942 resultados para Left wing
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Why did a majority of French voters reject the Treaty Establishing a Constitution for Europe in the 2005 referendum? We argue here that the collective mobilization of the left-wing ‘No’ camp made the decisive difference through its formation of ‘Collectifs pour le non’, a coalition which facilitated the public expression of an anti-liberal and pro-European position capable of bringing together the Green and Socialist electorates, along with other parts of the left. Using a comprehensive analysis of the multi-organizational field of protest constituted by the mobilization of the left-wing ‘No’ camp, we show first that the mobilization was a ‘European affair’, in the sense that it developed a pro-European position in the context of struggles against liberal forces. Second, we show that the mobilization was also a ‘French’ affair because it relied on the high valuation of the ‘national’ mode of belonging, through the defence of the French state model.
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En 1936, l’American Music League publiait le recueil de chansons afro-américaines Negro Songs of Protest collectées par le folkloriste communiste Lawrence Gellert. Puis en 1938 et 1939, grâce au financement du mouvement communiste américain, le producteur John Hammond présentait deux concerts intitulés From Spirituals to Swing au Carnegie Hall de New York. En plus de rendre hommage à l’histoire de la musique noire américaine, ces deux concerts défiaient la ségrégation raciale, permettant au Noirs et aux Blancs d’être rassemblés sur une même scène et de s’asseoir ensemble dans l’assistance. Au même moment, la chanteuse jazz Billie Holiday faisait fureur au Café Society, premier club « intégré » de New York et lieu de rassemblement de la gauche radicale, en interprétant soir après soir la chanson ‘’Strange Fruit’’ qui dénonçait l’horreur du lynchage toujours en vigueur dans le Sud des États-Unis. C’était l’époque du Front Populaire, la plus importante période d’influence du mouvement communiste aux États-Unis et, de surcroît, le moment de l’histoire américaine durant lequel la gauche organisée détenait un pouvoir sans précédent sur la culture de masse. Partant d’une discussion sur le potentiel révolutionnaire de la musique noire américaine et cherchant à comprendre le positionnement des mouvements sociaux vis-à-vis la culture, ce mémoire met en lumière le point de vue des communistes américains blancs face à l’émergence et à la popularité grandissante du blues et du jazz noirs aux États-Unis. En fonction des trois principales phases politiques du Parti Communiste américain (CPUSA) – la phase du colorblind class (1919-1928); la phase du nationalisme noir (1928-1935); le Front Populaire (1935-1940) – ce mémoire retrace les changements d’attitude de la vieille gauche envers la culture populaire et suggère que le mouvement communiste américain a tenté d’utiliser le blues et le jazz à des fins d’agit-prop.
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Alors que l’intérêt pour les processus d’intégration des immigrants et des minorités ethniques est en pleine croissance parmi les chercheurs européens, les facteurs qui expliquent les différentes formes de participation civique et politique doivent être examinés plus en profondeur. Prenant pour base la littérature sur l’immigration, cette étude examine la question de recherche suivante: Comment peut-on expliquer les variations des formes de participation civique et politique des activistes issus de l’immigration au niveau local? Afin de répondre à cette question, cette étude identifie les formes de participation de la part d’activistes issus de l’immigration dans quatre villes Italiennes et examine les discours et les pratiques de multiples acteurs impliqués dans le domaine de l’immigration dans un contexte national d’hostilité croissante. Cette thèse soutient que pour comprendre différentes formes de participation, il est important de considérer non seulement l’État et les acteurs institutionnels, mais aussi les acteurs non-institutionnels et examiner comment ces derniers influencent les opportunités ainsi que les restrictions à la participation. Par ailleurs, cette recherche examine les canaux conventionnels et non-conventionnels dans quatre villes italiennes et étudie les activistes issus de l’immigration comme des acteurs politiques pertinents, capables de se mobiliser et d’influencer la participation à travers leur interaction et alliances avec les acteurs de la société d’accueil. Cette recherche a permis de produire trois résultats. Le premier montre que les approches d’intégration adoptées par les acteurs sont importantes. Cette étude a identifié trois approches d’intégration: 1) « welfariste », basée sur l’idée que les immigrants sont dans le besoin et doivent donc recevoir des services; 2) interculturelle, basée sur l’idée que les immigrants sont de futurs citoyens et que l’intégration est réciproque; 3) promotion des droits politiques, basée sur l’idée que les immigrants ont des droits politiques fondamentaux ; et qui encourage l’ouverture des canaux de participation politique, surtout aux immigrants privés du droit de vote local. L’analyse empirique démontre que, alors que l’approche welfariste n’encourage pas la participation parce qu’elle conçoit les immigrants comme des acteurs passifs, les autres deux approches ont respectivement un impact sur les formes de participation civique et politique. La deuxième conclusion souligne le rôle des acteurs de gauche. En particulier, cette étude montre que les acteurs qui ouvrent de canaux pour la participation ne sont pas uniquement les acteurs de gauche modérée, comme les autorités locales, les partis politiques et les syndicats, mais aussi les groupes de gauche radicale et non-institutionnelle. Chaque acteur de gauche comprend et agit différemment par rapport aux sujets de l’immigration et de la participation et ce fait influence comment les activistes issues de l’immigration se mobilisent. La troisième conclusion met en évidence le rôle de la perception des opportunités par les activistes issus de l’immigration et la façon avec laquelle ils s’approprient les discours et les pratiques des acteurs de gauche. Ce travail démontre que l’ouverture de canaux est possible grâce à l’engagement de personnes issues de l’immigration qui agissent à travers les opportunités qui leurs sont offertes, créent des alliances avec la gauche et défient les discours et pratiques des acteurs locaux.
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Diferentes fenómenos en los procesos políticos latinoamericanos han traído cambios trascendentales a los escenarios de gobierno de América latina protagonizados por fuerzas y movimientos políticos que han sido calificadas y denominadas como nueva izquierda. Planteando un nuevo modelo político surgen una nueva izquierda en Brasil, pragmática y cercana al centro; y una izquierda venezolana de corte radical; modelos que han trascendido sus fronteras incidiendo en los procesos políticos, sociales y económicos de la región. Analizar el creciente y particular interés que tienen estas nuevas fuerzas de izquierda brasileña y venezolana de ejercer un liderazgo en los procesos de integración latinoamericanos podría permitir comprender mejor las dinámicas actuales de dichos procesos de integración así como su proyección futura.
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Asumiendo que existe una tendencia de la opinión pública y académica por relacionar la idea de revolución con procesos netamente de izquierda, se propone comprender el término como concepto y como metáfora con el fin de alejarlo de la polarización ideológica. En esta investigación se abordan los conceptos políticos y su relación con las metáforas a partir de unos principios teóricos básicos: la idea de Koselleck de que los conceptos tienen historia, y la idea de Blumenberg de que muchos conceptos fundamentales son potentes porque en el fondo son metáforas. Posteriormente se observa cómo las diferentes posturas políticas han adoptado o rechazado la idea de revolución como parte de sus proyectos políticos. Finalmente, el caso del fascismo se presenta como un escenario clave para comprobar la trascendencia del concepto y las implicaciones de su uso en términos discursivos y prácticos
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Este trabajo examina la teoría sobre guerras civiles y resolución de conflictos con el fin de contestar la pregunta: ¿por qué fracasan o progresan los procesos de paz? Se miraron los procesos de paz en Colombia en los últimos cinco años cuando comenzó y fracasó el proceso de paz con las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia, FARC y comenzaron con las Autodefensas Unidas de Colombia, AUC. La teoría revela la relevancia de factores económicos, políticos, participación externa y militares para explicar por que fallan o prosperan los procesos de paz. Por su parte, el fracaso de las negociaciones con las FARC puede explicarse por razones de estrategia militar, el rol de la violencia durante la negociación y la falta de participación internacional. De otro lado, evitando todos los puntos sensibles de la negociación inicial, las AUC ganaron apoyo de la opinión publica y la confianza del gobierno para iniciar los diálogos. De esta forma, tenemos dos procesos recientes en Colombia para analizar: uno que fallo y el otro que esta progresando. El análisis de estos procesos puede ayudarnos a contestar la pregunta inicial de este trabajo.
