927 resultados para Geography|Health Sciences, Public Health|Health Sciences, Epidemiology|Health Sciences, Oncology
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Grattan, J.P., Al-Saad, Z., Gilbertson, D.D., Karaki, L.O., Pyatt, F.B 2005 Analyses of patterns of copper and lead mineralisation in human skeletons excavated from an ancient mining and smelting centre in the Jordanian desert Mineralogical Magazine. 69(5) 653-666.
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Pyatt, B. Barker, G. Birch, P. Gilbertson, D. Grattan, J. Mattingly, D. King Solomon's Miners - Starvation and Bioaccumulation? An Environmental Archaeological Investigation in Southern Jordan. Ecotoxicology and Environmental safety 43, 305-308 (1999) Environmental Research, Section B
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Gillmore, G. Gilbertson, D. Grattan, J. Hunt, C. McLaren, S. Pyatt, B. Banda, R. Barker, G. Denman, A. Phillips, P. Reynolds, T. The potential risk from 222radon posed to archaeologists and earth scientists: reconnaissance study of radon concentrations, excavations and archaeological shelters in the Great cave of Niah, Sarawak, Malaysia. Ecotoxicology and Environmental Safety. 2005. 60 pp 213-227.
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Grattan, J. Durand, M. Taylor, S., Illness and elevated Human Mortality in Europe Coincident with the Laki fissure eruption. In: 'Volcanic Degassing: Geological Society, Special Publication 213', Oppenheimer, C., Pyle, D.M. and Barclay, J. (eds). Geological Society, London, Special Publications, 410-414, 2003.
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Grattan, J., Huxley, S., Karaki, L. A., Toland, H., Gilbertson, D., Pyatt, B., Saad, Z. A. (2002). 'Death . . . more desirable than life'? The human skeletal record and toxicological implications of ancient copper mining and smelting in Wadi Faynan, southwestern Jordan. Toxicology and Industrial Health, 18 (6), 297-307.
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Grattan, J. Pollution and paradigms: Lessons from Icelandic volcanism for continental flood basalt studies. Lithos. 2005. 79 pp 343-353
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Grattan, J. Gilmore, G. Gilbertson, D. Pyatt, F.B. HUnt, C. McLaren, S. Phillips, P. Denman, A. Radon and King Solomons Miners: Paynan Orefield, Jordanian Desert. The Science of the Total Environment. 2004 319 pp 99-113
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But : La radiothérapie (RT) est disponible seulement dans les grandes villes au Québec. Les patients atteints de cancer vivant en zone rurale doivent voyager pour obtenir ces soins. Toute proportion gardée, moins de ces patients accèdent à la RT. L’accessibilité serait améliorée en instaurant de petits centres de RT qui dépendraient de la télémédecine (téléRT). Cette étude tente (1) de décrire un modèle (population visée et technologie) réaliste de téléRT; (2) d’en estimer les coûts, comparativement à la situation actuelle où les patients voyagent (itineRT). Méthode : (1) À l’aide de données probantes, le modèle de téléRT a été développé selon des critères de : faisabilité, sécurité, absence de transfert des patients et minimisation du personnel. (2) Les coûts ont été estimés du point de vue du payeur unique en utilisant une méthode publiée qui tient compte des coûts en capitaux, de la main d’oeuvre et des frais généraux. Résultats : (1) Le modèle de téléRT proposé se limiterait aux traitements palliatifs à 250 patients par année. (2) Les coûts sont de 5918$/patient (95% I.C. 4985 à 7095$) pour téléRT comparativement à 4541$/patient (95%I.C. 4351 à 4739$) pour itineRT. Les coûts annuels de téléRT sont de 1,48 M$ (d.s. 0,6 M$), avec une augmentation des coûts nets de seulement 0,54 M$ (d.s. 0,26 M$) comparativement à itineRT. Si on modifiait certaines conditions, le service de téléRT pourrait s’étendre au traitement curatif du cancer de prostate et du sein, à coûts similaires à itineRT. Conclusion : Ce modèle de téléRT pourrait améliorer l’accessibilité et l’équité aux soins, à des coûts modestes.
