del’entrave (cellules spécifiques au mouvement) et une autre, surtout localisée dans l’aire 5b, qui est activée au moins un cycle de marche avant l’enjambement (cellules anticipatrices). De plus, nous avons observé que l’activité de ces groupes neuronaux, particulièrement les cellules anticipatrices, était amplifiée lorsque la vitesse des obstacles était dissociée de celle du tapis roulant, démontrant l’importance grandissante de la vision lorsque la tâche devient plus difficile. Enfin, un grand nombre des cellules activées spécifiquement pendant l’enjambement démontraient une corrélation soutenue de leur activité avec le membre controlatéral, même s’il ne menait pas dans le mouvement (cellules unilatérales). Inversement, nous avons noté que la majorité des cellules anticipatrices avaient plutôt tendance à maintenir leur décharge en phase avec l’activité musculaire du premier membre à enjamber l’obstacle, indépendamment de sa position par rapport au site d’enregistrement (cellules bilatérales). Nous suggérons que cette disparité additionnelle démontre une fonction diversifiée de l’activité du CPP. Par exemple, les cellules unilatérales pourraient moduler le mouvement du membre controlatéral au-dessus de l’obstacle, qu’il mène ou suive dans l’ordre d’enjambement, tandis que les neurones bilatéraux sembleraient plutôt spécifier le type de mouvement volontaire requis pour éviter l’entrave. Ensembles, nos observations indiquent que le CPP a le potentiel de moduler l’activité des centres moteurs au travers de réseaux corticaux étendus et contribue à différents aspects de la locomotion sous guidage visuel, notamment l’initiation et l’ajustement de mouvements volontaires des membres antérieurs, mais aussi la planification de ces actions afin d’adapter la progression de l’individu au travers d’un environnement complexe.
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Durant le vieillissement, l’ensemble des fonctions de l’organisme se détériore, que ce soit aussi bien au niveau moteur que cognitif. Le vieillissement s’accompagne d’une diminution de la force, ainsi que de la masse musculaire. Des études récentes tendent à montrer que cette perte de masse musculaire que l’on appelle sarcopénie aurait pour origine un dérèglement de la jonction neuromusculaire. Les changements au niveau du présynaptique et du post synaptiques lors du vieillissement normal font l’objet de plusieurs études, mais les changements relatifs aux cellules de Schwann périsynaptique sont très peu connus. Le but de cette étude est donc d’analyser les modifications des interactions neurone-glie à la jonction neuromusculaire. Dans cette étude, nous montrons que certaines fonctions des cellules gliales de la synapse âgée sont déréglées, en particulier, le type de récepteurs activés par une stimulation nerveuse à haute fréquence. D’autre part, nos résultats montrent que les mécanismes responsables de l’augmentation de la transmission synaptique suite à cette stimulation nerveuse à haute fréquence sont altérés à la synapse âgée. Enfin, outre les modifications de la terminaison axonale et de la fibre musculaire, les cellules gliales montrent des signes de réorganisation structurelle propre à une synapse en réparation. Ces résultats montrent que le fonctionnement de la jonction neuromusculaire et a fortiori les interactions neurones-glie sont altérées lors du vieillissement normal.
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El objetivo del presente estudio cualitativo fue analizar los aspectos morfológicos de la anatomía cerebral interna utilizando imágenes de resonancia magnética (IRM) en dos especies de primates, El mono Araña (A. geoffroyi) y el humano (H. sapiens), tomando como base un estudio comparativo de las estructuras cerebrales de las dos especies, concentrándose primordialmente en el sistema límbico del cerebro del mono araña. Aunque es una especie común en el hemisferio occidental, es interesante para estudiar dada su organización social y funciones motoras, el mono araña (A. geoffroyi) ha sido poco estudiado en cuanto a su neuroanatomía. Las IRM fueron hechas a un mono araña utilizando un resonador General Electrics Signa 1.5 T. Esta investigación se llevo a cabo conforme a las leyes internacionales para la protección de animales en cautiverio y teniendo en cuenta todas las medidas de protección para el manejo experimental para evitar cualquier efecto residual de índole comportamental o fisiológico. Desde un punto de vista cualitativo, los cerebros del mono araña y el humano tenían estructuras similares. Con respecto a la forma, las estructuras más parecidas fueron encontradas en el sistema límbico, sin embargo la curvatura cervical, la amígdala, el hipocampo, la comisura anterior y el colículo fueron más grandes proporcionalmente en el mono araña que en el humano.
