996 resultados para Intra-articular injection
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The aim of this study was to evaluate the peripheral effect of 15-deoxy-Δ12,14-prostaglandin J2 (15d-PGJ2) in albumin-induced arthritis in temporomandibular joint (TMJ) of rats. Antigen-induced arthritis (AIA) was generated in rats with methylated bovine serum albumin (mBSA) diluted in complete Freund׳s adjuvant. Pretreatment with an intra-articular injection of 15d-PGJ2 (100 ng/TMJ) before mBSA intra-articular injection (10 µg/TMJ) (challenge) in immunized rats significantly reduced the albumin-induced arthritis inflammation. The results demonstrated that 15d-PGJ2 was able to inhibit plasma extravasation, leukocyte migration and the release of inflammatory cytokines IL-6, IL-12, IL-18 and the chemokine CINC-1 in the TMJ tissues. In addition, 15d-PGJ2 was able to increase the expression of the anti-adhesive molecule CD55 and the anti-inflammatory cytokine IL-10. Taken together, it is possible to suggest that 15d-PGJ2 inhibit leukocyte infiltration and subsequently inflammatory process, through a shift in the balance of the pro- and anti-adhesive properties. Thus, 15d-PGJ2 might be used as a potential anti-inflammatory drug to treat arthritis-induced inflammation of the temporomandibular joint.
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La douleur articulaire associée à l’arthrose est un problème clinique majeur, spécialement chez les personnes âgées. L’intensité de la douleur est souvent amplifiée lors de mouvement de l’articulation et principalement lors du soutien de la charge corporelle sur le membre lésé. Malheureusement, les traitements pharmacologiques proposés sont trop souvent associés à des effets secondaires néfastes et à une inefficacité pour le soulagement de la douleur à long terme. Divers modèles murins sont utilisés en laboratoire de recherche pour des études précliniques de molécules aux propriétés analgésiques. Une évaluation comparative de la réponse comportementale douloureuse des animaux d’un modèle d’instabilité articulaire induit par le sectionnement du ligament croisé antérieur accompagné d’une méniscectomie partielle (le modèle ACLT+pMMx) et d’un modèle de dégénérescence articulaire induite par le monoiodoacetate (le modèle MIA) a permis de sélectionner un modèle approprié pour la continuité du projet. Les deux modèles ont démontré des lésions tissulaires, mais le modèle MIA a démontré une réponse douloureuse plus prononcée que le modèle ACLT+pMMx. Par l’analyse de la démarche, le modèle MIA a démontré une boiterie claire dans le patron de la démarche des animaux qui est associée à une lésion unilatérale. Le modèle MIA a donc été choisi pour la suite du projet. La problématique principale dans la recherche sur la douleur associée à l’arthrose est une compréhension incomplète des mécanismes de douleur responsables de l’induction et du maintien de l’état de douleur. Il devient donc nécessaire d’améliorer nos connaissances de ces mécanismes en effectuant une caractérisation plus approfondie des modèles animaux employés pour l’évaluation de stratégies pharmacologiques analgésiantes. Afin de bien comprendre le modèle MIA, une caractérisation des événements moléculaires centraux lors de la progression du processus dégénératif des structures articulaires de ce modèle s’est effectuée aux jours 3, 7, 14, 21 et 28 post injection. Des mécanismes hétérogènes qui modulent l’information nociceptive en fonction de la progression temporelle de la pathologie ont été observés. Les changements du contenu i spinal des neuropeptides sélectionnés (substance P, CGRP, dynorphine A et Big dynorphine) ont débuté sept jours suivant l’injection de MIA. L’observation histologique a démontré que les dommages structuraux les plus importants surviennent entre les jours 14 et 21. C’est entre les jours 7 et 21 que les lésions démontrent le plus de similarités à la pathologie humaine. Cela suggère que lors d’une évaluation préclinique d’un traitement pharmacologique pour pallier la douleur articulaire utilisant le modèle MIA, l’étude doit tenir compte de ces événements afin de maximiser l’évaluation de son efficacité. Puisque les traitements pharmacologiques conventionnels proposés pour le soulagement de la douleur ne font pas l’unanimité en terme d’efficacité, d’effets non désirés et de coûts monétaires parfois onéreux, les molécules de dérivés de plante deviennent une alternative intéressante. L’eugénol, le principal constituant de l’huile de clou de girofle, a été administré oralement pour une période de 28 jours chez des rats ayant reçu l’injection intra-articulaire de MIA afin d’évaluer son efficacité pour le traitement de la douleur articulaire. L’eugénol à une dose de 40 mg/kg s’est révélé efficace pour l’amélioration du patron de la démarche des animaux ainsi que pour la diminution de l’allodynie mécanique secondaire. De plus, les concentrations spinales de neuropeptides pronocicepteurs ont diminué chez les animaux traités. Par une évaluation histopathologique, l’eugénol n’a démontré aucune évidence d’effets toxiques suite à une administration per os quotidienne pour une période prolongée. Ces résultats suggèrent le potentiel thérapeutique complémentaire de la molécule d’eugénol pour le traitement de la douleur articulaire.
