1000 resultados para Hudson Bay Railway.


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Tissues from Cook Inlet beluga whales, Delphinapterus leucas, that were collected as part of the Alaska Marine Mammal Tissue Archival Project were analyzed for polychlorinated biphenyls (PCB’s), chlorinated pesticides, and heavy metals and other elements. Concentrations of total PCB’s (ΣPCB’s), total DDT (ΣDDT), chlordane compounds, hexachlorobenzene (HCB), dieldrin, mirex, toxaphene, and hexachlorocyclohexane (HCH) measured in Cook Inlet beluga blubber were compared with those reported for belugas from two Arctic Alaska locations (Point Hope and Point Lay), Greenland, Arctic Canada, and the highly contaminated stock from the St. Lawrence estuary in eastern Canada. The Arctic and Cook Inlet belugas had much lower concentrations (ΣPCB’s and ΣDDT were an order of magnitude lower) than those found in animals from the St. Lawrence estuary. The Cook Inlet belugas had the lowest concentrations of all (ΣPCB’s aver-aged 1.49 ± 0.70 and 0.79 ± 0.56 mg/kg wet mass, and ΣDDT averaged 1.35 ± 0.73 and 0.59 ± 0.45 mg/kg in males and females, respectively). Concentrations in the blubber of the Cook Inlet males were significantly lower than those found in the males of the Arctic Alaska belugas (ΣPCB’s and ΣDDT were about half). The lower levels in the Cook Inlet animals might be due to differences in contaminant sources, food web differences, or different age distributions among the animals sampled. Cook Inlet males had higher mean and median concentrations than did females, a result attributable to the transfer of these compounds from mother to calf during pregnancy and during lactation. Liver concentrations of cadmium and mercury were lower in the Cook Inlet belugas (most cadmium values were <1 mg/kg and mercury values were 0.704–11.42 mg/kg wet mass), but copper levels were significantly higher in the Cook Inlet animals (3.97–123.8 mg/kg wet mass) than in Arctic Alaska animals and similar to those reported for belugas from Hudson Bay. Although total mercury levels were the lowest in the Cook Inlet population, methylmercury concentrations were similar among all three groups of the Alaska animals examined (0.34–2.11 mg/kg wet mass). As has been reported for the Point Hope and Point Lay belugas, hepatic concentrations of silver were re

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http://www.archive.org/details/lifeandworkofrev00lewiiala

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The Rankin Inlet area, on the west shore of Hudson Bay in the Northwest Territories, is in the Churchill Structural Province. Metamorphosed volcanic and sedimentary rocks, previously mapped as Archean and part of the Kaminak Group, underlie most of the area. The Rankin Inlet Group consists of greywacke, with minor conglomeratic greywacke, quartzite and dolomite, overlain by massive and pillowed basaltic flows. Gabbro sills intrude the sediments near the base of the volcanic sequence and three serpentinite sills outcrop at the base of the volcanic sequence. The sediments are in fault-contact with quartz monzonite to the south and were intruded by granitic rocks to the northwest. Two periods of folding were defined by the mapping. The first generation folds are recumbent isoclinal folds, with northwest-trending and northeast-dipping axial planes, formed through gravitational sliding. The second generation folds are symmetrically disposed about the axis of the granitic intrusion and have east-southeast trending and nearly vertical axial planes. Whole-rock analysis of 64 rock samples indicates that metasomatic alteration accompanied the intrusion of both the granitic rocks and the serpentinite. The volcanic rocks, gabbro and serpentinite were derived from a magma of oceanic tholeiitic affinities. The stratigraphic sequence and chemistry of the volcanic rocks of the Rankin Inlet Group indicate that this assemblage is correlative with the Hurwitz Group rather than the Kaminak Group and is therefore Aphebian in age.

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Ce mémoire consiste en une analyse zooarchéologique d’un assemblage faunique provenant d’un site Dorsétien des Îles Nuvuk dans l’Arctique canadien. Les données fauniques ont été analysées statistiquement en appliquant des indices d’utilité économique et des indices de densité des os. Une étude concernant le niveau de conservation de l’assemblage a révélé peu d’évidence de modification taphonomique des spécimens. Les analyses fauniques ont permis d’identifier une stratégie de subsistance de type généraliste et basée sur l’exploitation de mammifères marins, surtout des phoques annelés, pratiquée par les occupants du site de KcFs-2. Une prédominance d’individus immatures (phoques annelés) dans l’assemblage indique une abondance de ressources marines dans les régions du nord de la Baie d’Hudson et du détroit d’Hudson au moment de l’occupation, ce qui est aussi manifeste dans des études antérieures concernant les économies des peuples du Paléoesquimau tardif pour la période donnée. L’occupation du site de KcFs-2 s’est produite durant la période du Dorsétien récent au Nunavik (1500-800 B.P.), et la séquence est définie comme ayant été multi-saisonnière (de l’hiver à l’été). L’analyse des produits de l’industrie osseuse (têtes de harpons et sculptures en ivoire) a permis de confirmer l’affiliation culturelle des occupants.