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El ´aggiornamento´ de la Iglesia Católica con los signos de los tiempos, llevó a la institución eclesiástica a proponer, a la luz del Evangelio, soluciones cristianas para los problemas del género humano en el mundo moderno. El catolicismo se reconcilio así con el mundo moderno, trasladándose de su posición intransigente, propia del proceso de Romanización de la Iglesia Católica del siglo XIX, hacia una apertura de las ventanas de la Iglesia para que entrara el aire del mundo. Con el Concilio Ecuménico Vaticano II, la Iglesia posibilitó pensar en la existencia de un puente entre el catolicismo y la izquierda en Colombia, abriéndose al diálogo con visiones de mundo que tradicionalmente había rechazado. Con ello se fue cerrando la brecha entre el catolicismo y la orientación ideológica política de izquierda en el país, permitiendo pensar en la posibilidad de ser católico y de izquierda en el contexto político Colombiano.
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El gironí Josep Claret Rubira (1908-1988), arquitecte de professió i artista-dibuixant de vocació, va obtenir el títol l'any 1933, a l'Escola d'Arquitectura de Barcelona. D'ençà d'aquella data i fins a mitjan dels anys 70, va projectar una quantitat enorme d'edificis de múltiples tipologies i nombrosos plans d'urbanització, arreu de les comarques gironines i menorquines. Amb ideologia primerenca propera a les esquerres catalanistes, es va haver d'adaptar al règim franquista, per poder continuar treballant i vivint a Catalunya. Malgrat que inicialment li deuria costar un gran esforç, el procés d'amotllament el va tenir planer (almenys aparentment), gràcies al seu parentiu -per via matrimonial- amb una família que hi estava estretament vinculada. És autor d'obres d'elevat nivell arquitectònic -amb poques que siguin conegudes i reconegudes- i un clar conformador del paisatge de les seves contrades, fet influent en la societat que hi ha estat habitant i que hi viu encara avui dia. La seva arquitectura és un magnífic exemple del que agradava a les generacions de durant cinc dècades. És també autor d'obres que, moltes vegades, no s'adiuen gens amb el que la Història de l'Arquitectura dóna per bones, però que reflecteixen el gust, les preferències i les prioritats d'una societat determinada.
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Aborda-se a temática das estruturas de valores e consequente impacto nas atitudes e comportamentos na sociedade em geral e no trabalho em particular. Uma amostra diversificada de 157 participantes, recrutada em diferentes meios sociais, variando assim em termos etários, de qualificações académicas, de classe social e de simpatia partidária, respondeu a um questionário sobre valores, valores de trabalho e orientações políticas. Primeiro, verificámos que as orientações político-ideológicas são estruturadas em duas dimensões correlacionadas mas independentes: a esquerda-direita e o autoritarismo-liberdade. Também verificámos que diferentes dimensões supraordenadas de valores do modelo de valores universais de Schwartz estruturam os valores de trabalho e as orientações político-ideológicas, com impactos específicos sobre as funções laborais desejáveis e as preferências socioeconómico-culturais. Finalmente, os efeitos das dimensões de classe social (detenção de capital e qualificação académica) sobre as orientações político-ideológicas sugerem que as dimensões direita-esquerda e autoritarismo-liberdade, apesar de estarem correlacionadas, têm motivações e origens sociológicas diferentes.
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Este artículo estudia el proceso de constitución, apogeo y disolución de las haciendas que fueron de propiedad de la Universidad Central del Ecuador, en el cantón Saquisilí, provincia de Cotopaxi, entre 1930 y 1980. Este estudio considera que la hacienda constituyó un sistema de poder (biopoder) con alto grado de autonomía respecto a las leyes e instituciones del Estado, sometida a la voluntad soberana del hacendado y administrada por arrendatarios que ejercían a menudo una autoridad despótica. El artículo destaca la resistencia indígena, la participación de la izquierda en la crítica al sistema de hacienda, y la reticencia de la Universidad Central a entregar la tierra a los campesinos.