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Les modèles animaux d’arthrose sont utilisés sur le rat depuis des décennies pour évaluer l’efficacité analgésique de nombreux composés. Cependant, la méthodologie utilisée, en particulier les protocoles d’évaluation de la douleur, est très différente d’une étude à une autre, rendant difficile la comparaison entre chaque projet. Afin d'améliorer le transfert des résultats précliniques vers la recherche clinique, ce projet propose d'établir un protocole d'évaluation de la douleur fiable et pertinent, et de le valider à l’aide du modèle d’arthrose expérimental le plus populaire, soit l’injection intra-articulaire de mono-iodoacétate de sodium (MIA). La répétabilité et la fiabilité inter-évaluateur de diverses méthodes d’évaluation de la douleur ont été évaluées, et le protocole d'acclimatation le plus fiable a été déterminé. Ensuite, les méthodes les plus intéressantes ont été testées pour leur sensibilité à détecter les altérations douloureuses induites par l’injection de MIA, ainsi que leur réponse au traitement analgésique, soit une injection intra-articulaire de lidocaïne. Une période d'acclimatation adéquate associée à un protocole d'évaluation combinant des mesures réflexes, des comportements spontanés ainsi que des tests opérants ont témoigné avec succès des changements douloureux liés à l'injection de MIA. Le test opérant fut la méthode la plus sensible pour détecter l'effet analgésique de la lidocaïne. Cette étude a permis d’établir le protocole d’acclimatation et les méthodes de l’évaluation de la douleur les plus fiables et sensibles. Aussi, il a démontré la pertinence du test opérant pour détecter la composante affective de la douleur chez les rongeurs.
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Introducción: En la actualidad se están implementando nuevas técnicas, para el tratamiento de líneas de expresión facial. El Plasma Rico en Plaquetas (PRP) utiliza factores de crecimiento humano autólogos con fines médicos estéticos. El objetivo de este trabajo fue evaluar el tratamiento con plasma rico en plaquetas en el manejo del rejuvenecimiento periocular. Materiales y métodos: Estudio descriptivo retrospectivo en una cohorte de 27 pacientes entre 30 a 70 años de ambos sexos,tratados con PRP sin tratamientos médicos estéticos previos . Se compararon fotografías del sistema VISIA®, previo y posterior el PRP, para determinar los cambios del área periocular. Con análisis comparativo de medias utilizando pruebas t de student. Resultados: De 27 historias clínicas revisadas 96,3% eran mujeres, la edad promedio fue de 52.67 años. Se observaron cambios clínicos satisfactorios en el manejo del foto envejecimiento periocular con mejoría estadísticamente significativa entre el promedio inicial y el post tratamiento en arrugas, textura y porfirinas (p: 0.000). No se observaron diferencias estadísticamente significativas entre los grupos de edad (p = 0,62). Los pacientes analizados posterior al tratamiento se encuentran en mejor estado que el 63,78% de la población de su mismo sexo, edad y fototipo de piel. Los eventos adversos fueron disminuyendo en su frecuencia en cada una de las sesiones siguientes. Discusión: El PRP proporciona una mejoría global en los parámetros de envejecimiento periocular lo cual se correlaciono con los estudios previos in vitro. Conclusiones: El PRP es seguro y eficaz en contorno de ojos.