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Les Inuits sont le plus petit groupe autochtone au Canada. Les femmes inuites présentent des risques beaucoup plus élevés d’issues de grossesse défavorables que leurs homologues non autochtones. Quelques études régionales font état d’une mortalité fœtale et infantile bien plus importante chez les Inuits canadiens par rapport aux populations non autochtones. Des facteurs de risque tant au niveau individuel que communautaire peuvent affecter les issues de grossesse inuites. Les relations entre les caractéristiques communautaires et les issues de grossesse inuites sont peu connues. La compréhension des effets des facteurs de risque au niveau communautaire peut être hautement importante pour le développement de programmes de promotion de la santé maternelle et infantile efficaces, destinés à améliorer les issues de grossesse dans les communautés inuites. Dans une étude de cohorte de naissance reposant sur les codes postaux et basée sur les fichiers jumelés des mortinaissances/naissances vivantes/mortalité infantile, pour toutes les naissances survenues au Québec de 1991 à 2000, nous avons évalué les effets des caractéristiques communautaires sur les issues de grossesse inuites. Lorsque cela est approprié et réalisable, des données sur les issues de grossesse d’un autre groupe autochtone majeur, les Premières Nations, sont aussi présentées. Nous avons tout d'abord évalué les disparités et les tendances temporelles dans les issues de grossesse et la mortalité infantile aux niveaux individuel et communautaire chez les Premières Nations et les Inuits par rapport à d'autres populations au Québec. Puis nous avons étudié les tendances temporelles dans les issues de grossesse pour les Inuits, les Premières Nations et les populations non autochtones dans les régions rurales et du nord du Québec. Les travaux concernant les différences entre milieu rural et urbain dans les issues de grossesse chez les peuples autochtones sont limités et contradictoires, c’est pourquoi nous avons examiné les issues de grossesse dans les groupes dont la langue maternelle des femmes est l’inuktitut, une langue les Premières Nations ou le français (langue majoritairement parlée au Québec), en fonction de la résidence rurale ou urbaine au Québec. Finalement, puisqu'il y avait un manque de données sur la sécurité des soins de maternité menés par des sages-femmes dans les communautés éloignées ou autochtones, nous avons examiné les issues de grossesse en fonction du principal type de fournisseur de soins au cours de l'accouchement dans deux groupes de communautés inuites éloignées. Nous avons trouvé d’importantes et persistantes disparités dans la mortalité fœtale et infantile parmi les Premières Nations et les Inuits comparativement à d'autres populations au Québec en se basant sur des évaluations au niveau individuel ou communautaire. Une hausse déconcertante de certains indicateurs de mortalité pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue des Premières Nations et l’inuktitut, et pour les femmes résidant dans des communautés peuplées principalement par des individus des Premières Nations et Inuits a été observée, ce qui contraste avec quelques améliorations pour les naissances de femmes dont la langue maternelle est une langue non autochtone et pour les femmes résidant dans des communautés principalement habitées par des personnes non autochtones en zone rurale ou dans le nord du Québec. La vie dans les régions urbaines n'est pas associée à de meilleures issues de grossesse pour les Inuits et les Premières Nations au Québec, malgré la couverture d'assurance maladie universelle. Les risques de mortalité périnatale étaient quelque peu, mais non significativement plus élevés dans les communautés de la Baie d'Hudson où les soins de maternité sont prodigués par des sages-femmes, en comparaison des communautés de la Baie d'Ungava où les soins de maternité sont dispensés par des médecins. Nos résultats sont peu concluants, bien que les résultats excluant les naissances extrêmement prématurées soient plus rassurants concernant la sécurité des soins de maternité dirigés par des sages-femmes dans les communautés autochtones éloignées. Nos résultats indiquent fortement le besoin d’améliorer les conditions socio-économiques, les soins périnataux et infantiles pour les Inuits et les peuples des Premières Nations, et ce quel que soit l’endroit où ils vivent (en zone éloignée au Nord, en milieu rural ou urbain). De nouvelles données de surveillance de routine sont nécessaires pour évaluer la sécurité et améliorer la qualité des soins de maternité fournis par les sages-femmes au Nunavik.

