940 resultados para Monetary unions


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Inflation rates can differ across regions of monetary unions. We show that in the euro area, the US, Canada, Japan and Australia, inflation rates have been substantially and persistently different in different regions. Differences were particularly substantial in the euro area. Inflation differences can reflect normal adjustment processes such as price convergence or the Balassa-Samuelson effect, or can reflect the different cyclical position of regions. But they can also be the result of economic distortions resulting from segmented markets or unsustainable demand and credit developments fueled by low real interest rates. In normal times, the European Central Bank cannot influence such developments with its single interest rate instrument. However, unconventional policy measures can have different effects on different countries depending on the chosen instrument, and should be used to reduce fragmentation and ensure the proper transmission of monetary policy. The new macro prudential policy tools are unlikely to be practical in addressing inflation divergences. It is crucial to keep the average inflation rate close to two percent so that inflation differentials are possible without deflation in some parts of the euro area, which in turn might endanger area-wide financial stability and price stability.

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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-06

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Within a country-size asymmetric monetary union, idiosyncratic shocks and national fiscal stabilization policies cause asymmetric cross-border effects. These effects are a source of strategic interactions between noncoordinated fiscal and monetary policies: on the one hand, due to larger externalities imposed on the union, large countries face less incentives to develop free-riding fiscal policies; on the other hand, a larger strategic position vis-à-vis the central bank incentives the use of fiscal policy to, deliberately, influence monetary policy. Additionally, the existence of non-distortionary government financing may also shape policy interactions. As a result, optimal policy regimes may diverge not only across the union members, but also between the latter and the monetary union. In a two-country micro-founded New-Keynesian model for a monetary union, we consider two fiscal policy scenarios: (i) lump-sum taxes are raised to fully finance the government budget and (ii) lump-sum taxes do not ensure balanced budgets in each period; therefore, fiscal and monetary policies are expected to impinge on debt sustainability. For several degrees of country-size asymmetry, we compute optimal discretionary and dynamic non-cooperative policy games and compare their stabilization performance using a union-wide welfare measure. We also assess whether these outcomes could be improved, for the monetary union, through institutional policy arrangements. We find that, in the presence of government indebtedness, monetary policy optimally deviates from macroeconomic to debt stabilization. We also find that policy cooperation is always welfare increasing for the monetary union as a whole; however, indebted large countries may strongly oppose to this arrangement in favour of fiscal leadership. In this case, delegation of monetary policy to a conservative central bank proves to be fruitful to improve the union’s welfare.