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El artículo analiza como el cambio en el manejo de las relaciones económicas internacionales, impulsado por los gobiernos de izquierda en la región andina tendrá efecto en el mediano y largo plazo y definirá aspectos claves de su manejo económico.
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El autor presenta algunas implicaciones y características del proceso de ascenso de las izquierdas latinoamericanas y refuta las que considera idealizaciones y falsedades del mismo. Igualmente analiza algunos de los factores que considera ayudan a explicar esta emergencia izquierdista en América Latina.
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This article argues that those termed 'liberals' in the United States had the opportunity in the late 1940's to use overseas case studies to reshape the ramshackle political agenda of the New Deal along more specifically social democratic lines, but hat they found it impossible to match interest in the wider world with a concrete programme to overcome tension between left-wing politics and the emerging anti-totalitarianism of the Cold War. The American right, by contrast, conducted a highly organised publicity drive to provide new meaning for their anti-statist ideology in a post-New Deal, post-isolationist United States by using perceived failures of welfare states overseas as domestic propaganda. The examples of Labour Britain after 1945 and Labour New Zealand both provided important case studies for American liberals and conservatives, but in the Cold War it was the American right who would benefit most from an ideologically driven repackaging of overseas social policy for an American audience.
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There are competing theoretical expectations and conflicting empirical results concerning the impact of partisanship on spending on active labour market policies (ALMPs). This paper argues that one should distinguish between different ALMPs. Employment incentives and rehabilitation programmes incentivize the unemployed to accept jobs. Direct job creation reduces the supply of labour by creating non-commercial jobs. Training schemes raise the human capital of the unemployed. Using regression analysis this paper shows that the positions of political parties towards these three types of ALMPs are different. Party preferences also depend on the welfare regime in which parties are located. In Scandinavia, left-wing parties support neither employment incentives nor direct job creation schemes. In continental and Liberal welfare regimes, left-wing parties oppose employment incentives and rehabilitation programmes to a lesser extent and they support direct job creation. There is no impact of partisanship on training. These results reconcile the previously contradictory findings concerning the impact of the Left on ALMPs.
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O objetivo desta Tese é compreender a atuação de partidos à esquerda do espectro político face à agenda de reformas da gestão pública. Especificamente, este estudo busca entender as motivações e interesses de governos liderados por partidos de esquerda ao expandirem e consolidarem parcerias com Organizações Sociais (OS) para provisão de serviços públicos – política voltada para a gestão pública, criticada por aqueles partidos e que contraria o interesse de parte de sua base social: o funcionalismo público. A pesquisa contribui para o debate ao intricar ao tema da gestão pública o debate político. Para alguns autores, esta é uma das principais lacunas dos estudos da área. Para atingir este objetivo foi realizado um estudo de casos múltiplos nos estados da Bahia e Pernambuco durante os governos do Partido dos Trabalhadores (PT) e Partido Socialista Brasileiro (PSB). Dentre as experiências estaduais recentes, os casos selecionados se destacam pela rápida expansão das parcerias com OS. Os resultados da pesquisa apontam que a expansão da parceria com as Organizações Sociais nos dois governos foi motivada pelas restrições orçamentárias, pela ineficiência dos equipamentos públicos e pelas características intrínsecas ao modelo, principalmente aquelas com poder de torná-lo mais ágil. A situação de grave crise setorial – saúde, nos dois casos estudados – foi fator chave para a expansão do modelo. A pesquisa também identificou que as resistências políticas foram minimizadas através da ampliação das alianças políticas e da distribuição de cargos e, para diminuir as resistências da base social dos partidos, os governos se aproximaram dos sindicatos e das categorias de classe mais afetadas por essa política de gestão.