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Les assemblages lithiques dominent la plupart des sites archéologiques du Nunavik et constituent ainsi une véritable mine d’informations. Le nombre limité de travaux sur les matériaux de la côte est de la baie d’Hudson, nous a amené à nous pencher sur une source présente dans ce secteur. Notre objectif était alors de caractériser la matière première provenant de cette formation géologique, le chert Nastapoka. Pour ce faire, nous avons choisi la technique de fluorescence aux rayons X. Les résultats ont permis de constater, en plus des observations macroscopiques, la nature très variable de ce chert présentant une signature chimique complexe. Pour compléter le portrait, nous avons évalué l’utilisation du chert Nastapoka par les Paléoesquimaux par une comparaison d’analyses technologiques déjà effectuées sur les sites GhGk-4, GhGk-63 et IcGm-5. Cet examen a révélé que l’évolution des stratégies d’exploitation des matériaux lithiques dans cette région appui le continuum culturel Prédorsétien-Dorsétien observé ailleurs.

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Samples were collected from a snow pit and shallow urn core near Kahiltna Pass (2970 m a.s.l.), Denali National Park, Alaska, USA, in May 2008. The record spans autumn 2003 to spring 2008 and reveals clusters of ice layers interpreted as summertime intervals of above-freezing temperatures. High correlation coefficients (0.75-1.00) between annual ice-layer thickness and regional summertime station temperatures for 4 years (n=4) indicate ice-layer thickness is a good proxy for mean and extreme summertime temperatures across Alaska, at least over the short period of record. A Rex-block (aka high-over-low) pattern, a downstream trough over Hudson Bay, Canada, and an upstream trough over eastern Siberia occurred during the three melting events that lasted at least 2 weeks. About half of all shorter melting events were associated with a cut-off low traversing the Gulf of Alaska. We hypothesize that a surface-to-bedrock core extracted from this location would provide a high-quality record of summer temperature and atmospheric blocking variability for the last several hundred years.

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Shipboard measurements of organohalogen compounds in air and surface seawater were conducted in the Canadian Arctic in 2007-2008. Study areas included the Labrador Sea, Hudson Bay, and the southern Beaufort Sea. High volume air samples were collected at deck level (6 m), while low volume samples were taken at 1 and 15 m above the water or ice surface. Water samples were taken within 7 m. Water concentration ranges (pg/L) were as follows: alpha-hexachlorocyclohexane (alpha-HCH) 465-1013, gamma-HCH 150-254, hexachlorobenzene (HCB) 4.0-6.4, 2,4-dibromoanisole (DBA) 8.5-38, and 2,4,6-tribromoanisole (TBA) 4.7-163. Air concentration ranges (pg/m**3) were as follows: alpha-HCH 7.5-48, gamma-HCH 2.1-7.7, HCB 48-71, DBA 4.8-25, and TBA 6.4-39. Fugacity gradients predicted net deposition of HCB in all areas, while exchange directions varied for the other chemicals by season and locations. Net evasion of alpha-HCH from Hudson Bay and the Beaufort Sea during open water conditions was shown by air concentrations that averaged 14% higher at 1 m than 15 m. No significant difference between the two heights was found over ice cover. The alpha-HCH in air over the Beaufort Sea was racemic in winter (mean enantiomer fraction, EF = 0.504 ± 0.008) and nonracemic in late spring-early summer (mean EF = 0.476 ± 0.010). This decrease in EF was accompanied by a rise in air concentrations due to volatilization of nonracemic alpha-HCH from surface water (EF = 0.457 ± 0.019). Fluxes of chemicals during the southern Beaufort Sea open water season (i.e., Leg 9) were estimated using the Whitman two-film model, where volatilization fluxes are positive and deposition fluxes are negative. The means ± SD (and ranges) of net fluxes (ng/m**2/d) were as follows: alpha-HCH 6.8 ± 3.2 (2.7-13), gamma-HCH 0.76 ± 0.40 (0.26-1.4), HCB -9.6 ± 2.7 (-6.1 to -15), DBA 1.2 ± 0.69 (0.04-2.0), and TBA 0.46 ± 1.1 ng/m**2/d (-1.6 to 2.0).