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Les questions abordées dans les deux premiers articles de ma thèse cherchent à comprendre les facteurs économiques qui affectent la structure à terme des taux d'intérêt et la prime de risque. Je construis des modèles non linéaires d'équilibre général en y intégrant des obligations de différentes échéances. Spécifiquement, le premier article a pour objectif de comprendre la relation entre les facteurs macroéconomiques et le niveau de prime de risque dans un cadre Néo-keynésien d'équilibre général avec incertitude. L'incertitude dans le modèle provient de trois sources : les chocs de productivité, les chocs monétaires et les chocs de préférences. Le modèle comporte deux types de rigidités réelles à savoir la formation des habitudes dans les préférences et les coûts d'ajustement du stock de capital. Le modèle est résolu par la méthode des perturbations à l'ordre deux et calibré à l'économie américaine. Puisque la prime de risque est par nature une compensation pour le risque, l'approximation d'ordre deux implique que la prime de risque est une combinaison linéaire des volatilités des trois chocs. Les résultats montrent qu'avec les paramètres calibrés, les chocs réels (productivité et préférences) jouent un rôle plus important dans la détermination du niveau de la prime de risque relativement aux chocs monétaires. Je montre que contrairement aux travaux précédents (dans lesquels le capital de production est fixe), l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque dépend du degré des coûts d'ajustement du capital. Lorsque les coûts d'ajustement du capital sont élevés au point que le stock de capital est fixe à l'équilibre, une augmentation du paramètre de formation des habitudes entraine une augmentation de la prime de risque. Par contre, lorsque les agents peuvent librement ajuster le stock de capital sans coûts, l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque est négligeable. Ce résultat s'explique par le fait que lorsque le stock de capital peut être ajusté sans coûts, cela ouvre un canal additionnel de lissage de consommation pour les agents. Par conséquent, l'effet de la formation des habitudes sur la prime de risque est amoindri. En outre, les résultats montrent que la façon dont la banque centrale conduit sa politique monétaire a un effet sur la prime de risque. Plus la banque centrale est agressive vis-à-vis de l'inflation, plus la prime de risque diminue et vice versa. Cela est due au fait que lorsque la banque centrale combat l'inflation cela entraine une baisse de la variance de l'inflation. Par suite, la prime de risque due au risque d'inflation diminue. Dans le deuxième article, je fais une extension du premier article en utilisant des préférences récursives de type Epstein -- Zin et en permettant aux volatilités conditionnelles des chocs de varier avec le temps. L'emploi de ce cadre est motivé par deux raisons. D'abord des études récentes (Doh, 2010, Rudebusch and Swanson, 2012) ont montré que ces préférences sont appropriées pour l'analyse du prix des actifs dans les modèles d'équilibre général. Ensuite, l'hétéroscedasticité est une caractéristique courante des données économiques et financières. Cela implique que contrairement au premier article, l'incertitude varie dans le temps. Le cadre dans cet article est donc plus général et plus réaliste que celui du premier article. L'objectif principal de cet article est d'examiner l'impact des chocs de volatilités conditionnelles sur le niveau et la dynamique des taux d'intérêt et de la prime de risque. Puisque la prime de risque est constante a l'approximation d'ordre deux, le modèle est résolu par la méthode des perturbations avec une approximation d'ordre trois. Ainsi on obtient une prime de risque qui varie dans le temps. L'avantage d'introduire des chocs de volatilités conditionnelles est que cela induit des variables d'état supplémentaires qui apportent une contribution additionnelle à la dynamique de la prime de risque. Je montre que l'approximation d'ordre trois implique que les primes de risque ont une représentation de type ARCH-M (Autoregressive Conditional Heteroscedasticty in Mean) comme celui introduit par Engle, Lilien et Robins (1987). La différence est que dans ce modèle les paramètres sont structurels et les volatilités sont des volatilités conditionnelles de chocs économiques et non celles des variables elles-mêmes. J'estime les paramètres du modèle par la méthode des moments simulés (SMM) en utilisant des données de l'économie américaine. Les résultats de l'estimation montrent qu'il y a une évidence de volatilité stochastique dans les trois chocs. De plus, la contribution des volatilités conditionnelles des chocs au niveau et à la dynamique de la prime de risque est significative. En particulier, les effets des volatilités conditionnelles des chocs de productivité et de préférences sont significatifs. La volatilité conditionnelle du choc de productivité contribue positivement aux moyennes et aux écart-types des primes de risque. Ces contributions varient avec la maturité des bonds. La volatilité conditionnelle du choc de préférences quant à elle contribue négativement aux moyennes et positivement aux variances des primes de risque. Quant au choc de volatilité de la politique monétaire, son impact sur les primes de risque est négligeable. Le troisième article (coécrit avec Eric Schaling, Alain Kabundi, révisé et resoumis au journal of Economic Modelling) traite de l'hétérogénéité dans la formation des attentes d'inflation de divers groupes économiques et de leur impact sur la politique monétaire en Afrique du sud. La question principale est d'examiner si différents groupes d'agents économiques forment leurs attentes d'inflation de la même façon et s'ils perçoivent de la même façon la politique monétaire de la banque centrale (South African Reserve Bank). Ainsi on spécifie un modèle de prédiction d'inflation qui nous permet de tester l'arrimage des attentes d'inflation à la bande d'inflation cible (3% - 6%) de la banque centrale. Les données utilisées sont des données d'enquête réalisée par la banque centrale auprès de trois groupes d'agents : les analystes financiers, les firmes et les syndicats. On exploite donc la structure de panel des données pour tester l'hétérogénéité dans les attentes d'inflation et déduire leur perception de la politique monétaire. Les résultats montrent qu'il y a évidence d'hétérogénéité dans la manière dont les différents groupes forment leurs attentes. Les attentes des analystes financiers sont arrimées à la bande d'inflation cible alors que celles des firmes et des syndicats ne sont pas arrimées. En effet, les firmes et les syndicats accordent un poids significatif à l'inflation retardée d'une période et leurs prédictions varient avec l'inflation réalisée (retardée). Ce qui dénote un manque de crédibilité parfaite de la banque centrale au vu de ces agents.

