997 resultados para Littérature et histoire
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1798/07 (T1).
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1804/08 (T5).
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Contient : Histoire du Saint-Graal, par ROBERT DE BORON. « [C]hil ki se tient et juge au plus peceor de tous, mande salus... » [Le Saint Graal, éd. Hucher, II, 3, note] ; « ... et commenche messire ROBERS en tel manière [Ibid., III, 303], comme vos poerés oïr, s'il est ki le vos die. Or nous consaut Sainte Marie. Explicit li commencemens de l'estoire del s. Graal, et chi après vient l'estoire de Merlin. Dieu nous maint tous à boine fin. Amen. » [Cf. l'explicit dans le ms. franç. 95] ; Histoire de Merlin, par ROBERT DE BORON. « Mout fut iriés li anemis, quant nostre sires ot estei en enfer... » ; «... si come li contes le vous devisera cha avant. Explicit l'enserrement de Merlin. Diex nous maint tous à boine fin. Amen »
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Contient : I Image du monde, poème de GAUTIER DE METZ ; II
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Contient : I園林午夢Yuan lin wu meng.Songe de midi dans le bosquet ; II圍棋馬局Wei qi ma ju.L'échiquier ; III西廂摘句骰譜Xi xiang zhe ju tou pu.Tableaux explicatifs des parties de dés du Xi xiang ji ; IV錢塘夢Qian tang meng.Songe de Qian tang ; V會眞記Hui zhen ji.Histoire du portrait ; VI李卓吾先生(alias 卓老)批㸃西廂記眞本Li zhuo wu xian sheng (alias tcho lao) pi dian xi xiang ji zhen ben.Le Xi xiang ji (Histoire du pavillon occidental), ponctué par Li Zhuo wu ; VII新校琵琶記始末Xin jiao pi pa ji shi mo.Le Pi pa ji (Histoire du luth), édition revue
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UANL
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La ligne directrice de notre recherche est de questionner l'évidence d'une distinction disciplinaire entre la sociologie et l'histoire. Vue l'étendue du sujet, nous avons adopté une posture exploratoire en suivant deux pistes. La première consiste à interroger un critère de distinction courant et selon lequel la sociologie serait davantage explicative alors que l'histoire serait essentiellement descriptive. À la lumière d'une mise en débat des positions de Durkheim et Weber pour la sociologie et de celles de l'histoire traditionnelle et des Annales pour l'histoire, nous avons noté une tendance à la diversité des conceptions disciplinaires qui semblent confirmée par certains travaux de recherche des auteurs discutés. Constatant un décalage entre les discours de définition disciplinaire et les recherches à proprement parler, la seconde piste d'exploration s'attarde à l'analyse des disciplines à l'oeuvre. À travers une sélection de trois études d'histoire et trois études de sociologie, nous avons cherché à identifier ce qui pourrait être considéré comme des fondements d'une distinction disciplinaire. Loin de fournir une ligne de démarcation claire, les oeuvres analysées semblent plutôt indiquer que l'histoire et la sociologie participent à une pratique analytique commune guidée par un processus d'interrogation complexe. Nous avançons que l'analyse des distinctions disciplinaires devrait se poursuivre par la recherche de postures interrogatives propres à chacune de l'histoire et de la sociologie.
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La somme romanesque que représente À la recherche du temps perdu se constitue au prix d’une « recherche » qui est à prendre au pied de la lettre, et qui instaure le sujet connaissant en savant-chercheur face à son objet de savoir. Proust fait en effet du « savoir » la condition même du talent, et fait entreprendre à son héros une exploration qui se présente en priorité comme étant une quête de savoirs. Ce travail se situe dans le sillage de l’épistémocritique qui étudie l’inscription dans le texte littéraire des savoirs en général, tout en insistant sur les savoirs qui relèvent de la science. Notre but est de dégager la posture épistémique qui caractérise le narrateur de la Recherche face aux divers savoirs qu’il récolte au cours de ses observations. Le parcours cognitif du narrateur est examiné suivant les quatre grandes étapes de sa recherche, que nous redéfinissons en termes de paradigmes : le paradigme de l’Exploration, qui définit une « épistémologie de l’observateur » ; le paradigme de la Communication, qui définit une « épistémologie de l’homme social » et une « épistémologie de l’homme moderne » ; le paradigme de l’Introspection, qui prépare à l’élaboration d’une « épistémologie du personnage intérieur » ; et enfin, le paradigme de la Vocation, qui rassemble les réponses trouvées par le narrateur à la plupart des questionnements qui auront jalonné son parcours cognitif. Ce dernier paradigme se présente sous la forme d’une « épistémologie de la création », d’une « épistémologie du réel » et d’une « épistémologie du hasard ». Car en dépit d’une démarche qui apparaît soumise aux médiations culturelles, la recherche du héros proustien se présente comme une « pensée de l’imprévisible » : fortement déterminée par la recherche cognitive du protagoniste, elle demeure pourtant irréductible à cette seule recherche. Nous dégageons, pour terminer, le statut réservé à la science et aux savoirs positifs en regard de la découverte de la vocation, mais aussi par rapport à l’élaboration d’une théorie de la création littéraire : ces deux grands domaines du savoir sont-ils considérés par Proust comme inconciliables avec une priorité évidente de l’un sur l’autre ou, au contraire, participent-ils tous deux d’une manière égale à la connaissance et à la création artistique ?