894 resultados para Gilles Deleuze
Resumo:
This work is on the political thought of the French philosopher Gilles Deleuze (1925 – 1995) taking the concepts of major/minor as starting point, since by them the deleuzian philosophy produces significant approaches to think politics and its forms. Not only the concepts of major/minor, but also the concept of becoming, in the mode of becoming-minor, marks the proposition, as we could tell, a properly deleuzian political philosophy. Thus, this work attempts to expose the possible form of this politics and of a fight ethic associated to it. To study the Deleuze political thought today is not to abdicate of a political thought that recognizes the singularities and embraces the political fight not as a totalizing revolution, but as resistance. The analyses of the concepts of major/minor, and the becoming shows itself as necessary in the political proposal in the present context
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Gilles Deleuze hás commented on many philosophers, but his relationship with Nietzsche plays a singular role in his thought: appropriating the concept of the “eternal return” to think the central axis of his thesis, Difference and repetition (1968). Terms “difference” and “repetition” appeared associated to eternal return in his Nietzsche and philosophy (1962). Our dissertation thesis analyzes the presentations of that concept in bothworks. Chapter one presents the style construction and critical, methodological aspects of Nietzschean philosophy, fundamental elements to understand Deleuze’s interpretation. It subsequently analyzes the first presentation of that concept, expressed in the following terms: the aesthetic existence, either innocent or justified from the figure of game. We will see how the image of game implies another concept of chance, that leads Deleuze to think of an affirmative philosophical “type”, capable of creating new values. Chapter two evaluates the existential, “ethical-selective”, “physicalcosmological” character of the concept of eternal return, as much as the difficulties it imposes upon Nietzsche’s interpreter. We present afterwards Deleuzian comprehension of eternal return as a “parody” or a “simulacrum of doctrine”. Chapter three analyzes that interpretive position as a transvaluation of values from a rearrange of perspectives in order to overcome the negative comprehensions of existence. We want to question the way Deleuze builds another image of thought from the concept of eternal return – an image that, by a sort of “colagem” and selective elimination of the negativity, proposes a historiographic work and unfolds a lineage of thinkers of immanence and difference, a detour from the thought of identity, the same and the similar. We want thus to understand Deleuze’s critique of “dogmatic image of thought”.
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Gilles Deleuze hás commented on many philosophers, but his relationship with Nietzsche plays a singular role in his thought: appropriating the concept of the “eternal return” to think the central axis of his thesis, Difference and repetition (1968). Terms “difference” and “repetition” appeared associated to eternal return in his Nietzsche and philosophy (1962). Our dissertation thesis analyzes the presentations of that concept in bothworks. Chapter one presents the style construction and critical, methodological aspects of Nietzschean philosophy, fundamental elements to understand Deleuze’s interpretation. It subsequently analyzes the first presentation of that concept, expressed in the following terms: the aesthetic existence, either innocent or justified from the figure of game. We will see how the image of game implies another concept of chance, that leads Deleuze to think of an affirmative philosophical “type”, capable of creating new values. Chapter two evaluates the existential, “ethical-selective”, “physicalcosmological” character of the concept of eternal return, as much as the difficulties it imposes upon Nietzsche’s interpreter. We present afterwards Deleuzian comprehension of eternal return as a “parody” or a “simulacrum of doctrine”. Chapter three analyzes that interpretive position as a transvaluation of values from a rearrange of perspectives in order to overcome the negative comprehensions of existence. We want to question the way Deleuze builds another image of thought from the concept of eternal return – an image that, by a sort of “colagem” and selective elimination of the negativity, proposes a historiographic work and unfolds a lineage of thinkers of immanence and difference, a detour from the thought of identity, the same and the similar. We want thus to understand Deleuze’s critique of “dogmatic image of thought”.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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Fil: Prósperi, Germán. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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En la literatura existente sobre la obra de Gilles Deleuze existe un vacío en lo que concierne a la relación entre sus dos tesis doctorales: Spinoza y el problema de la expresión y Diferencia y repetición. Esta tesis le apuesta a una lectura en paralelo de ambos textos para no solo develar sus arquitecturas conceptuales sino también para proponer conexiones novedosas entra ambos: la ontología de Deleuze puede reconstruirse a partir de su interés por los modos finitos de Spinoza y por una actualización contemporánea del problema de la individuación.
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The late French philosopher Gilles Deleuze has enjoyed significant notoriety and acclaim in American academia over the last 20 years. The unique disciplinary focus of the contemporary discussion has derived from Deleuze the architectural possibilities of biotechnology, systems theory, and digital processualism. While the persistence of Deleuze’s theory of science and the formalist readings of Mille Plateaux and Le Bergsonisme have dominated the reception since the 1990s, few are aware of a much earlier encounter between Deleuze and architects, beginning at Columbia University in the 1970s, which converged on the radical politics of Anti-OEdipus and its American reception in the journal Semiotext(e), through which architecture engaged a much broader discourse alongside artists, musicians, filmmakers, and intellectuals in the New York aesthetic underground, of which Deleuze and Félix Guattari were themselves a part.