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In the introduction to this collection on the principal–agent approach and the European Union’s (EU) foreign economic policies we briefly present the EU’s institutional structure for policy-making in trade, monetary, development and international competition and financial policy. We also offer some data on the extent of the EU’s involvement in the international economy. Our discussion of the principal–agent approach and how it can be applied to an analysis of the EU’s foreign economic policies forms the basis of the following contributions. It allows us to formulate three questions that are of particular interest for applications of the principal–agent approach to the EU. Finally, we summarize the various studies included in this collection.

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This paper analyzes some recent theoretical and practical evidence in terms of economic results of different exchange rate systems. It begins with a historical review and a summary of fixed versus flexible exchange rate systems. Then it compares the experiences of recent currency unions, mostly unilateral, and their relative economic performance during the past currency crises in Latin America, East Asia and Eastern Europe. A set of issues is discussed in order to weigh the overall costs and benefits for several economies. These issues include exchange rates, GDP performance, inflation rates and foreign reserves. The case of Argentina is also considered separately, comparing mostly seigniorage costs and interest-rate savings. The benefits and costs of the producers (central banks/governments) and the consumers (citizens) of money are discussed separately. Free banking is also considered in a fast-changing world where there will probably be fewer but better currencies. Not just the euro is a reality now, but maybe the "amero" and the "worldo" or the "mondo" very soon.

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Countries in a monetary union can adjust to shocks either through internal or external mechanisms. We quantitatively assess for the European Union a number of relevant mechanisms suggested by Mundell’s optimal currency area theory, and compare them to the United States. For this purpose, we update a number of empirical analyses in the economic literature that identify (1) the size of asymmetries across countries and (2) the magnitude of insurance mechanisms relative to similar mechanisms and compare results for the European Monetary Union (EMU) with those obtained for the US. To study the level of synchronization between EMU countries we follow Alesina et al. (2002) and Barro and Tenreyro (2007). To measure the effect of an employment shock on employment levels, unemployment rates and participation rates we perform an analysis based on Blanchard and Katz (1992) and Decressin and Fatas (1995). We measure consumption smoothing through capital markets, fiscal transfers and savings, using the approach by Asdrubali et al. (1996) and Afonso and Furceri (2007). To analyze risk sharing through a common safety net for banks we perform a rudimentary simulation analysis. |

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It is widely argued that the problems of Greece in the eurozone derive not only from mistakes made by successive Greek governments, but from deep-seated problems with the design of the euro area. The euro area is judged to be incomplete because it does not have any fiscal shock absorbers, nor a federal transfer system, and, according to many, it has imposed senseless austerity on the country. The US, by contrast, is often held up as an example of a complete monetary union in this type of problem could not arise. However, the working of the US is much less perfect than it appears from afar. The ‘genuine’ economic and monetary union, which undoubtedly exists in the US, also has problems in dealing with low-performing states in terms of productivity and governance. Puerto Rico exemplifies these difficulties and shows that in such an integrated area similar problems, including a fiscal crisis can arise. Both Puerto Rico and Greece are very special and extreme cases within their respective unions, but the strength of a system can be measured by how it deals with these cases.

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A guide to the European Union’s Economic and Monetary Union (EMU), with hyperlinks to sources of information within European Sources Online and on external websites

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The objective of this study is to verify the dynamics between fiscal policy, measured by public debt, and monetary policy, measured by a reaction function of a central bank. Changes in monetary policies due to deviations from their targets always generate fiscal impacts. We examine two policy reaction functions: the first related to inflation targets and the second related to economic growth targets. We find that the condition for stable equilibrium is more restrictive in the first case than in the second. We then apply our simulation model to Brazil and United Kingdom and find that the equilibrium is unstable in the Brazilian case but stable in the UK case.

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Este artigo analisa, pela primeira vez na literatura, o impacto dos sindicatos de trabalhadores em vários indicadores de desempenho econômico de firmas industriais brasileiras. Realizou-se uma pesquisa retrospectiva sobre a densidade sindical de 1000 estabelecimentos industriais brasileiros e seus resultados foram combinados aos indicadores de desempenho econômico da Pesquisa Industrial Anual (PIA) de 1990 a 2000. Os resultados indicam que a relação entre a densidade sindical na firma e seus salários, emprego e produtividade, é não-linear, ou seja, um aumento no grau de sindicalização leva a um melhor desempenho, porém a taxas decrescentes. Observou-se, também, uma relação negativa entre sindicalização e rentabilidade. Finalmente, estabelecimentos que introduziram mecanismos de 'participação nos lucros' aumentaram sua produtividade e rentabilidade no período e pagaram maiores salários nas firmas onde o grau de sindicalização era maior.