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The proteinase-activated receptor 2 (PAR(2)) is a putative therapeutic target for arthritis. We hypothesized that the early pro-inflammatory effects secondary to its activation in the temporomandibular joint (TMJ) are mediated by neurogenic mechanisms. Immunofluorescence analysis revealed a high degree of neurons expressing PAR(2) in retrogradely labeled trigeminal ganglion neurons. Furthermore, PAR(2) immunoreactivity was observed in the lining layer of the TMJ, co-localizing with the neuronal marker PGP9.5 and substance-P-containing peripheral sensory nerve fibers. The intra-articular injection of PAR(2) agonists into the TMJ triggered a dose-dependent increase in plasma extravasation, neutrophil influx, and induction of mechanical allodynia. The pharmacological blockade of natural killer 1 (NK(1)) receptors abolished PAR(2)-induced plasma extravasation and inhibited neutrophil influx and mechanical allodynia. We conclude that PAR(2) activation is proinflammatory in the TMJ, through a neurogenic mechanism involving NK(1) receptors. This suggests that PAR(2) is an important component of innate neuro-immune response in the rat TMJ.
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Background and purpose: Recent findings suggest that the noxious gas H(2)S is produced endogenously, and that physiological concentrations of H(2)S are able to modulate pain and inflammation in rodents. This study was undertaken to evaluate the ability of endogenous and exogenous H(2)S to modulate carrageenan-induced synovitis in the rat knee. Experimental approach: Synovitis was induced in Wistar rats by intra-articular injection of carrageenan into the knee joint. Sixty minutes prior to carrageenan injection, the rats were pretreated with indomethacin, an inhibitor of H(2)S formation (dl-propargylglycine) or an H(2)S donor [Lawesson`s reagent (LR)]. Key results: Injection of carrageenan evoked knee inflammation, pain as characterized by impaired gait, secondary tactile allodynia of the ipsilateral hindpaw, joint swelling, histological changes, inflammatory cell infiltration, increased synovial myeloperoxidase, protein nitrotyrosine residues, inducible NOS (iNOS) activity and NO production. Pretreatment with LR or indomethacin significantly attenuated the pain responses, and all the inflammatory and biochemical changes, except for the increased iNOS activity, NO production and 3-NT. Propargylglycine pretreatment potentiated synovial iNOS activity (and NO production), and enhanced macrophage infiltration, but had no effect on other inflammatory parameters. Conclusions and implications: Whereas exogenous H(2)S delivered to the knee joint can produce a significant anti-inflammatory and anti-nociceptive effect, locally produced H(2)S exerts little immunomodulatory effect. These data further support the development and use of H(2)S donors as potential alternatives (or complementary therapies) to the available anti-inflammatory compounds used for treatment of joint inflammation or relief of its symptoms.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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The objectives of this study were to establish dose-response and blood concentration-response relationships for robenacoxib, a novel nonsteroidal anti-inflammatory drug with selectivity for inhibition of the cyclooxygenase (COX)-2 isoenzyme, in a canine model of synovitis. Acute synovitis of the stifle joint was induced by intra-articular injection of sodium urate crystals. Robenacoxib (0.25, 0.5, 1.0, 2.0 and 4.0 mg/kg), placebo and meloxicam (0.2 mg/kg) were administered subcutaneously (s.c.) 3 h after the urate crystals. Pharmacodynamic endpoints included data from forceplate analyses, clinical orthopaedic examinations and time course of inhibition of COX-1 and COX-2 in ex vivo whole blood assays. Blood was collected for pharmacokinetics. Robenacoxib produced dose-related improvement in weight-bearing, pain and swelling as assessed objectively by forceplate analysis (estimated ED(50) was 1.23 mg/kg for z peak force) and subjectively by clinical orthopaedic assessments. The analgesic and anti-inflammatory effects of robenacoxib were significantly superior to placebo (0.25-4 mg/kg robenacoxib) and were non-inferior to meloxicam (0.5-4 mg/kg robenacoxib). All dosages of robenacoxib produced significant dose-related inhibition of COX-2 (estimated ED(50) was 0.52 mg/kg) but no inhibition of COX-1. At a dosage of 1-2 mg/kg administered s.c., robenacoxib should be at least as effective as 0.2 mg/kg of meloxicam in suppressing acute joint pain and inflammation in dogs.