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Objectif : La néphrectomie partielle est reconnue actuellement comme le traitement de choix des tumeurs de moins de 7 cm. Le but de notre étude est de comparer le taux de mortalité lié au cancer du rein suite au traitement par néphrectomie partielle ou radicale chez les patients de stade T1b, de présenter la tendance temporelle du taux d'intervention par néphrectomie partielle pour les tumeurs de stade T1b et d’identifier les facteurs sociodémographiques et tumoraux qui influencent le choix thérapeutique entre les deux types de traitement chirurgical. Méthode : Il s’agit d’une étude épidémiologique de type rétrospective. La population de patients provient de la base de donnée SEER (Surveillance, Epidemiology, and End Results) qui regroupe une grande proportion de la population nord-américaine. Dans notre étude, nous avons utilisé l’analyse par régression logistique pour identifier les facteurs sociodémographiques associés à l'intervention par néphrectomie partielle. Dans un deuxième temps, nous avons comparé la mortalité liée au cancer entre les deux options chirurgicales, après association par score de tendance pour diminuer les différences de base entre les deux populations. Nos critères étaient l’âge, la race, le sexe, l’état civil, le niveau socioéconomique, la taille tumorale, le grade nucléaire, l’histologie et la localité du centre hospitalier. L’analyse des données a été faite par le logiciel SPSS. Résultats : Le taux d'interventions par néphrectomie partielle a augmenté de 1,2% en 1988 à 15,9% en 2008 (p <0,001). Les jeunes patients, les tumeurs de petite taille, les patients de race noire, ainsi que les hommes sont plus susceptibles d'être traités par néphrectomie partielle (tous les p < 0,002). Parmi le groupe ciblé, le taux de mortalité lié au cancer à 5 ans et à 10 ans est de 4,4 et de 6,1% pour les néphrectomies partielles et de 6,0 et 10,4% pour les néphrectomies radicales (p = 0,03). Après ajustement de toutes les autres variables, les analyses de régression montrent que le choix entre les deux types de néphrectomie n’est pas associé à la mortalité lié au cancer (hazard ratio: 0,89, p = 0,5). Conclusion : Malgré un contrôle oncologique équivalent, le taux d'intervention par néphrectomie partielle chez les patients ayant un cancer du rein T1b est faible en comparaison à la néphrectomie radicale.
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Objective. The aim of this study was to assess the independent risk of hepatitis C virus (HCV) infection in the development of hepatocellular carcinoma (HCC). The independent risk of hepatitis B virus (HBV), its interaction with hepatitis C virus and the association with other risk factors were examined.^ Methods. A hospital-based case-control study was conducted between January 1994 and December 1995. We enrolled 115 pathologically confirmed HCC patients and 230 nonliver cancer controls, who were matched by age ($\pm$5 years), gender, and year of diagnosis. Both cases and controls were recruited from The University of Texas M. D. Anderson Cancer Center at Houston. The risk factors were collected through personal interviews and blood samples were tested for HCV and HBV markers. Univariate and multivariate analyses were performed through conditional logistic regression.^ The prevalence of anti-HCV positive is 25.2% in HCC cases compared to 3.0% in controls. The univariate analysis showed that anti-HCV, HBsAg, alcohol drinking and cigarette smoking were significantly associated with HCC, however, family history of cancer, occupational chemical exposure, and use of oral contraceptive were not. Multivariate analysis revealed a matched odds ratio (OR) of 10.1 (95% CI 3.7-27.4) for anti-HCV, and an OR of 11.9 (95% CI 2.5-57.5) for HBsAg. However, dual infection of HCV and HBV had only a thirteen times increase in the risk of HCC, OR = 13.9 (95% CI 1.3-150.6). The estimated population attributable risk percent was 23.4% for HCV, 12.6% for HBV, and 5.3% for both viruses. Ever alcohol drinkers was positively associated with HCC, especially among daily drinkers, matched OR was 5.7 (95% CI 2.1-15.6). However, there was no significant increase in the risk of HCC among smokers as compared to nonsmokers. The mean age of HCC patients was significantly younger among the HBV(+) group and among the HCV(+)/HBV(+) group, when compared to the group of HCC patients with no viral markers. The association between past histories of blood transfusion, acupuncture, tattoo and IVDU was highly significant among the HCV(+) group and the HBV(+)/HCV(+) group, as compared to HCC patients with no viral markers. Forty percent of the HCC patients were pathologically or clinically diagnosed with liver cirrhosis. Anti-HCV(+) (OR = 3.6 95% CI 1.5-8.9) and alcohol drinking (OR = 2.7 95% CI 1.1-6.7), but not HBsAg, are the major risk factors for liver cirrhosis in HCC patients.^ Conclusion. Both hepatitis B virus and hepatitis C virus were independent risk factors for HCC. There was not enough evidence to determine the interaction between both viruses. Only daily alcoholic drinkers showed increasing risk for HCC development, as compared to nondrinkers. ^
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The proportional distribution of independent malignant tumors in the contralateral breast following treatment for breast cancer was investigated to assess the influence of scattered radiation as a cause of these tumors. In a population of 172 patients the proportion of contralateral tumors in each quadrant and the center (the nipple-areolar complex) was compared with the expected, or natural, distribution found in the general population, in the absence of radiation. The observed/expected ratio for contralateral tumors was 1.43 for the upper-inner quadrant; 0.97, lower-inner quadrant; 1.51, center; 0.76, upper-outer quadrant; and 0.64, lower-outer quadrant. In each quadrant, except the lower-inner, the observed/expected ratio differed from 1.00 with statistical significance at the 5% level (one-tail). The same analysis, stratified by age and menopausal status, showed a similar shift of tumors, with more than expected in the inner quadrants and center and less than expected in the outer quadrants, although the results did not show statistical significance at the 5% level for all strata. For each patient the mean absorbed radiation dose for each quadrant and center of the breast was estimated, based on measurements in a tissue-equivalent phantom. Among patients the doses ranged from 0.5 to 8 Gy; within individuals, doses to the inner quadrants typically were a factor of three times higher than doses to the outer quadrants. The results suggest that radiation may be a risk factor for contralateral breast tumors and warrants further investigation. ^