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El objetivo del presente estudio cualitativo fue analizar los aspectos morfológicos de la anatomía cerebral interna utilizando imágenes de resonancia magnética (IRM) en dos especies de primates, El mono Araña (A. geoffroyi) y el humano (H. sapiens), tomando como base un estudio comparativo de las estructuras cerebrales de las dos especies, concentrándose primordialmente en el sistema límbico del cerebro del mono araña. Aunque es una especie común en el hemisferio occidental, es interesante para estudiar dada su organización social y funciones motoras, el mono araña (A. geoffroyi) ha sido poco estudiado en cuanto a su neuroanatomía. Las IRM fueron hechas a un mono araña utilizando un resonador General Electrics Signa 1.5 T. Esta investigación se llevo a cabo conforme a las leyes internacionales para la protección de animales en cautiverio y teniendo en cuenta todas las medidas de protección para el manejo experimental para evitar cualquier efecto residual de índole comportamental o fisiológico. Desde un punto de vista cualitativo, los cerebros del mono araña y el humano tenían estructuras similares. Con respecto a la forma, las estructuras más parecidas fueron encontradas en el sistema límbico, sin embargo la curvatura cervical, la amígdala, el hipocampo, la comisura anterior y el colículo fueron más grandes proporcionalmente en el mono araña que en el humano.
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Most existing models of language production and speech motor control do not explicitly address how language requirements affect speech motor functions, as these domains are usually treated as separate and independent from one another. This investigation compared lip movements during bilabial closure between five individuals with mild aphasia and five age and gender-matched control speakers when the linguistic characteristics of the stimuli were varied by increasing the number of syllables. Upper and lower lip movement data were collected for mono-, bi- and tri-syllabic nonword sequences using an AG 100 EMMA system. Each task was performed under both normal and fast rate conditions. Single articulator kinematic parameters (peak velocity, amplitude, duration,and cyclic spatio-temporal index) were measured to characterize lip movements. Results revealed that compared to control speakers, individuals with aphasia showed significantly longer movement duration and lower movement stability for longer items (bi- and tri-syllables). Moreover, utterance length affected the lip kinematics, in that the monosyllables had smaller peak velocities, smaller amplitudes and shorter durations compared to bi- and trisyllables, and movement stability was lowest for the trisyllables. In addition, the rate-induced changes (smaller amplitude and shorter duration with increased rate) were most prominent for the short items (i.e., monosyllables). These findings provide further support for the notion that linguistic changes have an impact on the characteristics of speech movements, and that individuals with aphasia are more affected by such changes than control speakers.