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Viscosupplementation, the intra-articular injection of hyaluronic acid, is widely used for symptomatic knee osteoarthritis.
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OBJECTIVE: To compare the analgesic and anti-inflammatory effect of single doses of carprofen, etodolac, meloxicam, and butorphanol in dogs with induced acute synovitis (acute pain model) via kinetic gait analysis and orthopedic evaluation and examine measurement of serum C-reactive protein (CRP) concentration as an indicator of treatment efficacy. ANIMALS: 12 Beagles and 6 additional Beagles that were used only in serum CRP analyses. PROCEDURE: Acute synovitis was induced in right stifle joints of dogs via intra-articular injection of monosodium urate solution. Treatments included butorphanol (0.2 mg/kg, i.v.), carprofen (4 mg/kg, PO), etodolac (17 mg/kg, PO), or meloxicam (0.2 mg/kg, PO); control dogs received no treatment. The procedure was repeated (3-week intervals) until all dogs received all treatments including control treatment. Lameness was assessed on a biomechanical force platform and via orthopedic evaluations of the stifle joints; blood was collected to monitor serum CRP concentration. RESULTS: Compared with control dogs, treated dogs had significantly different vertical ground reaction forces and weight-bearing scores. Greatest improvement in lameness was observed in carprofen-treated dogs. Etodolac had the fastest onset of action. Compared with butorphanol treatment, only carprofen and etodolac were associated with significantly lower pain scores. An increase in serum CRP concentration was detected after intra-articular injection in all dogs; this change was similar among groups. CONCLUSIONS AND CLINICAL RELEVANCE: Carprofen, etodolac, and meloxicam had greater efficacy than butorphanol in relief of acute pain. Carprofen was most effective overall. In this acute pain model, serum CRP analysis was not useful to assess drug efficacy.
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Current research indicates that exogenous stem cells may accelerate reparative processes in joint disease but, no previous studies have evaluated whether bone marrow cells (BMCs) target the injured cranial cruciate ligament (CCL) in dogs. The objective of this study was to investigate engraftment of BMCs following intra-articular injection in dogs with spontaneous CCL injury. Autologous PKH26-labelled BMCs were injected into the stifle joint of eight client-owned dogs with CCL rupture. The effects of PKH26 staining on cell viability and PKH26 fluorescence intensity were analysed in vitro using a MTT assay and flow cytometry. Labelled BMCs in injured CCL tissue were identified using fluorescence microscopy of biopsies harvested 3 and 13 days after intra-articular BMC injection. The intensity of PKH26 fluorescence declines with cell division but was still detectable after 16 days. Labelling with PKH26 had no detectable effect on cell viability or proliferation. Only rare PKH26-positive cells were present in biopsies of the injured CCL in 3/7 dogs and in synovial fluid in 1/7 dogs. No differences in transforming growth factor-beta1, and interleukin-6 before and after BMC treatment were found and no clinical complications were noted during a 1 year follow-up period. In conclusion, BMCs were shown to engraft to the injured CCL in dogs when injected into the articular cavity. Intra-articular application of PKH26-labelled cultured mesenchymal stem cells is likely to result in higher numbers of engrafted cells that can be tracked using this method in a clinical setting.