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Background In the UK occupational therapy pre-discharge home visits are routinely carried out as a means of facilitating safe transfer from the hospital to home. Whilst they are an integral part of practice, there is little evidence to demonstrate they have a positive outcome on the discharge process. Current issues for patients are around the speed of home visits and the lack of shared decision making in the process, resulting in less than 50 % of the specialist equipment installed actually being used by patients on follow-up. To improve practice there is an urgent need to examine other ways of conducting home visits to facilitate safe discharge. We believe that Computerised 3D Interior Design Applications (CIDAs) could be a means to support more efficient, effective and collaborative practice. A previous study explored practitioners perceptions of using CIDAs; however it is important to ascertain older adult’s views about the usability of technology and to compare findings. This study explores the perceptions of community dwelling older adults with regards to adopting and using CIDAs as an assistive tool for the home adaptations process. Methods Ten community dwelling older adults participated in individual interactive task-focused usability sessions with a customised CIDA, utilising the think-aloud protocol and individual semi-structured interviews. Template analysis was used to carry out both deductive and inductive analysis of the think-aloud and interview data. Initially, a deductive stance was adopted, using the three pre-determined high-level themes of the technology acceptance model (TAM): Perceived Usefulness (PU), Perceived Ease of Use (PEOU), Actual Use (AU). Inductive template analysis was then carried out on the data within these themes, from which a number of sub-thmes emerged. Results Regarding PU, participants believed CIDAs served as a useful visual tool and saw clear potential to facilitate shared understanding and partnership in care delivery. For PEOU, participants were able to create 3D home environments however a number of usability issues must still be addressed. The AU theme revealed the most likely usage scenario would be collaborative involving both patient and practitioner, as many participants did not feel confident or see sufficient value in using the application autonomously. Conclusions This research found that older adults perceived that CIDAs were likely to serve as a valuable tool which facilitates and enhances levels of patient/practitioner collaboration and empowerment. Older adults also suggested a redesign of the interface so that less sophisticated dexterity and motor functions are required. However, older adults were not confident, or did not see sufficient value in using the application autonomously. Future research is needed to further customise the CIDA software, in line with the outcomes of this study, and to explore the potential of collaborative application patient/practitioner-based deployment.
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Foram analisados os resultados da fenestração ventral dos discos toracolombares em 29 cães agrupados segundo a raça, sexo, peso, idade, graus de déficits neurológicos, duração dos sinais, discos intervertebrais envolvidos, tempo para recuperação e porcentagem de sucesso. A raça Dachshund representou 55,18% (n = 16), cães sem raça definida, 13,8% (n = 4), Poodle e Basset Hound e Cocker Spaniel Inglês 6,89% cada (n = 6), e Pastor Alemão, Beagle e Pinscher, 3,45% cada (n = 3), sendo 51,72%, machos e 48,28%, fêmeas, com idade média de 68,03 meses. O grau de déficits neurológicos correspondeu a: 13,8% dos cães pertencentes ao GI (dor), 41,8% ao GII (paresia), 27,6% ao GIII (paraplegia com dor profunda presente) e 17,2% ao GIV (paraplegia com dor profunda ausente). Os sinais clínicos variaram em duração entre 2 e 60 dias, correspondendo às médias de 18,5 (GI), 12,3 (GII), 8,28 (GIII) e 4,2 dias (GIV). A porcentagem de discos intervertebrais acometidos foi: T10/11 (10,81%), T11/12 (24,33%), T12/13 (40,55%), T13/L1 (16,21%) e L1/2, L2/3 e L3/4, 2,7% cada. O tempo médio de recuperação, em dias, foi: 16 (GI), 19,1 (GII), 20,6 (GIII) e 30,6 (GIV), onde 100% dos animais dos grupos I, II e III recuperaram ambas as funções neurológicas e motoras. O grupo IV apresentou 80% de sucesso. Conclui-se que a fenestração ventral produz excelentes resultados pós-operatórios desde que bem selecionados os casos.
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The present study was designed to explore systematically the midbrain of unanesthetized, decerebrate anuran amphibians (bullfrogs), using chemical and electrical stimulation and midbrain transections to identify sites capable of exciting and inhibiting breathing. Ventilation was measured as fictive motor output from the mandibular branch of the trigeminal nerve and the laryngeal branch of the vagus nerve. The results of our transection studies suggest that, under resting conditions, the net effect of inputs from sites within the rostral half of the midbrain is to increase fictive breathing frequency, whereas inputs from sites within the caudal half of the midbrain have no net effect on fictive breathing frequency but appear to act on the medullary central rhythm generator to produce episodic breathing. The results of our stimulation experiments indicate that the principal sites in the midbrain that are capable of exciting or inhibiting the fictive frequency of lung ventilation, and potentially clustering breaths into episodes, appear to be those primarily involved in visual and auditory integration, motor functions, and attentional state.
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The aims of this study were to characterize the presence of apathy in patients with AD, determine the relationship between apathy, motor function and cognitive function, and to verify differences among patients stratified by level of apathy in relation to cognitive and motor abilities. Methods: A cross-sectional study was conducted of 37 patients with AD. The following tests were used: MoCA, the Frontal Assessment Battery, Verbal Fluency, Clock Drawing Test, Andreotti & Okuma Battery Tests, Sit and Reach, Resistance of Upper Limbs - AAHPERD Battery Test, Sit and Lift Chair and the Apathy domain of the Neuropsychiatric Inventory. After verifying the normality of the data distribution, comparisons were made using Student's t-test and the U Mann Whitney test; relationships were also assessed using Pearson's and Spearman's correlation coefficients. All analyses were considered to be statistically significant at a p-value of 0.05. Results: 46% of participants in this study showed mild symptoms of apathy. Significant and weak associations were found (p=0.04) between apathy and the attention domain on the MoCA and between apathy and the Walk Test. Analysis of differences in cognitive and motor functions according to participants' level of apathy revealed no significant differences for any of the variables. Conclusion: Apathy was reflected in attention and the Walk Test, suggesting these variables may be related to cognitive and functional decline in AD patients.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Ciências da Motricidade - IBRC
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A incapacidade física é o principal problema da hanseníase. Apesar do sucesso da poliquimioterapia (PQT) no tratamento da doença, sabe-se que cerca de 25% a 50% dos pacientes podem ter algum dano do nervo e desenvolver incapacidades físicas, classificada pela Organização Mundial de Saúde (OMS) como grau de incapacidade física (GIF) 0 para sensibilidade normal, sem deformidades visíveis, 1 para a sensibilidade diminuída, sem alterações visíveis, ou 2 para deficiências visíveis / deformidade. De 2004 a 2010 o Brasil registrou 21,7% dos casos como sendo GIF 1 e 7% como GIF 2, enquanto que no Estado do Pará, 15,3% dos pacientes foram diagnosticados com GIF 1, e 5,1% com GIF 2 no momento do diagnóstico de hanseníase. A fim de investigar as incapacidades físicas em pacientes curados, examinamos as funções sensitivo-motoras de 517 pessoas afetadas pela hanseníase, notificados 2004 a 2010 em oito municípios hiperendêmicos da Amazônia brasileira, correlacionando os achados com aspectos epidemiológicos e sócio-econômico, e comparando com os dados encontrados no Sistema Nacional de Informação de Agravos de Notificação (SINAN). Adicionalmente, 2164 contatos intradomiciliares dos pacientes visitados foram avaliados clinicamente em busca de sinais e sintomas da doença. As visitas domiciliares dos pacientes constaram de avaliação clínica, avaliação neurológica simplificada e determinação do GIF, realização de entrevista sobre suas características demográficas e sócio-econômicas. O GIF 1 foi encontrado em 16,2% e DG 2 em 12,4% dos pacientes avaliados. Foi encontrada uma correlação estatisticamente significativa entre as formas multibacilares (MB) e o GIF 1 ou 2 (p <0,001), incapacidade física e o sexo masculino (p <0,001); incapacidade ocorreu em casos acima de 40 anos de idade (p <0,001). Mais da metade (50,5%) dos casos não tinha cicatriz de BCG, correlacionada com idades mais elevadas (p <0,001), casos MB (p <0,001), e com incapacidade (p <0,005). Por fim, embora SINAN informe apenas 5,6% de casos com GIF 2, encontramos 12,4% durante nossas visitas. Entre os contatos, foram diagnosticados 181 casos novos, 127 (70,2%) foram diagnosticados como multibacilares e 17,1% apresentaram incapacidade física, sendo 5,5% GIF 2. A ocorrência de deficiência física foi predominante em pacientes MB, homens,> 40 anos de idade e sem cicatriz de BCG, todos os fatores de risco importantes para o desenvolvimento de deficiência. As diferenças de GIF encontradas no SINAN e no nosso estudo sugerem piora das funções sensório-motor após a alta da PQT, indicando a importância do acompanhamento destes pacientes por anos depois de terminar o tratamento MDT. A alta taxa de detecção de casos novos diagnosticados neste estudo reflete o baixo índice de avaliação de contatos no estado do Pará (58,8%), perpetuando o diagnóstico tardio. Os achados clínicos sugerem a existência de prevalência oculta e alto índice de infecção subclínica na amostra estudada, indicando necessidade de avaliação clínica periódica.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Pós-graduação em Ciências da Motricidade - IBRC
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The enteric nervous system regulates autonomously from the central nervous system all the reflex pathways that control blood flow, motility, water and electrolyte transport and acid secretion. The ability of the gut to function in isolation is one of the most intriguing phenomenons in neurogastroenterology. This requires coding of sensory stimuli by cells in the gut wall. Enteric neurons are prominent candidates to relay mechanosensitivity. Surprisingly, the identity of mechanosensitive neurons in the enteric nervous system as well as the appropriate stimulus modality is unknown despite the evidence that enteric neurons respond to sustained distension. Objectives: The aim of our study was to record from mechanosensitive neurons using physiological stimulus modalities. Identification of sensory neurons is of central importance to understand sensory transmission under normal conditions and in gut diseases associated with sensorimotor dysfunctions, such as Irritable Bowel Syndrome. Only then it will be possible to identify novel targets that help to normalise sensory functions. Methods: We used guinea-pig ileum myenteric plexus preparations and recorded responses of all neurons in a given ganglion with a fast neuroimaging technique based on voltage sensitive dyes. To evoke a mechanical response we used two different kinds of stimuli: firstly we applied a local mechanical distortion of the ganglion surface with von Frey hair. Secondarily we mimic the ganglia deformation during physiological movements of myenteric ganglia in a freely contracting ileal preparation. We were able to reliably and reproducibly mimic this distortion by intraganglionic injections of small volumes of oxygenated and buffered Krebs solution using stimulus parameters that correspond to single contractions. We also performed in every ganglion tested, electrical stimulations to evoke fast excitatory postsynaptic potentials. Immunohistochemistry reactions were done with antibodies against Calbindin and NeuN, considered markers for sensory neurons. Results: Recordings were performed in 46 ganglia from 31 guinea pigs. In every ganglion tested we found from 1 to 21 (from 3% to 62%) responding cells with a median value of 7 (24% of the total number of neurons). The response consisted of an almost instantaneous spike discharge that showed adaptation. The median value of the action potential frequency in the responding neurons was 2.0 Hz, with a recording time of 1255 ms. The spike discharge lasted for 302 ± 231 ms and occurred only during the initial deformation phase. During sustained deformation no spike discharge was observed. The response was reproducible and was a direct activation of the enteric neurons since it remained after synaptic blockade with hexamethonium or ω-conotoxin and after long time perfusion with capsaicin. Muscle tone appears not to be required for activation of mechanosensory neurons. Mechanosensory neurons showed a response to mechanical stimulation related to the stimulus strength. All mechanosensory neurons received fast synaptic inputs. There was no correlation between mechanosensitivity and Calbindin-IR and NeuN-IR (44% of mechanosensitive neurones Calb-IR-/NeuN-IR-). Conclusions: We identified mechanosensitive neurons in the myenteric plexus of the guinea pig ileum which responded to brief deformation. These cells appear to be rapidly accommodating neurons which respond to dynamic change. All mechanosensitive neurons received fast synaptic input suggesting that their activity can be highly modulated by other neurons and hence there is a low stimulus fidelity which allows adjusting the gain in a sensory network. Mechanosensitivity appears to be a common feature of many enteric neurons belonging to different functional classes. This supports the existence of multifunctional enteric neurons which may fulfil sensory, integrative and motor functions.